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25 septembre 2016 7 25 /09 /septembre /2016 06:43
LES GORGES DU DESTEL 22/09/2016
15 randonneuses et randonneurs se retrouvent sur la place de l’Eglise du Broussan dans le Var
pour une randonnée inédite et sportive menée par Joël ,
8 Kms pour un dénivelé de 600 m.
Maurice sera notre serre file.

 

Nous démarrons notre randonnée vers 9h30 sur le bitume

mais très vite, après avoir passé le pont sur le Destel  à sec, nous empruntons  à la sortie du village sur la gauche, un chemin très agréable et ombragé .
Nous avançons à un rythme très soutenu, et tout en marchant Joël, Alain et Elisabeth nous parlent de la reconnaissance (exemple : arrivés dans le fond des gorges pas de chemin pour continuer, dans l’obligation de remonter !!!).  Apparemment ce ne fut pas triste et plein d’émotion avec résultat final : nous faire partager cette belle expérience.

Nous continuons notre montée avec un nouveau compagnon qui sera notre second guide tout le long de notre randonnée.
Petit arrêt pour apercevoir au loin Evenos, la Méditerranée et les Gorges et imaginez que nous devons descendre dans les Gorges pour ensuite remonter sur Evenos, eh bien en route pour l’aventure….
A 10h30 nous démarrons la descente, au départ pas de problème, des grosses pierres pour retenir nos pas,
mais ensuite un pierrier interminable sur une pente de 25 à 30%.
Certains la dévaleront presque naturellement, vous le saurez en devinant qui a pris la photo avec « notre chien » qui s’impatiente ; d’autres se poseront des questions et écouteront les bons conseils.

Soudain un vol plané de la blogueuse, mais vous ne la verrez pas étalée, les photographes étaient trop occupés à regarder où ils mettaient leurs pieds; par contre vous la verrez se remettre de ses émotions.
Il est 11h30, nous apprécierons la pose banane, d’une part pour se restaurer d’une autre pour s’occuper des petits « bobos ». Joël sort sa trousse à pharmacie : une bande pour Charles (qui aura finalement une entorse), un gel de massage pour la « bosse » de Brigitte….
Ne perdons pas de temps et continuons notre périple en pratiquant de l’escalade, en admirant les superbes vues des gorges,
et soudain nous entendons un bruit d’eau, c’était notre compagnon qui se régalait dans une cuve remplie d’eau.
Apprentissage de la descente avec la chaîne est également au programme, chacun d’entre nous y prend plaisir .
Puis arrêt dans une clairière vers 13 h pour déjeuner, nous mangeons léger avec un petit verre de rosé offert par Daniel et Charles. Des fruits secs et du gingembre sont également distribués pour nous donner des forces.

Après une pose d’une demi heure, nous attaquons la montée de 30%, voire 50% certains endroits, qui nous mènera à Evenos. Tout le long de notre ascension, nous admirons à nouveau le paysage qui s’offre à nous,
en particulier Ollioulles qui s’est spécialisée au 19ème siècle dans la culture florale qu’elle expédie dans toute l’Europe et en vit toujours à ce jour.
Nous nous rapprochons de la cité médiévale, avec sur la gauche St Anne d’Evenos et sur la droite Evenos avec son château et le village initial édifiés à 362 mètres d’altitude.
Un sourire pour les dernières marches
et nous découvrons le château seigneurial avec une vue panoramique à 180° de la rade de Toulon jusqu’à la Ciotat et à nos pieds la profonde faille des Gorges d’Ollioules.

Un peu d’histoire sur Evenos et son château

Le village se situe sur un vieux nid d’aigles fait de roches basaltiques, traduisant un très ancien volcan, d’où l’étymologie de son nom « Nèbre » vient de « Ebro » (brûler, allumer, le noir). La roche basaltique a servi à la construction du village d’Evenos mais a aussi été exploitée pour la construction des routes. Cette grande table basaltique s’étend des rochers de l’Aigle jusqu’au Cap Nègre.

Le Château féodal, ses murailles en pierre d’époque taillées et la proue du donjon sur laquelle s’accroche encore quelques maisons, cherche désespérément sa route vers le futur.

A la découverte du Château d’Evenos :

Le donjon du château d’Evenos est sur le plan de l’architecture militaire médiévale remarquable. Son éperon, son entrave pourrait-on dire est tourné vers le nord. La situation technique du château n’est explicable que par la configuration du terrain.
En effet les murs épousent parfaitement le rocher basaltique et on peut se demander comment les constructeurs ont pu ajuster avec un tel soin des pierres très lourdes, taillées au millimètre.

