2021-11-28- Programme pour le jeudi 2 décembre
Programme du jeudi 2 Décembre
Intempéries le 25/11, pas de randos, pas de blogs et donc pas d'infos pour les randos du jeudi 2 Décembre.
Tout n'est pas perdu vous les trouverez ci-dessous.
Bonnes randos
G1
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G2
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2021/11/18- 689-2 Cotignac-N.D.des Grâces G2
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C’est sous la conduite de Jean Bo que nous allons marcher aujourd’hui.
Nous nous retrouvons à Cotignac comme il y a 14 mois mais sans les contraintes sanitaires. Souhaitons que dans le temps cela puisse se poursuivre ainsi. Le soleil est au rendez-vous accompagné d’une fraîcheur automnale.
« La rando prévue de 10,5 km et 300m de dénivelé sera réduite car nous devons rejoindre les G1 à Sillans la Cascade car aujourd’hui c’est rando-resto. Nous irons à la cascade du Gouffre en fin de randonnée si nous en avons le temps et ne monterons pas au Monastère Saint Joseph. Cotignac, village de 2000 habitants, les Cotignacéens est reconnu pour ses lavoirs, fontaines, monastères, maisons troglodytes… et ses richesses agricoles, vigne, oliviers et coings dont la fête a habituellement lieu le dernier dimanche d’octobre, mais après le covid l’an dernier c’est le gel cette année qui l’ont empêché d’avoir lieu. Parmi les personnalités attachées à Cotignac il y a Joe Dassin qui s’y est marié le 14 juin 1978. Dix ans auparavant il a chanté lors d’un gala gratuit. En remerciement la municipalité lui a offert un terrain sur les hauteurs de la ville où il a fait construire une maison provençale ». Allez-donc « siffler sur la colline »
Face à nous se dressent les tours sarrasines, départ par le passé de la randonnée.
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Nous accueillons Michèle une nouvelle randonneuse. Beps et Patrick seront nos serre-file. Nous sommes 33.
Nous nous dirigeons par un fort raidillon au sanctuaire Notre Dame des Grâces.
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De nombreux oratoires vont jalonner le chemin durant notre matinée.
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Avant d'arriver au sanctuaire, Jean va nous conter son histoire : « L'église a été construite en 1519 après les apparitions de Notre-Dame de Grâces à un simple paysan, Jean de La Baume, sur ce même lieu. Des religieux sont affectés au sanctuaire et très rapidement rattachés à la congrégation de l'Oratoire. D'abord modeste sanctuaire régional, le lieu devient un site de pèlerinage de premier plan lorsque le frère Fiacre augustin déchaussé, vient officiellement en pèlerinage depuis Paris pour y prier la Vierge afin d'accorder au roi Louis XIII un héritier. La grossesse de la reine Anne d'Autriche et la naissance du futur Louis XIV, sont vus comme un « miracle » accordé par Notre-Dame des Grâces. Cet événement attire l'attention sur le sanctuaire, et celui-ci restera lié à la monarchie jusqu'à la Révolution. À la Révolution, les révolutionnaires viennent, pillent et rasent totalement le sanctuaire. En 1810, l'église est reconstruite par les habitants du lieu. Elle est prise en charge par la congrégation des Oblats de Marie-Immaculée. Ceux-ci font réaliser des travaux d'aménagement dans le sanctuaire. En 1981, les Oblats transmettent la gestion du sanctuaire aux frères de la Communauté Saint-Jean. Aujourd'hui, ce sanctuaire accueille 140 000 pèlerins par an, ce qui en fait le premier site visité dans le département du Var. »
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Arrivés au sanctuaire nous nous arrêtons pour la pause banane et faire la photo de groupe mais difficile de regrouper tout le monde.
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Comme nous n’allons pas aller au Monastère Saint Joseph Jean nous explique alors qu’en ces lieux le 7 juin 1660, un jeune berger, Gaspard Ricard est assoiffé. St Joseph lui est apparu. "Je suis Joseph, soulève ce rocher et tu boiras". Gaspard s'exécuta et une source, qui coule encore aujourd'hui, se met à jaillir.
