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30 mars 2018 5 30 /03 /mars /2018 20:32

Les Aiguilles de Valbelle-G2

 

2 marcheuses, 8 marcheurs vont accompagner ALAIN sur cette nouvelle rando, inédite, mais décrite par Bruno. C'est à partir de son texte de présentation qu'Alain nous apportera des informations. Il attirera notre attention sur le travail qui avait été fait par Bruno et qui est toujours utilisé par les animateurs. C'est aussi une façon de faire revivre celui qui a beaucoup fait pour le groupe de marche.

Sur le parking au bord du Gapeau, petit fleuve côtier de 47 km qui prend sa source à Signes à 316 m d'altitude, beaucoup de voitures et même deux minicars. Nous dénombrons au moins 5 groupes, de petite taille, heureusement.

Et nous commençons à monter au bord d'un ruisseau à petit débit jusqu'à un oratoire où Alain va nous présenter sa rando. Une petite vidéo par le lien ci-dessous vous permettra de vivre ce moment.

https://drive.google.com/file/d/1-wAUHrHYky3HQkFjevYH_kTf1AWu9naS/view?usp=sharing

Environ 15 km et 500 m de dénivelé à parcourir avec une longue montée qui prendra presque toute la matinée.

Nous empruntons une large piste qui monte régulièrement avec des pentes de 10 à 15 % au milieu d'une belle forêt de chênes blancs actuellement privés de feuilles.

Au passage, Alain nous montre une prairie.

Bon, il faudra l'envoyer en Normandie pour réviser! Ah, c'était de l'humour !

Puis il nous arrête  pour une pause-boisson avant d'attaquer le raidillon qui nous conduira au sommet.

Le temps est toujours couvert. La météo nous annonce un petit risque de pluie entre 11 et 13 h puis du soleil pour l'après-midi. Pour l'instant les photographes ne sont pas gâtés par la lumière, mais ils feront avec…

Maintenant mous abordons le fameux raidillon où les pentes évolueront autour de 25%. Tout le monde monte gaillardement.

Alain nous arrête à mi-montée car une trouée dans la végétation permet d'apercevoir la Chartreuse de Montrieux –le-Jeune devant laquelle nous passerons au retour.

Plus étrange, du même endroit on aperçoit une vaste étendue couverte de panneaux solaires, de là on dirait un lac.

Un peu plus loin, un énorme cairn semi-naturel marque le sentier. Il est constitué de deux gros rochers superposés sur lesquels les passants ont déposé leur propre pierre…de plus petite taille.

Nous reprenons la montée et vers 11 h 30, nous débouchons dans une clairière avec un beau chêne en plein milieu. Pause-banane, photo de groupe et briefing sur la famille de Valbelle.

 

Omer de Valbelle, protecteur des Chartreux, mourut le 17 novembre 1778. Il était maréchal des camps et armées du roi, et avait du mal à compter ses titres : comte d’Oraison, marquis de Tourves, de Rians et Montfuron, baron de Saint-Symphorien et de Meyrargues, comte de Valbelle et de Sainte-Tulle, viconte de Cadenet, seigneur de Cararache, Rougiers, Venel, Peyrolles, Cucuron, etc. Son buste était à l’origine, flanqué de quatre statues féminines qui représentaient : Sainte Monique, la Provence, l’Espérance et la Religion, et qui furent renversées lors de la Révolution,  En  1822 le préfet du Var décida d’intervenir et le buste et les statues furent répartis ans différents musées locaux. On a prétendu que les quatre statues avaient eu pour modèles quatre maîtresses du comte de Valbelle, et que, en particulier, Sainte Monique serait le portrait de la comédienne Claire-Josèphe-Hippolyte-Leyris de Latude, surnommée la Clairon. Cette hypothèse, si elle consterne les pieux gardiens de la Sainte-Baume, divertit fort les esprits frondeurs de Draguignan. Cf.Bruno Guérin

 

Nous reprenons la montée après avoir croisé un groupe aperçu sur le parking ce matin. Très vite nous débouchons sur une grande piste et atteignons le point haut de la randonnée à 628 m.Nous sommes sur le GR9 comme le montre ce panneau presque "avalé" par le chêne sur lequel il était fixé.

