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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 15:21
Les Gorges du Blavet
undefinedAujourd’hui Bruno Guérin nous propose une randonnée au bois du Défens et aux Gorges du Blavet. "Site grandiose et sauvage" où nous visiterons les grottes de Mureron. Ce parcours de 14 km (au moins !) pour un dénivelé de 590 mètres est classé "moyen". Ne serait-ce pas cette même randonnée que nous tentâmes en novembre dernier ? Et à laquelle nous renonçâmes après deux heures de marche, pris sous les bourrasques de neige ? Ce jour-là nous étions treize courageux. Aujourd’hui qu’il fait beau, nous voici 19 au départ : 14 femmes pour 5 hommes. Décidément les hommes ne tiennent pas le coup. Qui a dit "Trois femmes pour un homme, ça devrait le faire !" ?
Ce matin, Bruno nous fait démarrer de bonne heure (à 8h20 nous marchons déjà !) pour profiter de la fraîcheur matinale. Pour faire frais, il fait frais ! La première demi-heure sera même glaciale. "La météo a prévu 16 degrés" nous dit Ginou, arrivée en tenue printanière. Heureusement quelques âmes secourables lui prêtent un vêtement.
Dès le départ nous avons unundefinede vue splendide sur les falaises de Colle Rousse, illuminées par le soleil levant. Notre sentier longe un instant le Blavet dont nous verrons les gorges cet après-midi. Puis il grimpe à l’ombre parmi les bruyères arborescentes, les châtaigniers et les arbousiers, dont certains sont encore en fleurs. Nous contournons l’Eglise des Païens. (L’Eglise des Païens désignerait l’Eglise des non Juifs, c’est-à-dire la chrétienté des premiers temps). Pas la peine d’y chercher une église, il n’y en a pas !
Nous atteignoundefinedns maintenant le lieu où nous fîmes demi-tour en novembre dernier. Françoise réclame une photo commémorative. 
Voici donc la photo de groupe, où l'on peut voir que Paulette a la fringale ! 
Notre piste longe à présent le bois du Défens et ses pins. Puis nous empruntons un sentier qui se dirige vers le Sud et domine le ravin des Cigarières. Quel joli nom ! Ce sentier caillouteux et très raide nous mène à une barre rocheuse. Bruno nous a choisi pundefinedour la pause casse-croûte un emplacement magnifique au milieu des rochers et des cistes ladanifères. 
Il nous raconte : "
Les feuilles de ces cistes produisentundefined une gomme très odorante qui était utilisée il n'y a pas si longtemps dans la fabrication des plus grands parfums. Cette gomme visqueuse se récoltait à l'aide de lanières de cuir que l'on passait sur les plantes et que l'on grattait ensuite." Nous profitons de ces quelques minutes de repos pour nous chauffer au soleil. Après la fraîcheur du matin, quel délice !undefined
Les plus courageux vont escalader quelques rochers pour admirer la vue splendide sur Bagnols-en-Forêt.
Nous repartons plein Ouest, car - ceux qui suivent l’ont bien compris – nous nous sommes éloignés du Blavet et de ses gorges. Cap à l’Ouest donc ! Arrivés au carrefour de Bayonne, nous bifurquons à gauche : direction Sud ! Pour qui n’aurait pas vu la carte, Bruno nous a concocté un parcours en forme de deux boucles successives. La boucle du Bois du Défens étant bouclée, nous rejoignons la boucle qui nous fera faire le tour des gorges. En deundefinedscendant nous marchons parmi les pins aux troncs tordus sous l'effet du vent. En voici un particulièrement torturé qui semble enlacer (ou étrangler) Paulette. 
Mais l’appétit venant en marchant, il est temps de faire une halte pour pique-niquer.
Assis au milieu des rochers,undefined en plein soleil, avec au loin une vue imprenable sur mer, quel bonheur ! Après déjundefinedeuner, Bruno nous montre des rochers (sans aucun doute de rhyolite) fendus en deux, non par la main d’un homme fort, comme voudrait nous le faire croire Camille, mais par le gel tout simplement.
Nous repartons à présent par une piste en descente et atteignons le pont qui enjambe le Blavet. undefined
En amont nous admirons la vue magnifique sur les gorges. 
En aval, la riundefinedvière a creusé dans la roche une cuvette qui se termine en cascade. 