Tout de suite les habitants du village commencèrent la construction d'une chapelle. Cette chapelle, agrandie en 1663 fut confiée aux Pères Oratoriens qui édifièrent un petit couvent. Vint la révolution et si la chapelle resta debout, le couvent, abandonné, tomba en ruine. En 1975 les Bénédictines de Saint Benoit de Médéa (Algérie) revinrent en France et redonnèrent vie au sanctuaire.
En quittant le monastère nous passons devant la chapelle Saint Bernard
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et voici que sur notre droite se dresse la statue de Joseph de la Marche devant laquelle sont pris en photo notre animateur et les serre-file pour une fois mis à l’honneur.
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Nous passons devant la glacière Saint Martin « Rares étaient les villages qui ne possédaient pas de glacière. La glacière Saint Martin de Cotignac fut achevée en 1701. Elle ne fut exploitée que quelques années faute de revenus suffisants. Les premiers blocs de glace étaient posés sur des troncs d'arbre, et afin d'assurer une isolation, des bottes de paille étaient plaquées contre les murs. On abritait le tout avec des planches et de la paille, puis on fermait la glacière jusqu'à la fin de printemps. On transportait alors ces blocs entourés de peau. » avant d’arriver à la source Saint Martin.
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Nous passons devant la chapelle du même nom fermée, entourée de vignes rougissantes et d’oliviers.
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« La chapelle est mentionnée pour la première fois en 1174 lorsque le Pape Alexandre III, par sa bulle du 6 des Calendes de juin 1174, place des prieurés de Saint Marie et Saint Martin de Cotignac sous la dépendance des chanoines réguliers de Saint Augustin de Pignan.
Malgré la construction de 1266 de l’Eglise paroissiale Saint Pierre sur le site actuel du Village, le cimetière du Village restera situé à la chapelle jusqu’en 1582, preuve de l’attachement des villageois à ce lieu.
A la révolution le prieuré fut vendu à différents propriétaires et transformé en bâtiments agricoles ; il faudra attendre 1840 suite à la donation de la chapelle par la famille Allemand pour que celle-ci retourne au culte. Les autres parties de l’ancien prieuré sont restées la propriété de particuliers.
Après huit siècles d’Histoire tumultueuse, la chapelle Saint Martin, a besoin d’être profondément restaurée. De plus les peintures murales découvertes récemment dans la chapelle Nord, datées du XIII ou XIVème siècle, donnent de par leur qualité artistique et leur rareté en Provence, un caractère exceptionnel à cet édifice. (villages de caractère du Var) »
Nous empruntons maintenant des calades empierrées et commençons notre descente vers le village par une série d'escaliers.
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Nous découvrons alors la falaise faite de travertin, tuf d'origine sédimentaire et déposé par la rivière. La descente nous permet d'admirer les toits du village. C’est alors que nous découvrons le rocher avec ses anciennes maisons troglodytes. Possibilité de les visiter en prenant rendez-vous à l’office du tourisme.
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Ci-dessous la blogueuse recopie les explications trouvées dans Wikipédia par Jean-Marie l’an dernier.
Le travertin se forme aux émergences de certaines sources ou cours d'eau à petites cascades, par précipitation/cristallisation de carbonates à partir d'eaux sursaturées en ions Ca2+ et HCO3-. Cette cristallisation n'est généralement pas spontanée. Elle résulte des effets conjugués
• d'une chute rapide de la pression partielle de CO2 de l'eau ;
• d'une hausse de la température ambiante ;
• d'une augmentation de l'oxygénation ;
• de la turbulence des eaux ;
• d'algues (ex : Phormidium, Schizothrix), éventuellement au milieu d'une zone de bryophytes ;
• des hépatiques, qui comme les mousses peuvent s'encrouter ;
• de champignons, sous forme de filaments mycéliens (ils sont présents dans la plupart des travertins composés à partir d'algues et - rarement - ils abritent des lichens ;
• de bactéries (cyanophycées généralement);
• de bryophytes (Les roches fabriquées par des bryophytes sont parfois dites bryolithes).
