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Et découvrons plus loin un point de vue sur la baie de Cannes,
Ainsi que les Iles de Lérins.
Regardez bien en face le chemin qui serpente,
nous y serons un peu plus tard dans la journée.
Mais que regardent 'ils tous ?
Simplement la beauté des paysages qui nous entourent,
même si le temps reste couvert.
Le sentier s'élève pour aller au milieu d'une foret.
L'endroit est idéal pour faire la pause pique-nique,
certains ont même trouvé leur banc.
Avant le départ, Thierry nous narre l'histoire de l'évasion des pilotes depuis l'aérodrome de Cannes Mandelieu :
"En juillet 1943, le Général Mollard, ex gouverneur de la Corse et résistant, recherché par la Gestapo et la police française cherche à s’évader pour l’Afrique du Nord en compagnie de son fils, polytechnicien ainsi que Jean Turck, ingénieur spécialisé dans les bombes volantes et Maurice Hurel, officier de marine et pilote qui travaille aussi sur un projet de bombes volantes accompagné de ses trois fils…"
Retrouvez l'intégralité de l'histoire à la fin de ce blog.
Et voilà l'avion dont il s'agit un prototype qui n'avait jamais volé.
Les moteurs sont aussi des prototypes et n’auront tourné que quelques dizaines de minutes avant le décollage.
le SO90, un bimoteur de 10 places
Après ce moment culturel très intéressant,
la fraicheur se faisant ressentir par tous, nous reprenons notre parcours.
En direction du Col de la Cadière à 243m d'altitude,
avec au loin le Pic de l'Ours
Apres avoir passé celui-ci nous retrouvons une belle piste arborée.
Avant de regagner la piste du Raccord des Monges
Groupés sur un petit promontoire,
une belle photo avec la baie en arrière plan.
Un petit raidillon pour regagner la piste,
Que voici.
En regagnant la DFCI des Mineurs,
nous devrons faire attention aux engins en plein travail de débroussaillage avant de regagner notre point de départ.
Le bar habituel du Dramont étant fermé, nous n'avons pas l'occasion d'échanger autour du verre de l'amitié.
Merci à Thierry pour nous avoir emmené sur des chemins variés avec de superbes vues.
Les photos sont de Michel et Véronique.
La semaine prochaine :
=>Lundi 20 Février:
GL1 : 271 - La Louve Porfait animée par Anne Marie
GL2 : 011-1 Ubac Font du Pommier et Vallon de la Cabre animée par Jack
=> Jeudi 23 Février:
G1 : 669 - La Chapelle Notre Dame l'Amaron La Loube animée par Patrick
G2 : 923- Flassans-La Voie Romaine animée par Jean MA
L'intégralité de la page d'histoire racontée par Thierry
Source " Entre Ciel et Mer, le Commandant Maurice Hurel raconté par Jean Marie Hurel, préfacé par Jacques Noetinger - Edition Imagine 1995
En 1936, le gouvernement du Front Populaire veut réorganiser le secteur de la construction aéronautique en prévision d’un éventuel avec l’Allemagne.
Par une loi promulguée le 11 juillet 1936Il nationalise les diverses entreprises de l’époque. Bloch, Potez, CAMS, Lioré et Olivier, Romano, Gnome et Rhône, Breguet, Loire Nieuport, etc pour fonder en 1937 les
Société Nationales de Construction Aéronautiques déclinées en
SNCAC comme Centre
SNCASE et SNCASO comme sud-est et sud-ouest qui deviendront Sud Aviation puis Aérospatiale (Marignane)
SNCAN comme nord qui deviendra Nord Aviation
SNCAM comme Midi (Toulouse) devenue Airbus
SNCAO comme Ouest
En juillet 1943, le Général Mollard, ex gouverneur de la Corse et résistant, recherché par la Gestapo et la police française cherche à s’évader pour l’Afrique du Nord en compagnie de son fils, polytechnicien ainsi que Jean Turck, ingénieur spécialisé dans les bombes volantes et Maurice Hurel, officier de marine et pilote qui travaille aussi sur un projet de bombes volantes accompagné de ses trois fils.
Ils font une tentative à partir de Touloise sur Bloch 161, petit quadrimoteur.
