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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 09:40

PUGET-ROSTANG - MONTAGNE DE MAIROLA

Seuls 3 randonneuses et un randonneur ont suivi Joël pour une magnifique randonnée dans les Alpes Maritimes, au départ de Puget-Rostand (673m) et pour l'escalade de la montagne de Mairola (1596m).

Après deux journées très pluvieuses, le soleil va nous accompagner toute la journée.

Joël présente rapidement la randonnée, avec une montée le matin d’environ 900m et une redescente l’après- midi.

Nous sommes prévenus que l’ascension de la cime est un peu sportive du fait de la pente raide.

Départ dès 9 heures du parking de la salle polyvalente municipale de Puget-Rostand, à proximité du torrent de la Mairola : la température est fraiche (7°). Nous traversons le village vers sa partie la plus haute,dite « La Colle », d’où part le sentier en direction du col de Mairola.

Lors de la parenthèse culturelle du déjeuner, Joël nous lira un texte par lui préparé et cité ici à plusieurs reprises. Il présente ce village de « 114 habitants, les Rostagnois , dont 11 élus, qui se situe sur un piton rocheux. Ses maisons médiévales hautes et accolées les unes aux autres, s’enroulent le long de ruelles étroites, autour de l’ancien donjon. Ce n’est qu’au retour que nous observerons la structure générale du village en fer à cheval. Il est dominé par la montagne de Mairola, appelée aussi le Cimaillon . »

Un quart d’heure plus tard nous atteignons la balise 180, le point de départ du sentier (673m).

Rapidement le chemin devient pierreux et serpente au travers de la végétation automnale avec ses belles couleurs rousses et les sumacs rouges. Il coupe à plusieurs reprises la piste qui monte du village.

Nous vérifions la promesse matinale de Joël : ça monte dès le départ ; en effet nous voilà déjà à 886 m d’altitude, une vingtaine de minutes après avoir passé la balise de départ et en vue arrière Puget-Rostand devient petit.

Nous traversons des marnes noires et leurs ravines caractéristiques.

Et nous longeons de vielles restanques, preuves de l’activité culturale aujourd’hui disparue. Les ruines des Fournés en sont aussi le témoignage.

Saint Augustin veille sur nous et devraient élever nos pensées.

Nous arrivons sur un faux plat et au loin le col de Mairola apparait.

Le sentier reprend sa montée, la température aussi et nous nous effeuillons. Nous sommes maintenant à environ 1000m d’altitude.

La piste atteint ensuite un plateau et nous allons longer des ruines de hameaux isolés, le Villars puis la Combe.

Une cabane a été rénovée.

Saint Sébastien protège- t-il notre santé ?

 

Nous rattrapons quelques randonneurs niçois, que nous retrouverons plus tard au sommet et qui gentiment photographient le groupe au complet.

Nous atteignons le col de Mairola (1286m) où nous prenons une petite collation tout en observant les magnifiques paysages :

Au loin le Mercantour paré de ses premières neiges.

Au fond du ravin, Rigaud.

Derrière le groupe, les pentes rouge de Cians.

 

Si la montée a été progressive jusque-là, elle sera maintenant plus sévère pour nous permettre d’atteindre, en ligne droite, le col de Barbenière.

Voilà donc la cime de Mairola, un petit dôme un peu débonnaire à première vue, comme aurait pu le dire quelqu’un absent ce jour.

La montée est courte et ne présente pas de difficulté particulière, exception faite de sa pente, d’un peu plus de 20% .

Un peu de distraction avec les vigies de styles et d’époques différents.

Nous sommes fiers et heureux de poser près du totem, à 1596m et de découvrir les paysages splendides à 360°.

Le temps est clément et nous déjeunons au soleil. Le petit vin de Loire de Joël est délicieux, plus gouleyant que le vin d’Oc corsé de nos collègues niçois.Mais l'échange oenologique est sympatique.

Bien revigorés, nous entamons la descente. Le criquet profite aussi encore du soleil.

Et nous retrouvons la balise 184. Si vous êtes perdus, remontez de quelques photos !!!

Nous allons revenir à Puget-Rostand par l’autre rive du torrent et donc emprunter le GR 510, direction sud-ouest.

La descente traverse le plateau de Dina, puis de beaux sous-bois de chênes et pins.

Nous cheminons ensuite sur la ligne de crête avec d’un côté le village de Puget-Rostand.

Cette vue illustre bien la structure "en fer à cheval du village. Les maisons, érigées le long des courbes de niveau, sont étroites et hautes de 3 ou 4 étages, toutes tournées vers le sud. Le dernier étage, appelé le souléaïre, était entièrement ouvert côté sud pour la ventilation des récoltes."

