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1 février 2008 5 01 /02 /février /2008 13:08
Les crêtes du Tanneron
undefinedAujourd’hui Jean Borel nous propose une randonnée sur les crêtes du Tanneron, "à la découverte des plus belles plantations de mimosas de toute la Côte d’Azur". C’est un parcours classé moyen / Alto  de 15 km et de 520 mètres de dénivelé.
Nous voici 25 randonneurs au départ de Tanneron. Jean nous raconte qu’il a fait cette même randonnée il y a 3 ans, juste après une forte chute de neige. Il nous fait le récit des incidents qui ont émaillé cette randonnée. Il ira même jusqu’à nous montrer les endroits précis qui ont vu Paulette chuter (une première fois) et Jean-Marie laisser choir son portable dans une congère. (Vous verrez ci-dessous quelques photos de cette randonnée mémorable, transmises par Jean-Marie).
Aujourd’hui la mété2008-01-31-Tanneron-001.JPGo nous a promis un temps ensoleillé. Mais Camille lève le nez au ciel et constate : le ciel est bien couvert. « Encore ces sacrées entrées maritimes ! », nous dit Jean. 
Nous quittons le village par un chemin qui descend en direction du vallon de l’Aubarie. Nous marchons au milieu de la végétation bien connue de l’Estérel : 2008-01-31-Tanneron-005.JPGbruyères, chênes-lièges, pins, arbousiers et cistes de Montpellier comme celui-ci, magnifique.
A présen2008-01-31-Tanneron-003.JPGt le sentier monte. 






Sentier ombragé et soleil voilé, décidément il fait un peu frais ! 
Heureusement2008-01-31-Tanneron-002.JPG voici une éclaircie et l’occasion d’une première photo de groupe.
Nous poursuivons notre grimpette plutôt raide jusqu’à la crête. Enfin nous découvrons un splendide bosquet de mimosas en fleurs. C’est le moment rêvé pour une deuxième photo de groupe. Merci Marie pour la photo !
 2008-01-31-Tanneron-008.JPG 
Jean en profite pour nous raconter l’histoire du mimosa.
Importé d'Australie, le mimosa se développa sur les rivages de la Riviera durant la seconde moitié du 19ème siècle. Le mimosa est en fait un acacia. Se souvenant de ses origines, il fleurit en été – l’été austral, entre novembre et mars.
Chaque année des milliers de tonnes de fleurs coupées du Tanneron sont expédiées en France et à l’étranger. Pour accélérer sa floraison on utilise la technique du "forçage" (Les branches sont coupées prématurément puis enfermées pendant 2 ou 3 jours dans l'obscurité d'une pièce très humide, à une température de 22 à 25 degrés).
Jean n2008-01-31-Tanneron-009.JPGous révèle ensuite d’autres informations (fort intéressantes) qu’il tient de Bruno : le mimosa a des feuilles à limbe avorté (mais à pétiole dilaté), des fleurs en glomérules jaunes et en bouquets pédonculés ! Sans oublier ses fruits, gousses pendantes de 10 cm de long. « Et ça vous fait rire ! » s’exclame Jean.
Mais trêve de plaisanteries, il serait temps de nous réchauffer. Nous repartons donc sur une piste bordée çà et là de mimosas en fleurs. De l’2008-01-31-Tanneron-011.JPGautre côté du vallon, les collines sont couvertes de jeunes plantations. 
Enfin il est midi, Jean nous propose un lieu de pique-nique dégagé et exposé au soleil, - si toutefois celui-ci veut bien se montrer. Il suffit de franchir un fossé (un peu profond) et de grimper un talus (un peu raide). Les2008-01-31-Tanneron-013.JPG premiers s’installent. Quand tout en bas nous voyons un attroupement. Se pourrait-il que Marie ait plongé dans le fossé au lieu de l’enjamber ? Quelques-uns lui portent secours. Puis tous nous rejoignent.
Nous savourons notre pique-nique. Mais après le café – accompagné pour certains d’une verveine -, les premiers se lèvent déjà. Il fau2008-01-31-Tanneron-014.JPGt dire qu’il fait frais et humide, le soleil étant toujours avare de ses rayons. Un peu d’exercice nous fera le plus grand bien.
Nous abandonnons donc notre lieu de pique-nique. La desc2008-01-31-Tanneron-015.JPGente est un petit peu périlleuse mais tout le monde rejoint la piste sans mal. Il est 13 heures et il nous reste encore 2 heures de marche avant de rejoindre Tanneron.
Une descente, un ou deux ruisseaux à franchir et pour terminer une montée, le retour se déroule sans histoires mais à un rythme soutenu. Ainsi dans la d2008-01-31-Tanneron-020.JPGernière côte, le groupe de tête sentant l’écurie toute proche, semble accélérer. Il faudra un rayon de soleil et un superbe bosquet de mimosas en fleurs pour qu’il daigne s’arrêter et attendre le reste de la troupe. C’est bien sûr l’occasion d’une dernière photo de groupe !  