Par suite d’un orage la piste en herbe est impraticable le vol est remis et l’évasion n’est plus possible sur ce prochain vol en raison de la présence d’officiels allemands.
Les Futurs évadés et techniciens retournent à leur vie normale pour les vacances, à Paris, Deauville etc.
Toute l’équipe technique de Toulouse part début août à Cannes-Mandelieu travailler sur un nouvel avion, le SO90, un bimoteur de 10 places.
L’avion, un prototype (Les moteurs sont aussi des prototypes et n’auront tourné que quelques dizaines de minutes avant le décollage) est presque prêt mais n’a jamais volé. Le 10 août les Allemands, à Aix refusent une autorisation de vol d’essai.
Le 12 août les ingénieurs de Messerschmitt arrivent à Cannes mais Maurice Hurel arrive à endormir leur méfiance en les invitants à un déjeuner à Monaco. Il est en revanche conscient de l’urgence à partir.
Les Candidats au départ son le Gal Mollard, son fils, Maurice Hurel et ses deux fils Jean Turck, et l’ingénieur Weil
Le 13 août ils font une check-list du projet. Ont-ils une carte. Non, mais une carte Michelin fera l’affaire, sachant que la destination est Philippeville en Algérie (Est du pays), point le plus proche de Cannes. Les comptas est il compensé, pas vraiment. On aligne l’avion parallèle au hangar pour vérifier.
Ils décolleront face au sud, et voleront dans cette direction jusqu’au bout. L’avion fera son premier virage à l’arrivée. Si l’avion doit s’écraser au premier virage, autant que ce soit à l’arrivée et non au départ.
Problème, pas d’aéroport à Philippeville, donc ils se poseront sur la plage.
Essence, les Italiens qui ont la responsabilité de l’aéroport leur donnent lors de chaque essais moteur ou roulage la quantité d’essence nécessaire. En trichant, ils ont réussi à avoir une petite réserve, mais pas suffisante. La résistance fournit le complément.
L’avion se trouve dans un hangar et pour chaque sortie il faut demander l’autorisation aux italiens.
Hurel explique aux italiens que les Allemands vont envahir l’Italie à la suite du débarquement des alliés en Sicile. Il propose aux militaires d’emmener l’appareil en Italie pour échapper aux allemands et donner l’avantage aux italiens. Le Lieutenant qui n’est pas très vif accepte une intensification des essais.
Hurel leur explique qu’il doit tester les freins et pour cela l’avion doit prendre de la vitesse. L’italien propose de faire les essais entre le hangar et les barbelés interdisant l’accès à la piste. Comme il faut une vitesse minimale de 60 km/h, le lieutenant accepte l’accès à la piste avec l’engagement sur l’honneur de revenir au hangar.
Test positif et retour au hangar. Le lieutenant est rassuré.
Maurice Hurel lui annonce qu’il faudra encore d’autres essais les freins ne donnent pas totalement (bluff) satisfaction et il faut les tester avion chargé.
Il annonce à tous qu’ils feront de nouveaux essais demain dimanche 15 août.
Pendant cet essai sur piste, les italiens ont fait un essai eux aussi, de pointage de la tourelle de canon de petit calibre…sur l’avion.
Le départ est programmé pour le lundi 16 août à 13h30, heure de la sieste
Le dimanche matin Maurice Hurel va à la plage se baigner. Un ingénieur de l’usine arrive en tenue de plage avec une serviette, mais pas de plage, un porte document. Les deux hommes discutent boutique quand Hurel suggère à l’ingénieur d’aller à Paris voir leurs collègues des usines de la SNCAC. L’ingénieur répond que c’est une bonne idée, il partira lundi matin. Hurel lui répond non, vous partez aujourd’hui même. L’ingénieur ne comprend pas pourquoi mais que c’est un ordre. Il va se baigner et Maurice Hurel repart à l’aéroport avec la serviette porte documents sous la serviette de plage. Elle est remplie de plans qui échapperont aux allemands.
Le lendemain soir il comprendra cet ordre après avoir appris l’évasion du groupe.
Le soir des bandes tricolores sont peintes sur les ailes et les extrémités en jaune canari comme les demandent les occupants.