Plus haut perché nous découvrons le village d’Auvare.

De l’autre côté de la crête nous avons une vue plongeante sur la route.

Les falaises prennent sous l’érosion des aspects impressionnants et les couleurs automnales continuent de nous ravir.

La fin du parcours se fait par le sentier de découverte protégé par Sainte Catherine. Il est dit sentier « en terre gavotte. En provençal, gavot signifie qui appartient à la montagne : les habitants sont des gavots, leur dialecte est gavot et leur danse, la gavotte… »

Ce sentier veut illustrer l'ensemble des travaux fait dans la région pour limiter les graves inondations subies par Puget-Théniers en aval."Les forestiers ont construit de nombreux barrages les uns au dessus des autres, pour arrêter les ravages de l'érosion et piéger les terres. Les terrasses ainsi formées permettent d'une part d'installer une nouvelle végétation qui va pouvoir croitre et d'autre part d'assurer des ruptures de pente brisant la vitesse de ruissellement de l'eau". 

Les esprits botaniques remarquent les différentes espèces d’arbres constituant la fôret domaniale, principalement les pins noirs d’Autriche, mais aussi les cèdres de l’Atlas, sans oublier les pins d’Alep. Cette forêt doit être entretenue pour ne pas dégénérer et continuer sa fonction de lutte contre l’érosion.

Les esprits bâtisseurs retiennent les différents types de barrages érigés pour retenir les terres.

Mais les éboulements de la falaise calcaro-marneuse, sans doute liés au violent épisode pluvieux du mois dernier illustrent l’efficacité toute relative de tels édifices.

Nous terminons cette descente du versant ubac avec des chaussures et bas de pantalons boueux et la traversée du gué du torrent nous permet de nous décrotter quelque peu.

Nous nous désaltérons à l’auberge du village avant de rejoindre notre voiture. Et Saint Augustin nous a bien influencés à en croire les discussions lors du voyage vers Boulouris qui s’est presque transformé en cercle littéraire des amateurs de randonnées….

Merci Joël pour nous avoir fait découvrir cette très belle randonnée et ces magnifiques paysages.

Merci à Claude C. pour les photos.

 

La semaine prochaine :

Jeudi 05/11 à 8H00 : Bar/Loup (06) Plateau de Cavillore. L:12 Km. Dh:820m. M.alto. Christian 

Départ de la rando : PARKING du cimetière à BAR-sur-LOUP. Coût du trajet A.R. : 38 €            

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24 octobre 2015 6 24 /10 /octobre /2015 12:34

Roquebrune sur Argens – Les 4 sommets (83)

Aujourd’hui, randonnée mythique à proximité de nos bases, puisqu’il s’agit de gravir les 4 sommets du célèbre rocher de Roquebrune.

14 marcheurs du cercle de Boulouris, dont la plupart, n’ont jamais effectué cette randonnée, sont présents pour découvrir ces fameux sommets seulement aperçus à plusieurs reprises depuis l’autoroute A8. Deux invités Marie-Dominique et Xavier, amis de Claude et Jack, complètent le groupe.

 

Emmené par Jean Bo, nous empruntons une petite portion de route afin de rejoindre le GR 51 point de départ officiel de notre randonnée. A ce carrefour notre guide nous précise un peu plus ce que sera notre menu aujourd’hui.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La distance à parcourir n’est que de 9 kms environ, mais avec un dénivelé de 800 m. La météo est idéale, et paramètre important il n’y a pas de vent souligne Jean Bo.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le rocher de Roquebrune, site classé d’intérêt national est constitué de grès rouges et d’un maquis qui s’accroche aux anfractuosités.
L’érosion y a sculpté et creusé des grottes, agrandi les failles et modelé des colonnes en forme de champignons, comme les Deux Frères.

 

Notre périple commence par l’ascension du sommet situé le plus à l’est. C’est celui des trois croix.

Nous apercevons à droite de la photo, notre premier objectif de la journée.

 

 

Eclairées par un soleil bien présent, les roches rouges sont resplendissantes.

 

 Rapidement la pente se fait plus raide et nous empruntons un sentier encombré de grosses pierres.

 

Pas trés adaptés, nous rangeons nos bâtons, car il plus facile de s’aider de ses bras pour passer certains passages délicats.

 

Dans la plaine, en contre-bas se dessine les contours du lac de l’Aréna. Celui-ci alimenté par l’Argens, est une base de loisirs très fréquentée en période estivale.

