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2 mai 2014 5 02 /05 /mai /2014 14:08

Du cap Camarat au cap Taillat

Aujourd’hui, dans la série « Saint-Tropez – Sentier du littoral », Jean nous propose le circuit n° 2, du cap Camarat au cap Taillat.

Il nous promet « entre ciel et mer, entre vent et soleil, une immersion dans l’authenticité méditerranéenne d’un littoral préservé ».

Nous voici 23 randonneurs sur le parking du cap Camarat. Il fait un temps superbe, la journée promet d’être belle.

Jean nous présente la randonnée : « On va descendre directement en bas du phare de Camarat. Puis on longera la côte jusqu’au cap Taillat, où l’on pique-niquera. Ensuite on reviendra par l’intérieur ».

Jean nous montre le profil de la rando : près de 16 km et 369 m de dénivelé.

Puis nous posons pour la photo de groupe.

Avant de descendre vers la mer, d’une bonne centaine de mètres.

La pente est raide. Heureusement des marches ont été installées qui nous facilitent la descente.

Il convient de bien regarder ses pieds.

Tout en admirant la vue sur mer, superbe.

« L’ai-je bien descendue ? » semble demander Claude.

En face on aperçoit un îlot : C’est le Rocher des Portes, perchoir à mouettes et à gabians (cf. blog de mars 2010).

Nous attaquons à présent le sentier du littoral. Le paysage est magnifique.

La mer est d’un bleu intense : le fameux bleu Méditerranée.

La vue est tellement belle que nous nous arrêtons quelques instants pour l’admirer. Et pour écouter Jean qui nous parle du cap Camarat : « La masse blanche du phare de Camarat couronne une des dernières fenêtres avançant dans les flots.

Culminant à 130 m au-dessus du niveau de la mer, c’est le second plus haut phare de France après celui de Vallauris.

C’est ici que s’équilibrent ou se fracturent mistral et vent d’est, les deux grands vents de la côte. Le premier fouette l’eau vers le large. Le second creuse la mer et ramène à terre.

Sur ce versant la forêt est reine. Elle a effacé les traces du déluge de feu qui, le 15 août 1944, est tombé sur les défenses allemandes quand la 7ème armée du général Patch débarqua à ses pieds sur la plage de Pampelonne ».

Puis nous reprenons notre sentier qui longe la mer.

Avant  d’atteindre un petit embarcadère, emplacement idéal pour faire la « pause banane ».

Certains se reposent sur un banc ... tout en écoutant Jean qui nous parle du Conservatoire du Littoral.

« Créé en 1975, cet établissement public a pour mission la préservation de milieux naturels et la réhabilitation de sites dégradés  du littoral, en procédant à des acquisitions ou par voie d’expropriation. Ainsi dans le Var, il possédait début 1996, 3094 ha répartis sur 27 sites. Parmi ces sites, on trouve les trois caps prestigieux : Lardier, Taillat et Camarat. L’action du Conservatoire a permis de soustraire ces sites à de vastes projets immobiliers ».

… Et nous permet de randonner aujourd’hui dans un cadre enchanteur.

Nous reprenons notre chemin du bord de l’eau, au pied de hautes falaises.

Avant d’attaquer un sentier qui grimpe à travers un petit bois. Il nous faut escalader des marches irrégulières. Le sentier monte puis redescend.

Nous revoici à découvert. Le sentier se fraye un passage entre les rochers.

Et voici au loin le cap Taillat, notre objectif de la matinée.

Il faut bien compter encore une heure de marche avant de déjeuner.

Nous atteignons la Roche Escudelier. Une stèle y est dressée, à la mémoire des sous-mariniers de la Marine Nationale qui, à partir de 1943, ont permis l’exfiltration de résistants du maquis des Maures.

Et voici précisément un îlot rocheux en forme de sous-marin.

Nous poursuivons notre marche dans les rochers.
Sans oublier d’admirer les fleurs qui nous entourent.
Car il y en a beaucoup, telle ce Mezembryanthemium, ou ficoïde ou doigt-de-sorcière.

Et encore et toujours des rochers à escalader.

Mais nous gardons le cap : le cap Taillat en ligne de mire.