Nous atteignons enfin Tanneron.2008-01-31-Tanneron-022.JPG  
Le village se prépare pour la fête du mimosa de dimanche.
Leundefined saviez-vous ? La fleur de mimosa symbolise l'élégance, la simplicité, la tendresse et 2008-01-31-Tanneron-027.JPGl'amitié. Il représente aussi l'énergie féminine, cachée sous une apparente fragilité.
 
Merci Jean pour cette belle randonnée au pays du mimosa.
 
Merci aux photographes : Gérard CHARPY, Bruno GUERIN.
 
Prochaine sortie le 7 Février pour une randonnée sur le circuit de Paracol avec Bruno GUERIN.
 
Encore quelques photos :
 
 2008-01-31-Tanneron-019.JPG 2008-01-31-Tanneron-021.JPG












Les cr2008-01-31-Tanneron-026.JPGêtes du Tanneron en janvie2008-01-31-Tanneron-025.JPGr 2005
 
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25 janvier 2008 5 25 /01 /janvier /2008 16:39
Le Baou de Saint Jeannet
undefinedAujourd’hui Bruno Guérin nous propose une randonnée au « Baou » de Saint Jeannet. C’est un parcours classé moyen de 11 km et de 650 mètres de dénivelé.
Nous nous retrouvons une vingtaine de randonneurs au parking de Saint Jeannet. Dieu sait pourquoi, Jean a du mal à nous compter ce matin. Après plusieurs comptages, il semblerait que nous soyons 22. 
     2008-01-24-St-Jeannet-001.JPG 
Il suffit de le vérifier sur la photo de groupe.
Bruno nous explique que « le Baou est un mot provençal qui désigne une masse rocheuse, emblématique du paysage de la régionOn est subjugué par cette osmose entre la nature (le baou) et l’œuvre de l’homme (le village). La masse imposante du Baou a attiré des peintres, écrivains et artistes, comme Trachel (Hercule), Mossa (Alexis) », pour ne citer que les moins connus.
Et le Baou de Sain2008-01-24-St-Jeannet-002.JPGt Jeannet, eh bien le voici, juste au-dessus de nous ! La première partie de notre randonnée consiste à gravir d’une seule traite les quelques 400 mètres qui nous séparent du sommet. Une heure et demie d’une bonne grimpette.
Qui donc a dit « Si j’aurais su, j’aurais pas venu » ?
– Courage ! Au sommet tu verras, la vue est magnifique. Et tu auras même un banc pour te reposer ! 
Ce matin, il fait u2008-01-24-St-Jeannet-003.JPGn temps splendide, le soleil brille, la température monte au fur et à mesure que nous grimpons. Nous faisons une pause pour nous ravitailler et nous alléger de quelques vêtements superflus. Enfin nous atteignons un vaste plateau calcaire qui mène au sommet du Baou. 
Au loin on peut 2008-01-24-St-Jeannet-005.JPGapercevoir les sommets enneigés. Mais chacun marche en baissant le nez, car les rochers que nous enjambons sont traîtres, parfois instables, parfois glissants. Mieux vaut s’arrêter pour regarder le paysage !
Nous voici au sommet (altitude 802 m) d’où nous dominons la région. En2008-01-24-St-Jeannet-006.JPG bas, on aperçoit la vallée du Var qui brille sous le soleil.2008-01-24-St-Jeannet-007.JPG    Au loin la mer, et nous dit Bruno « si le temps était plus dégagé, on verrait la Corse ! ». Ce sera pour une autre fois. Chacun2008-01-24-St-Jeannet-008-copie-1.JPG va j2008-01-24-St-Jeannet-009.JPGeter un œil à la table d’orientation.