L’éperon contribue à la défense du château. Il le protège en direction du seul endroit où l’on pouvait mettre les engins de jet, les trois autres cotés étant défendus naturellement par des ravins.
Cet éperon servait donc à faire glisser tous les projectiles qui pouvaient atteindre les murs.
Les murailles elles-mêmes étaient dans cet esprit. Le bossage, c’est-à-dire la taille en bord plat avec le centre en forme de bosse, est caractéristique à cet égard. Un projectile frappant la pierre ne la faisait pas éclater mais il ricochait dessus. Ce n’est que lorsque les armes à feu devinrent plus puissantes que cette astuce de défense ne fit plus son office.

Le château proprement dit se compose de deux parties distinctes : le donjon et le corps d’habitation. Le donjon comme dans tous châteaux forts est la partie la plus haute et la mieux défendue. Il comprend deux parties : 
- L’éperon avec la chapelle et la terrasse supérieure, 
- La salle des gardes et sa terrasse.

La chapelle dédiée à Saint Pierre, premier pape, successeur du Christ, est orientée, c’est-à-dire que le choeur est dirigé vers l’orient, vers Jérusalem. C’est une pièce de 4m50 de long sur 3m50 de large prolongée par une abside en cul de four éclairée par une fenêtre en diabolo (évasée à l’extérieur pour mieux éclairer mais réduite du coté intérieur pour des raisons de sécurité). La voute est en pleine cintre légèrement décalée du côté de l’éperon.
Cette chapelle donne une petite idée de l’importance de la garnison permanente du château, garnison vraiment fort peu nombreuse. Sur la terrasse située au-dessus de la salle des gardes, le panorama s’étend du bec de l’Aigle de la Ciotat au Cap Sicié.

La salle des gardes (dénommée ainsi car c’était là que se tenait la garnison du château en période de guerre) mesure 12 m sur 4m30. C’est la plus grande salle d’Evenos. La voute du XIIème siècle part sur une petite corniche, elle était éclairée à l’origine seulement par deux fenêtres situées dans un mur de 2m d’épaisseur. Dans un coin une petite meurtrière qui permettait de surveiller l’ancien chemin royal qui traversait les gorges et, par le Val d’Aren se dirigeait vers la Cadière, Le Castellet, Le Camp, etc…
Au XVIème siècle lorsque les Thomas devinrent seigneurs d’Evenos et d’Orves, le château médiéval était en fort piteux état, l’intérêt militaire de la fortification était moins évident. Les Thomas construisirent un nouveau château plus agréable à habiter, dans les murs de l’ancien en se servant des matériaux sur place.

La façade a deux ornementations remarquables : la poivrière, c’est-à-dire la base d’une tour d’angle, taillée en basalte et une fenêtre à meneaux en serpentine de la Môle. L’élégante porte centrale date du XVIème siècle. Dans le corridor à gauche, la salle basse, là vivaient les habitants. C’était la salle à manger et le petit salon. En face, l’ancienne cuisine avec en sous-sol une salle voutée servant de « réfrigérateur », cette pièce était éclairée par une fenêtre au midi et à l’Est.

Au nord la citerne donnait peut-être l’eau courante.

 

Pendant que nous continuons à admirer les superbes vues, Joël nous fait un résumé sur la cité médiévale et nous concluons par une photo de groupe prise par un touriste.
Passage dans le vieux village
et une petite visite dans l’église romane St Martin s’impose : la belle statue de la Vierge qui domine l'autel reprend les traits du visage de l'impératrice Eugénie
et la crèche montée avec de la récupération de ferraille.
Compte tenu de la fatigue de chacun nous décidons de regagner Le Broussan par la route.
Nous retrouvons nos voitures au Broussan et Joël est déçu de constater que le café, où il voulait nous emmener, est fermé.
Nous nous arrêterons sur le chemin du retour pour nous retrouver une nouvelle fois devant un pot fort symphatique, chacun évoquera sa journée avec le souhait de revivre de telles aventures.
Un grand Merci à Joël pour cette excellente et sportive randonnée que nous ne sommes pas prêts d’oublier.
Merci également aux photographes : Alain, Michel et André
Quelques photos supplémentaires :

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23 septembre 2016 5 23 /09 /septembre /2016 20:36

Comps-sur-Artuby-Le Bois du Fayet-676   

 

 

22 randonneurs ont rejoint Jean Bo sur le parking de Comps-sur-Artuby pour une rando du groupe 2. Il fait beau, la météo nous annonce quelques nuages en fin d'après-midi. 

