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21 avril 2017 5 21 /04 /avril /2017 16:01

Le tour des 2 « Mont Chauve », d'Aspremont  et des Tourrettes G2.

Jeudi matin à 9h30 nous sommes 19 randonneurs à nous retrouver toujours avec beaucoup de plaisir à Aspremont sur les collines Niçoises pour une randonnée conduite par Roland.

Pas de blogueur aujourd'hui et seules quelques photos sont prises par Gérard auxquelles sont ajoutées celles de fleurs transmises par Roland qui a également rédigé le texte.

 

La randonnée annoncée est de 8.6 kms et 365 m. de dénivelé.

Départ pour le tour du Mont Chauve d'Aspremont en passant par l'édifice militaire du même nom culminant à 853m d'altitude.

Nous traversons les jardins autour du village avant de monter par un sentier caillouteux. A « la pose banane » nous pouvons observer les montagnes enneigées du Mercantour et du Cheron, le Mont Vial et les baoux.
Arrivés sur la partie sud sur un parcours plus aisé nous observons de très beaux panoramas sur les sommets des Maures, de l’Estérel, l'Esteron, les collines Niçoises, la baie des Anges, le cap d'Antibes les îles de Lerins, St Laurent du Var, l'aéroport, les artères principales de la
ville de Nice.

Nous observons le village perché de Falicon, l'usine d'eau de Rimiez terminus du canal de la Vésubie (Canal de Gairaut). Plus à l'Est la baie de Villefranche, le cap de St Jean, les forts du Mont Boron de la tête de chien et du Mont Agel, le village de la Turbie et le trophée d'Auguste.
Nous arrivons pour déjeuner aux fortifications du mont Chauve par un ancien chemin militaire asphalté par endroits.

 

 


Le système Séré de Rivières est un ensemble de fortifications bâti à partir de 1874 le long des frontières et des côtes françaises, en métropole ainsi que dans quelques colonies. Ce système défensif remplace les fortifications bastionnées mises en place notamment par Vauban. Il doit son nom (non officiel) à son concepteur et promoteur, le général Raymond Adolphe Séré de Rivières.

Le système est fondé sur la construction de plusieurs forts polygonaux enterrés (qualifiés de « forts Séré de Rivières »), formant soit une ceinture fortifiée autour de certaines villes, soit un rideau défensif entre deux de ses places, soit des forts isolés. Ces éléments ont été partiellement modernisés de la fin du XIXe siècle jusqu'en 1918, pour former ce que les Allemands ont appelé la « barrière de fer ». Son équivalent est en Allemagne la série des forts von Biehler et en Belgique les forts Brialmont.

Les forts Séré de Rivières subirent l'épreuve du feu lors de la Première Guerre mondiale, soit quarante ans après le début de leur construction : ils démontrèrent par leurs résistances l’intérêt de la fortification (Douaumont, Moulainville, Vaux, etc.). La grande majorité d'entre eux sont déclassés pendant l'entre-deux-guerres, leur rôle étant repris par les ouvrages de la ligne Maginot. Les forts, rendus aux communes, sont maintenant le plus souvent laissés à l'abandon. Néanmoins, certains restent propriété du ministère de la Défense en raison des bombardements reçus rendant la dépollution pyrotechnique quasi impossible. (extrait de Wikipédia)

Après le repas pris sur une terrasse du fort nous empruntons le chemin du retour. Normalement que de la descente !!...sauf que le sentier traverse un parcours de paint ball !!!
Que de difficultés pour avoir le groupe de face en entier dans l'objectif : 3 photos sont nécessaires. Chacun choisira son meilleur profil.

 

 


                                                                                                 

Par sécurité nous empruntons le sentier vers la baisse de Guigo afin d'éviter cette embûche.
Le retour sur le village se fait par un parcours « régulier » et « gentil ». Voila bien des termes d'accompagnateur qui ne rougit pas !!! (vous comprendrez tous de quoi nous parlons!!).
Retour par la Bergerie la Prairie le chemin du Campoun et celui de la Vallière. Nous sommes salués au passage par de jeunes tennismen très sympathiques.
Tout au long des sentiers nous observons une flore très riche à cette période de l'année : Thym euphorbe, amélanchier, muflier, valériane....etc


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour notre confort le trafic aérien de l'aéroport de Nice a été interrompu à 10h00 et rétabli vers 13h30. L'organisation ne recule devant aucun sacrifice. Seul le Cercle de Boulouris intègre ce genre de détail dans ses randos !!!

