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27 janvier 2018 6 27 /01 /janvier /2018 10:52

2018/01/25 – N°879 - G1 et G2 – L'Endre-Les Flacs

 

 

Ce jour, c’est notre traditionnelle « Rando-Galette ». De nombreux gourmands se sont donc réunis, bravant les pronostics de pluies,  sur le parking de la piste de Palayson, pour une ballade en plat pays. Effectivement le ciel est bien gris et menaçant. Mais pas de précipitations au départ.

Nous avons deux animateurs, Anne-Marie et Alain, qui nous ont concocté un parcours nouveau dans la Forêt Domaniale de la Colle du Rouet et qui vont guider les deux groupes toute la matinée, la séparation n’intervenant qu’après le déjeuner : le G1 fera  une boucle légèrement plus longue que celle du G2 (en bleu sur la carte), avant de rejoindre les voitures.

Il nous est donc annoncé 13 km pour le G1 et 12 km pour le G2, avec environ 210 m de dénivelée (+ ou - 10% selon le groupe).

Nous avons également deux serre-files, Joël et Frédéric.

 

Deux randonneuses, s’étant un peu perdues sur la route, annoncent leur retard au départ. Joël profite donc de ce délai pour échauffer le groupe, dans une ambiance détendue et quelque peu dissipée, comme vous pourrez le constater en regardant la vidéo prise pour notre Maître blogueur, qui s’est ainsi dispensé de quelques élongations…. Cliquer donc sur le lien suivant et vous pourrez élire le randonneur le plus sérieux dans l’exercice ou retrouver la propriétaire de ces belles chaussures bleues toutes neuves….

 

En piste!

 

 

La dernière voiture étant arrivée, le départ des 48 randonneurs est donné. Parmi eux nous ont rejoint Marie-Christine, habituellement marcheuse du lundi 14 h et une invitée, Pauline, fille de Dominique G. Nous quittons rapidement la piste de Palayson pour prendre une sente à gauche, direction le Trou de la Jarre. Le groupe s’égrène rapidement, les conversations soutenues prenant le pas sur le rythme de marche.

 

 


Nos serre-files sont en bonne compagnie.

La plaine de Palayson est cernée par trois unités de ryolite amarante : le massif de Roquebrune, l’Estérel et le massif de la Colle du Rouet. Elle correspond à la dépression permienne dans laquelle des alluvions se sont déposés au Quaternaire. Ses terres sont donc riches en matières organiques et fertiles.

Le rocher de Roquebrune dans la brume matinale

La forêt présente de très beaux pins parasols et le maquis bas est constitué de différentes espèces de cistes, de bruyères et de plus rares lavandes.

Au fond l'extrémité du Massif de la Colle du Rouet

La zone est également caractérisée par la présence de mares cupulaires et de ruisseaux temporaires.

 

Le chemin qui descend maintenant va nous faire traverser le premier gué. Mais force est de constater l’absence de ruissellement important.

Les randonneurs font quand même de gros efforts pour ne pas se mouiller les pieds.

Le deuxième gué est à sec.

 

Voilà enfin un ruisseau qui s’écoule, mais son gué est également quasi sec.


Nous voilà arrivés sur le site traditionnellement dénommé « le trou de la Jarre ».

Vous pouvez visionner le site grâce au lien suivant : https://drive.google.com/open?id=15o_m-4_GOambZw8Ve0lI66tDTB2A8g14

 

Anne–Marie et Alain nous indiquent que, selon des informations recueillies sur site « par une spécialiste » ce lieu serait en fait le Saut de l’Anguille, le trou de la Jarre correspondant à la mini mare croisée juste en amont. Mais nous restons quelque peu dubitatifs, notre trace ne croisant pas le ruisseau de la Font des Anguilles. Peut-être recevrons-nous des commentaires avisés qui nous éclairerons.

 

 

Il est l’heure de la pause banane mais le troupeau rencontré dégage une odeur peu apéritive.

"La chèvre du Rove est un animal majestueux avec de superbes cornes en forme de lyre. Elle est très rustique et parfaitement adaptée au climat méditerranéen aride. Elle est très appréciée des éleveurs ovins transhumants, elle produit peu de lait mais celui-ci a un très bon rendement fromager. Le bon taux de matière grasse de son lait confère à ses fromages une onctuosité remarquable et un goût subtil. La brousse du Rove est une fabrication fromagère faite à base de lait de chèvre du Rove et de vinaigre d’alcool et est généralement consommée avec du sucre ou du miel."

