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2019-09-19 - 918-1 - L'ESCALET-GIGARO - G1

20 Septembre 2019 , Rédigé par Claude et Alain

2019-09-19- DE L'ESCALET A GIGARO -G1

 

Les différents sites de météo annonçant du mauvais temps dans le Massif du Mercantour, Alain a annulé la superbe randonnée sportive « Les Lacs Bessons ». Il nous propose un nouveau parcours, du côté de Saint-Tropez où le ciel devrait être plus clément, au départ de l’Escalet.

Alain accueille les 26 participants, dont deux nouveaux randonneurs du jeudi, Marie-Jeanne et Denis et présente en détail le programme de la journée.

Randonnée G1 de 17kms  et 330 m de dénivelée.

"A quelques kilomètres du tumulte de Saint-Tropez, c’est une merveilleuse randonnée dans le site remarquablement protégé par le conservatoire du Littoral. La mer qui hésite constamment entre le bleu et l’émeraude, les criques de sable blanc, les rochers sculptés par le ressac qui peuvent avoir des formes étranges, tout un décor à couper le souffle.

Nous partirons de cette plage de l’Escalet pour se diriger vers le Cap Taillat. Nous prendrons le sentier du bas qui borde la mer et passe par les criques paradisiaques.

Un aller retour au sommet du Cap Taillat à 63 m d’altitude est prévu. Malheureusement, toute cette zone a été la proie d’un terrible incendie le 24 et 25 juillet 2017. Le feu est parti de La Croix Valmer poussé par un fort mistral direction Sud Est, cinq cents hectares de forêt et de maquis du Cap Lardier et du Cap Taillat seront engloutis par ce violent incendie qui ne sera définitivement maîtrisé que dans l'après-midi du 26 juillet.

A partir du Cap Taillat nous nous dirigerons vers le Cap Lardier limite de la zone touchée par l’incendie, puis nous irons jusqu’à Gigaro en passant par la plage du Brouis en retrouvant une végétation méditerranéenne ponctuée par de magnifiques pins parasols.

Le retour se fera par l’intérieur en empruntant une route forestière.

Nous  traverserons le domaine de La Bastide Blanche pour regagner le Cap Taillat en passant par la magnifique plage de Briande, au niveau d’un bâtiment en long en partie réhabilité et utilisé par le Conservatoire du Littoral.  Il s'agit initialement d'une installation du régime napoléonien pour loger les familles de douaniers dont le métier consistait à contrôler les flux de personnes et de marchandises.

Puis nous emprunterons le sentier du littoral du haut qui domine les Rochers de l’Escalet pour revenir à notre point de départ."

Jean-Claude sera notre serre-file, assistée de Babette.

Nous quittons la plage de l'Escalet ... 

A gauche, Marie-Jeanne et Denis
L'Escalet

pour rejoindre le sentier littoral.

La nature est superbe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

N'est-ce pas Messieurs !

Peu de temps après le départ une impressionnante chute de Jack arrêtera le groupe, pour des premiers soins et un très bon diagnostic de François.

Il pourra regagner le chemin puis le parking "du bout de l'Escalet". Il visitera les urgences de Gassin, accompagné de Claude et de Gilbert et en ressortira avec la confirmation d'une clavicule cassée.

Vous comprenez donc pourquoi Claude ne fait que mettre en page le texte d'Alain et l'agrémenter des diverses photos faites par des randonneurs.

Arrivés au Cap Taillat, une presqu'île séparée du continent par un isthme sablonneux de trente mètres de large.

Alain raconte aux 24 randonneurs les épopées de ce Cap qui renaît toujours de ses « cendres ».

- Les bâtiments de la Douane qui date de Napoléon, la guérite sur l’extrémité du Cap Taillat

- Le tournage des films « Le gendarme en balade » et « la Scoumoune » avec photos d’époque à l’appui .

 

 

 

 

 

 

 

La Scoumoune

- La tentative d’y instaurer un club Med avec Marina.

- Le feu en juillet 2017.

- Les boulettes de fioul en 2018 suite au télescopage de cargos au large de la Corse.

Nous ne ferons pas l’aller retour au sommet du Cap Taillat.

Après avoir traversé la magnifique plage de Briande qui borde le Domaine de la Bastide Blanche...

nous continuons notre randonnée vers le Cap Lardier 

Le paysage devient plus aride, les arbres brûlés jonchent le sol et servent de barrière à l’érosion.

La montée rude, parfois par des marches, jusqu’au point de vue qui domine le Cap Lardier, par cette chaleur de fin d’été en plein midi, fait souffrir les jambes des randonneurs.

Quelques haltes sont nécessaires pour venir dominer ce Cap Lardier (avec le Taillat en arrière plan). La pointe du Cap Lardier, à la même latitude que le Cap Corse, est inaccessible : c’est une zone protégée.

Une photo de groupe est prise par un couple de randonneurs.

Dans la descente de ce cap, une nouvelle halte au croisement d’un sentier qui passe par l’ancien Sémaphore en ruine datant de Napoléon, est nécessaire à une nouvelle pause boisson.

Un petit groupe de randonneurs trouvant ce raccourci très pratique souhaite rejoindre le Domaine de La Bastide Blanche par ce sentier.

Autorisation leur est donnée, avec Jean Ma comme chef de file.

C’est à 18 randonneurs que nous rejoignons la grande descente vers la plage de Brouis où la pause déjeuner est très appréciée, repos, détente, pique nique, l’endroit est magique loin des routes, accessible uniquement à pieds.

Le sentier jusqu’à la plage de Gigaro, sans difficulté, très agréable avec pins parasol, criques, rochers, sable blanc, est un régal pour les randonneurs.

Nous apercevons au loin toute la baie de Cavalaire.

 

A Gigaro, nous prenons la piste forestière qui nous ramènera au Cap Taillat en passant par le Domaine de La Bastide Blanche.

Alain raconte l’historique de ce domaine, propriété d’une famille depuis 1805 jusqu’à l’acquisition en 2000 des domaines de La Croix et de La Bastide Blanche par Vincent Bolloré, le Domaine des Touraques restant la propriété de la famille Brun.

Nous traversons les cannes de Provence et débouchons sur la plage de Briande.

 Nous regagnons  le Cap Taillat et retrouvons le groupe de Jean Ma.

Nous poursuivons jusqu'au parking par le sentier du haut qui domine les rochers de l’Escalet.

Nous prenons le pot de l’amitié à la guinguette face à la plage de l’Escalet.

L'ensemble des randonneurs remercient Alain pour cette superbe randonnée.  

Merci aux photographes, Nelli, Alain et Jean Claude.

 

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2019/09/19 - Saint-Cassien - Vallon de Sarraire - n°691/G2

20 Septembre 2019 , Rédigé par Rolande

SAINT CASSIEN - VALLON DE SARRAIRE –n°691/G2 - Jeudi 19 septembre 2019

Louis a donné rendez-vous aux randonneurs sur le parking de la réserve biologique de Fondurane. Nous sommes 22. S’est joint à nous le frère d’Alain invité. Le temps est incertain mais il ne devrait pas pleuvoir avant cet après-midi. Le ciel est gris et il fait déjà 20°.

"La randonnée prévue est annoncée pour 14.7 kms (quelques centaines de mètres en plus en réalité) et 330 mètres de dénivelé. La plus grande partie du parcours va se faire sur des pistes agréables à l’exception d’une descente un peu forte au km 9. Si toutefois la pluie s’invitait il serait possible de couper au km 7.5." (ce qui réduirait la balade de 4 kms –ndlr).

Louis nous parle rapidement du lac de Saint-Cassien : barrage, débit, activités nautiques et pêche et conseille d’aller regarder sur internet et en particulier sur le site edf.

Beps et Jean seront nos serre-file.

Après avoir quitté le parking nous traversons un bras du lac où il y a peu d’eau (la photo est celle prise au retour car plus lumineuse).

et continuons tout droit sur quelques centaines de mètres. Erreur nous aurions dû obliquer sur la droite. Demi-tour pour rejoindre la piste de la Basse Carpenée.

Le chemin commence à monter. La végétation est clairsemée en sous-bois, et nous pouvons observer des chevaux et de magnifiques dalles.

La montée est progressive et le groupe commence à s'étirer. Nous sommes dans le vallon de Sarriaré et le bois de l'Ermite.

Au sommet nous nous arrêtons pour la pause banane.

Il y a une cabane de chasseurs qui n’y était pas lors de la précédente édition (avril 2016). Nous partons sud-ouest par la piste des Crêtes. Le ciel est bleu maintenant et le soleil commence à bien chauffer.

Petit arrêt pour une première photo de groupe.

Au loin  sur notre gauche nous apercevons Fayence et Montauroux  et sur notre droite le massif de l’Estérel.

Nous passons devant une maison de chasseurs que certains reconnaissent pour s’y être arrêtés pour le pique-nique lors d’une lointaine randonnée.