Nous prenons le pot de l'amitié chez Edith...il est même question des chutes de neige sur le lac Majeur !!! Puis nous nous séparons après une estimation judicieuse : « nous avons environ 1500 à 1600 ans en cumulé.."!!

 

 

Merci à Roland pour cette agréable randonnée, qui lui de son côté remercie les randonneurs pour leur gentillesse et leur bonne humeur et leur dit :"à bientôt sur les sentiers".

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17 avril 2017 1 17 /04 /avril /2017 09:25

Les Trois Sommets de l'Estérel - G1

 

 

Ce sont 14 masos qui se retrouvent à 8h sur le parking du Manoir en ce jeudi 13 avril, sourires aux lèvres!

 

 

 

Après un voyage agréable en voiture, une première surprise nous attend: la petite route qui conduit à la Maison Forestière du Malpey est fermée donc il faut laisser les véhicules sur le parking du Col du Testanier, et commencer la randonnée à cet endroit-là, soit 3 kilomètres en plus pour une rando de 25 kms avec 850 mètres de dénivelée. Peu importe, nous sommes prêts à relever le défi, d’autant qu’Anne-Marie nous propose un échauffement pour préparer nos mollets.

 

Alain nous présente la randonnée et est impatient de partir mais heureusement, André l’arrête dans son élan et lui rappelle qu’il faut attendre le feu vert du serre-file, rôle qu’il va assumer à merveille. Nous voici donc en file indienne sur le GR51 bordé d’eucalyptus géants.

 

 Nous dépassons la maison forestière du Malpey et poursuivons notre chemin sur le GR 51 que nous quitterons pour un sentier en balcon qui domine la baie de Saint-Raphaël encore enveloppée dans la brume matinale.

 

Nous arrivons une heure plus tard au Mont Vinaigre, le plus haut sommet de l’Estérel - 614m - et non pas 641 comme l’indique la pancarte. Le magnifique panorama à 360 degrés nous laisse bouche-bée et nous l’admirons en reprenant quelques forces avec bananes, abricots secs et autres denrées aux mêmes valeurs énergétiques.

Un groupe de Fréjus partage la superbe plate-forme avec nous et des messieurs du Cercle se mettent à discuter avec un cycliste chevronné que nous invitons à poser avec nous pour la photo de groupe.

 

Mais il faut quitter ce cadre de rêve pour se diriger vers la maison forestière de La Duchesse, puis en direction du Plan Pinet, par le GR51.

 

Une longue marche sur un sentier rocailleux commence alors dans le silence et nous nous arrêtons enfin au sommet d’un rocher d’où nous voyons la source d’une cascade plutôt asséchée.

Arrivés au Plan Pinet, nous continuons sur la piste jusqu’à la Baisse Violette, et admirons les parterres de fleurs et plantes printanières telles que dames de onze heures, différents types de cistes, lavande-papillon, bruyère, euphorbes buissonneuses, coronilles (arbustes à fleurs jaunes) et arbousiers dont les fruits de l’automne prochain commencent déjà à se voir.

 

Nous empruntons un raidillon et même directement un pierrier pour certains rebelles qui font fi du chemin suivi par le groupe, afin de rejoindre la Baisse des Pourraques.

 

 

Alain nous propose un aller-retour au sommet du Marsaou, le troisième plus haut sommet de l’Estérel à 548m d’altitude. La pente très accentuée valait la peine car nous découvrons une vue splendide dans un champ d’asphodèles, une véritable carte postale de toute la baie de Cannes jusqu’au Mercantour. Non, Jean-Pierre, ce n’est pas encore l’heure de la pause-déjeuner!

 

 

 

Nous redescendons sur la Baïsse des Pourraques et montons par un joli sentier peu pentu au sommet des Suvières (2ème plus haut sommet de l’Esterel oriental) après une agréable grimpette, à l’approche du point culminant (559m), parmi les rochers.