Après avoir bien mouillé la chemise, nous atteignons enfin ce premier sommet qui culmine  à 373 mètres de hauteur. A son sommet, se dressent depuis 1991 trois croix. De formes différentes, ces sculptures de Bernar Venet sont un hommage aux peintres Giotto, Grünewald et Le Greco. De là, on découvre une superbe vue à 360° sur la vallée de l’Argens, Fréjus, l’Estérel et, au loin, les Alpes…

Une plaque gravée précise le concept artistique du monument.

Une première photo de groupe est faite pour immortaliser l’instant.

 

Ce n’est que le début de l’aventure, et il faut redescendre avant de grimper sur le deuxième sommet. La descente est parfois délicate, par bonheur un câble placé au bon endroit nous facilite le passage.

 

Ci-dessous, une plante que l'on rencontre souvent dans nos contrées." Myrte, Myrtus communis L. a morta, a mortula en langue corse. Elle appartient à la famille des myrtacées.
C’est la plante du maquis par excellence. Elle a des baies noir bleuté qui arrivent à maturité en décembre. Les feuilles sont vert foncé vernissées et pointues, très parfumées lorsqu’on les froisse. Avec les tiges, on confectionne des nasses à langoustes ou à poissons, parfois associées aux tiges de l’oléastre (olivier sauvage). Les baies sont utilisées pour la réalisation de liqueurs ou d’eau de vie. Le myrte a joué un grand rôle dans les civilisations antiques : symbole de la beauté, de la jeunesse, il était consacré à Aphrodite, était lié au mariage (comme encore dans diverses contrées); on en tressait des couronnes pour magistrats, vainqueurs sportifs aux jeux. "

Après une nouvelle escalade, nous atteignons le deuxième sommet de la journée qui culmine à 369 m.

 

Tiens donc un militant du FLB, s’est glissé parmi nous pour déployer le drapeau breton.

Après tous ces efforts, la pause banane nous permet de recharger les batteries avant de poursuivre en direction du troisième sommet.

Plaques rocheuses et sentiers boisés se succèdent avant d’atteindre ce nouveau sommet.

 

 

 

 

Magnifique contraste entre le ciel bleu azur et ces roches rouges.

 

Inutile de te cacher André, tout le monde t’a reconnu !!!

Le breton de service est toujours là, vive la Bretagne.

Quelques mètres de descente pour retrouver Josette qui avait fait l’impasse de cette nouvelle ascension et Jean Bo siffle l’heure du pique-nique. Il est environ 13h.

 

Une heure plus tard, nous reprenons la route en direction du dernier sommet.

Impatient de découvrir l’environnement de l’ermite du rocher de Roquebrune, le sentier nous amenant au pied du quatrième sommet est dévalé à vive allure. Au passage, nous découvrons les ruines d'un habitât trés ancien.

 

 

Nous y sommes. Dommage, aucune présence. Là nous découvrons un monde aux antipodes de nos modes de vie modernes.

A méditer …

Sur ces immenses plaques rocheuses, qui nous changent de nos sentiers habituels, on a l'impression d'être sur une autre planète.

 

Un dernier passage délicat se présente à nous. Mais grâce aux aides et aux conseils de chacun, tous les randonneurs  se retrouvent au sommet, fiers de l’exploit accompli.

 

Nous découvrons enfin l’identité du breton à la casquette. Mais c’est Michel bien sûr.

Une deuxième photo de groupe s’impose après tous ces efforts. Pas de perte, le nombre de randonneurs est le même qu'au départ ce matin.

Quelques randonneurs zélés demandent si il existe un cinquième sommet ?

A défaut, il faut redescendre maintenant avant de récupérer les voitures, via le GR 51.

 

Nous nous retrouvons un peu plus tard sur cette place du village de Roquebrune, pour partager le pot de l’amitié.

 

 

Un grand merci à Jean Bo de nous avoir fait découvrir ce lieu si emblématique de notre région.

Merci aux photographes présents : André, Claude Ca et Gilbert.

Un peu plus de photos:

 

 

 

 

Veuillez noter votre prochaine randonnée :

Jeudi 29/10 à 7H00 : Puget-Rostang (06). Mairola. L : 11 Km 000. Dh : 800 m. Sportif. Joël Lefeuvre   748            

Départ de la rando : Parking de Puget-Rostang (06). Coût du trajet A.R. : 74 €

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22 octobre 2015 4 22 /10 /octobre /2015 18:42

 

Trou de la Jarre – Circuit n° 2 petites jambes

Aujourd’hui c’est dans la forêt domaniale de la Colle du Rouet que nous conduit Camille pour une randonnée de 11 kms avec un faible dénivelé de 170 mètres.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015

 

 

 

Nous sommes 26. Des grandes jambes se sont jointes à nous, effrayées par les 4 sommets des rochers de Roquebrune au programme du groupe 1.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015

 

Nous partons du domaine du Caloussou à La Bouverie. Le soleil est au rendez-vous et il ne fait pas trop frais. Cerise sur le gâteau : pas de vent.