Nous pouvons admirer en bordure de chemin de magnifiques chênes dont certains ont été partiellement dépouillés de liège et constater les dégâts occasionnés par la sécheresse sur les mimosas et les fougères.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le ciel commence de nouveau à se couvrir. Il est temps de chercher un coin pour le pique-nique et voilà que nous arrivons à un point d’observation des pompiers ?? que nous avions vu l’an dernier avec Jack. Tout le monde peut s’installer confortablement sur des chaises, fauteuils ou dalles. Il y a même des transats, certes détériorés. Aujourd’hui nous sommes de vrais G2. Il y a abondance. Chacun comprendra.

L’orage tourne autour. Ciel noir et grondements. Il est temps de repartir en espérant pouvoir arriver au bas de la descente avant la pluie.

Nous regagnons le sentier et amorçons la descente, parfois un peu pentue pour les genoux mais le terrain est sec aussi moins de risque de glissade.

Des petits groupes se forment. Nous apercevons petit à petit le lac qui se rapproche et tous les randonneurs regagnent la piste longeant le lac sans problème.

Nous faisons alors une 2è photo de groupe

avant de suivre durant 4 bons kms la piste qui vont sembler bien longs pour certains.

Les arrêts regroupement permettent de se désaltérer. Nous apercevons le pont de Pré Claou.

Il fait une chaleur moite pénible. Des bras du lac ont une magnifique couleur émeraude.

Nous traversons un gué à sec avant de rejoindre le bout de route nous conduisant au parking du départ.

Nous nous rendons au bar-restaurant les Arbousiers dominant le lac, de l'autre côté du pont pour partager le verre de l’amitié où les tables étaient installées, Louis ayant préalablement annoncé notre arrivée.

Merci Louis pour cette agréable balade sans pluie ni averses orageuses.

Les photos sont de Jean-Marie et Rolande .

La semaine prochaine : journée randonnée-méchoui à la Ferme du Blavet.

Pour le G2 : agréable promenade dans les environs de la Bouverie de 10 kms pour 200 m. de dénivelé – moyen *.

Animateur : Jean Bo – départ 8h30

Parking : ferme du Blavet – 1006 chemin René Biest – coût du trajet A/R : 10 €

 

Et pour terminer une photo du lac prise par Louis depuis son petit avion.

 

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Quelques informations-17/09/2019

17 Septembre 2019 , Rédigé par Jean-Marie

Bonjour fidèles lectrices et lecteurs,

 

J'espère que l'utilisation de Randosboulouris ne vous pose aucun problème et  en tirez tout le profit possible.

Cependant je voudrai vous signaler que vous pouvez aller plus loin sur trois points:

 

- PHOTOS -Si une photo vous intéresse et que vous souhaitez la conserver, il suffit de vous positionner sur la photo,  de cliquer à droite  et de choisir "Enregistrer l'image sous". Vous choisissez ensuite le dossier dans lequel vous voulez la garder. Les photos du blog font environ 600 à 700 pixels, plus pour les photos de groupe.

 

-COMMENTAIRES-Vous pouvez toujours ajouter un commentaire, fonction active sous la signature du rédacteur, en bas à droite à la fin du blog. Il sera transmis aux rédacteurs par mon intermédiaire.

 

-IMPRESSION-Si vous souhaitez conserver un blog particulier sur support papier, vous pouvez toujours le faire directement mais beaucoup de photos seront coupées par la mise en forme page par page. Sachez qu'il existe une version pdf imprimable. Vous pouvez en obtenir le fichier  en le demandant à mon adresse électronique chab01@orange.fr. Les photos sont en format réduit mais je vous renvoie au premier alinéa pour les photos au format normal.

 

Je souhaite que ces informations aient pu vous être utiles et vous souhaite de bonnes lectures sur votre blog préféré.

 

Amitiés à toutes et tous.

 

Jean-Marie

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2019-09-12 - 722-3 - LACS DE MILLEFONTS - G1

14 Septembre 2019 , Rédigé par Dominique

 

2019-09-12 - 722-3 - LES LACS DE MILLEFONTS - LE MONT PEPOIRI - G1

Aujourd’hui, Jean nous invite à randonner sur les hauteurs de Valdeblore pour découvrir les quatre lacs de Millefonts.  Partis à 6h30, il est 9h quand nous arrivons au parking éponyme, au-dessus de Saint-Dalmas.  Nous sommes 17 à avoir répondu au défi de Jean, dont 5 dames et 12 messieurs. 

Jean nous présente le circuit qui parcourt tout le cirque de Millefonts.  Nous allons nous rendre au col du Barn en passant près des lacs de Milllefonts, à savoir le Rond, le Long, le Gros et le Petit.  Nous arriverons au Col de Barn à 2453 m puis nous suivrons la ligne de crête, jusqu’à la Tête des Margès à 2550 m d’altitude et redescendrons jusqu’au lac Petit, en fait le plus grand et le plus beau, pour le pique-nique.  En prime, un aller-retour facultatif jusqu’au mont Pépoiri.  Jean nous conseille de commencer lentement pour nous habituer à l’altitude car nous sommes passés de 0m à 2040m d’un seul coup – enfin, après 2h30 de route - sauf pour quelques randonneurs arrivés la veille.  Patrice se propose comme serre-file et nous voici partis avec nos petites laines car il fait un peu frais mais le soleil est au rendez-vous et nous savons que la journée sera belle.

Nous grimpons dès le départ ...

et rencontrons rapidement un groupe de randonneurs sympathiques de Grenoble que nous retrouverons à plusieurs reprises.  Nous arrivons au Col de Veillos – 2194 m – par un bon sentier décrivant de larges lacets sur le flanc de grandes pentes herbeuses.  

 

Une fois au col, nous découvrons le cirque des Millefonts, vaste étendue pastorale, sans toutefois voir les lacs. 

Sur notre gauche nous apercevons le lac Petit – 2225 m - qui est en fait le plus grand.  En 1945 la construction d’une digue destinée à l’irrigation a fait monter le niveau de l’eau de quelques mètres.

Nous apprécions une traversée sur un chemin rocailleux mais à l’ombre et qui nous mène au lac Rond, souvent à sec en fin d’été.  Nous continuons de monter à travers un passage marécageux et nous laissons bercer par  la mélodie d’un petit ruisseau.  Nous arrivons au lac Long – 2345 m – lac peu profond entouré de rives plates et herbeuses - où Jean nous propose de faire la pause-banane.  Toujours plein d’énergie, il commence à nous lire la légende du Pépoiri que Claude lui a remise mais nous prévient que nous n’en découvrirons la fin qu’au sommet du mont car elle est longue ! 

Nous écoutons attentivement et repartons impatients d’en connaître la suite. Les Grenoblois nous ont rejoints et après avoir échangé quelques plaisanteries nous nous prenons mutuellement en photo. 

Nous reprenons nos bâtons – du moins ceux qui en ont – voyons de haut le lac Gros  – 2375 m – qui était autrefois le plus important et le plus profond des lacs de Millefonts alors qu’il est aujourd’hui plus petit que le lac Petit ! 

Il alimentait en eau deux villages implantés en contrebas.  L’installation a fonctionné jusqu’à la seconde guerre mondiale mais depuis une faille s’est ouverte, empêchant le lac de se remplir normalement.   Une fois le col du Barn atteint,

nous entreprenons la montée du Mont Pépoiri qui culmine à 2674 m.

 

C’est le point culminant d’un gros massif montagneux délimité par la Tinée à l’Ouest, la Vésubie à l’est, le vallon de Salèse au Nord et le Valdeblore au sud.  Du sommet s’étale devant nous un magnifique panorama à 400 grades ou 360 degrés sur la haute Vésubie, le Gélas, point culminant du Mercantour à 3100 m côté France, les massifs italiens du Gesso y compris l’Argentera,  le point culminant du Mercantour en Italie à 3298m, et la moyenne montagne jusqu’à la mer.  

Jean nous lit la fin de la légende du Mont Pépoiri

et pour en savoir plus, je vous invite à cliquer sur le lien que Claude a trouvé.  

http://www.lounidou.eu/pepoiri/

Au sommet du Mont Pépoiri

 Il nous faut redescendre maintenant! 

 

Nous montons de nouveau par un chemin bien tracé mais caillouteux puis nous descendons.  Comme l’a si bien dit Jean dans sa présentation en nous montrant le profil : «  c’est toujours pareil, ça monte puis ça descend » !

Jean décide de faire la pause-déjeuner au Petit Col (2458m) situé en contrebas de la Tête des Margès car il serait trop tard au Petit Lac – c’est qu’on a faim !

 

Il est bientôt déjà l'heure de repartir:(

Au passage, Jean attire notre attention sur les pics d'Isola 2000

ce qui fait rêver Fred!