 

Là encore, paysage à 360 degrés époustouflant, au coeur d’un des plus beaux sites de l’Estérel entouré de roches rouges dans une nature verdoyante, avec vue sur le Massif du Cap Roux, le Dramont, le Pic de l’Ours, et le Mont Vinaigre.

Cette fois, nous pouvons sortir le casse-croûte! Pause-déjeuner bien méritée que nous prenons dans un décor féérique qui se déploie sous nos yeux à perte de vue.

 

 

 

Mais nous n’avons fait que 12 kilomètres donc il nous faut reprendre les bâtons! Nous nous faufilons avec aisance entre les roches

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

et arrivons à la Maison Forestière des 3 Termes toujours habitée et où nous apercevons effectivement le kangourou dont Alain nous avait parlé – je pensais qu’il blaguait!

 

 

 

Notre animateur nous signale que nous sommes au Col des 3 Termes ce qui signifie que nous avons les pieds (démonstration à l’appui!) sur trois communes (Fréjus, Saint-Raphaël et Mandelieu) ainsi que sur deux départements (le Var et les Alpes-Maritimes).

 

 

Nous prenons la piste « H20 St-Jean » et découvrons après un virage de jolis points de vue sur Cannes et le Mont Pelet, les Iles Lérins et le Cap d’Antibes que nous devinons à l’horizon.

 

 

 

Ce joli sentier ombragé nous mène au site de la Clavette – 376m. Un petit passage rocheux quelque peu délicat nous permet de traverser cette brèche, au milieu de rochers et aiguilles aux formes surprenantes et amplifiées par les nuances ocre de la roche.

 

 

 

 

 

Nous repartons pour arriver de nouveau à la Baisse Violette et reprendre une partie du trajet aller vers Le Pan Pinet et la MF de la Duchesse, en empruntant cette fois La Route des Cols.

Nous faisons un court détour vers un petit lac sur lequel s’étalent des nénuphars sur l’eau verdâtre et stagnante.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Arrivés à La MF de la Duchesse, nous contournons le Mont Vinaigre - hors de question de le grimper à nouveau !

Nous reprenons la route sur un chemin plat et passons sur notre droite un rocher qu’Alain nous prie d’observer attentivement. Nous sommes d’accord, il a bien l’air d’un fantôme, ou d’un gorille comme le suggère André! Alain ajoute que ce sera encore plus le cas un peu plus loin en se retournant après le virage et il a raison, la ressemblance est encore plus frappante!

 

Enfin, nous apercevons une route goudronnée au bout du chemin de rocailles. Maurice, Jean-Pierre et André, fous de joie, se mettent alors à inventer la « danse du goudron » bâtons en l’air!

 

Ce « tapis » tant attendu nous mène au Col de l’Aire de l’Olivier, mais notre joie se ternit vite car nous entamons un nouveau sentier, pour rejoindre le Col du Testanier, bien marqué au départ et qui disparaît progressivement dans le maquis.

Nous récupérons notre GR par une descente non prévue d’un versant couvert de broussailles et de petits arbustes parmi lesquels il faut se frayer un chemin en espérant ne pas glisser!

 

On se croirait dans la jungle mais nous finissons par regagner le parking avec quelques écorchures pour certains.

 

Anne-Marie propose des étirements pour détendre nos muscles qui ont bien souffert, mais nous déclinons son invitation pour accepter celle d’Alain qui suggère de nous remettre avec du cidre qu’il a eu la bonne idée de laisser au frais dans son coffre!

 

Impossible d’ouvrir la troisième bouteille alors Maurice propose ses biceps mais peinant lui aussi, se met à nous faire cette fois la « danse du bouchon »!

 

 

Nous remercions Alain et trinquons à nos exploits avant de regagner le confort de nos voitures!

 

Nous avons fait 28 kms avec 1000 m de dénivelée! Bravo à tous et à toutes ! Un grand merci à Alain pour cette magnifique randonnée inédite et à Anne-Marie pour l’avoir accompagné en reconnaissance en plein mois de janvier, pour l‘échauffement et son aide avec le nom des plantes!