Merci à André qui, courageusement, est descendu   undefined
dans le lit du torrent (ça devient une habitude !) pour prendre en photo le groupe - du moins ceux qui se trouvent dans son champ.
Bruno nous explique :undefined
"
Ici nous sommes encore dans l'Estérel. Ses contreforts Ouest sont toujours ocre mais le massif s'est ici fracturé. La faille s'est produite dans une épaisse coulée de lave. Un volcanisme fissural a ainsi donné naissance aux gorges du Blavet". Une fois le pont franchi, nous repartons vers le Nord, jusqu’à atteindre le début des gorges. Devant nous se dresse uundefinedne falaise percée de cavités. 
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Nous grimpons en sous-bois un sentier très accidenté et de plus en plus raide. 
Nous longeons sur notre gauche la paroi rocheuse et atteignons bientôt la belle grotte de Mureron. undefinedGeneviève semble vouloir l'escalader mais sans succès. 
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Quelques-uns poursuivent le sentier qui monte au ras de la falaise. On aperçoit sur les parois abruptes des cordes et équipements d’escalade. D'ici partent en effet des tas de voies d'escalade aux noms évocateurs : "
au pet de ma blonde 6b, ocrement beau 7b+, grave party 8b .."
Enfin nous redescendons dans le lit du Blavet pour franchir un premier gué. Le photundefinedographe, toujours à l’affût d’un faux-pas et d’un bain malencontreux, repart bredouille, hélas ! Voici un deuxième gué encore plus facile. 
Le sentier nous offre de très belles vues sur les rochers environnants.
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Les bords des falaises sont coiffés de grands pins qui contemplent le fond tout en s'élançant vers le soleil (*). Enfin nous regagnons la route et bientôt nos voitures. La boucle est bouclée.
Ainsi s’achève une belle journée.
 
Merci Bruno pour cette belle randonnée.
 
(*)     Extrait du site http://www.merveilles-du-var.net/
Merci aux photographes : Nicole BRINSDON, Gérard CHARPY, André TUPIN.
 
Prochaine sortie le 28 Février pour une randonnée sportive à la Mangiarde (La Tour-sur-Tinée) avec Jean BOREL.
 
Encore quelques photos ?
 
Non, c'est terminé pour aujourd'hui.
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15 février 2008 5 15 /02 /février /2008 21:35
La Turbie
undefinedAujourd’hui Jean Borel nous propose une rando-resto à La Turbie, sur les hauteurs de Monaco. Qui dit "restaurant" dit randonnée plutôt cool; ainsi celle-ci ne fait que 8 km pour un dénivelé de 460 mètres. Partant de Monaco, il nous faudra rejoindre La Turbie et son célèbre trophée d’Auguste, par une série d’escaliers suivis de sentiers escarpés.
Nous voici donc à l'aube (il est 7 heures) sur le parking de Boulouris, … où nous laissons nos voitures ! Car aujourd'hui, – c'est une première –nous prenons le train. A l'exception de trois dissidents qui pour convenances personnelles, rejoindront Monaco en voiture.
Nous gagnons undefineddonc à pied la gare de Boulouris sur Mer et attendons le train de 7h14. Une fois montés à bord, nous retrouvons – précisément dans le wagon où nous sommes montés – les quelques randonneurs partis de Saint Raphaël. Une heure trois quarts plus tard, nous débarquons en gare de Monaco, où nous attendent Denise, Claude et Daniel. Quelle synchronisation remarquable !
Nous sommes donc à présent 33 randonneurs qui commençons à grimper dans les rues de Monaco. Très vite nous voici dans Beaulieu. Nous eundefinedmpruntons le chemin de Grima puis – comme prévu - une succession de marches d'escalier. 
Puisundefined nous nous regroupons, 











avant de traverser une dernière rue et de quitter la ville. Nous apercevoundefinedns devant nous le sommet de La Turbie – notre objectif – au-delà d'une splendide plantation d'orangers. Jean nous montre le profil de la randonnée. C'est simple : ce matin nous montons, sans nous presser, car le restaurant ne peut nous accueillir qu'à 13 heures. Et cet après-midi nous redescendrons !
A présent nouundefineds empruntons un chemin en pente douce en forme de balcon suspendu au-dessus de la mer. Le temps est superbe, la vue sur mer est magnifique. Un vrai bonheur pour les randonneurs. 
Nous marquundefinedons une pause.