Notre  chemin contourne  un petit étang juste avant d'atteindre l’étang des Flacs. Les plus courageux y descendent pour sortir les bananes des sacs.

Le premier étang
L'étang des Flacs

 

Voilà la pluie qui fait sortir pèlerines et parapluies.

L’arrivée à l’aire de pique-nique est proche. Alain sera le seul à passé le gué de l’Endre, cours d’eau de 25 km et affluent rive gauche de l’Argens. 

Des petits groupes se forment pour le déjeuner, recherchant l’abri des arbres et des zones peu humides pour s’assoir.

La pause sera courte bien que la pluie se soit arrêtée. Et deux groupes se forment alors, 29 randonneurs pour le G1 et 19 pour le G2.

Nous laissons la plume à Jean-Marie pour nous relater le retour du G2 .

 

Alors que le G1 s'éloigne sur les bords de l'Endre, Alain présente le blog du 24 février 2011 relatif à une rando qui empruntait une partie du chemin que nous allons faire cet après-midi.

Tous les participants sont très intéressés malgré la pluie qui a repris. Alain, tout en marchant entreprend la lecture de ce document de plus en plus imbibé. Débat autour du rédacteur: Gérard ou Jean-Marie. Celui-ci ne reconnait pas son style et finalement, une phrase dans le blog confirmera bien la signature de Gérard.

Nous atteignons le bord de l'Endre au niveau du parcours de golf. Le sentier est agréable 

mais de nombreuses "embâcles" encombrent le lit de la rivière. Gare aux inondations !

Photo du groupe dans les embâcles.

Lorsque nous atteignons le Pont de L'Endre et son parking célèbre pour d'autres départs de randonnée, nous empruntons un petit sentier qui va nous ramener à nos voitures.

Alain proposera une petite prolongation de 500m jusqu'à un superbe pin parasol où nous ferons la photo de groupe. Mais il fallait choisir : ou le pin parasol et des randonneurs tout petits ou pas de pin parasol et de beaux randonneurs.

Le blogueur a tranché.

 

Lorsque nous arrivons aux voitures, nos amis du G1 sont déjà là, arrivés depuis peu, après une petite boucle supplémentaire.

 

En effet, le G1 a suivi le lac de l’Endre et le Golf de Saint Endréol avant d’atteindre  le Pont de l’Endre.

Nous terminons notre randonnée par la piste des Pins Pignons.

La marche est tranquille, l’ambiance est à la gaité et notre animatrice en profite pour rester branchée….

 

Après nos retrouvailles avec nos amis G2 nous allons rejoindre la Bouverie où l’Actu Bar va nous accueillir avec galette ou brioche et cidre. 

 

Nos remerciements vont à Joël pour l’organisation de ce très agréable et sympathique moment, à nos guides Anne-Marie et Alain pour cette belle balade, et à nos photographes Brigitte, Claude C., Gilbert et Jean-Marie qui illustrent ce blog.

 

La semaine prochaine, jeudi 1er février :

 

G1

Départ : 7H

Joël

555- Cabasse rando-restaurant

moyen***

14,6km

Dh:618

 

Parking : Pont sur l'Issole au carrefour de la D13 et la D79

Coût du trajet A/R :38 €

G2

Départ:7H30

Jean

idem

moyen*

9,7km

Dh:250

Dans la vallée de l'Issole à la découverte de sites préhistoriques, de maisons troglodytes, de rues étroites médiévales, de la chapelle ND du Glaive
Restaurant:La Table de Saint Pierre à Cabasse Sangria et tapenade, Terrine de campagne maison, Suprême de pintade aux champignons, Tarte aux poires et amandes, Vin en pichet et café. Inscription au restaurant avant le 25 janvier.

 

 

 

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19 janvier 2018 5 19 /01 /janvier /2018 18:05
SALERNES - Le tour du Babadié - G1 - 742

Sur ce parking de Salernes, nous retrouvons ce matin les deux Jean (J.Bo pour la conduite de cette randonnée, et J.Ma en qualité de serre-file). La température extérieure se situe entre 6 et 7°C. Les conditions météo sont bonnes.  Le vent a bien faibli depuis la veille sur le département du Var.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jean Bo nous fait une présentation rapide de cette randonnée, qu'il qualifiera de très tranquille:

"De belles pistes sans difficulté nous ferons découvrir la campagne Salernoise à travers bois, vignes et oliveraies autour du sommet local, Le Babadié, qui culmine modestement à l'altitude de 487 mètres."