 Là, Alain nous fait découvrir un énorme champignon de pierre à droite de la route puis un point de vue sur la presqu'ile de Giens et Porquerolles de l'autre côté. On aperçoit aussi le Coudon, en direction de Toulon.

Nous commençons notre descente sur une piste bitumée, très raide. Elle nous conduit dans une zone très plate où la piste a été tracée au milieu d'une plantation de cèdres superbes. Que font-ils ici ???

Puis, sur notre droite, Alain nous signale les ruines du hameau de Valbelle.

Un chêne majestueux attend le retour des beaux jours pour nous montrer son feuillage. Aujourd'hui c'est  seulement un énorme squelette.

Nous croisons un nouveau groupe de marcheurs : secteur très fréquenté…En face de nous une grande falaise qui borde un plateau, Le Grand Puy.

Nous n'allons pas y grimper mais Alain nous conduit dans un vallon où nous allons découvrir les premières aiguilles au pied  desquelles nous allons pique-niquer. L'endroit est superbe, impressionnant et d'un calme remarquable.

Aujourd'hui c'est un G2 très sobre, seulement un délicieux vin d'orange apporté par Nicole.

Beps est royal sur son trône mais comme tous ses petits camarades il s'inquiétera à cause de deux gouttes d'eau mélangées à un rayon de soleil. Mais ce fut une fausse alerte.

L'ambiance était à la rigolade et Xavier nous contant ses exploits de lundi déclara imprudemment : "j'ai monté la Grande Grue comme un chef !"Ce à quoi, une participante (à quoi pensait-elle?) lui fit remarquer que sa formulation était ambigüe, ce qui déclencha une hilarité générale.

Comme la semaine dernière Gérard va chanter, petite mise en scène car il va déclarer sa flamme à Nicole. Allons-nous avoir une ritournelle chaque semaine ?

Si vous voulez en profiter, cliquer sur le lien suivant mais avant, montez un peu le son, les conditions d'enregistrement étant "rustiques".https://drive.google.com/file/d/1gtJ6dZ-gXJhmUcNKmwGeghmkPk1bV4jp/view?usp=sharing

Merci Gérard.

Passant du"fil en aiguille" comme le fait remarquer Beps,

Alain nous parle des …Aiguilles de Valbelle.

Non loin du château de Cancerille, se dressent de fantastiques dolomites, émergeant comme des crocs au dessus des aulnes et de sapinettes. Ces Aiguilles de Valbelle évoquent les formes les plus étranges : on y

reconnaît « le vase de Sèvres », « l’Urne fantastique », « l’Eléphant troué », « les Pèlerins encapuchonnés ». Près du vase de Sèvres, si vous avez de bons yeux, vous serez peut-être ébloui un court instant par un reflet métallique : là-haut, dans une niche creusée à même la dolomite, un moine acrobate a placé un Saint Joseph d’argent.

La dolomie est   une roche sédimentaire composée principalement de dolomite (entre 50 et 100 %) et de calcite, qui n'ont pas la même densité (dolomite : 2,87 ; calcite : 2,71), jouant un rôle fondamental dans l'érosion de la roche.cf Bruno Guérin

On trouve de grandes formations de dolomie dans le Trias des Alpes, notamment les Dolomites dans le nord de l'Italie.

On observe aussi des paysages dits « ruiniformes » sur les causses (Larzac par exemple) dont certains sont fameux : le cirque de Mourèze dans l'HéraultMontpellier-le-Vieux sur le causse Noir, ou encore Nîmes-le-Vieux sur le causse Méjean ; il s'agit de lapiaz géants creusés par l'érosion dans la dolomie, véritables labyrinthes de rocs dont certains affectent parfois des formes excentriques: arches, silhouettes anthropomorphes, visages, etc.

Les massifs provençaux : Alpilles aux Baux-de-Provence ; massif de l'Étoile : Pilon du Roi, montagne du Baou Traouquas, massif de la Sainte-Baume localement au massif secondaire de la Lare ; plateau d'Agnis et de Siou Blancmontagne de la LoubeBarre de Cuers, Gros Bessillon, etc.