Jean nous conte l'histoire de Monaco et de la dynastie des Grimaldi, puissante famille originaire de Gênes. C'est en 1308 qu'un Grimaldi acheta la seigneurie de Monaco. Passons rapidement sur les petites histoires familiales (Au 16è siècle, Jean est ainsi tué par son frère Lucien. Lucien est à son tour assassiné par son neveu. Charmante famille !) En 1852 le prince de Monaco autorise l'ouverture d'une maison de jeux. Première étape du développement de la Principauté qui attirera toute l'aristocratie d'Europe, puis le tourisme et les sociétés étrangères en quête de privilèges fiscaux. Monaco n'a cessé de se construire, jusqu'à devoir empiéter sur la mer. C'est donc ce
C'eundefinedst donundefinedc ce "temple du modernisme azuréen" que 










nous contemplons. 
A présent nous reprenons notre grimpette vers La Turbie, par un sentier rocailleux, dans un paysage plutôt aride. Puis nouundefineds parcourons une belle pinède. Voici près d'un arbre un joli pied de jacinthe (phoundefinedto dédiée à Yvette qui n'a pu venir). 
Enfin nous atteignons le sommet. 
Le groupe se rassemble devant le Trophée.
 
"Du haut de ce monumeundefinednt, vingt siècles vous contemplent" nous dit Jean. Il nous conte l'histoire de La Turbie. La destinée exceptionnelle de ce village tient à sa position stratégique, seule voie de passage à travers les reliefs escarpés de la côte.
Au premier siècle avant J-C, les Romains y édifièrent le magnifique Trophée des Alpes, à la gloire de l'Empereur Auguste. Ses victoires sur les peuplades ligures et alpines ont permis de pacifier la région et d'assurer la sécurité des communications vers les provinces occidentales, la Narbonnaise et les Espagnes.
Ce Trophée, symbole de undefinedpuissance, se dressait à l’extrémité méridionale du massif alpin. Il marquait la frontière entre l’Italie et la Gaule.
Le village de La Turbie deviendra plus tard place forte des Etats de Savoie puis sera rattaché à la France en 1860. Le Trophée - quasiment détruit en 1705 sur ordre de Louis XIV – fut restauré au début du 20ème siècle, grâce à un mécène américain.
Ce rappel historique nous a tous mis en appétit. Mais il n'est que midi. Certains en profitent donc pour visiter le Trophée. Tandis que les autres flânent danundefineds les ruelles aux demeures moyenâgeuses. De loin nous apercevons le Trophée et ses visiteurs. 
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Nous  voici devant la fontaine "Carolo Felice Rege", dédiée à Charles Félix, roi de Sardaigne.
Enfin voici l'heure du déjeuner. Domiundefinednique – qui a très gentiment accepté de reporter son anniversaire au 14 Février – nous offre l'apéritif. Quel âge a-t-il donc ? Pour le deviner, il suffit de compter les bougies sur sa part de dessert.
Comme un bonheundefinedur n'arrive jamais seul, à la fin du repas Maurice se lève, exhibant une louche flambant neuve. Debout sur une table, aurait-il préparé un numéro en duo avec le patron du restaurant ?? Mais celui-ci s'écarte, laissant Maurice nous interpréter l'Ami Jean-Pierre.
Après quatre undefinedcouplets et refraundefinedins repris en chœur sous la conduite de Denise, Maurice semble épuisé. Le patron récupère son couvercle tout bosselé, mais n'ose rien dire devant son personnel qui applaudit ! Nous prenons congé.
A présent il nous faut descendre sans tarder, si nous voulons attraper le train de 16h20. Heureusement la descente nous semble beaucoup plus rapide que la montée !! Mais bientôt il apparaît que certains ne suivent pas. Jean remonte prendre des nouvelles des traînards. Il paraît qu'André a égaré son appareil photo (flambant neuf lui aussi) et se prépare à retourner au restaurant. Certains se lamentent déjà : le train de 16h20 n'attendra pas !  Mais voici Andundefinedré et Monique, accompagnés de Bruno et Camille. André a retrouvé son appareil. Il était dans son sac ! 
"Cela mérite une fessée !" dit l'une. "Ca vaut bien une tournée générale !" lance un autre. Comme quoi, les goûts et les couleurs…
Nous reprenons notre descente, vraiment très rapide puisque nous atteignons la gare avec une demi-heure d'avance. Le retour en train  paraîtra un peu long, mais reposant pour les chauffeurs.  
Merci Jean pour cette belle randonnée sur les hauteurs de Monaco. Merci à Dominique pour l'apéro et à Maurice pour le spectacle.
 
