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11 septembre 2015 5 11 /09 /septembre /2015 09:26

MALAUSSENE 2015

 

Pour la 3ème fois, le groupe de marche du Cercle de Boulouris va parcourir les  9 kms et  souffrir sur les 650  m de dénivelée de ce parcours. 

C'est Jean-Louis qui sera notre guide.

16 marcheuses et marcheurs se retrouvent sur le parking du village. La température est de 16 °,  mi-soleil, mi-nuages. La météo n'annonce pas de pluie avant la fin de l'après-midi.

Parmi les randonneurs, Maurice arbore un magnifique pansement au doigt, agressé par un taille-haie. Il se fera un peu charrier gentiment tout le long de la journée.

Malaussene est un petit village de 265 habitants dont le centre est à 390 m d'altitude mais qui culmine autour des 1400m. Depuis 1724, c'est un comté dirigé par la famille Alziari dont le dernier descendant mourut en 1934. Un des membres de cette famille fut Maire de Nice en 1905.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Votre blogueur vous recommande la petite vidéo à l'adresse suivante ( à copier dans votre navigateur- passez la pub) avec des vues impressionnantes sur le viaduc.

www.youtube.com/watch?v=KsGiVWBtivI

Jean Louis nous présente la rando : "ça monte puis ça redescend comme le montre le profil qui selon les échelles d'abscisses et d'ordonnées peut paraître plus ou moins accentué".

C'est Dan qui sera notre serre-file.

Jean Bo nous précisera que par le sentier emprunté, on peut joindre le Mont Vial où nous étions au printemps dernier, mais par l'autre versant.

Et à 8 h 55, Jean-Louis donne le signal du départ et nous commençons à grimper très vite.

L'église est en cours de réfection (est-ce suite aux remarques du blogueur lors de notre dernier passage !!!), donc rien à voir, on continue vers la chapelle du vieux village, dont les ruines situées un peu plus haut ne présentent aucun intérêt. C'est devant cette chapelle, St. Roch, St. Louis ou St. Joseph, mystère, que nous allons faire la photo de groupe.

Premières colchiques, ça sent l'Automne, adieu l'été, pas drôle.

 Les derniers nuages de la nuit traînent encore dans la vallée du Var.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et nous montons, joli (?) point de vue sur l'immense carrière de  Tournefort, de l'autre côté du Var.

Il commence à faire chaud, les tenues se sont allégées et à 10 h Jean-Louis nous arrête pour "la pause banane " bienvenue.

Tiens nous avons récupéré un écossais en kilt dans le groupe!

Et c'est reparti à une cadence normale sur cette pente à plus de 15%.

 La végétation a laissé la place à un monde très minéral parsemé de touffes de sarriette en fleurs. Mesdames faites vite vos provisions pour les tisanes et assaisonnements de cet hiver.

Après avoir traversé un grand pierrier, brusquement nous rentrons dans une forêt de pins immenses. La transition est très nette comme le montre la photo de cet endroit, prise de l'autre versant.

Sur notre droite apparait une grande falaise, la Balme des Fées. Nous sommes déjà (ou enfin!) à 830 m et nous nous engageons sur des grandes dalles en pente (elles aussi !). Jean Bo nous rappelle qu'à cet endroit, un de nos amis y avait fait une chute spectaculaire mais sans conséquence car la roche était recouverte d'une sorte de givre. Nous continuons et il nous arrête dans un virage car une partie du groupe vient de rater l'entrée de la Grotte des fées, aventure qui a du arriver à une lectrice du blog qui a contacté Jean-Marie cet été. C'est vrai que c'est facile de passer sans la voir, cachée par le virage.

Cette grotte, profonde d'environ 30 m, en voute où on peut se tenir debout (pour des individus de moins de 1.90m) est parfaitement sèche et fermée par un muret.