 

 

Jean Bo nous présente cette rando : "C'est une rando facile que nous avons déjà faite deux fois en 2008  et 2012. J'ai reporté en fin de rando la visite des deux chapelles St André et  St Jean pour ceux qui auront encore la force de remonter dans le village. Ainsi la rando sera réduite à 12.250 km et 370 m de dénivelée.Sur le profil, les deux petites pointes au départ seront ainsi reportées en fin de rando". 

 

Il ajoutera quelques éléments sur les nouvelles définitions de classement des randos et incitera les randonneuses  et les randonneurs à renvoyer rapidement leur questionnaire.

Puis c'est le départ  en montée régulière. Nous sommes à la limite du camp militaire de Canjuers et déjà  nous entendons le grondement du canon. Espérons que les artilleurs sont bien réveillés ce matin.

Joli point de vue sur le village dont Jean Bo nous donnera ultérieurement un descriptif.

Initialement construit sur un rocher, Comps est un ancien village fortifié, au milieu d'une région sauvage. le vieux bourg a beaucoup de caractère, l'endroit est calme et reposant. 
La chapelle fortifiée et classée de Saint André fut édifiée par les Templiers dont le village fut longtemps un des fiefs. Il reste encore de nombreuses traces de cette époque. Les chapelles de Saint Jean et de Saint Didier sont aussi à visiter.
 
 

 

 

 

La rivière qui passe dans le village est un autre centre d'intérêt. Comps est un lieu privilégié pour les randonneurs et les amis de la nature.

Les massifs montagneux longtemps érodés par le temps, les gorges profondes, les haut-plateaux et les montagnes richement boisées offrent un environnement magnifique.

Au dernier recensement la population était de 335 habitants. 

cf.Wikipedia

 

 

Dans le ciel des avions de chasse se livrent à un exercice…un peu bruyant.

Au bout d'une demi-heure Jean Bo nous arrête, devinez pourquoi d'après cette photo. Il est près de 11h, mais nous sommes partis à 9 h de St Raphaël.

Mous marchons sur l'Ubac de Combasq. En 2012, sur ce chemin, nous avions marché dans la neige. Lorsque nous arrivons à la cote 1102, notre guide nous arrête devant un beau paysage pour nous parler du plateau de Canjuers.

" D'une altitude moyenne de 800m, le plateau de Canjuers est encerclé par des chaînes de montagne comme le Grand Margès (1577m) au nord, le Mocrouis (1061m) à l'ouest, la serrière de Lagne (1118 m), le collet de l'Aigle (1118m) et la montagne de Barjaude (1173) au sud.

Sur le plateau, la végétation est rare car son sol est très aride, elle est surtout composée de garrigue (petits buissons, herbes et plantes aromatiques). Les forêts sont présentes sur les montagnes alentours. Les arbres sont majoritairement des chênes pubescents (33% de la végétation), des pins sylvestres (25%) et des pins d'Alep (20%). C'est aussi un lieu de spéléologie: c'est l'un des plus grands bassins d'eau souterraine d'Europe, grâce aux nombreux avens.

Appelé "Campus Julii" lors du passage de Jules César pour la conquête de la Gaule, le plan conserve notamment plusieurs bornes milliaires romaines. Le plan est aussi un important lieu de fouilles archéologiques. Il y conserve de nombreux fossiles datant du Jurassique et du Crétacé (et des traces de dinosaures)

Durant le printemps et l'été 1944 le plateau de Canjuers a servi de base au "maquis Vallier", le maquis Armée secrète du Var. Un maquis FTP, le "Camp Robert" était basé à Aups tout près de là.

Le Camp de Canjuers et son polygone de tir sont des terrains militaires dont l'entrée est contrôlée et strictement interdite. Deux routes le traversent, avec interdiction de s'arrêter. Créé en 1970, avec ses 35 000 ha de terrain, dont 14 hectares de camp bâti, le camp de Canjuers est le plus grand champ de tir d'Europe occidentale. Déjà partiellement utilisé entre les deux guerres, il sert actuellement à l'instruction aux unités françaises et étrangères avec 2 500 personnes permanentes et 100 000 hôtes par an. On y tire 75 000 obus, 1 000 missiles et 1 600 000 projectiles de tous calibres en 330 journées de tir par an. En outre des bâtiments spécialisés, cinq aires de bivouac et des fermes aménagées confèrent une capacité de logement de 5 600 places pour 100 000 hôtes de passage par an. Il est particulièrement dédié à l'entraînement au tir (missiles, artillerie, hélicoptères, chars, etc.) Il est d'ailleurs, le seul champ de tir en France permettant les tirs d'exercices de lance-roquettes multiples (LRM).
Treize villages ont cédé des terrains pour le camp et le village de BREVES, sur la route de Bargème, a été complètement abandonné
.