La végétation repousse de manière continue sur la structure au fur et à mesure qu'elle se calcifie et meurt. Au sein de la roche qui se forme, la nécromasse se décompose progressivement (débris végétaux tels que feuilles et branches qui fermentent puis disparaissent) pour ne pratiquement laisser que la matrice minérale. Ce cycle est entretenu tant qu'un apport d'eau sursaturée en carbonate se poursuit et que les algues et bryophytes croissent plus rapidement que le travertin ne se forme.
Le travertin est très fin quand il s'est formé en présence de biocénoses d'algues fines et/ou de bactéries encroutantes.
Il est au contraire grossier, poreux et riche en microcavités s'il est plutôt produit sur des tapis épais de mousses (bryophytes de type Brachytecium sp., Bryum sp., Cratoneuron sp., ou Gymnostonum recurvirostrum (Hedw.). Les algues peuvent coloniser des mousses et il en résulte un faciès intermédiaire. Dans les travertins grossiers, se trouvent parfois aussi des feuilles ou branches ou racines fossilisées.
Nous traversons ensuite le village avec ses anciennes boutiques, son ancien moulin à huile, ses vieilles maisons avec des cariatides en hauteur, son église, ses fontaines, ses lavoirs….
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Au vu de l’heure nous ne pouvons aller à la cascade aussi Jean nous fait une proposition honnête à savoir y revenir après le repas puisque nous repassons par Cotignac. Nous regagnons nos voitures pour nous rendre à Sillans La Cascade au Vieux Chêne où nous retrouvons les G1 afin de partager comme à chaque fois un excellent repas : au menu - apéritif, assiette campagnarde et crudités, suprême de pintade à la tapenade, tomme de montagne, farandole de desserts, vin rouge et rosé en carafe, café.
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Le repas festif comme à l’accoutumée est accompagné de chansons interprétées par Jean Ma, Anne-Marie, Hervé et Nelly. Anne-Marie rend à sa façon un très bel hommage à Brassens dont cette année marque les 100 ans de sa naissance.
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Les G1 partis, seule la moitié des G2 décide de s’arrêter de nouveau à Cotignac pour se rendre à la cascade du Gouffre. Nous voilà cheminant dans le vallon Gai qui longe la Cassole.
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« Longue de 17,5 km la Cassole prend naissance sur le flanc est du Gros Bessillon à 735 m d'altitude, sur la commune de Pontevès. Le village est niché au pied de ce rocher. En 1776 une crue en amont du rocher a envahi le village et causé la mort de deux personnes. Un mur-digue a alors été construit pour canaliser l'eau vers l'extrémité ouest du rocher où la rivière s'écoule en deux cascades appelées les trompines.
Elle contourne le village dans un lit très encaissé (Le vallon gai). Elle a parcouru alors la moitié de son cours. Aucune crue notable n'a été enregistrée depuis celle citée ci-dessus.
Elle se jette dans l'Argens à la hauteur du village de Carcès, à 117 m d'altitude.
Avant l'installation des habitants la rivière Cassole passait par le sommet du Rocher et se déversait par une large cascade sur l'emplacement du village actuel. Vers 1032, dès la construction du château et des premières habitations, des travaux sont entrepris pour déplacer le lit de la Cassole ce qui fut effectif en 1740, permettant une meilleure utilisation de la force motrice de l'eau (moulins à huile, à blé, à papier…et usine hydro-électrique en 1897). (Wikipedia) ».
Le chemin est humide. Nous devons faire attention à ne pas glisser. Au bout d’un petit kilomètre nous l’atteignons.
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Malgré les pluies des dernières semaines l’eau ne coule pas abondamment.
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Merci Jean pour cette courte mais agréable randonnée et pour l’organisation du repas toujours aussi bon.