Encore 50 m à parcourir pour atteindre la balise 7, à 1000m d'altitude, où nous allons quitter le chemin du mont Vial pour redescendre vers Malaussene mais avant, encore une grimpette très courte pour "accrocher la courbe de niveau" (nouvelle expression borélienne !).

Mais que fait notre Maurice, tout seul sur ce sentier. Nous fait-il la tête, lassé de nos sarcasmes? Non, il a trop bon caractère, il attend simplement le petit groupe du serre-file.

Les gros efforts sont terminés mais un petit passage technique, contournement d'un rocher, va entraîner la première glissade en contrebas, sans conséquence. Le photographe venait juste de ranger son engin.

Une petite remontée puis nous nous laissons glisser jusqu'à la balise 9 où nous allons pique-niquer, car il est 12 h15.  Rosé, rouge (avec modération) et gingembre en dessert.

Pas de sieste, à 13 h nous repartons, dans une grande forêt sur le flanc nord du mont Vial. Il ne reste que 3 km à faire, en descente, mais quelle descente : plus de 15 % comme la montée de ce matin.

Et nous y allons franchement, 12 m/minute. Le sol est  très caillouteux et comme nous sommes sous les arbres certains passages sont bien glissants et il faut alors réduire l'allure. Le photographe ne peut même plus remplir sa mission...

Nouvelle glissade sur une grande dalle (toujours en pente !) mais à nouveau sans conséquence mais ça a provoqué une réaction en chaîne, une des randonneuses s'étant retournée et, en déséquilibre, est tombée aussi.

Jean Bo et Joël ont retrouvé l'endroit où une de nos randonneuses avait fait une chute importante qui aurait pu être très grave (quelques griffures seulement).

Enfin nous arrivons à une zone plus calme et après avoir traversé un vieux petit pont nous arrivons à un grand viaduc. Jean Bo a toujours été perplexe sur la motivation d'une telle construction, puisque débouchant face à une falaise, ce ne pouvait pas être pour le passage d'une voie ferrée. En fait, la réponse se trouvait dans ce cher Wikipédia :

 

Viaduc de 40 m de hauteur pour porter un aqueduc imposant de 7 km de long construit entre 1774 et 1775 pour alimenter le village à partir de la source de l'Adous7,8. Il permettait d'alimenter le moulin à farine et le moulin à huile, ainsi que le lavoir municipal et d'assurer l'irrigation des cultures.

 Le village est maintenant devant nous avec son vieux lavoir.

Le gros sac dans le dos de Béatrice est en rodage pour la grande aventure de Compostelle prévue pour la fin du mois.

Elle nous a promis le récit de ses aventures.

Encore quelques ruelles et nous rejoignons le café "Lu Tuorch" ,"Le pressoir à olives" en provençal . Il est 14 h.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Merci au serre-file qui a bien mérité sa bière et Merci Jean-Louis pour cette belle balade.

 

Merci aux photographes Jean-Marie et Michel, pour le premier groupe et Rolande pour le 2ème groupe.

 

 

Photos du deuxième groupe mené par Camille depuis Malpey jusqu'à la mare de Plan Pinet via La Duchesse (environ 12 kms).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                          La semaine prochaine Jeudi 17/09 à 7H00 : Ste A. de Vinadio. Lacs Lausfer. L : 11 Km 516. Dh : 520 m. Médio. Jean Borel  750 Départ  rando : Sanctuaire Ste Anne de Vinadio (Italie). Via Isola 2000. Coût du trajet A.R. : 90 €

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4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 12:26

Le lac de Trécolpas

 

Aujourd’hui, Jean B nous emmène randonner au lac de Trécolpas (altitude 2150 m), au-dessus de St Martin-Vésubie.

De son côté, Camille conduit un groupe dans l’Estérel, au Rocher Saint-Barthélemy et au Rastel d'Agay.

 

Nous voici 14 randonneurs au départ, à la Vacherie du Boréon.