Nous repartons vers le GR9 et dans un virage en surplomb nous découvrons l'ensemble des Aiguilles du côté gauche de la route.

Dommage le soleil n'est pas de la partie et les roches sont un peu trop grises au goût des photographes, mais l'ensemble est impressionnant et nous allons immortaliser notre passage par une photo de groupe.

Nous continuons notre descente et abordons la Porte de Valbelle, deux énormes aiguilles qui encadrent le chemin.

A partir de là Alain nous laisse quartier libre pour découvrir toutes ces merveilles.

Mais nous n'identifierons pas « le vase de Sèvres », « l’Urne fantastique », « l’Eléphant troué », « les Pèlerins encapuchonnés ».

Pourtant, c'est un régal et les photographes guettent un rayon de soleil pour choisir les plus beaux sujets.

Nous quittons ces lieux et abandonnons le GR 9 qui conduit vers Cancerille et empruntons la piste 3 des "Excursionnistes Toulonnais" que nous suivrons jusqu'à la Chartreuse.

Mais Alain a un objectif, trouver la grotte signalée sur la carte. Lors de la reconnaissance, il avait échoué.

Elle figure bien sur la carte au bord du chemin mais pas de grotte. Nous considérerons, avec beaucoup d'imagination que cette entrée d'un incertain trou serait l'entrée de la grotte.

Un peu plus loin nous apercevons la Chartreuse à travers les arbres.

Alain nous donnera quelques informations alors qu'un autre groupe passe à toute vitesse, même pas intéressé par l'exposé de notre animateur.

Bâtie en 1137, la chartreuse de Montrieux est un lieu à l'écart du monde, interdit à tous ceux qui ne font pas partie de l'ordre. « Ont accès à la chartreuse uniquement ceux qui souhaitent y rentrer définitivement », précise dom Bruno. Les moines chartreux vivent dans le dénuement le plus complet et ne possèdent aucun effet personnel. La chartreuse dépend financièrement du « gouvernement central », qui redistribue aux trois maisons de l'ordre - la Grande-Chartreuse de Grenoble, la chartreuse de Portes, dans l'Ain et celle de Montrieux -, les recettes tirées de la vente de la Chartreuse, cette fameuse liqueur dont le secret est détenu par deux moines seulement.

Si la communauté vit en autarcie quasi totale, elle dispose tout de même de quelques équipements modernes : une cuisine spacieuse, une forge et une buanderie. Pour le reste, « il faut s'adapter aux moyens du bord » reconnaît le frère Jean-Marie, 72 ans. Entré il y a trente-neuf ans chez les chartreux, cet ancien instituteur qui a un oeil sur tout, s'affaire à la fois en cuisine et aux petits travaux d'entretien : électricité, plomberie, réparation des tracteurs... Infatigable, il explique :« Notre maison prend de l'âge, il nous faut donc réparer et, comme le matériel évolue très rapidement, je descends parfois à Toulon faire quelques achats. »

Mais l'avenir de la chartreuse de Montrieux est menacé. Les cellules se vident. Ils ne sont plus que douze moines - sept pères et cinq frères. Le benjamin a 52 ans. Certains anciens ont quitté la chartreuse pour finir leurs jours dans les maisons de retraite voisines ou chez les Petites Soeurs des pauvres. Mais tous reviennent un jour à la chartreuse de Montrieux, dans le petit cimetière tourné vers l'église. Avec pour dernière demeure, une simple croix de bois sans aucune inscription.

Alain nous précise que seule la chapelle Ste Roseline attenant au monastère est accessible au public.

Après une photo de groupe, nous allons effectivement visiter cette petite chapelle qui comporte deux grandes fresques dont une rappelle la mort de la sainte.

Au-dessus de la fontaine, un panneau rappelle un épisode de la libération de Toulon en 1944.

Un petit pont ou bien le passage d'un aqueduc fait l'objet de débats mais cette question restera aussi fermée que

cette belle chartreuse qui fut à l'origine de la Chartreuse de la Verne que nous visitons souvent lors de deux randonnées dans ce secteur.

Encore un petit kilomètre en descente et nous rejoignons nos voitures.