Les photos sont de Jean Bo, Nelly, Michèle F. Véronique et Rolande.
La semaine prochaine :
Attention pour les G2 – Ampus fait partie en théorie des communes du Var concernées par l’arrêté « équipement des véhicules avec des pneus hiver ou possession de chaînes » mais semble-t-il il devrait y avoir tolérance cette année.
2021-11-15-Le blog pour les nouveaux marcheurs
Le Blog pour les nouveaux marcheurs-2
La semaine dernière je vous avais promis un nouveau lien. Le voici ci-dessous. Il vous permettra de découvrir les grands moments des 20 dernières années de notre groupe de marche du jeudi.
https://randosboulouris2.over-blog.net/2020/03/10les-randos-du-jeudi-grands-moments.html
Il a été concocté pendant le second confinement en mars 2020. Pendant ces différentes périodes, blogueuses et blogueurs ont continué de publier sur différents sujets allant de la botanique à la minéralogie en passant par les Maisons forestières ou les iles lointaines. Si vous voulez les retrouver, allez dans la rubrique "Recherche" en haut de la colonne de gauche et inscrivez confinement ou déconfinement. Trois titres apparaîtront mais vous pourrez en voir d'autres en cliquant sur les petits chiffres qui sont alignés en milieu de page.
Bonne lecture
2021-11-11-875-Belle Barbe-Pic d'Aurelle-G2
2021-11-11-875-Belle Barbe-Pic d'Aurelle-G2
Patrick a choisi de maintenir la randonnée malgré une météo incertaine. L'avenir lui donnera raison.
A notre arrivée, l'accès au parking du col de Belle Barbe est fermé pour cause de "Course des Paroisses" : internet nous apprendra que cette manifestation est organisée pratiquement chaque année par les paroisses de Saint-Raphaël. Elle propose aux jeunes et aux moins jeunes 4 courses allant de 1 à 12km dans l'Estérel, ainsi qu'une marche familiale de 7km et réunit de l'ordre de 500 participants. L'importance de cette manifestation explique les infrastructures mises en place sur le parking de Belle Barbe que nous rejoignons à pied, et l'embouteillage que nous rencontrerons au retour après avoir repris nos voitures à la hauteur de l'aire de pique-nique de Gratadis.
Patrick présente le parcours aux 16 randonneurs présents
C'est une randonnée créée en 2017, de 12,4km pour un dénivelé de 270m, qui offre un beau spectacle avec pour décor les rochers de rhyolite amarantes et une vue plongeante sur la mer depuis le Cap d'Antibes jusqu'à Saint-Tropez lorsque la météo est favorable. Un parcours sans difficulté sur pistes et sur de bons sentiers, quelques fois caillouteux, typiques de l'Estérel
Il est 9h35 quand nous prenons le départ sous un ciel assez nuageux. Jean Masson sera notre serre-file
Un coup d'œil vers le ravin du Grenouillet que nous longeons jusqu'au gué
Après avoir contourné le rocher du Gravier nous prenons à droite en suivant le GR653A en direction du col Notre Dame
le sentier pierreux, en légère montée, s'élève au-dessus du ravin des Lentisques
offrant une belle vue sur la droite vers le rastel d'Agay
Jean Masson accomplit scrupuleusement sa mission de serre-file tandis que l'avant garde du groupe amorce la montée sur l'autre versant après un virage en épingle à cheveux
courte pause juste avant la cascade, pas très spectaculaire après la sécheresse de l'été
nous poursuivons notre chemin en légère montée le long du ravin des Lentisques
avant de déboucher sur la route qui relie le col de l'Evêque au col des Lentisques
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c'est là que nous ferons notre pause banane, après environ une heure trente de marche
nous sommes au pied de notre objectif du jour, le pic d'Aurelle, qui culmine à 323m d'altitude
nous empruntons sur la droite un sentier étroit en montée plus raide
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nous longeons le pic de l'Ours sur notre gauche
et en contrebas l'horizon vers le pic de l'Escale avec en premier plan quelques couleurs d'automne
petit temps de récupération à la baisse des Sangliers avant d'entamer la dernière montée pour atteindre le sommet du pic d'Aurelle
en chemin nous avons déjà une très belle vue sur la côte, Théoule-sur-Mer, le golf de Mandelieu et les îles de Lérins
vers 11h50 nous sommes au sommet
d'où nous surplombons la route de la Corniche vers le Trayas à gauche
et le vallon d'Aurelle à droite
la vue vers Cannes est très belle malgré l'absence d'ensoleillement
nous nous installons au sommet pour notre pause déjeuner
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beau panorama également quand nous amorçons notre chemin de retour. Le ciel est toujours très nuageux mais pour le moment nous échappons à la pluie
un moment d'hésitation au cours de la descente sur le chemin à prendre
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mais nous sommes rapidement de retour à la baisse des Sangliers
Nous prendrons un chemin différent de celui de l'aller pour retourner à Belle Barbe. Nous laisserons sur la gauche le ravin des Lentisques et emprunterons un sentier sur la droite pour amorcer une longue descente vers le ravin du Mal Infernet.