L’avion n’était manifestement pas prêt, pas de sièges passagers, problèmes de train, mais il faut partir pendant les vacances du personnel pour qu’il ne soit pas inquiété. Malgré la guerre il y a du monde sur la Côte d’Azur et tout le monde ne pense qu’à la mer et au soleil.
Le 16 août l’avion est sorti, les moteurs mis en routes, les pleins faits, Maurice Hurel aux commandes, l’ingénieur Weil co-pilote assis sur des sièges tubulaire provisoires.
Six autres personnes embarquent assises sur un plancher en sapin. Tous sont venus à l’aéroport par divers moyens, habillés en ouvriers ou techniciens pour cet « essai de freinage en charge ». Les Italiens ouvrent les barrières fermant l’accès à la piste
L’avion accélère et décolle cap au sud à très basse altitude. Le train ne sera jamais rentré en raison d’un système hydraulique pas encore au point, du coup le vol sera beaucoup plus lent et bas que ce d’il devrait.
Sur le terrain une fois l’avion disparu à l’horizon, un homme arrive à vélo, torse nu et en bottes. C’est le lieutenant italien qui était à la plage. Il mettra plus d’une demi-heure à prévenir les autorités allemandes et les servants du canon dormaient.
La chasse allemande ayant décollé de Marignane va chercher le SO90 beaucoup plus haut et plus loin qu’il n’est et plus à l’ouest direction Alger.
Le carburant baisse dangereusement lorsque l’avion arrive sur les côtes algériennes. Philippeville est tenu par les Britanniques et disposent d’une DCA. Les Américains ont construit une piste en plaques de tôles. La résistance avait prévenu de l’arrivé de l’avion mais le message n’est pas arrivé d’Alger à Philippeville. Heureusement les Français sont là pour démoustiquer les installations anglaises et tout le monde est de bonne humeur. Les Anglais ont envie de faire un carton sur cet avion inconnu qui arrive mais y renoncent à la demande des français.
L’avion se pose sans problèmes, il sera temporairement saisi, l’équipage envoyé à Alger. Il continuera la lutte chacun dans sa spécialité. Jean Turck sera récupéré par les Anglais pour travailler sur leurs bombes volantes
A cannes, le peu de personnel présent est enfermé dans un hangar et gardés par des hommes en arme. Ils seront interrogés mais seules trois personnes seront arrêtées interrogés par les Allemands et déportés, le Frère de M. Weil, ingénieur, le chef atelier et le directeur de l’usine. Ils seront libérés à la libération.
Le jeune homme qui a fait les pleins est en âge de partir au STO. Il est convoqué le lendemain matin pour le départ. En attendant le lendemain il peut rentrer chez lui prendre des affaires. Ce qu’il fait et se rend à la Kommandantur le lendemain matin, mais au lieu d’y rentrer, il prend un bus à la gare routière se trouvant juste devant la Kommandantur et se rend à Bauduen pour rejoindre la résistance.
Avertissement :en l'absence de blogueurs en G1, et compte tenu du fait que les deux parcours comportent de nombreux tronçons communs et un déjeuner ensemble au restaurant, il y aura un blog unique, essentiellement G2, avec insertion ici ou là d'un texte G1 préparé par Thierry, assorti de quelques photos fournies par Thierry, Michel F. et Marie-Jeanne. Pour faciliter la lecture le texte G1 apparaîtra en rouge.
Nous sommes 34 randonneurs présents au départ de cette G2 : un beau succès compte tenu de la température négative qui nous accueille au chemin du Jas de la Paro, mais la perspective de déjeuner au restaurant dans la foulée n'y est certainement pas étrangère.
Denis présente le programme :
"C'est une randonnée de 9,5 km pour 175 m de dénivelé classée moyen X. Le parcours comprend une petite montée de mise en jambes, au départ, qui nous permettra de prendre de la hauteur pour admirer le Rocher de Roquebrune sous un angle insolite, le sommet des Terriers et le Haut Var. Puis la marche se poursuivra en contournant la base du Peyragu (217m) le long des rives de L'Argens pour se terminer au milieu des vignes et des plantations d'eucalyptus avant de rejoindre le restaurant. La seule difficulté est la petite montée au début"
Patrick sera notre serre-file.
G1 : 10 randonneurs G1 se retrouvent sur le parking du Jas de la Paro pour cette randonnée restaurant.