Tiens, un attroupement autour d’une randonneuse!  Que se passe-t-il donc ?

Nous apprenons qu’émerveillée par la beauté des paysages et toujours prête à aider la blogueuse ou le blogueur de service quand ce n’est pas son tour de rédiger, Brigitte prenait des photos mais un morceau de peau de son avant-bras s’est coincé dans l’objectif tandis qu’il se refermait ! Notre animateur-secouriste réagit vite et vaporise un spray froid qui la fait hurler.  Les commentaires pleins d’humour fusent ce qui lui fait vite retrouver le sourire !

Il est temps de redescendre le long des flancs désséchés des montagnes. 

 

Ancolies ou delphiniums? That is the question!

Nous franchissons un petit ruisseau bien signalé par des cairns

 

 

Une nouvelle photo de groupe s'impose

et nous continuons sur un plat qui traverse le flanc de la montagne.

Nous nous dirigeons vers le lac Petit dont les rives sont faites de belles prairies en pente douce.

puis atteignons de nouveau le col du Veillos. 

Nous descendons toujours!

 

Babette attire mon attention sur un tapis de carlines, fleurs séchées dont les paysans décoraient leur porte.

Nous apercevons nos voitures en bas sur le parking

et une fois déchaussés, redescendons en voiture sur St-Dalmas, l’une des cinq communes de Valdeblore.  Jean nous invite à visiter l’église Sainte Croix édifiée aux alentours de l’An Mil par des moines bénédictins venus de l’abbaye de Pédona à Borgo San Dalmazzo.

Elle est classée monument historique depuis 1943 et sera ouverte (car ce n’est pas toujours le cas donc nous avons de la chance aujourd’hui !) le weekend prochain pour les journées du patrimoine.  

Superbe crypte!

Nous nous installons confortablement dans le verger du bar-tabac « La Balma » pour le pot de l’amitié.

Les plus chanceux sont à l'ombre des pommiers!

 

Nous remercions chaleureusement Jean pour cette magnifique randonnée qui valait vraiment le coup de se lever tôt !

Nous sommes fiers de nos prouesses en ce début de saison : 10,7 kms pour 949m de dénivelée et sommes ravis d’avoir vu les 4 lacs.

Merci aux photographes Brigitte, Claude, Alain, Jean et Dominique et un très grand merci à nos chauffeurs qui ont si bien géré tous les lacets de la route étroite qui mène désormais de St-Dalmas au parking!

La semaine prochaine :

G1 : Départ 6h30 Alain - Les lacs Besson - Sportif ** - 12,1km, 940 m D

A 2545m d'altitude, ces 2 lacs jumeaux aux eaux cristallines et séparés par une cascade sont nichés juste sous la crête frontalière Mercantour Ruine Agnel dans la vallée du Boréon. Ils se découvrent après une longue montée dans le Vallon de Sangué.

G2 : Départ 8h30Louis – Lac de St Cassien - Vallon de Saraire – Moyen * - 14,7 km, 331 m D

Belle  piste, chemin et  sentier, avec très beau panorama  sur le  lac de  Saint-Cassien

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2019/09/19 - Montferrat- N.D. de Beauvoir - 920/G2

13 Septembre 2019 , Rédigé par Rolande

Montferrat-N.D. de Beauvoir-Jeudi 12 septembre
2019 - n°920-G2
Jack nous a donné rendez-vous à Montferrat pour cette nouvelle randonnée. Que de monde sur le parking. Nous sommes 34. De nombreux G1 sont venus tenir compagnie aux G2. Eloignement, difficulté de la randonnée, lever très matinal ont fait qu’ils ont abandonné leurs acolytes de rando. Le soleil est au rendez-vous et la journée est annoncée chaude. 

« C’est une randonnée de 14 kms et 400 mètres de dénivelé. Depuis Montferrat, des oratoires jalonneront la montée à ND de Beauvoir point culminant du jour ensuite la marche se fera principalement en sous bois jusqu’à la Chapelle de Favas où nous y déjeunerons sur des tables. Au retour nous surplomberons la gorge du Beaudron, affluent de La Nartuby et en fin de randonnée, nous découvrirons la confidentielle Cascade de Pierrepont et sa piscine turquoise dans un écrin de verdure. En cours de rando nous traverserons 2 gués».

Nous accueillons 3 nouveaux : Jeanne-Marie,Eric et Michel. Nous leur souhaitons la bienvenue.

 

La chapelle nous semble bien haute.

Il est temps de partir.

Dans le village un monsieur nous interpelle et nous demande si nous montons à la Chapelle Notre-Dame de Beauvoir.

Monsieur PIANO a personnellement participé en partie à la rénovation, particulièrement à la construction du nouveau parvis en pierre et à la consolidation au niveau du clocher, l’accroche de la cloche risquant de céder. Après nous avoir donné de multiples explications il nous dit que s’il peut se libérer il nous rejoindra à la Chapelle pour nous l’ouvrir.

Quatre oratoires jalonnent la montée raide et bien longue conduisant à la chapelle.

« Les oratoires composent le paysage provençal, ces petits édifices en pierre répondent tant à la ferveur religieuse de la région qu’à des “grâces” obtenues au cours des âges par les habitants. Parfois ce sont des “ex-voto” en campagne. Le premier à marquer l’ascension est dédié à St Pierre, puis à de St François de Paul, à Saint-Joseph et enfin à Notre Dame."

Arrivés à la Chapelle où nous nous arrêtons pour faire la pause banane, Monsieur PIANO nous attend. Nous faisons la photo de groupe avec lui.

« Du haut de ses 660 mètres d’altitude, Notre Dame de Beauvoir contemple le territoire de la Dracénie mais a aussi une longue histoire.

Ce site privilégié était déjà occupé par les Romains et l’abside de la chapelle serait construite sur les vestiges d’un temple antique…

Non loin se trouve les ruines du château féodal et des pans de murs du village primitif.     C’est au IVème siècle que la première paroisse Notre-Dame de Beauvoir aurait été édifiée par des moines bénédictins sur la colline de Mons Ferratus, surplombant le village, par-dessus les vestiges d’un antique oppidum fortifié à l’époque romaine. Le site de Beauvezer, de par sa position dominante au-dessus des voies de communication et la vue panoramique qu’il offre, en a fait un lieu stratégique et spirituel.

Jusqu’au XXème siècle, Notre-Dame demeure pourtant la paroisse, et c’est là que sont administrés les sacrements. Le chemin de croix parvenu jusqu’à nous, et récemment restauré par des bénévoles, en témoigne.

Il y aurait toujours eu des ermites au service de la chapelle. Cependant, la maison claustrale attenante à celle-ci, dont les murs en ruines sont encore dressés, fût construite en 1661 par Guillaume Pascalis, ermite à Montferrat à partir de 1648.

Au XVIIème siècle, la commune commanda plusieurs travaux sur la chapelle, comme la réfection de la toiture et la réparation de la voûte en abside de la fin du XIIème siècle. Le clocher actuel est de construction moderne. Le pèlerinage à Notre-Dame a toujours lieu le 14 août, elle était autrefois couverte d’ex-voto. - extrait Provence Alpes-Côte d’Azur»

https://www.fondation-patrimoine.org/les-projets/chapelle-notre-dame-de-beauvoir-a-montferrat

Avant de repartir Monsieur PIANO nous indique ce que nous voyons ou entrapercevons alentour. D’un côté Le Coudon au loin avec en contre-bas le village de Montferrat et de l'autre côté le camp de Canjuers et plus bas le domaine de la Magdeleine à proximité de la Nartuby et sur lequel il reste 16 arches d’un aqueduc que nous ne voyons pas.

Jack nous parle du camp de Canjuers et nous retrace son historique.

« Une centaine de maquisards ont évolué dans le secteur du Malay, y formant le camp Lafayette (SAP), et furent surtout actifs lors du débarquement de Provence, lors des parachutages nocturnes.

1950 : délimitation d'un champ de tir (Canjuers-Est).                 

1955 : mise en étude d'un projet de 35 000 ha

1962 : lancement du projet

1963 : 28 avril : Pompidou déclare à Toulon : « tout est signé pour Canjuers »                                       

1964 : 14 septembre déclaration d'utilité publique                                                                       

1969 : début des travaux, création de la 40e compagnie de camp                                        

1970 : début des travaux du camp bâti

1971 : création du 61e bataillon mixte de génie Légion (61e BMGL)                                                     

1972 : création du 40e groupement de camp 

1973 : arrivée du CPCI

1974 : fin des expropriations  

1976 : installation de l'École d'application de l'artillerie à Draguignan et du 60e RA à Canjuers

1984 : création du 3e CT/ 31e régiment du génie 1998 : création de la garnison de Canjuers, regroupant le 21e régiment d'infanterie/21e régiment de groupement de camp, le 1er régiment de chasseurs d'Afrique (ou 1er RCA), le 3e régiment d'artillerie de marine, un détachement du 45e régiment de transmissions et le Centre d'instruction missiles.