Tout en prenant le temps d’une petite pause … pour la photo.

Enfin nous voici presque arrivés. Il ne reste plus qu’à descendre sur la plage.

Nous nous installons sur le sable. De ci de là, par petits groupes.

Le soleil chauffe à présent. Et il n’y a pas d’ombre.

Sauf pour une randonneuse (est-ce Annie ?) qui se protège du soleil dans une sorte de hutte (népalaise ??).

Après avoir savouré notre pique-nique, arrosé d’un petit rosé fort apprécié, c’est l’heure du café.
Puis certains entament une sieste réparatrice. Couchés sur le sable avec le soleil pour témoin…
D’autres attaquent une petite, petite belote … et puis ça va…

D’autres encore se mettent pieds nus et vont tâter l’eau.

Puis il est l’heure de repartir.

 

Nous quittons la plage par une piste qui grimpe à l’intérieur des terres.

Nous marquons l’arrêt devant le dolmen de la baie de Briande, vieux de 2000 à 3000 ans.

Puis nous poursuivons notre piste en plein soleil. Il commence à faire bien chaud.
Nous passons près du domaine viticole de La Bastide Blanche.

Les visages sont souriants. Est-ce l’effet du rosé ?

En tout cas, c’est signe que la rando n’est pas très difficile.
Certes nous n’avons pas terminé. Mais nous en avons fini avec les rochers et les marches.

A l’arrière, tout se passe bien. Le serre-file est relax.

Après la piste, nous voici sur une petite route.

« Qui est-ce qui voit le phare ? » demande Jean M. « Je l’ai vu » répond Gérard, qui n’a rien vu du tout.

D’ailleurs il est encore loin ce phare.
Nous marchons à un rythme soutenu. On ne rigole plus !

Qui a dit : « Elle est longue cette rando… surtout sur la fin » ?

Justement nous approchons du phare. Voici un embranchement.
Nous prenons la route qui monte, bien sûr. Puisque le phare est en haut.
Elle monte, elle monte … sauf que maintenant elle descend. Elle descend même beaucoup.

Nous revenons à l’embranchement de départ et prenons la route qui ne monte pas … mais qui montera finalement jusqu’au phare.
Ouf ! Nous voici arrivés. Un peu vannés : la distance, le soleil, les émotions, ça use, ça use ...

Ceux qui, depuis une heure, rêvaient d’un demi bien frais vont enfin calmer leur soif.

Et cette belle journée s’achève par un pot amplement mérité.

 

Merci Jean pour cette très belle randonnée, le long de la Grande Bleue.  

 

Merci aux photographes : Claude, Gérard, Jean, Jean-Marie.

 

Et voici encore quelques photos :

 

 

Du cap Camarat au cap Taillat : 1er Mai 2014
Du cap Camarat au cap Taillat : 1er Mai 2014
Du cap Camarat au cap Taillat : 1er Mai 2014
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27 avril 2014 7 27 /04 /avril /2014 08:08

VERDON-Le Grand Margés

Sur un texte de Joël et des photos de Dan, Jean-Marie a mis ce blog en musique.

 

 Dès le départ cette journée sortait de l'ordinaire ; d'abord une randonnée sportive parmi les plus difficiles du portefeuille de randos du Cercle, ensuite parce que pour la première fois les deux groupes n'allaient ni se rencontrer au repas de midi, ni même partir du même point de départ.

C'est pourquoi tôt le matin sur le parking du Manoir Jean B. et Joël, les 2 accompagnateurs du jour, commencent par compter leurs ouailles et les voitures.

Après avoir compté et recompté ses participants (6 dont lui y compris) Joël donne le signal du départ, et ce n'est qu'une heure et demie après que les deux véhicules arrivent sur le parking du château d'Aiguines.

 

Après avoir compté et recompté ses marcheurs, Joël décide une nouvelle dérogation à la règle en proposant, compte tenu des difficultés attendues, de partir immédiatement, reportant à l'heure du repas les explications techniques sur la rando, et la minute culturelle sur Aiguines. Il leur annonce aussi n'avoir pas pu faire la reconnaissance de la rando du jour (une grande première). Passé un premier moment de stupéfaction, les marcheurs décident à l'unanimité de lui accorder toute leur confiance, étant même prêts à le suivre jusqu'au bout.