De cet endroit la côte est encore visible
nous nous arrêtons pour la photo de groupe
quelques passages délicats
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nous longeons le ravin de l'ubac de l'Escale
dominé par le sommet de l'Uzel aux couleurs magnifiques. Dommage que le soleil ne soit pas au rendez-vous !
De là où nous nous trouvons la grotte de l'Uzel n'est pas visible
tout au long de la descente une alternance de vert et de tons d'automne
avant de rejoindre le ravin du Mal Infernet, puis celui du Grenouillet jusqu'au col de Belle Barbe.
Nos tentatives pour trouver un bar ouvert à proximité en cette journée du 11 novembre ayant échoué nous nous quitterons après avoir remercié Patrick pour cette très belle randonnée, finalement épargnée par la pluie.
Nos remerciements également à Jean Masson, notre serre-file, et à Dominique pour sa contribution au blog.
La semaine prochaine, jeudi 18 novembre :
G1 :
G2 :
2021-11-11- 735 – LA LONDE DES MAURES-BREGANCON - G1
2021-11-11- 735 – LA LONDE DES MAURES-BREGANCON - G1
Nous sommes 20 randonneurs sur le grand parking de la plage de l’Argentière, bien vide en ce matin férié. La température est douce pour la saison et le soleil est avec nous. Quelques passages nuageux le voileront ultérieurement.
Comme à l’accoutumée notre animateur, Alain, nous présente la randonnée du jour.
Entre l’ Argentière et Cabasson, se trouvent les plus belles plages de la Côte d'Azur, préservées presque totalement de construction en bord de mer. Nous allons parcourir le sentier littoral d'ouest vers l'est. Et comme il n’y a pas de possibilité de faire une boucle, nous ferons un aller-retour, soit 16 à 17 kilomètres. La dénivelée ne sera composée que de la succession des caps (10 à 30 m) que nous devrons franchir entre les différentes plages (0 m).
Le groupe se met en marche pour traverser la plage de l’Argentière au bord de l’eau.
Au large croise un chasseur de mines, au nord-est des Iles d’Hyères.
En vue arrière le panorama s’ouvre sur le port de Miramar avec, en arrière-plan, la presqu’île de Giens et Hyères.
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A la fin de la plage se dresse la Pointe de l'Argentière. La mer étant agitée, même les plus téméraires du groupe n’envisagent pas le passage au bord de l’eau. Nous franchissons donc ce premier petit cap par des escaliers aménagés, menant au chemin qui passe en corniche sous les pins au-dessus de l'eau, avant de redescendre vers la mer : Il faut faire attention à la houle pour ne pas se faire mouiller les pieds...
Nous arrivons à la grande plage du Pellegrin.
Et là, une première surprise qui va mouiller les pieds de certains : après les pluies de la veille le ruisseau du Pellegrin qui débouche sur la plage devient un obstacle à franchir.