La superficie de l'emprise militaire est de 34 652 hectares. Il y a eu 6 000 000 m3 de  terrassements ; 8 000 000 m3 de matériaux transportés ; 4 000 000 m3 de matériaux concassés ; 110 km de routes, dont le « périphérique » ; 400 km de pistes ; 50 passages bétonnés pour chars ; 4 aires de bivouac. » 

Nous descendons par une piste qui nous rapproche du Beaudron.

Nous contournons un domaine qui sert d’accueil à des chevaux vieillissants, anciens champions de jumping où ils profitent d’une agréable retraite.

Nous arrivons au 1er gué. Pas de problème.

Le Beaudron est à sec. Nous empruntons un sentier qui tout d’abord le longe puis traversons une zone de pâture

et arrivons au site de Notre Dame de Favas qui se trouve sur la commune de Bargemon. Tables et bancs nous attendent pour le pique-nique, bien sobre aujourd’hui.

Qu’attend donc ce véhicule d’EPAD à l'arrière? Il s’est trompé. Il devra revenir dans quelques années. Tous nos randonneurs sont encore bien gaillards.

La blogueuse traverse la route pour aller voir la chapelle Notre Dame de Favas fermée et où il n’y a plus de culte qui appartenait autrefois aux moines de Lérins.

Il est temps de repartir malgré la chaleur. Nous faisons demi-tour sur un kilomètre environ

puis nous empruntons un chemin, descendant en sous-bois dense avec quelques embuches : branchages en travers du chemin à mi-hauteur ou au sol. Chacun fait comme il peut en levant les jambes, baissant la tête, évitant de se griffer…

A découvert soudain nous voyons de l’autre côté du vallon la Chapelle Notre Dame de Beauvoir. Avec le zoom elle semble bien près.

Nous approchons alors du second gué. Cette fois il y a de l’eau. Diverses solutions sont trouvées pour traverser : sur cailloux plus ou moins stables à deux endroits pour les uns, sur une passerelle improvisée avec des branchages pour d’autres, et en traversant carrément dans l’eau par la blogueuse.

Arrivés à Montferrat nous nous dirigeons vers la cascade de Pierrepont, présentée dans Var matin le  29/6/2019 par Philippe Dubreuil, "Baignades en sites naturels". A l'abri des arbres, le Beaudron se jette du haut d'une petite cascade dans un bassin : le Gouffre de Pierrepont, qui offre à nos yeux ses eaux turquoise sur un tapis de galets. Ses multiples chutes peu abondantes aujourd’hui sont rafraîchissantes.

Ci-dessous la photo prise par Jack et Claude en juillet. Depuis la sécheresse était passée par là.

De retour au parking, après avoir quitté nos chaussures nous nous rendons à Chateaudouble à la Ferme de la Pastourelle pour partager le verre de l’amitié grâce aux boissons apportées par Jack et Josette. Merci à eux. Certains en profiterons pour s’approvisionner en fromage de chèvre et de brebis.

Merci Jack pour cette agréable randonnée.

Les photos sont de Jean-Marie et Rolande

La semaine prochaine : jeudi 19 septembre 2019

Saint Cassien – Vallon de Saraire n° 691 – MOYEN*  -  14,7 km - Dh : 331 m

Belle  piste, chemin et  sentier, avec très beau panorama  sur le  lac  de  Saint -Cassien

Animateur :  Louis - Départ : 8h30

Parking de la réserve biologique de Fondurane  - Coût du trajet A/R : 23 €

 

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2019-09-05 - Autour du Dramont - G1- 924

7 Septembre 2019 , Rédigé par Brigitte

2019-09-05 - Autour du Dramont - G1 - 924   

 

C'est la reprise de la saison 2019/2020, le programme était annoncé pour la randonnée « Le Marrit Valat ». Le Massif des Maures étant en alerte rouge,

 

 

Louis notre animateur du jour a dû improviser sur le parking du Manoir une randonnée dans l’Esterel « autour du Dramont ».

 

 

 

Rendez-vous sur la plage du Dramont et attendons 2 voitures qui s’étaient dirigées vers le Marrit Valat.

En attendant, des petits groupes se forment. Certains se raconteront leurs vacances même si nous y sommes toute l’année, d’autres parleront avec tout un groupe de jeunes hommes qui se préparaient pour un stage de maître-nageur

 

 

et la blogueuse prendra en photo un couple de nouveaux randonneurs du Jeudi, Chantal et Bernard, bienvenue à eux.

 

 

 

 

Nos 6 randonneurs nous ont rejoints, Louis peut présenter sa randonnée : « nous ferons le tour du Dramont, passage par le Cap Estérel et le vallon des Ferrières, pour revenir sur la plage du Dramont après être passés au château d’eau. Une randonnée de 12k5 pour une dénivelée de 350m »

Il est 9h20 nous nous dirigeons vers la plage du Dramont sur laquelle nous retrouvons le groupe de jeunes hommes, bien en ligne à l’écoute de leur professeur avec en arrière-plan l’Ile d’Or.

 

 

 

 

 

 

 

Nous continuons vers la plage du Poussaï avec son petit port typique et marquons un arrêt devant un petit bateau étrange, en fait il s’agit d’un canoé « trafiqué » joliment en petit bateau à voile et sur la gauche une bande de porphyre vert .

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelques pas à l’ombre et remarquez un intrus qui prend un raccourci, c’est notre reporter de Briançon. Aujourd’hui il se repose, mais nous comptons sur lui pour l'avenir….

Tout au long du parcours, nous ne nous lasserons pas des beaux paysages, la mer, le sémaphore, les roches rouges … Quelle belle région !!!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tiens là-haut, notre serre file Patrick en bonne compagnie nous fait signe. Aujourd’hui lourde charge pour lui également, nous sommes 31 randonneurs.

Nous ferons une première photo de groupe improvisée avant de reprendre la direction de la plage du Camp long, plus connue sous le nom de « Tiki » plage.

Nous revoyons le Cap Roux, le Pic de l’Ours, le Rastel d’Agay et continuons le chemin côtier avec des montées et des descentes en direction du Cap Estérel, village de vacances, que nous longerons.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est 11 h, un petit coin à l’ombre bien apprécié, pour la pause banane.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous continuons en direction des Ferrières, nous ferons une boucle autour du vallon avec une montée assez raide sous le soleil, pour revenir nous restaurer sous les arbres.

Chacun trouve sa place, des éclats de rire se font entendre… Ce sont les retrouvailles !!! Il semblerait que ce soit Monique qui régale la « galerie ». Mais nous avons aussi remarqué que Monique randonnait sans sac à dos. Que s’est-il passé ? Par contre le sac de Marc semble plus lourd !!!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est 13h45, nous reprenons notre sac à dos un peu allégé, sauf Monique qui porte un tee shirt sur lequel on pourrait lire « randonneuse sans sac à dos »

Il fait très chaud, mais nous devons monter au château d’eau pour mieux redescendre !!!!

Une photo de groupe organisée, pas évident avec 30 randonneurs car il en faut un pour prendre la photo.

Un coup d’œil sur l’Ile d’Or au loin, sur le belvédère de la Batterie et le Sémaphore avant de descendre vers les anciens lacs des Carrières du Dramont.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous passons devant la base de loisirs

 

et empruntons le sentier de mémoire « sur les Pas des Carriers » inauguré le 11.08.2019, hommage à plus d’un siècle d’histoire .

La vie dans les ex-carrières de porphyre racontée sur 20 panneaux tout au long de ce sentier.

 

Une ballade culturelle en famille à recommander.

Avant de prendre les deux tunnels (un de 1890 l’autre de 1903) pour rejoindre nos voitures, deux scaphandriers attirent notre attention. Ils ont remonté une malle mais nous n’en saurons pas plus….

 

 

 

 

 

 

 

 

Après avoir quittés nos chaussures de randonnée, nous reprenons la route à pied vers le port du Poussaï pour prendre le pot de l’Amitié

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un grand merci à Louis pour nous avoir improvisé une randonnée faite dans la joie et la bonne humeur.

Merci aux photographes : Nelli, Dominique, Alain et Brigitte R.

 

Prochaine randonnée : le Jeudi 12 SEPTEMBRE 2019

Départ : 06:45        JEAN BO          SPORTIF xx                  10,2 km Dh : 949 m
Magnifique randonnée en altitude sur les hauteurs du Valdeblore à la découverte des 4 lacs de Millefonds; très beaux panoramas
Parking : Parking des Lacs de Millefonds à 10,5 km de St Delmas       Cout du trajet A/R : 80 €

 

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2019-09-05-Le Pas des Vaches-G2-766-4 -

6 Septembre 2019 , Rédigé par Jean-Marie

Le Pas des Vaches-G2-766-4

Reprise! Reprise! Reprise!