Merci à Claude pour son aide sur le plan technique, et encore à Alain pour la documentation fournie pour la rédaction du blog et pour avoir relu mon texte avant sa publication, sans oublier le cidre!

 

Merci aussi à Auguste Muterse qui a aménagé la foret de l'Estérel et dessiné ses routes, comme l'indique la plaque commémorative à l'Aire du Col de l'Olivier.

 

 

Jeudi prochain 20 avril, rendez-Vous à 7 heures sur le Parking du Manoir pour une randonnée du Groupe 1, conduite à nouveau par Alain, en moyenne montagne à Levens « Les Crêtes du Férion » dans les pré-alpes niçoises.

 

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15 avril 2017 6 15 /04 /avril /2017 12:17

Raid tour de l'Estérel par les sommets

 

Nous remercions le Cercle de Boulouris de nous accueillir sur son site pour publier le récit de notre aventure dans l’Estérel.

Pour la 3ème année consécutive des marcheurs du Cercle de Boulouris et de la GV (Alain W., Daniel et Didier) ont organisé le « Raid Tour de l’Estérel par les sommets ».

 

 

 

 

 

Cette année des randonneurs des Baragneurs ont rejoint le groupe ainsi qu’un ami, adepte de la danse de salon qui, projetant de marcher sur un tronçon du chemin Compostelle, voulait se « chauffer les jambes ».

Deux jours de marche étaient prévus, avec environ 30 km et 1200 m de dénivelée cumulée par jour.

Nous étions 12 participants le premier jour, 9 le deuxième et 7 courageux ont fait le raid complet (2 randonneuses et 5 randonneurs).

 

1ere journée.

 

Alain W.  avait organisé le covoiturage de façon très efficace pour nous permettre de rentrer dormir à la maison entre les deux sessions. Nous nous sommes donc levés tôt pour aller garer des voitures à la Louve, à 6 heures, puis gagner Théoule, pour un départ du raid  à 7 heures. Après quelques exercices d’échauffement sous la direction de Jean-Yves, nous nous mettons en route.

A 7h38 nous assistons, à la Pointe de l’Aiguille, au lever du soleil en plein milieu des îles de Lerins : un spectacle féerique.

Nous voilà donc ravis  et tout joyeux de monter vers Notre Dame d’Afrique.

Nous poursuivons vers le Col de Théoule

Après les pluies de la semaine dernière, le printemps a fait sortir les fleurs et nous rencontrons « des champs » d’Asphodèles.

Après le Col de Théoule nous empruntons le GR51, bien raviné, pour aller au Col du Trayas puis à celui  de la Cadière. Ensuite nous poursuivons vers le Col des Trois Termes, en passant à proximité du Mont Saint Martin et du Mont Pelet.

 

A la maison forestière des Trois Termes nous cherchons les kangourous… Ce sont les oies que nous découvrons. Mais sur la terrasse du bas nous observons un Wallaby et la photo prise nous révèle la présence d’un petit dans la poche ventrale.

 

 

 

 

Un petit sentier sur la droite, juste après la maison , nous conduit à la Baïsse des Pourraques.

 

Nous faisons un aller-retour au sommet du Marsaou (547m), la pente est un peu raide.

Puis nous grimpons en haut des Suvières (559m), sans rencontrer de difficultés et  nous déjeunons au sommet.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les forces étant reprises, nous allons à la Baïsse Violette, pour retrouver le GR51, puis passons la MF de la Duchesse, direction le Mont Vinaigre.

Au sommet du Mont Vinaigre (614 m) nous rencontrons des randonneurs et des VTTistes  sympathiques qui feront notre photo de groupe.

 

Puis nous redescendons vers la Maison Forestière du Malpey.

Aller, un dernier effort pour le Mont Aigre (450m) et c’est la descente vers la Louve, en partie par le GR49.

 

Bilan de la 1ere journée : 10h37 de randonnée dont 8h17 de marche effective pour effectuer nos 30 km et 1 370 m de dénivelée cumulée. Soit une vitesse moyenne de près de 3,7 km/h, un bel exploit pour nous.