Arrivés à l’extrémité Est de la Plage du Pellegrin, sur notre gauche, une série de marches montent et le sentier du littoral franchit la première Pointe du Pellegrin.
Nous continuons sur le chemin au bord de la falaise pour arriver à la Plage de la Pointe du Pellegrin.
C’est une petite plage, couverte de Posidonies. Alain nous précise que « La Posidonie (Posidonia oceanica) n’est pas une algue mais une plante à fleurs marine présente dans presque toute la Méditerranée, et uniquement en Méditerranée. Elle est protégée depuis 1988. Grâce à ses racines elle fixe les sédiments des fonds marins et ses feuilles constituent une sorte d’écran qui freine l’énergie de la houle et des courants . Lors des tempêtes d’automne, les feuilles mortes des posidomies viennent s’échouer sur le rivage. Elles forment de véritables banquettes, édifices naturels qui amortissent les vagues et contribuent ainsi à la protection de la plage de l'érosion». Ces tas sont solides, mais souples, et y marcher est une expérience amusante, surtout quand ils cachent des trous d’eau dans lesquels la chaussure s’enfonce … deuxième surprise du jour ... !!!
Le sentier remonte à nouveau pour passer sur la deuxième, et principale, Pointe du Pellegrin. Nous dominons la première anse de Léoube et voyons devant nous l'îlot de Léoube.
Nous redescendons vers la plage principale de Léoube.
A l'extrémité Est de la plage, certains subissent un nouveau bain de pied lors de la traversée de l'exutoire d'un ru, en partie caché par le tapis de Posidonies.
Le Cap de Léoube est constitué de deux pointes. Nous longeons la première en corniche au-dessus de l'eau, avec passage d'obstacle inattendu.
Entre les arbres, nous voyons sur l'eau une curieuse plateforme flottante portant un feu de signalisation maritime.
Le passage de la deuxième pointe se fait plus à l'intérieur des terres. Nous commençons à voir, en arrière gauche des îlots de l'Estagnol, le rocher de Bregançon et en arrière plan l'île de Port- Cros.
Le chemin redescend vers la mer et la houle asperge le chemin qui nous fait face.
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Cette houle fait le bonheur de surfeurs, tant le matin que lors de notre retour l'après-midi.
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Nous faisons la pause banane sur la plage de l'Estagnol
Nous franchissons le cap de l'Estagnol. Puis nous faisons une photo de groupe.
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Le chemin continue, toujours en bord de mer ou à peu de mètres au-dessus de l'eau. Nous passons des criques et des petites plages.
Nous atteignons la plage de l'anse de la Vignasse.
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Nous ne passerons pas la Pointe éponyme, les rochers battus par les vagues présentant une dangerosité trop importante, et n'atteindrons donc ni la plage de Cabasson ni le fort de Brégançon. Nous revenons sur nos pas et nous installons, en ligne, sur la digue du petit port de l'anse de la Vignasse, pour la pause repas.
Après ce bon moment de réconfort, nous repartons, chemin inverse pour regagner nos voitures.
Les londais déjà attablés à la terrasse du café des sports nous ont gentillement accueillis pour notre traditionnel pot de fin de randonnée.
Les randonneurs radieux remercient Alain pour cette pittoresque et agréable randonnée.
Nos remerciements vont aussi aux photographes, Claude, Nadine et Alain.
La semaine prochaine, jeudi 18 novembre :
2021-11-09-Le blog pour les nouveaux marcheurs
Le blog Randosboulouris 2
Les deux liens ci-dessous sont pour toi, nouvelle marcheuse ou nouveau marcheur, venu nous rejoindre le jeudi au sein de cette sympathique équipe. Il suffit de cliquer dessus ou de le copier dans ton navigateur. Le premier explique comment bien utiliser le blog dans sa présentation actuelle.Pour mémoire ce texte a été publié pendant le 2eme confinement...
https://randosboulouris2.over-blog.net/2020/11/2020-10-05-votre-blog-et-le-deuxieme-confinement.html
Le second a été publié pour le 10ème anniversaire de notre blog, aujourd'hui il en a 15, c'est un bel adolescent. Il te permettra de faire la connaissance avec les "pionniers"...
http://randosboulouris2.over-blog.net/2016/05/10eme-anniversaire-08-05-2016.html
Et pourquoi ne viendrais-tu pas les rejoindre ? Nous manquons de doigts pour tapoter sur nos claviers et chacun de nous n'en a que 10 et encore nous ne les utilisons pas tous parfois !