C'est par une chaude journée que nous avons rechaussé nos grosses godasses, oubliant les tongs que nous avons portés pendant deux mois.

C'était aussi une journée Mistral donc un gros risque incendie et nos amis du G1 ont du changer de secteur, celui des Maures étant en risque  "Très sévère", classé rouge.

C'est aussi une reprise en G2 avec un nouvel animateur, Jean-Claude, bon courage camarade et merci de venir renforcer le groupe des animateurs.

C'est donc lui qui nous présente sa rando, gentillette, pour une reprise, 9.6 km et 170 m de dénivelée, bien adaptée à la chaleur. Elle remplace celle prévue au programme : 13.3 km et 400m  qui en avait inquiété plus d'un.

Il nous présente aussi deux nouveaux marcheurs, Anne-Marie et Thierry. Bienvenue à eux deux.

 

Aujourd'hui, nous serons 24, dont 7 octos, avec Beps en serre-file.

Et nous partons plein nord, face à la Colle du Rouet. La température est

encore agréable mais la  végétation par endroit a bien souffert. Reconnaissez-vous sur cette photo, une immortelle et une lavande des Maures…

Mais ne croyez pas que tout soit aussi sec. Comme l'atteste cette vue sur la colle du Rouet, les jeunes pins, les chênes verts, les chêne-liège et les arbousiers sont toujours bien verts.

Tiens, un téléphone portable dans la poussière du chemin ! C'est celui de l'animateur !!! Heureusement, une randonneuse regardait ses pieds.

Nous tournons maintenant plein est sur la piste de la Regue. Là, nous avons normalement un gué recouvert d'eau et en arrière plan une jolie cascade.

Aujourd'hui nous n'aurons qu'un peu d'eau croupie.

Cheminement facile sur cette large piste mais pas un poil d'ombre ce qui perturbe notre animateur qui voudrait bien faire la fameuse pause-banane. Ouf ! Enfin quelques arbres en bord de piste nous permettent un petit arrêt à l'ombre. Il est 10 h 30 et il fait déjà chaud.

Nous repartons avec en perspective la vallée de l'Endre, affluent de l'Argens, et déjà la vue sur la superbe canopée des pins parasols (pardon des "pins pignons" comme nous le fait remarquer notre animateur).

Et c'est à partir de là que nous attaquons la  première difficulté de la journée, une montée à 10 %. La pente est donc modérée mais en plein soleil, à 11 h, c'est un peu plus coriace car il n'y a pas un poil d'ombre. Pour se réconforter nous n'avons que l'évocation d'une rando de l'autre côté de l'Endre où nous avions pu déguster différents vins au Domaine des Esclans et justement, c'est juste en face de nous.

Regroupement avant d'aborder la descente dans les rochers. Prudence mais aujourd'hui, le sol est bien sec.  L'animateur veille au grain.

La solidarité jouera aussi beaucoup et notre amie est ici bien entourée par trois cavaliers !

Première perspective sur les gorges de l'Endre. En les remontant on arriverait aux célèbres Gorges de Pennafort et…à son non moins célèbre restaurant.

Pour nous ce sera pique-nique au bord du trou de Gournié, avec une cascade à sec.

Pour se souvenir, le blogueur est allé rechercher dans les archives.

2013

Les traditions ne se sont pas perdues et le repas fut bien arrosé. Oups ! Je voulais dire joyeux.

Juste une petite fleur de menthe aquatique, c'est peu pour une journée de rando.

Jean-Claude nous dira quelques mots sur la Forêt Domaniale de la Colle du Rouet.

 

La forêt domaniale de la Colle du Rouet est issue du regroupement d’anciens massifs ecclésiastiques devenus propriété de l’État lors de la Révolution. Depuis, la forêt s’est agrandie par l’acquisition au fil des ans de près de 2.000 hectares supplémentaires. A la jonction entre la plaine de l’Argens et le massif de l’Estérel, elle forme un ensemble remarquable par sa richesse écologique et ses paysages. Les forestiers font face à deux enjeux majeurs : les incendies et la pression de l’urbanisation.

 

La forêt domaniale de la Colle du Rouet est constituée de cinq massifs. Trois d'entre eux s'étendent sur le plateau faiblement vallonné qui borde la rive gauche de l'Argens. Les deux autres recouvrent les contreforts escarpés des collines du Var, qui s'élèvent au nord jusqu'à 500 mètres d'altitude. L'Endre, un affluent de l'Argens, est le seul cours d'eau permanent, les autres petits ruisseaux sont à sec l'été.

Depuis 1985, plusieurs incendies de grande ampleur ont touché les trois quarts des peuplements. Associés au réchauffement climatique et à l'abandon de la production de liège, ils ont entraîné le dépérissement progressif du Chêne liège. La croissance des autres essences (pins pignon, d'Alep, maritime...) est limitée en raison de l'aridité et de la pauvreté des sols.

La forêt présente un remarquable intérêt écologique reconnu par son classement en zone Natura 2000. Une réserve biologique dirigée (des interventions y sont réalisées) a par ailleurs été créée autour de la mare de Catchéou, dans le secteur de Palayson. La diversité des milieux, du plus sec au plus humide, permet à de nombreuses espèces protégées de reptiles, batraciens, chauves-souris et oiseaux de se côtoyer. On y trouve notamment deux tortues rares : la Cistude d'Europe et la Tortue d'Hermann.

La forêt est facilement accessible pour les habitants des villages à proximité, par la RN 7 ou la RD 47, mais seuls quelques sites connaissent une fréquentation importante, en particulier l'été, grâce à la présence de points d'eau.

Les forestiers cherchent avant tout à préserver la richesse écologique du site et à reconstituer les peuplements détruits par le feu. La forêt est gérée au profit d'essences adaptées aux conditions difficiles rencontrées, essentiellement le Pin d'Alep et le Pin pignon.

Une part conséquente de la forêt (près de 800 ha), constituée de zones rocheuses, est laissée hors exploitation sylvicole. C'est aussi le cas des anciennes suberaies (Chêne liège). Après les incendies de 2003, une régénération naturelle très dense de pins maritimes s'est installée. Des dépressages vont y être réalisés pour favoriser leur croissance.

Les actions pour l'accueil du public (stationnement, itinéraires, signalétique, mobilier) privilégient les activités de détente et de découverte respectueuses du milieu naturel. Elles sont menées en partenariat avec les collectivités locales.

Cf. http://www1.onf.fr/enforet/la-colle-du-rouet/explorer/decouverte/20130828-133101-774969/@@index.html

Mais il est l'heure de repartir et nous nous engageons sur cette grande

piste plate, bien ombragée qui nous conduit à un premier parking. A partir de là nous quittons l'ombre des grands arbres et le soleil tape dur.

Au moment de quitter cette grande piste nous ferons enfin la photo de groupe…que vous ne verrez pas car notre animateur voudra en faire une nouvelle avec la Colle du Rouet en arrière-plan.

Comme le blogueur veut rester en bon terme avec le chef, il choisira d'éditer cette nouvelle photo. Si vous voulez vraiment voir la première, je vous la passerai, en douce.

Puis notre animateur nous propose trois options pour rejoindre les voitures, Soit continuer sur la grande piste où nous sommes, soit suivre le tracé du feeder de gaz, soit un raccourci par un petite piste étroite. C'est cette dernière qui fut retenue. Ce petit chemin longe la limite sud de la Forêt Domaniale ce qui nous permit de découvrir les grosses bornes blanches qui la délimitent.

Mais qu'il y fait chaud sur ce petit sentier. Il est 14 h quand nous arrivons aux voitures. Ouf !

Comme d'habitude, nous prenons le pot de l'amitié à la Bouverie, avec une heure d'avance sur le programme.

Merci Jean-Claude, tu as parfaitement mené ta première rando. Félicitations, maintenant nous allons attendre impatiemment ta seconde prestation.

La semaine prochaine, on rentrera dans le dur avec la randonnée à Montserrat avec Jack.

 

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SEJOUR DANS LE BRIANCONNAIS DU 23 AU 29 JUIN 2019

30 Juin 2019 , Rédigé par Brigitte, Claude, Dominique, Rolande

SEJOUR DANS LE BRIANCONNAIS DU

23 AU 29 JUIN 2019

 

55 randonneurs se retrouvent à la Salle-les-Alpes, pour le séjour de fin de saison, superbement organisé comme l'an passé par Joël, avec un large programme de randonnées. Au nom de toutes et tous, nous lui renouvelons ici nos remerciements.

7 animateurs vont  guider les diverses randonnées, se répartissant en 3 niveaux de difficultés différentes : Anne-Marie, Rolande, Alain,  Jack, Jean-Claude, Jean Ma et Joël. Un grand merci à eux.