 

La traversée du petit village d'Aiguines, charmant mais quasi désert, permet de découvrir, avec du  recul, le beau château, puis la vue sur le lac.

Après le camping de l'Aigle, un petit moment d'hésitation, mais le bon chemin est vite retrouvé.

Première montée agréable en sous bois qui permet tranquillement d'atteindre la route D71, puis le belvédère offrant une vue imprenable sur la région.

 

Après le Col d'Illoire nouvelle brève hésitation pour trouver le bon chemin, mais qui est vite résolue.

 

 Avant d'attaquer la descente on décide la pause banane sur une table de pique nique bien pratique. Mais il faut déjà repartir car la journée sera longue.

La première partie de la descente est plutôt raide et caillouteuse, au milieu des cornouillers et même d'un unique cytise en fleurs. Après un passage en dévers permettant une magnifique vue sur le Verdon (qui mérite décidemment bien son nom) nous voilà sur un chemin très étroit bordé de buis dégoulinant d'eau. L'accompagnateur n'hésite pas à rester en tête et à éponger avec son pantalon et son tee-shirt toute l'eau destinée à ses marcheurs.

Cette partie relativement plane (certains diraient un faux plat montant) se transforme alors en une montée plutôt raide qui nous emmène à recouper la D 71 et à entamer la partie de la rando qui passe par le GR 99.

 

Peu après avoir commencé la nouvelle montée, Joël ayant trouvé un coin propice pourvu de 6 pierres plates décide de faire la pause repas, ce que les randonneurs qui marchent depuis 3H30 acceptent facilement. Chacun ayant voulu éviter du surpoids, ce repas est d'une sobriété totale ; ce qui n'empêche pas, à la fin, moultes distributions de chocolats, biscuits et autre gingembre. Après la photo de groupe (le rôle du photographe du jour étant tenu par Dan) et les explications promises sur Aiguines, et après avoir compté et recompté ses marcheurs, Joël prononce la fameuse phrase fatidique "départ dans 5 minutes "    qui rappelle les randonneurs à la dure réalité : il leur reste encore une bonne dénivelée de 600 m à gravir.

 

La première partie de la montée traverse une grande forêt ombragée, mais la partie suivante agrémentée de coucous et anémones sauvages, devient plus sérieuse dans un paysage ressemblant au plateau de Caussols ou au plateau d'Albion (dans le Luberon). A plusieurs reprises nous côtoyons des panneaux indiquant que nous longeons un terrain militaire. Et à près de 200 mètres du sommet, soudain une grosse explosion suivie de plusieurs autres !!! Et non il ne s'agit pas de l'orage mais bien de tirs d'artilleries des militaires, comme nous le confirme les gerbes de terre soulevées en contrebas.

Craignant une erreur de visée, voilà nos randonneurs donnant un dernier coup de collier pour accéder au fameux Grand Marges à 1580 mètres d'altitude.

De là, malgré le petit vent frais, une vue magnifique nous récompense de nos efforts.

 

La redescente s'amorce d'abord sur la ligne de crête, puis dans un paysage changeant parsemé de bouquets de conifères.

Parvenus au niveau à 300 mètres de dénivelée restante s'offre à nouveau à nous une vue exceptionnelle sur l'ensemble du lac et le petit village de Les Salles sur Verdon, et même le Mont Ventoux.

 

 Le GR 99 se poursuit cette fois à travers des bois plus touffus, et par des passages parfois raides.

Enfin arrivés au village les randonneurs se précipitent dans le premier bar venu pour étancher leur soif et un petit repos bien mérité.

Joël compte et recompte tous les participants une dernière fois, avant que chacun ne se sépare heureux, mais fourbus.

Merci Joël d'avoir mené cette magnifique rando.

 

Merci à Dan pour ses photos

Quelques Photos en bonus :

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25 avril 2014 5 25 /04 /avril /2014 10:27

Verdon-Le Sentier des Pêcheurs.