Puis nous poursuivons notre montée sur un chemin très dégradé par des pluies récentes.  Il est 12 h 42, Jean Bo a prévu, savant calcul, le pique-nique à 13 h 00. Il tiendra presque son pari avec deux minutes de retard.

Mais avant nous auront à traverser un sous-bois humide où la terre selon une expression borélienne est "amoureuse" (lisez collante). La pluie d'hier a du être  plus intense qu'à St Raphaël.  

Voici notre lieu de pique-nique équipé de tables et de bancs. Ceux qui choisiront de s'y installer trouveront le coin très humide.

 Il faut dire aussi que depuis une demi-heure, le soleil joue avec les nuages, mais ceux-ci sont de plus en plus envahissants. Ceux qui auront opté pour une installation moins confortable bénéficieront de plus de soleil : on ne peut pas tout avoir.

Déjeuner bien arrosé : vin d'orange, Jurançon, Graves, Madiran avec quelques douceurs au dessert. On vit bien dans le deuxième groupe…Chère Rolande, un verre ça va, mais deux bouteilles !!!

Jean Ma présente sa rando de la semaine prochaine sur les rives de la Brague (voir en fin de blog) et l'autre Jean, pour ne pas être en reste présente aussi la sienne, plus éloignée à  Ste A. de Vinadio.

Où on parle beaucoup de dénivelées avec un grand débat sur le genre du mot. Daniel R conclura, en riant, que c'est certainement du féminin car c'est ch… et dur à monter !!!

Nous repartons vers 14 h par une montée, la dernière de la journée, sur l'Ubac du Siounet. Jean Bo a oublié qu'il menait un groupe n° 2 et il est parti sur les chapeaux de roues et tout un groupe de "trainards" s'est constitué. Regroupement à la cote 1049 puis descente par une trace au milieu du bois.

Très belle vue sur Trigance et son château.

Arrivés en bas, nous prendrons le temps de faire la photo de groupe.

 

 

Nous sommes descendus de 100 m, très rapidement 

et nous allons aborder une zone de prairie parsemée de colchiques. Rolande, gentiment en offrira une à Yvette. Sympa.

Nous circulons sur un chemin presque rectiligne, bordé

 d'arbres.

 

Selon Jean Bo, le qualifiant de voie royale,  c'est un ancien chemin abandonné puis dégagé depuis quelques années pour les randonneurs, nombreux dans ce secteur.

 

 

 

La chapelle St Didier 

est signalée à 1 km et nous retrouverons une petite route bordée de noyers qui intéresseront beaucoup certains membres du groupe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Encore un petit effort, voici la chapelle autour de laquelle se trouvait le cimetière car près des chapelles du village, le terrain trop rocailleux ne permettait pas de creuser les tombes. Possédant la clé, notre guide nous permettra   d'accéder à l'intérieur, complètement vide à l'exception de chaises, bien occupées par les randonneurs.

Très beau point de vue sur le village et les montagnes alentour.

Retour dans le village. Michel n'aurait'il pas des velléités de conduire le groupe ?

 

 

 

Jean Bo proposera d'aller visiter les deux autres chapelles ainsi qu'il l'avait prévu ce matin mais il ne convaincra que trois courageux qui, en 23 minutes monteront à l'église St André et à la chapelle St Jean. Le temps de faire quelques photos.

 

Souriantes et même pas fatiguées.

Pendant ce temps, le reste du groupe s'est installé à la terrasse de l'hôtel Bains pour prendre le pot de l'amitié.

Merci Jean pour cette bonne journée.

 

Merci aux photographes Claude L, Jean Bo, Jean-Marie, Rolande.

 

La semaine prochaine  randonnée du 2e groupe le 29 septembre  à Valbonne

 

IMPORTANT : Départ 8 h 30

 

Cette randonnée se fera par temps sec exclusivement.

 

Très joli parcours ombragé au départ de Valbonne, dans le parc départemental de la Brague.

Nous descendrons le cours de la Brague et longerons ensuite le Bruguet.

Deux petites montées (100 et 120 m.) à prévoir...

 

L : 13 km    Dénivelée : 250m.  Moyen *

 

Parking : Avenue de Pierrefeu à Valbonne (à droite 100m. avant le cimetière)

 

Itinéraire : A8 vers Nice. Sortie 42 Mougins. Péage.

