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30 décembre 2017 6 30 /12 /décembre /2017 15:07

2017-12-21 - 565 - Les Arcs - Les Terriers - G1 et G2

 

 

 

Pour la dernière randonnée de 2017 Jack et Joël nous ont proposé une randonnée mixte, permettant aux deux groupes de se retrouver pour le déjeuner, à proximité du sommet des Terriers, dans le massif des Maures. Le temps est clair et la température matinale est négative (-1°).

 

 

 

Joël anime le G1 (13 randonneurs) et  Jack le G2 (12 randonneurs) pour des randonnées respectivement de  18 et 13 km, sur de belles pistes et sentiers. Les dénivelées sont très raisonnables  en cette veille de fêtes (400 et 250 m).

Les tracés de ces deux randonnées étant quand même très voisins et de nombreuses variantes étant facilement possible sur le terrain, voici ci dessous un tracé  et son profil G1 que nous n'avons pas scrupuleusement respecté.

G2 au départ
G1 à l'arrivée

 

Nous accueillons Solange, nouvelle randonneuse qui arrive de Belgique.

Nous avons garé nos voitures Aux Arcs, sur le parking situé immédiatement après le pont de la Tournavelle, qui enjambe l’Argens. Le débit torrentiel  historique a creusé des marmites dans la roche.

Compte tenu de la température hivernale, Joël  commence la randonnée et diffère ses explications après l’échauffement.

Le G2 est moins frileux et Jack présente la randonnée et  ses différents points d’intérêt archéologique  ou sociétal.

A la sortie du parking, nous empruntons la route goudronnée qui franchit, par un pont à structure métallique de type Eiffel, l’Aille immédiatement après sa confluence avec l’Argens .

Nous rejoignons la belle piste en terre battue des Pommiers qui monte doucement au-dessus de l’Argens  puis suit le vallon du Purgatoire.

Il est 10H50 et la pause banane se justifie après nos presque 140 m de montée !!!

Nous repartons juste pour laisser la place à nos amis du G2,  que nous observons de l’autre côté du vallon.

Les paysages sont beaux.

Nous arrivons  au four à Poix, restauré par des bénévoles il y a quelques années.

« Les fours à poix, appelés PEGUIERES ou PEGOULIERES en Provence, avaient pour fonction d’extraire la résine contenue dans le bois des pins. Ils étaient construits en pierres sèches. La poix, pego en Provençal, terme francisé en pègue, est un mélange mou et collant, obtenu à partir de résine et de goudron de pin.

Des découvertes archéologiques ont démontré que la résine de pin était utilisée par les hommes de la préhistoire dans l’assemblage de certains outils ou armes. Pendant la période antique, on retrouve l’usage de la poix dans l’embaumement des morts en Egypte et dans la pharmacopée à toutes les époques. Les Phéniciens utilisaient la poix dans le calfatage des bateaux et le tressage des cordages. Les Romains en enduisaient l’intérieur des amphores pour la conservation et le transport du vin. La poix fut utilisée en très grande quantité dans la construction navale pour l’étanchéité des coques en bois des navires.
La technique consiste à remplir le four de bois de pin débité en bûchettes d’environ 40 centimètres, ou de souches de pin coupées en morceaux. Il fallait 1,5 m3 de bûchettes bien rangées pour remplir le four. 
L’orifice du bas était fermé avec une pierre ajustée avec de l’argile. Le feu était allumé sur la partie supérieure du four. Dès que la combustion était amorcée, l’orifice du haut était recouvert d’herbe et de terre argileuse pour garantir l’étanchéité. La distillation pouvait commencer, elle durait environ 48 h. Au bout d’une heure de chauffe, la résine commençait à couler vers le petit bassin de réception. »

 

Nous nous dirigeons vers la mine des Porres . « Il s’agit d’un filon de barytine (sulfate de baryum) et de fluorite s’étendant sur 450m et atteignant 250 m de profondeur qui fut  exploité de 1946 à 1983.» 
Mais nous rencontrons des randonneurs qui nous indiquent « qu’un bulldozer a refermé l’entrée qui est maintenant dissimulée par la végétation et qu’il n’y a plus rien à voir. Si nous avions emprunté la piste des Bauquières nous aurions pu trouver des  beaux cailloux, en particuliers avec des inclusions de  fluorites violettes, vestiges de l’exploitation ».