Je commencerai le blog d'aujourd'hui en reprenant le début du texte de Bruno GUERIN de septembre 1997. Non seulement il avait mené cette rando mais, en l'absence de rédacteurs, il avait écrit le texte;

"L'aventure du Grand Canyon débute il y a 200 millions d'années, durant l'ère secondaire. Aux époques du trias et du jurassique, la Provence se trouve immergée dans une mer chaude et peu profonde. Cette situation sera propice à la formation de strates calcaires. Vers la fin de l'ère secondaire, au crétacé, la région est soulevée par la naissance des Pyrénées. L'ère tertiaire voit l'apparition des Alpes qui fracturent et façonnent les couches supérieures du massif. A cette époque, le Verdon est un fleuve surpuissant qui creuse son passage à travers les failles et trace son lit. Les quatre glaciations de l'ère quaternaire affinent le travail pour donner le résultat que l'on peut admirer aujourd'hui."

En ce 24 avril 2014, il y a deux groupes de randonneurs du Cercle de Boulouris dans ce cadre majestueux des Gorges du Verdon: celui de Jean Bo avec 14 marcheuses et marcheurs sur le Sentier des pêcheurs (rive droite) et celui de Joël avec un petit effectif de 6 participants sur le Grand Margès(rive gauche). Pour la première fois les deux groupes ne partiront pas du même endroit et à fortiori ne se rencontreront pas au repas de midi.

Beau temps, météo favorable.

Premier briefing de Jean Bo :" Aujourd'hui, le Sentier des pêcheurs, très agréable randonnée pas difficile. Un peu de descente au départ et de montée à l'arrivée, caractéristique des randos dans le Verdon.

 Quelques passages délicats car il y a des rochers, c'est normal dans le Verdon, mais rien de bien difficile. Tout d'abord nous saluons le retour parmi nous d'Yvette avec ses pieds tout neufs et celui de Maurice et de Claude qui s'étaient arrêtés quelques temps. Attention aux glissades car il a beaucoup plu hier et le sol est encore très humide.

Bienvenue aussi à Marie-Thérèse venant du Groupe Intermédiaire du Lundi"

Première descente. Effectivement ça glisse, aussi bien sur la terre que sur les rochers.

Mais quel décor ! Nous ne voyons pas encore la rivière mais les falaises qui n'ont pas encore bien accroché le soleil.

Quelle végétation ! Le fil rouge de la journée sera " Promenons-nous dans les …buis": chênes, cèdres de Lycie (juniperus phoenica), fragons (petits houx), et bien d'autres encore. Enfin le Verdon qui mérite bien son nom. Nous sommes encore très haut et ne pouvons juger de son débit.

A la bifurcation, photo du groupe.

Quittant l'itinéraire normal nous poursuivons la descente vers l'est en direction de l'ex-passerelle de Mayreste emportée par une crue en 1975.

 

 

Un petit passage en corniche rebutera certains marcheurs et c'est seulement à 9 que nous irons faire la "pause banane" dans les rochers au bord de l'eau. Là le courant est assez fort.

Retrouvant nos 6 amis qui ont "banané" dans un pierrier, au soleil, nous remontons afin de retrouver l'itinéraire initial.

Le chemin descend tranquillement vers "la rue d'eau", zone où le Verdon se calme et s'élargit en rentrant dans le lac de Sainte Croix. .

Et ce sont les premiers canots et pédalos qui apparaissent sur la rivière.

 

 

Leurs occupants sont plus détendus que nous car nous avons à franchir quelques obstacles rocheux bien glissants.

 

 

 

Enfin ça passe.

Le lit de la rivière est là, à nos pieds, avec des larges plages, mais attention aux lâchers d'eau des barrages en amont comme le rappellent des pancartes.

Jean-Marie va découvrir une toute petite orchidée à peine ouverte, il faudrait repasser par ici dans une semaine pour mieux l'identifier. Il s'agit d'une orphis, soit ciliata, soit lutéa ou encore fusca, tenthredinifera, bertolonii, holoserica. A titre d'exemple voici une photo de ciliata extraite des archives.

Nous commençons à entendre le bruit de la cascade. Son approche sera difficile car son débit est important.