Après le baou, nous nous dirigeons vers le nord. Notre sentier nous permettra de croiser les bories qui se fondent dans un paysage de garrigues et de chênaies ponctuées de dolines et de lapiés. Paysage dominé par l’élément minéral : le calcaire.
(Les dolines sont de petites dépressions, créées par l'effondrement du sous-sol calcaire. Certaines sont profondes et hérissées de lapiés. D’autres, faiblement creusées, présentent un fond garni de terre. Les lapiés sont des roches burinées de profondes cannelures, de cavités tourmentées, séparées par des crêtes aiguës et souvent coupantes. Attention à ne pas tomber !).
Le fait est qu’à p2008-01-24-St-Jeannet-010.JPGart un ou deux bien conservés comme on le voit sur cette photo (il s'agit bien sûr de bories), on pourrait ne voir ici qu’un immense tas de cailloux.   2008-01-24-St-Jeannet-011.JPG    





Nous nous frayons un chemin à travers ces blocs de calcaire. Notre sentier descend au milieu d’une végétation basse faite de genévriers et de magnifiques genets. D2008-01-24-St-Jeannet-012-copie-1.JPGe loin nous apercevons bientôt les ruines du château du Castellet, où Bruno a prévu que nous pique-niquerons. Nous poursuivons notre chemin en légère descente à l’ombre des chênes (blancs ou verts). A nos pieds quelques crocus pointent leurs corolles. Enfin nous atteignons le château et son donjon. Miracle ! Des rochers accueillants nous invitent à nous asseoir. Confortablement installés, nous savourons notre déjeuner. Après un repas correctement arrosé, chacun se détend au soleil.
Puis nous reprenons not2008-01-24-St-Jeannet-014.JPGre descente vers la Cagne (petit fleuve qui se jette dans la mer à Cagnes-sur-Mer), par un sentier en lacets. Notre sentier court ensuite le long du vallon du Castellet avant de cheminer sous les contreforts du baou. Quelqu2008-01-24-St-Jeannet-015.JPGes gros blocs 
              
détachés de la paroi sont équipés pour l’initiation à l’escalade. Car
Saint Jeannet est un véritable petit paradis pour les amateurs d'escalade. De nombreuses voies d'ascension sont répertoriées sur son Baou dont la grande face surgit d'un seul jet sur 200 mètres de haut.
En v2008-01-24-St-Jeannet-016.JPGoici une qui semble bien sympathique : « la Paranoïaque ». A éviter toutefois si l’on est débutant. Comme l’écrit un grimpeur, « c’est un « 6c » horrible à la vue, mais qui se prête bien au travail. Le pas du surplomb est vraiment horrible tout droit, mais en passant légèrement à gauche, ça va un petit peu mieux » !!
Nous aussi nous empruntons un chemin qui grimpe fort. « C’est la dernière côte, Jean ! » Nous atteignons alors l’entrée du2008-01-24-St-Jeannet-018-copie-1.JPG village. Un petit squar2008-01-24-St-Jeannet-017.JPGe ombragé adossé à la chapelle Notre-Dame-des-Champs nous offre une dernière vue sur le Baou de Saint Jeannet.      
D'origine médiévale, le village de St Jeannet est un site remarquable de beauté et de tranquillité, avec ses maisons en pierre du pays qui se serrent les unes contre les autres formant un rempart en entourant l'église.
Nous traversons le village et ses rues étroites, pour atteindre le café où nous allons nous désaltérer. Et au-dessus du café que voyons-nous ? 
Le Baou ! Mais celui-2008-01-24-St-Jeannet-019.JPGci c’est le Baou de la Gaude (altitude 798 m). Certains courageux voudraient l’escalader. Mais il est tard, ce sera pour une autre fois.    
 