Prendre la D6185 direction Valbonne Grasse

puis la D35 en direction de Valbonne sur 6km.

entrer dans Valbonne, à droite rue de la paroisse et suivre hôtel de ville / église.

à 200m, à droite Avenue de pierrefeu et stationner au 2e parking à droite.

(en face de l’agence Bleu-Voyage).

 

 

100 Km A/R + 5.4 € (péage) : 30 €         prévoir 1heure de trajet

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10 septembre 2016 6 10 /09 /septembre /2016 11:13

La Londe les Maures- Fort de Brégançon 08/09/2016  

 

Sous un ciel bleu azur et une température déjà agréable, nous nous retrouvons 23 randonneuses et randonneurs sur le parking gratuit de l’Argentière à la Londe les Maures.

C’est avec plaisir que nous accueillons Monique et François pour vivre avec nous, nos belles aventures.

 

Christian nous présente la randonnée, aller retour La Londe au Fort de Brégançon avec un total de 17 kms env. pour un dénivelé d’env. 200 m.  Nous passerons sur les plus belles plages de la Méditerranée qui ressemblent à celle de la Corse, nous indique Christian.!!!

Monique et Elisabeth seront nos serre files.

              

Il est 9 heures, nous démarrons notre randonnée sur le sable de la plage de l’Argentière avec une mer très calme.

 

Nous entamons le sentier du littoral, une petite montée pour remettre en place tous les muscles qui se sont reposés pendant les vacances…

Christian se trouvait bien en fin de parcours, mais Alain lui fait une « courbette » pour le laisser prendre sa place de meneur.

 

Il n’y a pas un brin de vent, nous apprécions de passer sous une partie un peu ombragée et prenons le temps de contempler des paysages magnifiques : la mer avec en face de la baie de la Londe, les Iles d’Or ( Port Cros, Porquerolles et l’Ile du Levant),la couleur de l’eau, les bateaux, les criques, les oiseaux, 

les plages,

les plagistes aussi …( même si certaines plages étaient interdites aux naturistes, il y en avait certains qui s’y étaient installés).

 

Il est environ 10h, la pose banane sera appréciée de nous tous, d’une part pour s’arrêter à l’ombre, d’une autre pour remplir un peu notre estomac ( nous avons quitté la maison à 7h, le réveil a été dur pour certains ….).

 

Nous reprenons notre marche pour apercevoir au loin le Fort de Brégançon ,

"Le fort de Brégançon est une résidence d'État utilisée comme lieu officiel de villégiature (principalement estivale) du président de la République française. Aujourd'hui lieu historique géré par le Centre des monuments nationaux, il est ouvert à la visite depuis le 29 juin 2014 après quelques travaux d'aménagement.

Il est situé au bord de la Méditerranée sur le territoire de la commune de Bormes-les-Mimosas (Var), sur les hauteurs d'un piton rocheux de 35 mètres d'altitude et à quelques mètres de la côte du cap Bénat à laquelle il est relié par une jetée (à l'origine il en était séparé par un bras de mer) dont la construction fut ordonnée par le général de Gaulle.

De nos jours la jetée a été complétée par un terre-plein servant de parking pour les personnels mais surtout d'héliport pour l'accès par le président de la république et les personnalités invitées."

 

ainsi que la plage de l’Estagnol (sur la commune de Bormes les Mimosas) considérée comme la plus belle plage du Var et située entre deux avancées rocheuses. Son lagon permet de marcher à perte de vue, facilitant la baignage des tous petits.

 

Nous aurons le privilège de marcher sur cette belle plage sauvage avec son fin sable blanc.

 

Il est 12h15, nous atteignons la plage située devant le Fort de Brégançon et chacun d’entre nous se trouve un endroit pour déjeuner. Certains se mettront à l’aise, chaleur oblige !!!!

 

Après une heure de repos, nous reprenons notre marche dans le sens inverse. La chaleur se fait ressentir, la cadence ralentit pour certains, heureusement une petite bise nous réconforte sur certains passages.

 

Nous ferons plusieurs haltes pour nous désaltérer et une particulière pour la photo de groupe.

Nous continuerons à descendre sur le sentier du littoral avec encore et encore de belles vues, profitons car la fin du parcours approche.

 

Après avoir quitté nos chaussures de marche, nous faisons une halte au café situé près de la plage. C’est autour d’une boisson bien fraîche que nous levons nos verres pour clore cette agréable journée passée ensemble.

 

Merci à Christian pour cette superbe randonnée avec des points de vue merveilleux.

Merci aux nombreux photographes : Claude, Gilbert,Alain, André

 

Quelques photos supplémentaires pour le plaisir des yeux

 

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