Collégialement nous décidons donc de rebrousser chemin pour ne pas rater notre rendez-vous et nous reprenons à gauche la piste des Pommiers sur environ un kilomètre.

Nous quittons la piste pour rejoindre directement le sommet des Terriers par une petite grimpette de presque 70m tout de même. A mi–hauteur nous arrivons au site du dolmen restauré.

Nous atteignons rapidement le  point culminant de notre randonnée (335 m). Derrière le forêt communale nous reconnaissons le rocher de Roquebrune et au fond le Mercantour à gauche et l'Esterel à droite .

 

 

Nous partons à la recherche des menhirs. C’est par là, nous crie Patrice….

Mais que nenni ce n’est qu’un cairn, mais il est vrai  un cairn sophistiqué !!

Nous reprenons la piste sur notre droite et au bout de 300 m de descente (en longueur, pas en dénivelée !!! ) nous atteignons le groupe de menhirs qui se dressent … un peu fièrement quand même ?. 

« Le site mégalithique des Terriers comprend 9 menhirs qui ont été probablement dressés à la fin du néolithique … Ce petit groupe de stèles représente un lieu de culte… Les menhirs des Terriers ont été découverts en 1991… ». Puis le site a été réaménagé : «La terrasse naturelle sur laquelle se trouvaient les menhirs a été partiellement nettoyée et les menhirs dressés sur cet espace sans que l’on puisse localiser leur emplacement initial exact. Certains menhirs avaient été projetés et beaucoup étaient fragmentés. Lors du nettoyage deux menhirs allongés sous une couche d’humus ont été mis à jour». Les neuf pierres dressées en 2002 se sont détériorées et des restes de chute sont actuellement visibles.

Encore environ 200 m de descente et nous atteignons le point de pique-nique et même temps que la majorité du G2. En effet, un petit groupe mené par Jean Ma. s’est également rendu au site mégalithique et nous rejoint une dizaine de minutes plus tard.

Un rayon de soleil brille dès l’apéritif, aux vins d’orange de Claude et Marie accompagnés des biscuits de Josette et nous réchauffe pendant tout le repas, arrosé du bon vin de Joël. 

Les deux groupes repartent par des chemins différents : Le G2 rejoint directement le parking par la belle piste;

le G1 passe par le Mamelon de l’Aigle et découvre de beaux points de vue sur la forêt des Maures, sur la plaine de l’Argens et sur le bourg des Arcs sur Argens.

Les deux groupes se rejoignent et terminent cette agréable journée par le traditionnel  pot de l’amitié, au centre commercial des Arcs.

Merci à nos animateurs du jour, Jack et Joël pour cette belle randonnée et aux photographes Claude C. et Patrick.

 

Bonne et Heureuse année à tous nos lecteurs, que nous remercions pour leur fidélité.

 

Nos prochaines randonnées : jeudi 4 janvier 

G1  et G2   :  Départ:9H     Jean Bo     575-2 Lac de St Cassien Nord    moyen**     12km     Dh :300
Après les agapes de fin d'année ça sera une reprise en douceur par une randonnée facile ouverte aux G1 et G2 sur une version édulcorée de la randonnée déjà conduite à 3 reprises.
    Parking : D37 après le Pont de Pré Claou à gauche     Coût du trajet A/R :20 €

 

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15 décembre 2017 5 15 /12 /décembre /2017 17:37
Gonfaron - 876-Circuit de Vautaillède - G1 - 14/12/2017

 

Aujourd'hui pour l'avant dernière sortie de l'année, Jean-Louis nous propose une randonnée inédite dans le secteur du massif des Maures.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

21 randonneurs se retrouvent sur le parking du Bois des Plaines situé entre Gonfaron et Les Mayons.