Merci Bruno pour cette belle randonnée. Une rando sans histoires : ni chute, ni malaise, ni renard crevé !
 
Merci aux photographes : Yvette CHABANNE, Gérard CHARPY, Bruno GUERIN.
 
Prochaine sortie le 31 Janvier pour une randonnée sur les crêtes du Tanneron avec Jean BOREL.
 
Encore quelques photos :
 
2008-01-24-St-Jeannet-013.JPGRandonneuses devant le donjon du château du Castellet

Intérieur de la chapelle Notre-Dame des Champs2008-01-24-St-Jeannet-020.JPG  2008-01-24-St-Jeannet-004.JPG 
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18 janvier 2008 5 18 /01 /janvier /2008 14:38
Le Vallon de la Camiole
undefinedAujourd’hui Jean Borel nous propose une randonnée à Callian dans le Vallon de la Camiole. C’est un parcours facile de 13 km avec un petit dénivelé de 270 mètres. Excellent pour nous remettre en jambes, pour notre première randonnée de 2008. Car le mauvais temps de ce début d’année nous a contraint à un repos forcé durant deux semaines !
Heureusement aujourd’hui le ciel est dégagé, il fera beau. Nous voici 26 randonneurs2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-001.JPG au départ de Callian. Nous nous regroupons devant le lavoir du village. Jean demandeundefined à ces dames de poser en souvenir des « femmes au lavoir » que furent nos grands-mères. Et elles se prêtent au jeu !
Mais certains piaffent d’impatience, frustrés par nos deux semaines d’inactivité. Aussitôt Jean calme leurs ardeurs : « Marchez lentement, sinon nous aurons terminé à 11 heures ». Eh oui, tout le monde peut se tromper !
Nous quittons le village de Callian par une descente très pentue qui nous mène dans la vallée. Puis quelques minutes plus tard, c’est une belle grimpette qui nous attend. Arrivés au sommet nous faisons une petite pause casse-croûte. Mais est-ce l’effet de cette montée ? Tout à coup Nicole se sent mal et est obligée de s’allonger. Serait-ce contagieux ? A son tour, Monique semble vaciller sur ses jambes. Que faire ? 
Après quelques minutes de rep2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-006.JPGos, Jean décide que toutes deux – soutenues par Bruno et Daniel, que l’on voit ici portant le sac à dos de Nicole – attendront tout près d’ici pendant que le reste du groupe fera un petit tour. On avisera ensuite.
Notre petit to2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-007.JPGur nous conduit aux ruines de Velnasque, autrefois place forte qui protégeait le village de Callian. Nous terminons notre boucle et rejoignons Monique et Nicole. Manifestement Nicole n’est pas en mesure de terminer la randonnée. Jean propose de la raccompagner à Callian. Mais après mûre réflexion, il apparaît plus raisonnable que Jean reste à la tête du groupe, car lui seul connaît le parcours. Nicole retournera donc à Callian, accompagnée de Jacqueline et Daniel. Daniel prendra la voiture de Jean et emmènera ces dames sur le lieu du pique-nique que l’on peut atteindre très facilement en voiture. Daniel est muni d’une carte, de la clé de la voiture et d’indications claires, nettes et précises. Au besoin on se téléphone !
Notre groupe continue son chemin, en all2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-008-copie-1.JPGongeant le pas, car la matinée est déjà bien avancée. Nous marchons sur une piste qui ne présente aucune difficulté, sauf par endroits un sol bien gadoueux ! Quand enfin nous atteignons notre lieu de pique-nique, il est déjà 13 heures. Entre temps Jean a reçu de bonnes nouvelles du deuxième groupe. Ils ont atteint Callian et sont prêts à nous rejoindre en voiture.
Jean nous a vrundefinedaiment choisi un lieu de pique-nique merveilleux. A l’entrée, vue sur les sommets enneigés. Devant nous s’ouvre une vaste clairière, qu’éclaire un grand soleil d’hiver. Que la nature est belle, dans l’air parfumé par le thym et au son du bêlement des moutons. 
Nous voici tousundefined
alignés face au soleil pour savourer notre pique-nique. 
Un peu à l’écart, Marie préf2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-011.JPGère prendre ses aises. 
Seule ombre au tableau, le deuxième groupe n’est pas là. Mais où sont-ils ? Que font-ils donc ?