Tiens les G2 ne sont pas encore partis !
Ont-ils trainé en route ?
Cela permet à un onzième randonneur, Bernard G. de quitter le groupe des G2 pour rejoindre celui des G1 et aux animateurs du jour de faire un rapide point sur les présents.
Compte tenu de la température, -2°, Thierry fait une présentation rapide de tracé. Il n’y aura pas de serre-file compte tenu du nombre de randonneurs.
Il s’agit d’une variante de la G1 faite par Denis l’an passé, adaptée au format Rando-Resto.
Il est près de 9 heures quand le G2 s'élance sous un ciel tout bleu, un beau soleil, mais une température plutôt fraiche. Nous abordons tout de suite la montée annoncée par Denis,
avec le sourire,
et sous le regard bienveillant d'un animateur retraité,
et d'un animateur assistant : un encadrement de luxe !
Un encouragement nécessaire car la plupart d'entre nous a hâte d'arriver au bout de cette belle montée abordée à froid.
Le sommet nous offre une belle vue vers le Muy et les Gorges du Blavet.
Après 100m de terrain plat le groupe G1 se lance dans la première montée, la même que les G2. 1km de long, des pentes de 14%, 90 m de dénivelé. Les muscles sont rapidement chauds. En plus le soleil nous darde de ses rayons.
Une petite marche sur le plateau du Défens nous permet de voir le Rocher de Roquebrune sous un autre angle ainsi que les gorges du Blavet, de Pennafort et les montagnes environnantes.
Là le chemin diffère de celui des G2 et le groupe descend à nouveau de 90m vers les Déguiers par un chemin étroit et broussailleux avec 20% de pente.
Les G2 abordent la descente par un sentier qui serpente au milieu du maquis.
Un premier arrêt boisson. Tout le monde est encore bien couvert.
Nous poursuivons la descente vers le cours de l'Argens.
G1 :Une première pause boisson permet de retirer une couche de vêtements avant d’attaquer la longue piste en terrain plat qui longe l’Argens.
Rapidement nous arrivons à la première exploitation agricole. Passage en sous-bois, puis les falaises crées par l’érosion de l’Argens avec leur sentier étroit.
Les G2 atteignent les rives de la rivière vers 10 heures. Le sentier qui longe l'Argens est parfois étroit et un peu "sauvage"
comme l'est le cours de l'Argens, dont les rives portent les traces de ses crues répétées. Un fleuve de 115,6 km qui prend sa source à Seillons-Source-d'Argens et coule d'ouest en est pour se jeter dans la mer Méditerranée dans la commune de Fréjus.
Jack, autre animateur présent dans le groupe, attire notre attention sur les collines qui surplombent l'autre rive et qui abritent notamment l'immense Parc Résidentiel de Loisirs des Canebières créé en 1967 sous forme d'un caravaning et racheté par ses occupants en 1980 : un domaine de 275 hectares, comprenant plus de 700 parcelles, en plein coeur du massif forestier des Maures.
Nous pourrons également observer au flanc de ces collines des plantations d'eucalyptus.
C'est l'heure de la pause banane.
Les G1 rattrapent les G2 qui en sont à la « pause banane ».
Nous en profitons pour saluer joyeusement ceux que nous n’avons pas vus au départ. Cet arrêt permet aux animateurs de résoudre une énigme. Nous sommes 52 inscrits au restaurant, 2 absentes malades, 34 et 11 randonneurs, et 7 non marcheurs.
Nous arrivons toujours à 52 !
Il y avait deux randonneuses qui n’avaient pas prévu de déjeuner qui se sont jointes à nous. Mystère résolu.
Nous reprenons rapidement la marche et traversons une zone très broussailleuse et pourtant les animateurs sont passés par deux fois avec les sécateurs pour déblayer le chemin.
Nous arrivons à la fameuse casse où sont entassées des carcasses de voitures, motos, quads, bateaux, bref un véritable bric-à-brac.
Heureusement de sympathiques ânes viennent nous saluer.
Le groupe arrive au km 5 ou il va quitter temporairement le tracé commun.
Thierry propose de faire la « pause banane » avant d’attaquer la difficulté du jour, une montée de 140m sur 1 km avec des pentes à 17%.