 

 

2 ème journée.

 

Alain nous avait réservé une « grasse mat » puisque le départ de cette seconde session était fixé à 7h à la Louve. Il fait encore un peu frisquet à cette heure (3°).

Le lever du soleil est moins spectaculaire que celui de la veille.

La première partie de notre randonnée est toute facile car sans dénivelée. Nous découvrons le massif de l’Estérel  sous un aspect assez inhabituel, car nous traversons un "plateau" verdoyant.

 

Un petit détour par les étangs de la Péguière, pour la joie des photographes.

Nous empruntons la piste Castelli avant de plonger au Sud, vers le vallon de la Cabre où coule le Perthus.

Les pluies de la semaine dernière ont gonflé les ruisseaux (Perthus et Grenouillet).

 

 

Nous devons traverser deux gués : un lancer de pierres stratégique permettra de les franchir à pieds secs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après avoir passé la ferme du Grenouillet, nous arrivons au Gratadis.

 

Dans le vallon du Colombier une petite cascade rend le site si bucolique qu’il nous inspire une danse quelque peu tribale.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous allons attaquer la partie difficile de cette journée et nous dirigeons vers le plateau d’Anthéor.

 

 

Devant nous, nous reconnaissons le Saint-Pilon, que nous contournons. (Mais l'ascension du Saint-Pilon prévu pour l'année prochaine fait déjà rêver certains !)

 

Le Col du Saint-Pilon passé, nous atteignons le Col du Cap Roux, au pied du Pilon.

Nous prenons le temps de faire une petite pause, dans ce décor de Far-West, dominant les aiguilles de roches rouges du Massif du Cap Roux, du Rocher du Cabrier  et du Rocher de Saint Barthélémy

Nous nous préparons à l’escalade du Pic du Cap Roux (453m) : un aller-retour facultatif jusqu'au sommet. 

La vue est splendide et porte jusqu'au Mercantour enneigé.

Nous redescendons vers le Col de l’Evêque où nous déjeunons.

Nous repartons vers le pic d’Aurelle, via la Baïsse des Sangliers. Les panoramas en son sommet (323 m) sont toujours aussi beaux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous redescendons et, par le Col des Lentisques, nous allons au Pic de l’Ours (470m).

 

Puis nous nous dirigeons vers le Col Notre-Dame par la dent de l'Ours, avec une carie bien marquée.

 

Nous enchaînons par les Grues : les Petites Grues (413m) se montent facilement mais, dans l’ascension des Grosses Grues (440 m), Alain W. et Claude  ont un coup de fatigue. Une petite barre de céréales au sommet, et ça repart !

 

 

La descente des Grosses Grues se fait par une sente inédite pour la plupart, et quasi directe jusqu’au Col du Trayas. La pente est raide en sous-bois puis au travers un pierrier, mais c'est un bon raccourci.

Nous nous dirigeons vers le Collet des Monges.

Un passage en "ascension-grimpette"  au Rocher des Monges (300 m) pour les plus courageux.

La fin de la randonnée approche quand nous atteignons le col de l’Autel et  le retour vers le port de Théoule se fait rapidement.

 

Bilan de la 2ème journée : 11h10 de randonnée dont 8h40 de marche effective pour effectuer nos 29,5 km et 1 447 m de dénivelée cumulée. Soit une vitesse moyenne de 3,4 km/h.
Nous sommes bien fiers d’avoir relevé ce défi de 2 jours sur les sommets de l'Estérel.

 

C’est avec un grand plaisir que nous ôtons nos chaussures de marche et nous nous attablons pour le pot final au Marco Polo.

 

Encore merci à Alain W., Daniel et Didier pour l'organisation, à Jean Yves, notre coach pour les échauffements et étirements et félicitations à tous les participants pour leur bonne humeur et leurs sourires durant ces deux journées.

Les photos sont de Alain W., Alain B. Didier et plus rarement de Claude C. 

Le texte de Claude C.  a été amendé avec les précieux commentaires de Alain W. 

 

Nous espérons vous avoir convaincu à nous rejoindre l’année prochaine. 

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