 

Lundi 24 Juin 2019

  • G1 : Le lac Lavoir et le lac Vert - secteur Vallée Etroite n°26

27 randonneurs prennent le départ aux Granges de la Vallée Étroite (1 765 m). Ce grand nombre ne va pas effrayer notre animateur, Jean Ma qui, après la présentation de sa randonnée, nous fait prendre le GR en direction de Thabor. Face à nous le Grand Séru.

Rapidement nous bifurquons, pour un aller-retour au lac Vert afin d'observer ses truites bien vigoureuses.

Après  de nombreux lacets en chemin forestier, nous arrivons à la maison des Chamois.

Au fond, au centre l' Aiguille Rouge et, à gauche, le sommet du Charra

Le sentier suit le ruisseau de la Vallée Étroite et nous emmène  au plateau du Prat du Plan. Puis nous traversons plusieurs névés.

Au fond Le Grand Adret, à sa droite le Mont Thabor enneigé

Enfin, nous arrivons au lac Lavoir (2 281m), sur les rives duquel nous nous arrêtons pour pique-niquer.

Nous revenons par le même chemin et remercions chaleureusement notre guide.

  • G2 : Lac de l'Oule - Lac de la Barre - secteur Saint Chaffrey n°24

Ce matin nous sommes 17 au départ de l'hôtel pour cette randonnée proposée par Jack au départ du col de Granon à 2404 m. d'altitude. Au loin nous voyons le massif des Ecrins et ses glaciers.

Pour rejoindre tout d'abord le col de l'Oule et les deux lacs nous devons traverser 6 névés plus ou moins longs.

Le chemin monte jusqu'au col. Des regroupements pour se désaltérer sont nécessaires.

Une bonne descente pour approcher des lacs et dire qu'il va falloir remonter après le déjeuner. Face à nous le rocher Gauthier.

Après la pause pique-nique arrêt devant le lac de l'Oule pour la photo de groupe avant la remontée, trouvée bien longue par certains, puis enfin descente agréable presque jusqu'au parking.

Quel dommage que le soleil se soit voilé : les couleurs sont un peu pales. En résumé magnifique découverte de ce secteur.

 

  • G3 : Dormillouse par le sentier des cascades n°32

Quel plaisir pour nous trois d'avoir Alain pour nous guider ce matin.

Nous partons du parking des Cascades, au fond de la vallée de Freissinières. 

Dés le départ nous découvrons une très belle cascade.

Nous marchons sur un agréable sentier forestier, tout comme le feront les randonneurs du G1 ultérieurement ; mais nous ne monterons pas bien haut.

Un grand pierrier à traverser 

Et un peu de repos au bord du petit lac de la Roche de Rame, dont nous faisons le tour.

Merci Alain pour ce très agréable moment.

 

Mardi 25 Juin 2019

  • G1 : Lac Lérié- Plateau d'Emparis n°21 - secteur Haute Romanche

Nous sommes 15 randonneurs pour cette rando sportive une étoile menée par Anne-Marie.  Il est 9h15 et nous voici prêts pour la montée dès le départ près du télésiège du Signal.  

Nous marchons sur le sentier des Mules, longtemps emprunté par les habitants de la commune pour exploiter les prés et les pâturages. Nous avançons dans la douceur verdoyante du Plateau d’Emparis parsemé de drolls jaunes vifs et de gentianes d’un bleu tirant sur le violet.  

Une heure plus tard, c’est la pause-banane dans ce cadre magnifique à 2048m d'altitude. 

Nous faisons une courte halte au Lac Lérié dont la sérénité tranche avec l’austérité des faces nord du glacier de la Meije et du Râteau.

Nous repartons en direction du lac Noir, 700 m plus loin, où nous pique-niquons.

Nous reprenons nos bâtons et n’allons faire qu’une petite boucle supplémentaire de 300 mètres car il fait très chaud.  Nous voici de nouveau sur le chemin emprunté ce matin pour redescendre à Chazelet où nos véhicules nous attendent. 

Nous avons fait 15,2 kms sous un soleil de plomb et partons en voiture nous désaltérer au Col du Lautaret

 

  • G2 : Panorama sur la Haute Romanche- Lac du Pontet n°29

26 Randonneurs se retrouvent à Villar d'Arène pour une randonnée à 2095 m d'altitude maxima, menée par Joël

 Nous atteignons le col de l'Aiguillon, avec en face le glacier du Tabuchet

Une belle montée dans les alpages, au rythme de chacun

pour atteindre le Lac du Pontet, où nous déjeunerons sous un soleil de plomb, entourés des glaciers du Massif des Ecrins

Nous redescendons dans la vallée de la Romanche en traversant des tapis de fleurs

Avant de rejoindre nos voitures, une photo de groupe et une surprise nous attend : les tartes aux myrtilles offertes par notre animateur que nous dégusterons avec une boisson rafraîchissante. Merci Joël.

 

  • G3 : Les Chardons du Fournel n°33 

5 randonneurs ont décidé d’accompagner Rolande à L’Argentière la Bessée . Après avoir abandonné nos 2 voitures au Sapey au bord du torrent le Fournel

nous empruntons le GR pour rejoindre la réserve des Deslioures où pousse la reine des Alpes, espèce caractéristique de la Vallée du Fournel devenu le premier emblème du Parc national des Ecrins.

Dans la réserve ont été recensées 900 variétés de fleurs. Lors de notre cheminement nous avons pu en observer de nombreuses.

Le paysage alentour était magnifique, cascades, torrent tumultueux, rochers et sommets enneigés. Un seul regret : le chardon bleu n’était pas encore fleuri.

Il faudrait revenir d’ici 3 semaines. Petit arrêt pour admirer de l'extérieur l'église Saint Apollinaire du 15è siècle dont une fresque extérieure et le verrou de la porte d'entrée datent du 16è siècle.

 

Mercredi 26 Juin 2019

  • G1 : Lacs Palluel et Faravel - secteur Vallée de Freissinières n°22

Aujourd'hui, c'est Alain qui conduit une randonnée sportive avec une altitude à atteindre de 2557m.

16 randonneurs se rejoignent au parking des cascades dans la Vallée de Freissinières.

Après un émerveillement devant la cascade de Dormillouse, 

 

nous continuons à travers une forêt de mélèzes

en direction du Lac Palluel, où nous déjeunerons les pieds dans l'eau

Une photo de groupe, entre un névé et le lac

 Alain nous conduira ensuite vers le lac Faravel où il nous accordera un petit 1/4 d'heure de pause

Nous redescendons ensuite la vallée, et nous nous arrêtons au village de Dormillouse pour ensuite retrouver nos voitures

 

  • G2 : Lac de la Douche - secteur Briançon n°27

Aujourd’hui c’est Jean Ma qui nous conduit au lac de la Douche. Nous sommes 18. Après avoir traversé le hameau du Casset et longé la Guisane nous nous engageons sur une piste qui monte progressivement le long du torrent le Petit Trabuc.

Nous sommes à mi-ombre et ne souffrons pas de la chaleur.

Nous profitons d'un petit arrêt pour faire une première photo de groupe.

Autour de nous de belles fleurs multicolores. La pente s’accentue quelque peu et le chemin devient caillouteux et voilà que nous arrivons au lac ayant une couleur magnifique.

Face à nous le sommet des Agneaux et le glacier du Casset.

Pour le retour nous empruntons quelques raccourcis et sentiers en parallèle de la piste.

 

  • G3 : Forêt Domaniale de la Clarée n°34

C’est à bord d’un minibus prêté par l’hôtel et piloté par Michel que les 9 randonneurs arrivent au charmant hameau de Sallé.  Anne-Marie présente le programme du jour et nous voici partis dans la forêt  domaniale de la Clarée.  Une belle montée nous attend

 

mais nous allons prendre notre temps et faire les pauses nécessaires pour ne fatiguer personne.  Nous nous engageons bientôt dans une forêt et qui dit forêt dit ombre donc nous nous sentons privilégiés car il fait chaud ! 

Nous avançons tranquillement parmi les mélèzes. 

Michel nous fait écouter le chant du pinson et nous explique la différence entre mélèzes et épicéas. 

A midi, nous sommes au Chalet des Combes à 1757m et décidons qu’il est temps de faire une petite pause.

Après avoir repris des forces et nous être désaltérés, nous repartons et traversons un pierrier puis un petit ruisseau. 

La mélodie d’une cascade à proximité rythme nos pas.

Nous nous engageons sur un chemin étroit avec à notre gauche les montagnes couvertes de pins.  Nous regagnons le parking et faisons 4,5 kms en minibus pour rejoindre le charmant village de Plampinet.

C’est à l'auberge de la Clarée qu’il faut retirer les clés des deux chapelles que nous visiterons mais pour l’instant, les propriétaires nous proposent de pique-niquer dans le jardin.  Nous commandons des boissons fraîches et ils ajoutent que nous pourrons aussi consommer l’eau de la fontaine juste derrière notre table ce que nous ne manquerons pas de faire. 