Après le repas, nous profitons du soleil. 
Pour les uns c’est2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-012.JPG l’he2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-013.JPGure de la sieste, pour d’autres c’est le moment de cueillir quelques bouquets de thym. 
Et nous quittons à regret cet emplacement délicieux.
Nous empruntons un chemin ombragé et quelque peu frisquet. Soudain quelqu’un crie : « Nous avons perdu Bruno ! » Et qui plus est, il s’est perdu avec deux ou trois randonneuses ! A dire vrai cela semble louche. Le groupe s’arrête, certains rebroussent chemin, à la recherche des brebis égarées. Quand au bout de longues minutes, nous percevons au loin le sifflet de Bruno. Il finira par nous rejoindre, lui et ses randonneuses. Leurs explications ne sont pas très claires. Ils se seraient soi-disant égarés à un embranchement. Le mystère reste entier. Jean ne manque pas de nous rappeler que le randonneur doit toujours avoir à l’œil celui qu’il suit comme celui qui le suit. Elémentaire !             
Nous rejoignons à présent une2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-014.JPG petite route qui longe de belles propriétés, avant de plonger vers Callian. 

Le village nous apparaît, dominé par le château féodal. Edifié sur un piton r2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-016.JPGocheux avec des tours d'angle des XIIe et XIIIe siècles, il a été restauré dans son état primitif par l'actuel propriétaire. Il est privé mais on peut visiter la salle des Gardes lors des Journées du Patrimoine.
A ne pas confondre avec le « Château Goerg », situé près de l’église. Il tient son nom d’Edouard Goerg, peintre et graveur du XXe siècle qui habita Callian, comme d’autres « célébrités des arts et des lettres ». Ce château appartient à présent à la commune de Callian. Il abritera bientôt un centre culturel.
Enfin nous arrivons à l’entrée du village. 
Et qui voyons-nous, venant à notre rencontre ? Jacqueline, Nicole et Daniel. Leurs explications sont un brin confuses. Daniel explique qu’il n’a pas trouvé la route qui menait à notre lieu de pique-nique. Jacqueline prétend avoir mangé à midi une excellente daube. Qui devons-nous croire ?? 
Pour fêter nos retrouvailles, prenons donc une photo2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-017.JPG   
du groupe devant le lavoir. Encore un lavoir !!
Puis pour finir en beauté cette belle journée, nous allons prendre un pot … et tirer les rois ! 2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-018.JPGTrois excellentes galettes nous attendent en effet, gracieusement offertes par Le Cercle de Boulouris et non moins gracieusement servies par Jacqueline. Et ceci à l’initiative de Jean !
  

Merci Jean pour cette belle randonnée, qui démarre en beauté 2008.
 
Merci aux photographes : Yvette CHABANNE, Gérard CHARPY.
 
Prochaine sortie le 24 Janvier pour une randonnée au « Baou » de Saint Jeannet avec Bruno GUERIN.
 
Encore quelques photos :
 
undefined
Que regardent-ils ? Auraient-ils vu un dirigeable ?

2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-004.JPG
 
 2008-01-17-Vallon-de-la-Camiole-005.JPG
 
 
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