Jean nous rappelle que nous avons fait cette même rando en 2007 et 2010. De 2007, seuls 4 participants sont présents aujourd’hui. Toujours d’attaque.

Parmi nous, voici Christian, qui anime des randonnées dans une association amie.

Jean le nomme aussitôt serre-file.

   

« Nous sommes ici à 1700 m » nous dit Jean. « Nous allons progresser le long d’un torrent. Nous grimperons au refuge de la Cougourde avant d’atteindre le lac de Trécolpas ».

C'est une randonnée de 10,5 km et 580 m de dénivelé.

Il est 9h30 passées lorsque nous démarrons.

Bientôt se dresse devant nous la Cougourde.

Sur le sentier, des bouses de vache nous rappellent que nous sommes partis de la Vacherie.

Et justement, après les bouses, voici les vaches, qui nous attendent au-delà du torrent.

Gérard les prend en photo.

« Tu es comme les Parisiens, tu photographies les vaches » se moque Anne-Marie.

Mais Gérard n’est pas seul. Michel, lui aussi, se met de la partie.

 

Puis nous franchissons un pont sur le torrent du Boréon, l’un des torrents qui alimente la Vésubie.

C’est l’occasion d’une photo de groupe.

Suivie d’une autre photo, prise par un randonneur (Nous rencontrerons ainsi beaucoup de marcheurs qui montent ou descendent du refuge).

Cette fois-ci le groupe est au complet.

 

Il est 10h30 lorsque nous nous arrêtons pour la pause banane.

Le soleil brille. Jean a l’air heureux de conduire cette première randonnée.

 

Soudain, qui voyons-nous ? Deux randonneurs attardés : Patrice et Elisabeth. En fait, ils étaient en avance et nous attendaient … un parking plus bas. Ils n’ont pas vu passer nos voitures et se sont quand même lancés dans la randonnée.

Nous voici 16 à présent.

Profitant d’un beau rayon de soleil, nous prenons une photo de groupe.

Nous poursuivons notre chemin en direction du refuge de Cougourde.

 

Quelques instants après, nous marquons une petite pause.

Jean décide de modifier notre parcours.

« Le temps n’est pas très sûr. Et comme il y a risque d’averses, je préfère inverser : nous irons voir le lac d’abord, avant de monter au refuge ».

 

A présent le sentier grimpe fort.

Nous traversons une forêt de mélèzes.

Au loin une marmotte siffle pour donner l’alerte.

 

La pente devient moins raide à présent

Et voici enfin le lac  de Trécolpas en contrebas.

« Vous voyez là-bas , c’est le col de Fenestre » nous montre Jean.

Sous le soleil qui brille, le lac est très attirant.

Anne-Marie s’approche du bord. Va-t-elle y tremper ses pieds ? Non, elle n’insiste pas.

 

Avant de prendre la route du refuge, nous marquons une pause.

Profitant de ce beau décor d’alpage.

 

Puis nous reprenons notre route.
Mais à l’arrière, ça ne suit pas. Que se passe-t-il ?

Nous apprenons alors que Danièle a fait une chute, une mauvaise chute semble-t-il.

Quelques minutes se passent. Le ciel s’est couvert. Il commence à faire frisquet. Nous enfilons un blouson pour nous réchauffer.

 

Danièle s’approche, le bras en écharpe. Elle s’est blessée au coude.

Jean décide de la raccompagner directement aux voitures, avec l’aide de Daniel M.

 

Notre petit groupe (nous ne sommes plus que 13) prend la route du refuge, sous la conduite de Christian et Anne-Marie.

Après une assez longue traversée de pierriers, nous atteignons le refuge de Cougourde.

Au-dessus se dresse la Cougourde, impressionnante (altitude 2921 m).

Au fait, pourquoi ce nom : Cougourde ? Tout simplement parce que ce sommet a la forme d’une courge (cougourde en provençal).