La précédente mouture de cette randonnée date de décembre 2015, et à cette époque 38 randonneurs étaient présents.

Aujourd'hui, nous ne sommes que 26 participants, ce qui n'est déjà pas si mal.

 

 

 

Cette randonnée en boucle va nous faire parcourir 16,4 km, pour un dénivelé de 320 m.

 

 

 

 

 

Plus de trains, plus de rails, seulement une ancienne maison de garde-barrières dont nous reparlerons un peu plus loin, mais il nous reste cette ancienne voie ferrée transformée en chemin de randonnée pour notre plus grand plaisir et que nous allons emprunter dès le départ.

 

Petit historique de la ligne de chemin de fer reliant  Nice à Meyrargues:

1886 Début des travaux (à partir de Draguignan vers l'ouest) de la ligne Nice-Meyrargues.

1892 La ligne Nice-Meyrargues est achevée.

En août 1944, l'armée allemande détruit plusieurs ouvrages de la ligne pour couvrir sa retraite.

La Compagnie des chemins de fer de Provence étant dans l'impossibilité financière de reconstruire les ouvrages détruits, en  1954 l'état cède gratuitement l'emprise de la voie et tous les ouvrages aux communes.

 

 

Passage obligé, ce vieux pont de pierres enjambant un affluent de la Bresque, est toujours opérationnel malgré le poids des ans (et aussi le poids des randonneurs).

 

 

A défaut de regarder les trains passés, on s'occupe avec le passage des randonneurs.

 

 

Et pour se réchauffer, quoi de mieux que cette montée qui va rapidement faire éclater le groupe.

 

 

 

Il y a l'avant-garde...

 

... et puis il y a quelques attardés.

 

 

Heureusement, à la faveur de la pause "effeuillage", le regroupement est effectué.

 

 

Nous en avons presque terminé avec la principale difficulté du jour quand Jean Bo nous autorise la pause "banane".

 

 

Bananes et autres produits dopants avalés, le groupe est vite remis en ordre de marche.

 

Sur le plateau du Babadié, nous abordons maintenant la partie facile de notre randonnée sur des sentiers très roulants propices aux bavardages.

"Si ces dames veulent bien se taire !!!", comme dirait un certain Daniel Ro.

 

Voilà un randonneur heureux!!!

 

Mais les autres ne le sont pas moins.

 

 

A flanc de colline le village de Tourtour classé dans les plus beaux villages de France.

 

Perché à 635 m d’altitude, c’est à juste titre que Tourtour est surnommé « le village dans le ciel de Provence ». Les maisons de pierres coiffées de tuiles rondes, la place des Ormeaux et ses huit fontaines, les passages voûtés et les ruelles baignées de soleil... Tout y est ! L’enceinte du château médiéval et le château du XVIIe S racontent plusieurs passés du village.

 

Quelques flaques d'eau viendront perturber notre marche en avant. Aucun incident n'est à déplorer.

 

Jean Bo nous conte l'histoire d'un sentier disparu au fil du temps, mais miracle celui-ci semble avoir été à nouveau découvert si l'on en croit ce début de trace? Affaire à suivre.

 

 

A la faveur de cet arrêt, Jean nous fait la lecture des principales sources d'intérêt concernant le village de Salernes.

 

Situé dans la vallée de la Bresque, au confluent du Pelicourt et de la Grave, cette petite ville est une cité artistique et industrieuse.

C'est un village au patrimoine historique important à flanc de collines à l'abri des vents, dans la douceur du climat méditerranéen, il est agréable de flâner dans les ruelles étroites aux maisons pittoresques en admirant au passage l'église du XIème caractérisée par sa porte et ses 2 clochers, les nombreuses fontaines à l'eau si claire.

 

Salernes, village du Haut Var, est réputé depuis le début du XIXe siècle pour sa production de carrelage rouge hexagonal appelé : « tomette ». Originellement, le village était basé sur une économie agricole. On produisait de l’huile, du vin, des figues, du blé, des haricots, des melons et des pêches. On trouvait également des filatures de soie, des fabriques de chapeaux et de draps grossiers.

Dès la fin du XVIIIe siècle, les habitants de Salernes ont commencé à exploiter la richesse des ressources locales pour améliorer leur niveau de vie d’agriculteur. Ils commencèrent à produire de la faïence comme à Varages, mais après la Révolution, le marché de la faïence diminue progressivement. Salernes se reconvertit dans la fabrication par la terre cuite. Ainsi à partir des années 1830, des dizaines de petits ateliers se sont créés sur le territoire : fabriquant des tuiles, des briques, des tuyaux, des malons et des poteries utilitaires, pour les besoins locaux.