Merci aux photographes : Nicole BRINSDON, Gérard CHARPY, Bruno GUERIN, André TUPIN.
 
Prochaine sortie le 21 Février pour une randonnée aux Gorges du Blavet avec Bruno GUERIN.
 
Encore quelques photos :
 
Le Troundefinedphée d'Auguste, seul monument comméundefinedmoratif 













de ce type qui subsiste eundefinedncore dundefinedu monde romain, avec celui de Trajan à Adam-Klissi en Roumanie.





Village de charme appundefinedrécié des touristeundefineds, La Turbie a su préserver son authenticité. Son "vieux bourg" est un havre de paix au charme pittoresque : ruelles pavées généreusement fleuries, placettes ombragées.
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8 février 2008 5 08 /02 /février /2008 13:46

Le circuit de PARACOL


undefinedVers 8 h 45, 27 marcheuses et marcheurs se retrouvent à la sortie du petit village LE VAL, proche de Brignoles pour accompagner Bruno sur 17 kms avec une dénivelée prévue de 600 m que quelques erreurs de parcours porteront à 705 m... Il fait beau et la journée se présente sous les meilleurs auspices. Par contre la température est encore fraîche, mais nous savons qu’à cette saison, le soleil réchauffe rapidement le fond de l’air.

undefinedPourtant tout avait failli mal commencer sur le parking de Boulouris, la roue avant gauche de la voiture de Bruno, qui traversait tout le groupe des randonneurs, a coincé le talon de la chaussure d’Yvette. Heureusement plus de peur que de mal .

A 9 h, notre petite troupe s’élance vers leundefined chemin de PARACOL. Première chapelle, celle de St Etienne  presque complètement envahie par le lierre. Heureusement, de l’autre côté de la rue, le joli oratoire est bien fleuri.

Nous commençons la rude montée qui va nous conduire jusqu’au site de Paracol. Le chemin est jalonné d’oratoires,  mais au début du chemin, un montage bizarre d’un reste de statue ( un nez !!!) a retenu notre attention. Alain qui ne se sentait pas en forme a préféré repartir vers le parking. Bruno s’assurera de son retour grâce au téléphone portable.

Nous atteignons une grande aire plate dont l’extrémité ouest est fermée par la chapelle St.Blaise. Nous sommes sur l’emplacement du   village initial. undefined

L'ancien oppidum celto-ligure de Paracol a du être réutilisé au temps des sarrasins comme place forte. De cette époque, il ne reste que quelques murs disséminés sur les deux cimes, et deux églises: Notre-Dame de Paracol, anciennement église sainte Marie, et Saint-Blaise, anciennement dédiée à Saint-Jean l'évangéliste. C'est la charte de Paracol qui définira le territoire de Le Val. *

La chapelle St Blaise a été restaurée en 1637 puis plus récemment, mais elle date de 1010. Devant la façade, un autel constitué d’une undefinedgrade dalle rocheuse  a été posé sur deux rouleaux à grains.