Nous nous retrouvons à Belgentier sur la place de l'église pour le pot de l'amitié en face d'un superbe fresque évoquant le passage de Louis XIV et de sa mère Anne d'Autriche venus en pèlerinage à Cotignac pour remercier la Vierge d'avoir permis à la reine d'avoir un fils.

Merci Alain pour cette très belle rando.

Merci aux photographes Nicole et Jean-Marie.

La semaine prochaine, le 5 avril 2018- Départ: 8h30-Jack- 679- Callian-Vallon de la Camiole-Moyen** 13km Dh : 330m
Agréable parcours à travers les forêts de pins et de chênes, conduisant aux vestiges de Pibresson place forte
à l’origine de Tourettes et offrant de larges vues sur l’Esterel.
Parking : 83440 Callian Coût du trajet A/R : 26 €

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24 mars 2018 6 24 /03 /mars /2018 09:43

 

Maisons forestières et lacs – G2 – n° 878 -jeudi 22 mars 2018

En l’absence de pluie cette semaine 25 randonneurs, contents de pouvoir marcher se sont retrouvés à la maison forestière du Roussiveau pour une randonnée proposée par Rolande qui faute d’autre blogueur cumulera les fonctions d’animatrice et de blogueuse. Nous accueillons dans le groupe la sœur et le beau-frère de Michel J. et un certain nombre de G1. Il ne fait que 3° et le soleil est au rendez-vous.

« Après quelques centaines de mètres sur la piste, nous attaquerons la principale difficulté de la journée, la montée à la maison forestière des Charretiers par un étroit sentier partiellement pierreux, puis nous rejoindrons la maison forestière des Malavalettes, et le col de l’Essuyadou. Nous redescendrons par les lacs de la Péguière et regagnerons la maison du Roussiveau par la large piste du Castelli  après avoir parcouru 13.5 kms et 390 m. de dénivelé, en définitive 15 kms et 550 m.»

Nous sommes accueillis par les moutons et les patous de la fermière.

Jean-Marc sera notre serre-file.

Nous nous élançons sur la piste Castelli que nous quittons rapidement à proximité du pont du Sigallon. Nous empruntons sur la droite  le sentier en sous-bois, peu humide, mais plus ou moins pierreux qui va nous conduire à la baisse Andoulette.

Un passage délicat que tout le monde franchira sans problème. Le sentier monte régulièrement. Quelques regroupements sont nécessaires; chacun en profite pour se désaltérer, ou enlever une pelure.

Le chemin devient plus large et la vue se dégage. D’un côté vue sur la mer au loin et les Maures et de l’autre sur l’Estérel

Arrivés à l’ancienne maison des Charretiers, nous faisons la pause banane. Les chauve-souris nocturnes ne montrent pas le bout de leur nez. Un arbre a pris racine sur le toit.

Nous nous dirigeons alors vers la maison des Malavalettes

puis changeons de direction afin de regagner le col de l’Essuyadou. Le chemin est long et plus ou moins caillouteux. Le groupe s’étire d’où plusieurs regroupements.

Le coin est venté aussi nous continuons en empruntant le sentier balisé jaune par l’ONF qui passe au pied du Capelan. Tout à coup nous apercevons la forêt de mimosas en contre-bas et le le 1er lac de la Péguière où nous avons prévu de nous arrêter pour le pique-nique.

Il ne semble pas loin mais le chemin sinue.

Cà y est. Nous arrivons.

Chacun s’installe au soleil. Stanislas, petits chèvres et saucisson ouvre l’appétit. Du vin rouge accompagne les sandwichs ou salades, et au dessert en plus du café, cake et biscuits, aujourd’hui vin chaud. « C’est au départ qu’il aurait fallu l’offrir » diront certains, car il est vrai la température est nettement plus élevée.

Gérard soudain entonne une chanson et fait quelques pas de danse avec la petite Annie.

Mais il est temps de repartir. Après être passé au milieu de magnifiques mimosas et s’être arrêtés près du deuxième lac où nous faisons la photo de groupe,

nous regagnons la piste Castelli que nous allons suivre jusqu'à notre point de départ.

Un petit arrêt auprès du lac Bresson, où certains ont aperçu au loin deux tortues, puis au pont de la Cabre.

Encore un petit effort et nous voyons le parking.