La piste est caillouteuse mais large et le groupe atteindra sans difficulté le sommet à la citerne d’eau du Peyragu et le Lou Roumaniou à notre gauche.
Nous en profitons pour faire une nouvelle pause boisson et une photo de groupe avec toujours le Rocher de Roquebrune en arrière-plan. Thierry en profite pour rappeler que lors de la G1 de l’an passé la pause banane avait eu lieu à cet endroit et qu’à partir de là notre itinéraire change.
En effet nous empruntons une belle piste en descente douce sur la gauche et qui doit nous mener à Roque Rousse. Une dernière petite montée avant d’arriver à ce sommet peu fréquenté quand Thierry nous fait quitter la piste pour passer à travers bois pour nous montrer un rocher percé de petites grottes. L’imagination de chacun travaille et on y voit tour à tour un visage déformé, un monstre ou un animal.
Après cet intermède, un passage escarpé et broussailleux nous ramène vers la piste et un rapide aller-retour jusqu’au point de vue sur le centre logistique des Arcs.
Nous repartons pour la descente sur un terrain très varié où il faut bien regarder où l’on pose les pieds. Branches, cailloux roulants, broussailles, et aussi belle piste.
Au bas de cette descente nous rejoignons le tracé commun. Mais où sont les G2, devant ou derrière ?
Nous étudions le sol pour voir des traces de pas. Ils sont 34, cela devrait marquer, mais la terre est encore bien gelée.
Finalement nous les rattraperons vers le km 9 le long de l’autoroute.
Après le départ des G1 les G2 reprennent leur marche en suivant le cours de l'Argens.
Un sentier parsemé d'obstacles qui permettent à chacun de mettre en pratique sa technique personnelle.
Ce sentier "nature", souvent encombré de ronces,
débouche malheureusement de temps à autre sur des clairières qui sont autant de décharges ou de casses sauvages,
et des habitations rustiques, comme celle-ci, qui sera l'occasion pour certaines d'admirer et de caresser les ânes en liberté.
Quelques minutes plus tard nous profiterons de cet endroit dégagé au bord de la rivière pour faire la traditionnelle photo de groupe.
Puis nous ferons d'autres rencontres animales..
avant de poursuivre notre chemin sous le regard vigilant de Patrick, notre serre-file.
Nous abordons la montée qui était annoncée aux environs du km 6.
Il y a décidément une forte densité d'animateurs, en activité ou non, dans ce groupe.
Le sentier est devenu boueux car les flaques d'eau qui le jalonnent ont commencé à dégeler.
Après la jonction avec les G1 nous abordons la portion de piste qui longe l'autoroute et ne tardons pas à atteindre la célèbre borne 116, chère notamment aux coeurs de Bruno, de Jean-Marie, de Jean Borel, et de bien d'autres, à tel point qu'elle avait fini par donner son nom à certaines randonnées organisées dans ce secteur (cf. "Peyragu et la borne 116" dont le blog de Jean-Marie du 29 décembre 2008 comportait la photo de Jean Borel dans l'attitude qui inspirera Joël quelques années plus tard).
La photo en question, extraite du blog de Rolande du 4 avril 2019 "Le Peyragu-699-2", est insérée c-dessous.
Merci Rolande pour nous avoir signalé cette anecdote.
Nous reprendrons nos véhicules pour rejoindre le restaurant "le Mas de Saint Donat" à Sainte Maxime où nous attendait un excellent repas dans une atmosphère très conviviale .
Un grand merci à nos deux animateurs, Denis et Thierry, pour cette magnifique journée.
Merci également à Patrick, notre serre-file et à tous ceux qui ont apporté leur contribution à ce blog : Thierry pour le texte G1 et ses photos, Michel F., Rolande et Marie-Jeanne.
La semaine prochaine :
Lundi 13 février :
-GL1 : 186-1 La Flute par Thierry
-GL2 : 035 Dent et Pic de l'Ours par Anne-Marie
Jeudi 16 février :
-G1 : 756-3 Puget Rocbaron par Denis
-G2 : 814-2 Mont Saint Martin depuis Maure Vieil (en remplacement de la randonée de Joël, initialement prévue)
Pour le profil se reporter au mail de Joël du 12/02/2023 "changement de programme"