LTrou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 e démarrage est lent. Le groupe s’étire.Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015

Chacun doit choisir son chemin pour traverser l’Anguille.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Puis c'est sur un chemin raviné que nous nous engageons,

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 d’où nous apercevons le rocher de Roquebrune.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Même en zoomant nous ne voyons aucun randonneur de l’autre groupe. Y sont-ils vraiment ? Où sont les maris de certaines randonneuses ?

Nous arrivons aux dires de Camille au Trou de la Jarre, où nous quittons pulls ou polaires et faisons la pose banane.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Mais erreur, ce n’est que son petit frère. C’est un peu plus loin que nous découvrons le vrai Trou de la Jarre.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Tout au long de notre cheminement nous devons traverser de multiples ruisseaux, mais où est-ce le mieux pour passer?

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 chacun s'engage avec plus ou moins d’élégance et ce au risque de se mouiller les pieds.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 C’est alors que nous atteignons la piste du Catchéou, bordée de magnifiques pins, et d'où la vue est dégagée,

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 puis nous nous engageons sur celle de Terme Ouest,

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 où nous devons choisir notre chemin tant il reste de grosses flaques d’eau suite aux dernières pluies.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Petit regroupement quand nous croisons la piste de Pallayson

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Il est midi et nous arrivons au bord de l’Endre où nous faisons comme à l’accoutumée deux photos de groupe afin que tous les randonneurs soient bien mis dans la boîte.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Il est l’heure de s’installer pour la pause repas. Comme d’habitude, qui offrira son vin d’orange, des biscuits apéro, son rosé, son café et ses chocolats. Merci à tous ceux qui pensent aux copains.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Mais ce n’est pas tout. Il est temps de faire la sieste

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 ou de jouer aux cartes : attention 2 tables aujourd’hui, enfin si on peut dire, car nous sommes inconfortablement installés, mais tant pis pour les férus de la belote.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Mais qu'étudient donc Jean Marie et Alain? Ont-ils peur de ne pas trouver leur chemin?

http://img.over-blog-kiwi.com/0/63/63/35/20151022/ob_aaa298_la-bouverie-10-15-029.jpgToute bonne chose a une fin. Il est temps de repartir. Nous nous engageons sur la piste du Portail,

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 avant de rejoindre une piste non loin de celle des Flacs , et empruntons un petit chemin. Jean-Marie nous dira à un moment que c'était la piste du Trou de La Jarre.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Par la suite nous pouvons apercevoir ou entre-apercevoir 3 étangs.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015

Voilà que soudainement surgit une mante religieuse sur le chemin, mais le temps de sortir l'appareil, elle se fond dans la végétation.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Nous revoilà à l'Anguille, ruisseau traversé ce matin.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015

Camille souhaitant bifurquer à droite rappelle Claude qui a pris de l’avance sans en avoir prévenu notre guide, en vue de faire des photos.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Mais mauvaise donne le sentier n’est pas le bon, aussi demi-tour et nous prenons celui de l’aller.

A proximité de l’arrivée nous pouvons admirer de magnifiques pyracantha.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Une fois les véhicules rejoints et les doigts de pieds aérés nous nous rendons à l’habituel café de La Bouverie pour prendre le verre de l’amitié.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Plutôt que de se serrer, 3 randonneurs préfèrent s'isoler. Mais en réalité n'est-ce pas pour profiter un peu plus du soleil?

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 Merci à Marinette qui nous a préparé un succulent cake aux pommes dont les effluves de rhum ont émoustillé nos narines, et à ceux qui nous offert chocolat et biscuits.

Marie-France de son côté n’ayant pas suffisamment mangé a acheté à la boulangerie voisine un magnifique pain dont le bout faisait penser à la tête d'un oiseau.

Trou de La Jarre - circuit petites jambes - 22 octobre 2015 En attendant la prochaine randonnée, merci Camille pour cette balade qui n’était pas que sur de belles pistes comme nous l’avait annoncé Jean.

Les photos sont de Claude, Gérard et Rolande, rédactrice du blog.

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