Passe-nous un petit message à chab01@gmail.com, nous te donnerons une petite formation et t'assisterons dans tes premiers pas.
Ah ! oui, j'allais oublier, la semaine prochaine je vous communiquerai un autre lien sur le début du groupe de marche du jeudi et ses grands moments. Encore un confinement .
A bientôt, bonnes randos
2021 - 11 - 4 - 647 - Thiey par Nans et les canaux - G1
2021 -11 - 04 6 647 - Thiey par Nans et les canaux - G1
Nous sommes 17 à nous retrouver autour de Patrick sur le parking du Pont de Nans pour cette randonnée de 15,4 kilomètres et 728 mètres de dénivelé qu'il nous présente.
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Nous commençons par une belle montée aux couleurs automnales avec un grand soleil mais une température de 6°C ressenti 3°C. Elle nous permettra de nous effeuiller au fil des kilomètres.
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Changement de paysage avec la traversée de la forêt de Nans aux couleurs chatoyantes.
Nous avons même le privilège de croiser un élevage de chevaux.
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Pause-banane vers 11 h au Hameau des Canaux devant une superbe chapelle du 16e siècle que nous visitons.
Remarquez la boîte aux lettres sur la façade. Est-ce pour écrire au curé de la paroisse ou au Père Noël ?
Nous constatons le long des sentiers et chemins que de la neige est déjà tombée. L’hiver est précoce par ici!
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Nous entamons maintenant la partie la plus raide de la journée : la montée au sommet de La montagne de Thye qui culmine à 1553 m d’altitude.
Nous l’effectuons sans difficulté mais arrivons un peu essoufflés malgré tout car même l’animateur reconnaît qu’elle n’est pas des plus faciles. Effectivement, c'est une pente sans sentier à travers un alpage pentu de plus de 400 mètres de dénivelé sur 1,5 km.
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Mais cela en valait vraiment la peine car la vue à 360° nous permet de découvrir un paysage magnifique et varié avec à l’arrière-plan la Grande Bleue d’un côté et le Mercantour de l’autre.
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Pique-nique rapide à la demande des randonneurs car à cette altitude la température n’excède pas en ressenti le 6°C et après cette belle montée les corps se refroidissent vite.
Puis nous commençons la descente où les champs de pivoines sauvages de JM ont disparu.
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Notre belle aventure se termine à Saint-Valier-de-Thye où nous reprenons des forces autour d'une délicieuse bière artisanale.
Nous sommes ravis d’avoir fait cette magnifique randonnée nouvelle au catalogue et remercions chaleureusement Patrick qui lui-même remercie Joël et Thierry pour leur aide et leur participation inconditionnelle. Il tient aussi à remercier les randonneurs pour la bonne ambiance qui a régné tout au long de la journée.
Merci également à Peter et Thierry dont les photos s’ajoutent à celles de Patrick et merci à Dominique pour le montage du blog faute d'avoir pu se joindre à nous.
Jeudi prochain, le 11 novembre:
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Nous sommes 32 au départ de cette randonnée animée par Jean Masson, qui est une reprise de celle créée en 2017 par Jean-Marie, avec quelques variantes.
Jean souhaite la bienvenue à Marie, nouvelle venue au club, et nous présente le parcours du jour : c'est une belle boucle d'environ 12 km et 200 m de dénivelé, typique du massif des Maures, avec forêt, ruisseaux et grandes pistes. De bons chemins dans l'ensemble avec un retour par les crêtes se terminant par une descente un peu pentue avant de rejoindre les voitures en longeant la route sur quelques dizaines de mètres.