 

Jacqueline nous sert un délicieux vin d’orange – il fait bon vivre au G3 - et nous passons un agréable moment confortablement installés à l’ombre.

Après un petit café, nous visitons Notre-Dame de Grâce dont nous apprécions les fresques. 

 

puis nous nous dirigeons vers l’église Saint-Sébastien dont le cadran solaire fonctionne toujours. 

Là nous sommes émerveillés par la richesse des fresques.

 

et vous conseillons vivement de cliquer sur le lien suivant pour en apprendre davantage : 

https://baladesenfrancelenezauventsite.wordpress.com/2017/12/16/les-tresors-de-plampinet-05/ 

Nous rentrons ravis de notre journée et remercions Anne-Marie et Michel sans oublier l’hôtel pour le mini-bus.

 

Jeudi 27 Juin 2019

  • G1 : Tour des Arêtes de la Bruyère par le grand Lac n°31-2

Joël nous annonce le programme du jour et nous voici partis.  Nous sommes 18 aujourd’hui, impatients de découvrir les somptueux panoramas qui nous mèneront au Grand Lac, à 2287 m d’altitude.

Nos pas seront longtemps accompagnés par le chant de l'eau ruisselant sur les roches.

 

 

Nous montons à travers de longs passages rocheux et pierreux.

Pause-banane en plein soleil mais nous n’avons pas le choix!

 

Nous  sommes toutefois récompensés par la vue d’un chamois sur le flanc de la montagne enneigée qui nous fait face.  Mon objectif n’est pas assez puissant alors je vous laisse imaginer cette scène enchanteresse. Nous longeons le Grand lac par la crête et nous arrêterons pique-niquer sur ses bords un peu plus tard.

Le groupe au complet prêt à repartir

Au retour, nous devons emprunter un "petit passage câblé facile" comme dit Joël...

 

et il nous montre comment nous y prendre:)

Après cet exploit, il nous reste la longue descente d’une pierrée puis nous nous retrouvons de l’autre côté du chemin emprunté ce matin. 

Nous sommes heureux de nous installer à l’Auberge du Pont de l’Alpe pour un pot bien mérité avant de regagner les voitures.

 

  • G2 : Lac de Souliers - secteur col de l'Isoard n°30

Aujourd’hui c’est du col de la Platrière en contrebas de  l’Isoard au niveau de la Casse Déserte avec ses grandes pentes d’éboulis dolomitiques (casse) avec de grands monolithes (pitons de cargneules) que les G2 partent à destination du lac de Souliers.

Nous sommes 24. Chacun monte à son rythme, Rolande ayant indiqué les points de regroupement des randonneurs. Le départ est en sous-bois et la montée est progressive Par moment on aperçoit Arvieux. La montée devient alors plus raide et à découvert jusqu’au lac de Souliers, œil du Queyras.

Certains se reposeront, d’autres tremperont leurs pieds dans le lac

tandis qu’un petit groupe de 9 dont 2 animateurs (Jean a bien voulu prendre la tête feront la crête du Tronchet  avec  pour récompense une vue à 340° sur les sommets du Queyras et le Mont Viso( seule l’arête sommitale cachera quelques sommets).

Avant le retour sur Briançon arrêt au col de l’Isoard et montée aux différentes tables d’orientation.

 

  • G3 : Lac du Pontet n°35

Au parking du Chazelet, hameau les Cours (1900m), nous sommes 4 courageux pour nous lancer, sur un chemin pentu et caillouteux, vers le lac du Pontet (1997m), par une chaleur déjà accablante.Jean-Claude est notre animateur.

Nous atteignons le lac au bout d’une bonne demi-heure et nous en faisons le tour. L’environnement est magnifique et reposant.

La chaleur s’accentuant, il fait bon de se rafraîchir les pieds dans une eau à 20 degrés.

Mais qu’est-ce qui peut bien attirer les centaines de petits poissons qui jouent avec nos orteils?

Après un pique-nique confortable sous les parasols d’une buvette opportunément ouverte au bord du lac, nous redescendons rapidement jusqu’au parking.

s à la découverte des sites environnants. Nous visitons d’abord un hameau du village de La Grave, le Chazelet, réputé pour ses maisons traditionnelles en pierre dont certaines comportent de beaux balcons en planches et des greniers extérieurs en bois destinés, les premiers au stockage des combustibles, les seconds à la conservation des vivres nécessaires aux habitants.

Ensuite, nous faisons halte à l’Oratoire du Chazelet où d’une passerelle surplombant le vide (cf le diaporama en fin de blog) nous jouissons de vues impressionnantes et magnifiques sur le massif des Écrins  et, en bas  sur la vallée.

Dernier arrêt à Villar-d’Arêne, un village authentique avec ses maisons, chapelles et fontaines caractéristiques et son four banal où, chaque année la population se réunit pour faire le pain "bouilli".

Sur la place du village trône une imposante église malheureusement fermée au public en raison d’un risque majeur d’effondrement.

C’est sur cette petite place face à l’église que nous prendrons le traditionnel pot,  marquant la fin de cette journée riche en découvertes naturelles et patrimoniales.

 

Vendredi 28 Juin 2019

  • G1 : Le sentier des Thurifères et retour par les Barres et le canal de l'Abeil n°25 
  • G2 : Le sentier des Thurifères
  • G1 et G2 : Mont-Dauphin et la fontaine de Réolier

Nous sommes 21 randonneurs à prendre le départ à Saint Crépin, direction les Guions, par le sentier des Thurifères. Jack mène les 10 randonneurs du G1.

Jean Ma part peu après, avec ses joyeux acolytes du G2.

Le Genévrier Thurifère, appelé aussi Porte-Encens, du fait de l'odeur de ses rameaux, est une vieille espèce, connue depuis - 65 millions d'années. Mais dans ce secteur, l'aïeule (et oui ces arbres sont soit mâles soit femelles !) n'a que 1 400 ans, selon les experts. Une de ses branches maîtresse a cassé en 2016 et l'arbre a perdu de sa superbe.

l'Elephante en 2016, avant la casse

Arrivés sur le plateau des Guions, les marcheurs du G1 font un petit aller-retour sur le plateau pour un panorama des sommets alentour et, le temps de picorer de très bonnes cerises, arrivent en même temps que les amis du G2 pour la pause repas.

Visite de la chapelle

Les randonneurs G2 redescendent par le chemin découverte.

Les marcheurs G1 vont prendre le chemin escarpé des Barres et passer le long des voies d'escalade de Saint Crépin et le canal de l'Abeil.

Les arrivées G1 et G2 sont pratiquement synchrones et nous reprenons les voitures pour une visite rapide de Mont-Dauphin et pour nous désaltérer.

Puis nous nous rendons à la fontaine pétrifiante de Réolier.

 

  • Via Ferrata de la Croix de Toulouse

8 randonneurs accompagnent Joël pour une Via Ferrata vers le Croix de Toulouse.

Après une montée de 30 mn avec nos baudriers et nos casques, nous arrivons au point de départ de la Via Ferrata.

 

Avec l'aide d'Hervé, Joël vérifie notre matériel et nous donne toutes les recommandations pour le bon déroulement de cette première expérience. 

Les 8 randonneurs, sous le contrôle de notre animateur, démarrent; malheureusement deux randonneuses abandonnent et rejoignent les téméraires à la Croix de Toulouse pour le pique nique. Une montée de 700 m de dénivelée en deux heures.

Admirez les exploits!!! Bravo à eux...

 

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  • G3 : Cascades du Vallon de Narreyroux n°36

C'est à l'initiative de Michel, que 4 randonneurs vont aller découvrir des cascades de toute beauté, au fond de la combe de Narreyroux dans la vallée de Vallouise, Puy Saint Vincent.

Mais la beauté se mérite et il faut tout d'abord traverser 2 névés et un torrent.

La cascade nous asperge de ses embruns rafraîchissants.

Pique-nique au dessus de la cascade, sur une plate forme rocheuse au confluent de torrents.

Retour au parking avant le pot à Vallouise et la visite d'une très belle église.

 

Avant de conclure, en beauté, ce compte rendu de notre très agréable séjour de fin d'année, nous remercions les blogueuses et tous les photographes qui ont participé à ce blog.

Et, nous vous offrons en bonus :

Un grand bravo aux artistes qui nous laissent de si beaux souvenirs.

Bonne fin d'été à tous nos fidèles lecteurs et rendez vous en septembre.

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2019-06-20 - 547 - Bargème - Montagne de Brouis - G1

22 Juin 2019 , Rédigé par Dominique

2019-06-20 - 547 - Bargème - Montagne de Brouis - G1

 

Nous sommes dix-neuf randonneurs pour cette dernière marche de la saison.  Jean a choisi de nous faire découvrir Bargème et ses alentours. 