Cependant, la qualité exceptionnelle des gisements d’argile de Salernes - argile rouge ferrugineuse - a poussé les fabricants de Salernes à se spécialiser dans la fabrication d’un mono-produit : le malon hexagonal rouge : appelé tomette.

 

Après avoir quitté la partie boisée de notre parcours, nous abordons maintenant un secteur consacré essentiellement à la culture de la vigne et de l'olivier.

 

Attirées par la belle couleur jaune de ces coings, quelques chapardeuses se contenteront d'une maigre récolte.

 

12h 30' bien sonnées. Il est temps de se restaurer. Nous retrouvons notre table habituelle bien exposée aux rayons du soleil.

 

 

 

 

 

 

 

 

Digestion difficile, Jean-Michel?

 

 

Et c'est reparti pour le dernier tronçon de cette randonnée.

Sur notre droite, un magnifique domaine viticole

 

Regroupement général, avant de réemprunter notre chère voie ferrée. Jean Bo nous explique que celle-ci devait respecter la règle des 2,5 % de pente. S'en suit une discussion hautement mathématique à coup de "courbature, hyperbole, etc, etc..."

 

 

 

 

 

 

 

Mesdames, messieurs, voici une  photo rare, à classer dans les archives nationales. Jean Bo nous présente les descendants directs du dernier garde-barrières ayant occupé la maison située en arrière plan.

 

 

Puis c'est sur un train d'enfer (normal sur une ancienne voie ferrée)  que nous effectuons les derniers hectomètres de cette randonnée.

 

 

La photo de groupe officielle  est réalisée un petit peu avant  l'arrivée à Salernes.

 

Pour ne pas perdre les bonnes habitudes, nous terminons cette magnifique journée au café des Négociants situé sur la place du village de Salernes, avec cette nouvelle photo de groupe prise par le patron du café.

 

Merci à Jean Bo pour cette très agréable et  très conviviale randonnée.

Merci aux photographes présents : Brigitte Ri , Claude Ca, Dominique Gi , Gilbert et Jean Bo.

Jeudi prochain 25 janvier, parcours royal puisque nous fêterons l'Epiphanie à l'issue de  cette randonnée:

Randonnée inédite et commune aux 2 groupes avec variantes sur les pistes de laforêt de la Colle du Rouet ; et la galette des rois en fin de randonnée.

Départ 8h 30' du parking de Boulouris

G1 avec Anne-Marie, 16,2 km et Dh 216 m, moyen**.

G2 avec Alain, 12 km et Dh 200m, moyen*.

Parking : D47 Piste de Palayson

Coût du trajet A/R : 14 €

 

 

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18 janvier 2018 4 18 /01 /janvier /2018 20:32

Roquebrune-La Cavalière-Les Campons-G2-855

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Hier encore il y avait une "vigilance orange" pour vent violent qui nous aurait empêchés de partir randonner. Mais ce matin le vent s'est "un peu" calmé et la vigilance a disparu. Néanmoins, le vent sera le fil rouge de la journée, disparaissant dans les vallons et revenant sur les crêtes.

C'est donc 24 marcheuses et marcheurs du Cercle de Boulouris qui se regroupent sur le parking du cimetière de Roquebrune-sur-Argens (je vous l'avais bien dit la semaine dernière, nous adorons les cimetières…) sous la houlette de Joël qui, reconnaissant n'avoir pas pu reconnaître l'itinéraire s'était fait assister d'Anne-Marie pour qui le G2 est une première.

Il accueille deux invités, Roselyne et Patrick, amis de Michel J et présente sa randonnée, environ 10 km et 350 m de dénivelé.

Nous avons aussi le plaisir de retrouver quelques anciens qui nous avaient un peu abandonnés ces derniers temps, Cathy, Beps et Jean Be.

Le vent est glacial sur le parking, les bonnets, les gants et écharpes sont sortis rendant certains participants complètement incognitos. Le petit échauffement proposé par Joël ne sera pas superflu.

A 9 h 20 nous attaquons le petit sentier botanique, joliment décoré de rochers peints identifiants des fleurs ou des plantes,  très souvent absentes au cœur de cet hiver.

Il monte un petit peu ce qui permet de se réchauffer.

Nous atteignons le lieu-dit des 25 ponts.