 

Nous nous installons près du refuge pour pique-niquer.

Après déjeuner, certains – dédaignant le café préparé en thermos – vont en prendre un au refuge.

 

Puis nous attaquons la descente vers nos voitures.

Nous franchissons à nouveau plusieurs torrents qui dévalent la montagne.

Et nous voici arrivés aux voitures. Nous apprenons que Jean est parti pour St Raphaël il y a peu. Direction : les Urgences.

Pour clore cette journée, certains vont prendre un pot à la sortie de la Vésubie.

 

Merci aux accompagnateurs de cette randonnée mouvementée : Jean, Christian, Anne-Marie.

Et bon rétablissement à Danièle, dont nous apprenons qu’elle souffre d’une fracture du bras.

 

Merci aux photographes : Gérard, Michel.

 

Prochaine rando : Jeudi 10/09 à 7H00 : Malaussène (06) Le Serse.

 

L : 10 Km 300. Dh : 603 m. Médio. JL Levavasseur

Départ de la rando : Parking de Malaussène (06).

Coût du trajet A.R. : 65 €

 

Et voici des photos du groupe de Camille, prises par Claude L.

Lac de Trécolpas : 3 septembre 2015
Lac de Trécolpas : 3 septembre 2015
Lac de Trécolpas : 3 septembre 2015
Lac de Trécolpas : 3 septembre 2015
Lac de Trécolpas : 3 septembre 2015
Lac de Trécolpas : 3 septembre 2015
Lac de Trécolpas : 3 septembre 2015
Lac de Trécolpas : 3 septembre 2015
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14 juillet 2015 2 14 /07 /juillet /2015 14:31

La vallée des Merveilles par le pas de l'Arpette 

 

Merci à la rédaction de Randoboulouris de publier le récit de cette ballade faite par quatre amis du Cercle, après la fin de la saison.

Anne-Marie, Claude C., Michèle et Jack, sous la conduite de Roland, ancien du Cercle et aujourd'hui guide agréé ont randonné dans la Vallée des Merveilles pendant deux jours.

Après une bonne nuit dans la Vallée de la Gordolasque, à quelques kilomètres du village de Belvédère, nous voilà partis dès 7h30 vers le parking du Pont du Countet (1700 m), le point de départ de cette première journée qui doit nous permettre d'atteindre le site des pétroglyphes des Merveilles, via le Pas de l'Arpette (2510m).

Nous traversons le pont de bois

et prenons le sentier pierreux qui monte rapidement à flanc de montagne.

Après environ 200 m de dénivellé, nous longeons une grosse conduite forcée, qui alimente l'usine électrique de la vallée. Roland nous fait oublier sa présence, en nous faisant découvrir la richesse de la flore locale.

Aconit napel (ou Casque de Jupiter)

Oeillet et Digitale jaune  

Rhinanthe crête de coq 

Lis martagon 

ou encore Arnica 

 

Il y a aussi ce petit insecte Coléoptère, dont les larves sont des dévoreuses de feuilles, la chrysomèle.

 

Après les 300 premiers mètres de notre ascension , la conduite disparait en galerie et nous faisons une pause bien méritée dans le vallon d'Empuonrame. La pente s'adoucit et la "prairie alpine" est présente.


Mais nous retrouvons vite une montée plus ardue dans un paysage  plus aride, que nous ne quitterons plus jusqu'au Pas de l'Arpette, que nous atteignons en fait après 3 heures de grimpette (810m) en un petit peu moins de 4 km.

Au loin, nous observons notre premier chamois, qui semble aussi bien fatigué.

Découverte du paysage:

Avec au fond le Mont Bégo

Roland tente de parlementer avec un nouveau chamois

 

Encore une heure environ de marche avant d'atteindre la première stèle de gravures, au pied du Mont des Merveilles.