 

 

Jean-Louis nous présente cette nouvelle randonnée.

"Ce nouveau circuit fait 16.5km  et 550m  de dénivellé. Belles pistes et un peu de petites routes en forêt avec belles vues sur les crêtes des Maures et la plaine. Nous passerons par le Col des fourches que nous avions atteint par Les Mayons."

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce panneau installé sur le parking nous donne en partie le programme de ce qui nous attend aujourd'hui. Au final ni âne, ni tortue, mais châtaigniers et chênes lièges seront les fils conducteurs de ce nouveau parcours.

 

 

Il est 9h 20', le départ est donné pour une nouvelle aventure. Le ciel est bien gris ce matin, mais Météo France ne prévoit pas de pluie pour la journée.

Patrick, avec le soutien d'Elisabeth, sera notre serre file assermenté. Gare aux trainards!!!

 

Dés le départ, Jean-Louis nous fait part de son étonnement au sujet d'une découverte qu'il a fait lors de la reconnaissance de cette randonnée. La chose en question, est celle-ci.

 

 

Aucun d'entre nous ne donne la solution, mais quelques mètres plus loin nous découvrons  tous la réponse à cette énigme.

 

 

L'allure est rapide de façon à nous réchauffer le plus rapidement possible.

 

 

L'équilibre est parfait pour Patrick dans le franchissement de ce torrent tumultueux!!!

 

 

Ces chênes lièges aux troncs dénudés sont les symboles marquants de cette région du Var.

 

 

 

Le chêne-liège (Quercus suber) fait partie de la famille des fagacées. On le nomme également « suve », « surier » et « sioure ».

C'est un arbre originaire d'Afrique du Nord, présent sur notre territoire depuis 6.500 ans avant J.-C. Cette espèce prospère en France dans des régions comme la Provence, le Roussillon et la Corse.

Le chêne-liège réclame beaucoup de soleil et de chaleur, ce qui explique qu'il ne pousse que dans les régions chaudes. Il ne tolère pas la présence de calcaire et ne se développe donc que sur des sols acides, voisinant avec le pin parasol et l'arbousier. Grâce à un système racinaire pivotant qui lui permet un enracinement très profond, il est capable de bien s'adapter à des situations de sécheresse.  

 

Dans ce décor de chênes lièges, les abeilles sont bien installées.

 

 

Originaux et typiques d’un terroir « tout en saveur », les miels de Provence sont réputés bien au delà des frontières régionales. C’est notamment la grande diversité de plantes aromatiques (plus de 200 espèces), particulièrement adaptées aux terres dures et arides de Provence, qui explique cette typicité aromatique, unique au monde.
Le Var est réputé pour la qualité de son pollen (notamment celui du Massif des Maures et du Massif de l’Estérel), considéré comme un des meilleurs grâce à la grande variété de fleurs méridionales présentes dans ces lieux.

 

 

Tous derrière le chef, comme il se doit.

 

 

Le gang des casquettes rode dans le secteur.

 

 

Dans la seule difficulté de cette journée, le groupe avance d'un pas rapide...

 

 

 

 

 

...et qui plus est avec le sourire.

 

 

 

10 h 30', Jean-Louis sonne l'heure de la pause "banane".

En complément, fruits secs, mais aussi papillotes annonciatrices de Noël, sont offerts à tous les randonneurs.

 

 

Nous poursuivons sur des chemins moins pentus.

 

 

 

 

Le silence de la foret est perturbée par une équipe de forestiers chargés de l'entretien des parcelles de chêne liège.

 

 

Progressivement le ciel s'éclaircit, et l'on peut profiter maintenant de beaux paysages sur ces montagnes du massif des Maures.

 

 

Avec près de 70% de son territoire recouvert de forêts, le Var est le second département le plus boisé de France et le premier par la variété de ses essences. Le Massif des Maures, fort de ses 150000 hectares, reste le plus important espace forestier du Var. Il offre à la fois un climat chaud et sec. Son sol issu de roches schisteuses, nourrit le chêne liège.