Il termine sa présentation en nous faisant partager la difficile condition d'animateur confronté aux indications de distance et de dénivelé parfois sensiblement différentes d'un logiciel à l'autre et sollicite notre indulgence s'il s'avérait que les données constatées diffèrent légèrement de celles annoncées.
Nous l'assurons qu'elle lui est acquise et c'est dans une atmosphère empreinte d'empathie que nous quittons le petit lac du Fournel, dont le niveau a baissé de l'ordre de 2 mètres du fait de la sécheresse.
Alain sera notre serre-file.
l'impact de la sécheresse est très visible
Il est 9h10. Nous nous engageons sur une piste large et confortable
Le ciel est bleu mais la température est fraiche pendant la première demi-heure
Nous passerons deux gués pratiquement à sec avant de faire une première pause au lieudit Ginestou, surplombé par les ruines d'une ancienne ferme.
la piste se poursuit entre les chênes. Un peu plus de relief mais nous apprécions d'être pour un moment à l'abri du vent
les vues sur le Massif de l'Estérel, et au-delà sur les sommets enneigés du Mercantour, sont magnifiques. Alain nous signale qu'on peut distinguer le sommet du Mont Gelas qui culmine à 3143 mètres.
Un court arrêt, le temps pour Jean de nous dire quelques mots sur l'exploitation passée des chênes-lièges dans ce massif. Le chêne-liège est un arbre unique en son genre car son écorce, qui par ailleurs procure à l'arbre une bonne protection contre l'incendie, se régénère une fois extraite. la première écorce, mâle, est extraite au bout d'une quinzaine d'année. Les écorces suivantes, femelles, pourront être prélevées pour l'exploitation du liège. L'opération pourra se répéter à plusieurs reprises durant la vie de l'arbre à un rythme régulier( tous les 10 à 15 ans).
Nous verrons, tout au long de notre randonnée, les traces du gros incendie qui avait touché le massif en 2003.
La piste large se poursuit, tantôt au milieu des chênes, tantôt bordée de mimosas
Un arrêt au soleil après environ une heure de marche
Après avoir passé un nouveau gué pratiquement à sec, concertation entre Jean et Alain sur la route à suivre
C'est reparti...
nous dominons le vallon du Fournel
avant d'arriver au gué. Le niveau de l'eau est faible. Aucune difficulté pour la traversée.
Le ruisseau du Fournil rejoindra le petit lac du même nom que nous avons vu au départ avant de se jeter dans l'Argens.
C'est l'heure de la pause banane. Le soleil commence à nous réchauffer.
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Après avoir emprunté un sentier plus étroit et pierreux le long de la rivière pendant une vingtaine de minutes, c'est le moment de la traditionnelle photo de groupe, dont se charge Jean-Marie
Nous poursuivons avec un sentier en montée alternant l'ombre et la lumière
Arrivés au sommet, recherche d'un coin au soleil pour la pause repas. Pas facile de trouver un endroit confortable à l'abri du vent qui reste très frais
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Nous ne nous attarderons pas et prendrons un chemin de crête en traversant une propriété réservée à la chasse
La vue sur le Massif est magnifique
Nous sortons de la réserve de chasse
Nous continuons à profiter du panorama, qui s'étend par endroit jusqu'à la mer, pendant une vingtaine de minutes avant d'aborder une assez longue descente par un sentier étroit et caillouteux qui nous ramènera jusqu'à la route et à nos voitures
Les bars ouverts dans les environs étaient rares. Nous avons finalement pris le pot de l'amitié dans le centre du vieux village de Roquebrune, avec vue sur le Rocher par delà la Chapelle Saint-Michel.
Le moment de remercier Jean pour cette belle randonnée.
Nous remercions également Alain, notre serre-file, et Jean-Marie, pour leur contribution à ce blog.
La semaine prochaine :