Les concrétions de tuf forment une sorte de grotte. C'est impressionnant. Jean Bo nous explique que "le tuf est un fossile de pierre légère constitué par des dépots calcaires, des mousses et des lichens asséchés. Les eaux chargées de calcaire, en arrivant au jour, perdent une partie de leur acide carbonique et forment un dépôt. Certains végétaux, par leur avidité pour l'acide carbonique, favorisent la précipitation du calcaire dissous. Ce matériau est très fragile et toute cette zone est protégée, interdiction de sortir des sentiers."

Jean Bo aurait aimé nous conduire au bord de l'eau pour le pique-nique mais le sentier est interdit. Nous remontons donc vers "les Prés Maurin". Et nous remontons doublement, d'abord la pente assez raide puis le courant d'un petit torrent.

La pluie a due être abondante et l'eau des cascades supérieures s'est "égarée "sur notre chemin. Et ça patauge joyeusement, enfin presque…joyeusement car le terrain est particulièrement glissant et il ne faut pas hésiter à mettre les pieds dans l'eau.

Ouf ! Nous débouchons sur une grande prairie où quelques ânes pacifiques broutent paisiblement. Quel contraste !

Mais difficile de trouver un coin sans crottin. Il faudra se rapprocher de la falaise pour installer notre pique-nique mais quel spectacle! Nous surplombons la "Rue d'eau".

Il est temps de sortir les casse-croutes pendant que les chaussures vont sécher.

Jean Bo nous a laissé une heure et demie et nous pourrons profiter, du paysage, du soleil et …de la sieste.

Tout le sud du mini plateau est bordé par les falaises d'où s'écoulent d'autres cascades, au-dessus de la maison cantonnière. La route est là, juste à 100m de dénivelée.

Avant de repartir, Jean Bo nous conduira au-dessus de la cascade où nous étions ce matin. C'est majestueux.

Un petit tour pour dire adieu aux ânes.

 

Il reste encore 1, 5 km pour retrouver nos voitures.

 

 Le soleil tape bien même si les nuages commencent à charger le ciel. Mais avant de remonter il faudra à nouveau redescendre ce qui rajoutera un peu de dénivelée positive.

Enfin le pot à Villecroze: on a nos habitudes!

Merci Jean pour cette superbe balade dans un cadre extraordinaire.

Merci aux photographes, Claude, Jean Be, Jean Bo, Jean-Marie.

Quelques photos en bonus:

Jean-Marie, tu ferais mieux de regarder tes pieds...

Assistance borélienne

Dans quel sens vont-ils?

 

Les cascades supérieures

 

Le verdon, le Verdon, le Verdon....

La semaine prochaine :

Jeudi 01 Mai à 7 H 00 : SAINT – TROPEZ  ( 83 ) . Le sentier du Littoral  ( N° 2 )

 

Du Cap Camarat à la Pointe de la Douane, entre ciel et mer, entre vent et soleil, immersion dans l’authenticité méditerranéenne d’un littoral préservé .

Mieux vaut avoir le pied sûr pour les quelques passages exposés du sentier et posséder une certaine endurance .

Le retour se fera par les pistes et sentiers faciles de l’intérieur .

L : 15 Km 765 . Dh : 369 m . Niveau : Moyen médio . Repas et boisson tirés du sac .

 

Animateur : Jean Bo : 04.94.95.87.73 – 06.68.98.13.62                                                                                   

Itinéraire d’accès : Emprunter la D 559 direction Saint-Tropez – Traverser Sainte Maxime – Poursuivre sur la   D 559  direction Saint-Tropez – Laisser la D 559 direction La-Croix-Valmer . Parcourir 1 Km 500 et tourner

 à droite D 61 direction Ramatuelle – Parcourir 5 km 5, au 1er rond-point, prendre D 93 direction La- Croix-Valmer – Parcourir 2 kms

Au 2ème rond point, suivre D 93 direction Saint-Tropez – Cap Camarat – Parcourir 1 km, tourner à droite direction Cap Camarat – A 4 kms stationner sur le parking du Cap Camarat près du phare.

Coût du trajet A R : 92 Kms x 0 € 25 = 23 Euros                                                                 Jean Bo :06.68.98.13.62

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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