 

 

Un dernier petit effort avant la pause déjeuner.

 

 

 

Tout en avalant notre pique-nique tiré du sac, nous pouvons admirer au loin les sommets enneigés du Mercantour.

 

Bon appétit à tous.

 

 

 

 

 

 

 

Après cet intermède gastronomique, nous empruntons une longue mais agréable descente avec de chaque côté de la piste des châtaigniers, principale ressource du massif des Maures.

 

 

 

 

 

N'oublions pas la traditionnelle photo de groupe dans cette clairière ensoleillée, où Jean-Louis prendra le temps de nous raconter tout ce que vous voulez savoir sur la châtaigne sans jamais oser le demander.

Châtaigne ou marrons ? Voici la réponse:


Si l'on pose cette question élémentaire au châtaignier, il nous donnera une réponse ambiguë, car tout châtaignier produit à la fois châtaignes et marrons en plus ou moins grande proportion et plus ou moins grosses, selon les variétés. Si l'on se tourne vers le confiseur ou le scientifique, le fruit appelé châtaigne est un fruit cloisonné, c'est à dire qu'une petite peau (tan) traverse et divise le fruit (un peu comme une noix), le marron est au contraire un fruit non cloisonné, il reste entier une fois décortiqué. Le châtaignier produira des châtaignes si la proportion de fruits cloisonnés est supérieure à 12%, il produira des marrons si cette proportion est inférieure à 12%.

 

Avec un brin de soleil, la nature est resplendissante.

 

 

 

Fin de notre randonnée. C"est au pied de l' église de l'Immaculée Conception de Gonfaron que nous terminons notre journée en partageant le pot de l'amitié.

 

 

 

 

 

 

Un grand merci à Jean-Louis pour cette nouvelle randonnée que nous referons avec plaisir.

Les photos sont de Brigitte Ri, Claude Ca et Gilbert.

 

A noter pour le jeudi 21 décembre, votre dernière randonnée de l'année 2017:

Joël animera la randonnée du G1, dite randonnée des Terriers: distance 14 km et Dh : 337 m.

Parking : Pont de l'Aille      Coût du trajet A/R :  22 €

 

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15 décembre 2017 5 15 /12 /décembre /2017 09:15

Pierrefeu – le Fédon  530-2/G2 – jeudi 14 décembre 2017

Aujourd’hui Joêl nous propose une randonnée dans les Maures, au départ du hameau de la Portanière non loin de Pierrefeu. Nous avons rendez-vous devant le centre de vacances à l’entrée du hameau mais l’indication indiquée des Rouves a disparu et a été remplacée par le Maraval aussi certains se sont perdus. Enfin nous voilà regroupés à 21. Avant de nous donner les explications concernant la randonnée Joël nous propose quelques étirements.

La randonnée annoncée de 12 kms et 350 mètres de dénivelé sera en définitive de 12.5 kms et 430 m de dénivelé (moyenne des GPS). « Le profil est en forme de mamelon. De là-haut, si la visibilité le permet vous verrez Toulon, Notre-Dame des Anges, Les Maures, un lac, des ruines. Ici, c’est le pays de la musaraigne étrusque. On en parlera un peu plus loin. Pas de difficultés particulières. » 

Aujourd’hui le temps de fin d’automne est doux et couvert au départ mais la météo ne prévoit pas de précipitation et nous aurons la chance  d’être accompagnés pour une bonne partie du parcours par le soleil. Nous nous engageons sur une piste au milieu des vignes et des oliviers.

Suite aux intempéries de ces derniers jours, nous devons éviter quelques flaques d’eau et de nombreuses branches arrachées par le vent.

Certains arbres ont revêtu leur parure dorée.

Notre serre-file déjà fatigué recompte ses ouailles. Pense-t-il en avoir déjà perdu.

La pente est douce. Certains s’arrêtent et commencent à enlever une première couche de vêtement. Arrivés au carrefour du Maraval nous nous arrêtons pour la pause banane.