Pour terminer la journée nous nous retrouvons au bar d’Agay pour partager le pot de l’amitié.

Merci Rolande pour cette agréable balade.

Les photos sont de Nicole et Rolande

Prochaine randonnée G2 – jeudi 29 mars 2018

Animateur : Alain – 774-1 – Les Aiguilles de Valbenne

15 kms  et 500 m de dénivelé annoncés – moyen**

Départ :  8h00 – RV : Parking de la Chartreuse de Montrieux

Coût du trajet : 63 €

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23 mars 2018 5 23 /03 /mars /2018 13:14

2018-03-22 -877-Les Marmites du Grand Vallon -G1

Aujourd'hui, Joël nous a préparé une randonnée inédite dans le Massif de Garlaban. Il ne fait pas chaud mais le ciel est bleu et le restera toute la journée.

Il est 9h30, 19 randonneurs se retrouvent au stade, sur le chemin de l'Ouert à Lascours dans les Bouches du Rhône.

Après un échauffement, Joël nous présente la randonnée

 

Au départ de Lascours, direction le Grand Vallon pour découvrir les Marmites, déjeuner au Puits de l'Aroumi puis passage au Col du Marseillais.

Distance : 11 Kms DH 580m

 

 

 

 

 

 

 

Quelques mètres sur le bitume, et nous atteignons très vite la direction du Grand Vallon avec une vue sur le Massif du Garlaban

 

 

Nous sommes en admiration devant ces beaux paysages qui sont différents de ceux de notre région.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aujourd'hui nous sommes bien encadrés!!!

et celles et ceux qui les suivent marchent également d'un bon pas. C'est que le début d'une grande aventure...

Nos deux serres files 

Nous allons rentrer dans le vif du sujet, nous atteignons le creux du vallon et les choses sérieuses commencent !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

sous l'œil attentif de nos" leaders"

Après ces quelques efforts, prenons de forces pour le passage des marmites. Il est 11 h c'est la pause banane.

Nous sommes à quelques pas du passage des marmites, nous aurons à utiliser des câbles mais aussi des chaînes!!!

Pour certains ce sera une première ....

Une photo de groupe avant d'entamer l'escalade.... avec ce qui nous attend en arrière plan!!!

Et c'est parti, 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce fût une belle expérience pour certains mais quel bonheur de l'avoir fait...

Après avoir repris nos bâtons, nous nous dirigeons vers le puits de l'Aroumi

 

en nous arrêtant devant la Baume Plate

Et près d'un talus recouvert de neige

Même si le temps est un peu brumeux, nous avons une vue sur la Ste Victoire et le col du Marseillais avec en arrière plan la Montagne de la Loube

 

 

Nous apercevons le puits de l'Aroumi , c'est l'endroit où nous pique-niquerons.

Le riesling de Guy fera le tour des randonneurs; 

le café de Nadine, Brigitte D. et Béatrice également, accompagné de friandises...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La pause repas est terminée, direction le col du Marseillais. Nous contournerons le Grand Vallon pour emprunter la descente sur un terrain caillouteux.

Joël nous indique le Massif de la Sainte Baume avec en arrière plan le Mont Ventoux enneigé

et la Saint Victoire un peu plus dégagée.

Il est 14h30 Jean Bo nous propose une photo de groupe au col du Marseillais

Une photo du Massif de Garlaban

et du Pic de Bertagne (randonnée prévue par Alain prochainement)

Nous sommes sur le chemin du retour vers Lascours où nous retrouverons nos voitures

 

 

Nous prendrons le pot de l'Amitié en terrasse à Lascours, désolée j'ai oublié de prendre une photo...

Nous avons fait 14 kms et une DH 585m

Merci à Joël pour cette superbe randonnée, nous sommes prêts à la revivre mais n'attends pas trop longtemps!!!!

Un grand merci également aux nombreux photographes : Alain, André, Xavier, Jean Bo, Patrick et Brigitte R

Prochaine sortie : Jeudi 29 Mars 2018

Départ : 7h30 Jack  - 654- Aups-Montagne des Espiguières  Sportif      19kms DH 710m

Parking : 83630 Aups   Coût du trajet A/R : 40 €

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