Roland est intarissable sur l'histoire du site et sur les gravures rupestres. Il va nous en faire découvrir quelques-unes (parmi les dizaines de milliers répertoriées), tout en marchant dans ce véritable musée en plein air. Il nous fait partager les hypothèses sur leur origine, plus ou moins fantaisistes ou appuyées sur des observations scientifiques.

Ici les gravures  en cupules, obtenues par pression et rotation dans un sens puis dans un autre, à l'aide d'un minéral dur local, comme un morceau de quartz émoussé. Ce sont les plus anciennes  (fin du Néolithique, âge de Bronze, -4000 à -1700 AJC). Sont représentés des corniformes, des poignards ...

le culte de l'eau, qui descend des infructuosités de la surface de la paroi  schisteuse jusqu'aux gravures.

Le Dieu (Déesse) acéphale.

L'anthropomorphe aux bras en zigzag avec, au dessus une représentation géométrique réticulée.

Le Sorcier : tient-t-il des poignards ou maitrise-t-il la foudre?

Mais l'homme à toujours été un "taggueur" et des gravures récentes, linéaires, en V, faites avec un outil acéré,recouvrant parfois partiellement les anciennes sont visibles. Ainsi la dalle dite Buin Maurisio ou encore la galère "savoyarde" ; les amis qui feront la ballade en septembre pourront questionner Roland à ce sujet.

 

 

Nous progressons vers le lac des Merveilles, 

 

 à  travers un paysage de chiappes glaciaires (les dos de baleine), provenant de l'érosion de l'eau sous-glaciaire, d'un glacier disparu il ya 10 000 ans environ (fin du Würm). 

  

 

Nous empruntons le GR 52 qui chemine alors le long du lac des Merveilles. 

Le Chef de tribu : Roland nous explique cette stèle dont l'original est au Musée de Tende.

Passage d'un seuil et la force nous est donnée et surtout au femmes !!!

  

 

Est ce la présence du Christ ?

Selon Roland "il s'agit du marchand d'ampoule électrique, qui en l'état n'est pas une lumière. Mais maintenant que vous êtes au courant, vous allez douiller pour ne pas être grillés...."

Nous poursuivons le GR 52 qui longe la paroi vitrifiée, véritable falaise lisse, qui a servi de "tableau noir" indélibile à beaucoup

Après une nuit au refuge des Merveilles, sur le bord du lac Long nous allons grimper vers le Pas de Trem (2480m) en passant par les lacs glaciaires de Fourca, de la Muta et enfin les deux petits lacs du Diable. En bordure, subsiste des restes de névé.

  

La Cime du Diable (2680 m) se dresse bientôt devant nous. 

Arrivés au Pas de Trem, la vue en arrière sur les lacs du Diable, nous permet de constater le chemin parcouru. Un gentil randonneur prend la photo du groupe.

 

 

Seules Claude C. et Michèle feront l'ascension de la Cime du Diable avec Roland. Là haut un magnifique panorama à 360 ° les attend, mais ce jour elles ne verront pas la Corse !!!

Le sentier qui redescend du pas de Trem disparait rapidement dans un paysage d'éboulis ; c'est la moraine qu'il faut franchir en passant de bloc en bloc.

Nous arrivons à un replat et nous faisons le plein d'eau à une source, qui donne naissance à un ruisseau alimentant un petit lac que nous découvrirons en aval, dans le vallon des Verrairiers. Un troupeau de chevaux Merens y est en estive. Nous chercherons donc un autre endroit pour la pause déjeuner.

La phase terminale de notre randonnée se fait sur un sentier bien marqué, à travers la forêt de pins cembro.

L'arrivée au Relais des Merveilles marque la fin de notre randonnée. Les garçons poursuivrons jusqu'au parking du Pont du Countet pour récupérer la voiture.

Ci- après les traces GPS et les profils de Anne-Marie et de Jack, avec une petite panne de batterie à mi montée de la Cime du Diable.

1er JOUR :

2ème JOUR : 

 

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