A partir de là nous amorçons la première grosse et longue montée de la journée. Le groupe s’étire.

Qui a eu l’idée de s’installer là, perdu en pleine nature ?

Nous découvrons  au loin le Coudon tout en progressant sur la piste des Crêtes du Maraval, puis empruntons la piste du Fédon.

A proximité d’une citerne de 120 m3, sur l’héliport nous faisons la photo de groupe.

En poursuivant notre chemin nous découvrons sur notre droite Notre Dame des Anges et La Sauvette, puis le village de Gonfaron et au loin mêlés aux nuages les sommets enneigés du Mercantour.

Il est midi passé et certains sont pressés de s’arrêter pour le pique-nique mais au sommet nous sommes au vent et en plein courant d’air aussi décidons-nous de continuer un peu et voilà que nous découvrons aux dires de Daniel un ancien rocher du zoo de Vincennes où chacun prend place face aux éventuels visiteurs qui arriveraient.

On n’ose plus dire, mais comme d’habitude sont proposés vin d’orange, rouge, rosé, genépi, café et douceurs diverses. On a bien fait de marcher un peu plus ce matin.

Avant de repartir Joël nous fait la lecture sur un animal extraordinaire : « La Musaraigne Etrusque vit dans le sud de la France, notamment dans les Maures. C’est le plus petit mammifère du monde. A l’âge adulte, elle ne mesure que trois centimètres, queue comprise. Et ne pèse, avec l’estomac rempli, que deux grammes. Elle perd 15 % de son poids dans la journée. Pour les récupérer, elle est obligée de manger deux fois son poids par nuit. Sinon, c’est la mort en 24 heures. Elle se nourrit d’insectes, qu’elle tue par deux ou trois morsures. Elle vit la nuit et ne sort le jour que poussée par la faim. La femelle a une portée de trois ou quatre petits. Ils sont gros comme un grain de café. Et nus comme un ver. Au bout de 12 jours, le premier petit attrape la queue de sa mère, le second la queue du premier et ainsi de suite. Ils marchent ainsi à la queue leu leu sur les pierres sèches. Enfin le cœur de la musaraigne étrusque bat à un rythme d’enfer : 1200 pulsations par minute ! »

                                                                                                  Suncus_etruscus.jpg, (photo wikipédia)

On est bien au soleil mais il nous faut reprendre notre route. Il reste 5 kms à parcourir. On croyait que la montée était terminée mais non, il y alternance de montées et descentes.

Nous sommes sur les crêtes.

Prenons le temps de regarder ces magnifiques schistes.

 

 

 

 

 

 

De l’autre côté de l’autoroute nous pouvons voir Pignans.

Puis nous attaquons une descente raide sur un sentier très caillouteux. Qu’elle nous paraît longue cette descente.  Des arrêts pour regroupement sont nécessaires.

Le chemin devient plus facile

et nous revoilà parmi les vignes

Nous arrivons au bord du Réal Martin. Il y a de l’eau et pour le moment pas de gué pour pouvoir traverser.

maist voilà que Joël après avoir vérifié le tracé nous dit « nous n’avons pas à traverser la rivière, nous restons sur cette rive ».

Nous poursuivons notre sentier le long de la rivière.

Après être passé devant un pressoir

nous arrivons dans le hameau de la Portanière que nous traversons pour regagner nos véhicules.

C’est à Pierrefeu que nous nous retrouvons pour partager le verre de l’amitié. Joël en profite pour prendre les inscriptions pour la galette du 25 janvier.

Merci Joël pour cette agréable balade beaucoup plus ensoleillée que prévu.

Une dernière photo prise du parking.

Les photos sont de Jean-Marie et Rolande

Prochaine randonnée  G2 – jeudi 21 décembre 2017

« Sommet des Terriers- 565 » - départ 9 h - Animateur Jack

13.7 kms – dénivelé : 345 mètres – moyen * - Coût du trajet 22 €

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