Après avoir pris la photo de groupe, nous continuons notre progression pour atteindre l’église Notre Dame de Paracol accrochée à un rognon rocheux sommital . Ce site pourrait être remarquable si on n’ y avait pas installé une énorme statue dorée de la patronne des lieux et un affreuse croix, gigantesque, en menuiserie métallique, verte de surcroît.  Certains prétendent qu’elle est de G. EIFFEL …undefined

On ne sait pas exactement quand l'église Sainte-Marie fut érigée à Paracol. Sa nef unique voûtée de plein cintre et son abside en cul de four la placent manifestement de l'époque préromane. Le décor de la table d'autel s'apparente à l'art paléochrétien . *

 Bruno nous désigne notre objectif, au nord-ouest, le CUIT, un piton dénudé.  Après avoir fait le tour de Paracol, nous cherchons en vain le chemin en descente qui doit nous conduire au Vallon des Flammes. Pas de chemin côté NO, nous repartons donc côté Nord par une bonne descente qui nous conduit …sur le chemin du retour. Heureusement le GPS nous remet sur la voie et nous pouvons poursuivre sur un chemin presque plat où nous allons faire la pause « banane » de la matinée.

Plus nous nous rapprochons du CUIT, undefinedn’oubliez pas que nous sommes dans le vallon des Flammes ( que de jeux de mots possibles), nous découvrons une vaste zone  "d’ arsins "      (restes de troncs calcinés), traces des incendies de 2003 vraisemblablement. Désormais c'est dans ce paysage désolant que nous allons circuler pendant quelques heures. Nous sommes maintenant au pied du CUIT, face sud mais la montée de ce côté est impossible ce qui va nous conduire à le contourner. Nous ratons un undefinedchemin qui revient vers l'est et nous  nous retrouvons devant le portail grand ouvert d'une résidence. Le propriétaire, passant en 4x4, nous autorise à pénétrer sur son terrain pour rejoindre notre chemin. Nous traversons une plantation de jeunes oliviers dont le terrain a été récupéré sur le brûlis. Tous les plants sont protégés par un plastique blanc et comme le font remarquer certains, cela rappelle un peu un cimetière militaire.

Enfin nous atteignons la base du CUIT avec l'objectif de pique-niquer à son sommet. undefinedCertains auraient préféré s'installer là, dans les rochers, mais finalement la majorité a entraîné tout le monde au sommet. Et là, tout autour de nous, a nos pieds, il n'y a que troncs calcinés et, ce qui est remarquable c'est la limite du feu, marquée par le chemin par lequel nous sommes arrivés : d'un côté  une forêt en pleine végétation, de l'autre…plus rien.

Le repas terminé nous redescendons puis nous avons à traverser une zone d'arsins et d'arbres couchés dans tous les sens. Parmi les arbustes qui ont repoussé, de superbes bruyères mauves adoucissent un peu ce paysage. Des bruyères fleuries à cette saison, ce ne peut être que l'espèce Erica Carnéa !    Mais où est le chemin  undefineddans cet enchevêtrement de troncs ? Finalement nous empruntons une trace qui nous conduit à la bonne bifurcation.

Le chemin monte et puis redescend, toujours dans la forêt brûlée.

Il fait toujours très beau, presque trop chaud ... pour des marcheurs de Février !

Tout d'un coup nous prenons conscience que nous remontons le chemin que nous avions descendu ce matin en partant de la Chapelle de Paracol.  Nous avons raté le chemin qui devait nous faire revenir au village en passant par la Chapelle Cyriaque. undefinedBruno décide de continuer et de revenir par notre chemin de l'aller.

Voilà, c'est fini nous retrouvons nos voitures puis allons prendre le pot de l'amitié dans le vieux village. Sur la recommandation du cafetier, nous visitons l'église. Il ne fallait pas manquer cela. Je ne serai pas aussi undefinedcomplet que le site   sur lequel je vous propose d'aller faire un tour : http://perso.leval.mageos.com/pages-htm/eglise.htm.

De plus il y a de belles photos. Rajoutons cependant qu'il y a aussi un superbe campanile.undefined

 

Merci Bruno de nous avoir fait découvrir cette région et de nous avoir commandé… du beau temps.

Merci aux photographes Gérad CHARPY, Yvette et Jean-Marie CHABANNE

 

La semaine prochaine, Jean BOREL nous emmènera de  Monaco à La Turbie avec un restaurant.

 


* Extrait de http://perso.leval.mageos.com/

 

Quelques photos supplémentaires : Les oratoires

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                             undefined                               Le "NEZ"
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