Ces soi-disant ponts sont en fait les arches d'un aqueduc à ne pas assimiler avec les aqueducs romains très nombreux dans la région. En tout cas, ils sont très beaux. 

Celui-ci ne date "que" de 1755. Il fut construit pour approvisionner les fontaines du vieux village.

Petit arrêt devant le panneau  informatif.

Lorsque nous repartons, petite difficulté pour retrouver la bonne piste. Il y en a tellement. Finalement c'est Anne-Marie qui va nous guider sur un joli sentier, plein sud, notre direction, suivant le ravin de la Petite Maurette. Nous sommes un peu à l'ouest du parcours normal mais nous allons le retrouver bientôt.

Point de vue sur le Rocher de Roquebrune sous un angle inhabituel. Nous allons provisoirement le perdre de vue.

 

La voici la petite Maurette et il y a même de l'eau.

Lorsque nous avons fait la randonnée du Pas de l'Eouvé, dans le même secteur, en novembre dernier, il n'y avait pas une trace d'eau dans les ruisseaux. Décembre avec ses 130 mm de précipitation est passé par là.

Tiens, un reste de l'incendie de 2003. cela s'appelle un ARSIN.

Joël est descendu dans les rochers au bord de l'eau et nous invite à le rejoindre pour la "pause banane".

Nous continuons dans le ravin mais nous passons sur l'autre rive par un petit gué bien équipé de grosses pierres qui ne posera aucun problème de traversée.

Nous retrouvons une large piste, un peu au nord de l'Escaillon et reprenons l'itinéraire prévu.  Nous allons contourner cette petite colline mais il faudra quand même gravir une courte côte très raide en s'élevant de 100 m.

Mais la récompense est là, une descente vers le lac de  Clos que nous apercevons à travers la végétation.

Nous avions pique-niqué sur ces rives en 2016, lors de notre dernier passage et il y avait aussi du vent mais d'une autre orientation et le lac était très remué.

Aujourd'hui, il est calme et il fait assez doux sur ses rives. Mais il est 11 h 35 et Joël préfère poursuivre son chemin.

Nous marchons maintenant plein nord sur une variante de GR51 dans le vallon du Clos, bien exposé au vent. Notre animateur va rechercher à droite du sentier une zone au soleil, protégée du vent. C'est là que le groupe va s'installer sur des rochers. Le site est agréable … mais très venté. Il est 12 h pile.

Tant pis, nous nous installons mais les photos montrent bien que les participants sont restés bien couverts.

Nous avons retrouvé le" Stanislas", toujours apprécié, puis les gâteries habituelles, foie gras, vins rosé et rouge.

Mais nous ne traînerons pas en ces lieux car le vent a forci. Une photo du groupe et  nous rejoignons la grande  piste en descente.

Il reste environ 4,5 km à parcourir.

Nous retrouvons le Rocher de Roquebrune que nous allons garder en ligne de mire.

Nous surplombons un joli ruisseau que nous allons

rejoindre un peu plus bas, à l'endroit où les mimosas commencent à se colorer.

Dommage, nous avons raté le Moulin de Font Blanche.

 

Toujours le Rocher, aussi majestueux et là, Joël va "suggérer" au photographe un angle de prise de vue, tout en précisant, petit clin d'œil, qu'il n'impose rien au blogeur. Celui-ci s'exécutera avec le sourire, le chef a parlé !

Autre vue du Rocher, le choix du blogueur

Un dernière grande montée nous conduit à un large point de vue sur le village de Roquebrune-sur-Argens avec, au cœur, le vieux village.

Et grâce à la persévérance de notre animateur c'est au cœur de la partie ancienne que nous allons enfin trouver un café ouvert (tous les jours de 8 h à 21 h) pour prendre le pot de l'amitié.

Merci Joël pour cette agréable rando mais la prochaine fois, arrête le ventilateur.

Merci aussi à Anne-Marie pour nous avoir fait découvrir le ravin de la Petite Maurette.

La semaine prochaineJeudi 25 janvier 2018

Randonnée inédite et commune aux 2 groupes avec variantes sur les pistes de la forêt de la Colle du Rouet  et la galette des rois en fin de randonnée

G1

Départ:8H30 Anne- Marie

La Bouverie moyen** 16,2 km Dh :216

G2 Départ:8H30 Alain

 La Bouverie moyen* 12 km Dh : 200

Parking : D47 Piste de Palayson Coût du trajet A/R : 14 €

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