A plus de 1000 mètres d’altitude, ce village est le plus haut du Var. C’est également un site classé et il fait partie des plus beaux villages de France. La nature et l’histoire ont pris un malin plaisir à fabriquer ce nid d’aigle sur un piton rocheux qui domine la vallée de la Bruyère, regarde le Laechens, les montagnes de Brouis et de Malay.  Occupé depuis le III° siècle avant Jésus-Christ et jusqu’à l’époque gallo-romaine, le village est mentionné pour la première fois en 814, dans le sanctuaire de Saint Victor de Marseille. Les bandes de Raymond de Turenne sillonnant le pays, les habitants se fortifièrent derrière d’épaisses murailles en pierres de taille, dont il subsiste deux portes fortifiées. Le château fut édifié au XIV° siècle par Foulque de Pontevès. L’une de ses quatre tours a une hauteur de 27 mètres.  Sachez que pendant les guerres de religion, il y avait 115 Bargémois.

 

Nous l'écoutons attentivement nous présenter le programme du jour 

 

et partons d’un pas allègre. 

 

 

 

Nous passons devant le château que nous verrons à plusieurs reprises pendant notre périple et devant la chapelle Notre-Dame des sept Douleurs.  

 

Un nom intrigant certes, mais que l’on comprend mieux en découvrant l’histoire sanglante de ce village. 

Seigneur cruel, Jean –Baptiste de Pontevès venait de fêter ses 90 ans. Les habitants, qui l’avaient pourtant supporté jusque-là, finissent par l’assassiner le 24 mai 1579. Le château fut alors pillé et entièrement ruiné. Quelques mois plus tard, deux de ses fils furent égorgés, le troisième poignardé. En 1595 son petit-fils connaît le même sort : Antoine, âgé de 25 ans et pas rancunier, est revenu s’installer au château mais sera poignardé au pied de l’autel pendant une messe dominicale.  Indigné, le parlement de Provence condamne le village à ériger une chapelle expiatoire, dédiée à Notre-Dame-des-Sept-Douleurs. Cette dernière est  visible à l’extrémité de l’esplanade qui conduit au château.  Les responsables furent pendus.

Nous continuons sur le sentier plat de Coustière bordé de champs de fleurs sauvages. 

 

 

 

Château au fond au milieu de la photo à l'arrière-plan

 

Nous nous enfonçons ensuite dans un chemin étroit et pierreux que seul un animateur chevronné peut reconnaître tant l’entrée est cachée par des buissons de genêts.  

 

 

Nous montons noyés au milieu de cette végétation dense sous un soleil de plomb et ce sur 300 mètres. 

 

 

Un magnifique panorama s’étend sous nos yeux, champs et massifs boisés avec en prime le château que nous distinguons au loin. 

 

 

Nous voici à 1323 m d’altitude.  Nous apprécions une courte pause dans la fraîcheur d'un sous-bois. 

 

Anne-Marie et Jean qui ont reconnu cette rando ensemble se consultent

 

Peu de temps après, nous reprenons des forces à la pause-banane tout en admirant le paysage alentour. 

 

 

Vue sur le Mercantour et Bargème

 

 

Jean nous explique que nous allons longer la crête pour atterrir à la Montagne de Brouis. 

Nouveau passage ombragé

 

 

avant de nous retrouver devant un paysage à couper le souffle 

 

C'est reparti!

 

Jean nous a bien parlé d'une montée à travers une forêt dévastée mais nous ne nous attendions pas à un tel spectacle !  D’immenses troncs d’arbres secs et dénudés s’élancent vers le ciel 

 

 

tandis que d’autres jonchent le sol qui devient un parcours du combattant. 

 

 

Cette forêt a été quasi-détruite par la violence de la tempête de décembre 1999 dont vous vous souvenez sans doute.  Nous sortons de cet endroit glauque sans regrets 

 

 

pour nous retrouver sur une belle clairière fleurie à 1450 mètres d'altitude au sommet de la montagne de Brouis 

 

 

Nous commençons notre descente – un chemin pierreux en lacets aussi raide que la montée mais le rythme nous permet de profiter pleinement de la beauté de l’endroit et de la végétation - véritable tapis multicolore composé de buissons de genêts jaune vif, de chardons, de roncières en fleurs et de gueules de loup pour n’en citer que quelques spécimens.

 

Nous évoluons gracieusement

Au loin, nous apercevons de nouveau Bargème et son église.

 

 

Nous nous frayons un chemin

 

 

Jean-Claude notre dévoué serre-file

 

Il est 12h30, nous avons faim et nous installons à l’ombre pour la pause pique-nique.

 

 

 

 

 

Nous repartons sur un chemin tranquille dans le vallon de la Clue. 

 

Nous longeons en fait par un chemin plat bordé de pins la crête que nous avons suivie plus tôt. 

 

 

Une dernière petite montée en plein soleil

 

 

pour rejoindre le village de Bargème 

 

 

que nous allons visiter après avoir fait un arrêt dans l'atelier de sculpture d'Elsa.  Nous évoluons parmi les têtes en béton qui ornent le jardin puis regardons avec intérêt ses panneaux décoratifs très originaux taillés dans l'ardoise.

 

Merci Claude d'avoir ajouté cette note artistique à la randonnée

 

Nous allons ensuite flâner dans les ruines du château

 

 

 

puis dans le village. 

Eglise Saint Nicolas de style roman avant la montée au château

 

 

Fontaine

 

Le lavoir voûté à côté de la fontaine

C'est sur la terrasse de l'Amandier rose près du four communal que nous prendrons le verre de l'amitié.

 

 

 

 

Nous avons parcouru 11,5 kilomètres pour  570 mètres de dénivelé.

Un grand merci à Jean pour cette belle randonnée appréciée de tous, à Jean-Claude notre serre-file ainsi qu'à Claude et Dominique pour les photos.

Le prochain blog retracera nos aventures à Briançon où beaucoup de joyeux randonneurs se retrouveront dès demain pour une semaine au programme varié :)

 

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La Roque Esclapon-Bas Lachens-20/06/2019-G2

21 Juin 2019 , Rédigé par Jean-Marie

La Roque-Eslapon, Bas-Lachens-614-2-G2

 

C'est la dernière G2 de la saison, avant Briançon. C'est le moment de remercier nos animateurs, serre-files, blogueurs et photographes qui nous ont accompagnés depuis le mois de septembre 2018.

Aujourd'hui c'est Louis qui s'y colle tout au fond du Haut-Var. Jolie route mais que de virages!!!

Incroyable, seulement 10 marcheuses et marcheurs au départ mais selon certains ce sont les meilleurs. 30% de dames, faites le calcul, là aussi ce sont certainement les meilleures.

Quelques raisons à ce nouveau record : la chaleur annoncée, la distance et les virages, et surtout la semaine briançonnaise (que c'est long de préparer la valise…)

 

Bon, on fera avec. Louis nous fait une courte présentation nous renvoyant à Internet pour en savoir plus sur ce charmant village dont le nom, nous confiera-t il quand même, vient de la Roche éclatée. Il nous indiquera qu'il fera la rando à l'envers pour trouver un coin de pique-nique à l'ombre. Longueur : 10.5 km -dénivelée 445 m.(nb-le profil ci-dessous est le profil initial)

La météo est bonne, une température de 27° est annoncée.

Comme notre animateur l'a recommandé, le blogueur est allé sur Internet.

" Situé dans l’arrière haut pays varois, La Roque Esclapon (altitude 960m) se niche dans un écrin de verdure, au centre d’un cirque de montagnes très boisées : le Brouis, le Malay et le Lachens (altitude 1715m) que chacun se plait à nommer « le toit du Var »..
 

Pays de culture et d’élevage, la commune s’oriente vers un tourisme chaleureux et convivial que lui confèrent son environnement, ses services et ses équipements.
C'est un centre réputé pour la pratique de vol libre et des vols bi-place en parapente ou delta

 

Cité en 1178 : "Rocca de Sclapone" ; vers 1200 : "Rocha" ; au XIIIème siècle : "Sclaponum" ; puis en 1351 : "Rocha Sclapon" ; en provençal, Roucasteroun.

Les Hospitaliers possédaient des droits en 1252 sur le château de l'ancien village ; le comte de Provence en avait sur celui qui se trouvait à 5 km au nord-est et qui fut détruit durant les guerres de Religion. Fief des Villeneuve jusqu'au XVIIIème siècle qui passe ensuite à l'ordre de Malte. Cf Wikipedia;"

Et nous voila en route pour sortir du village quand notre attention est attirée par  un arbre couvert de nids de chenilles processionnaires. En fait il semble que ces redoutables bestioles ont été détruites très jeunes.

Maintenant nous progressons sur une pente assez raide qui nous permet de rejoindre le GR49 juste en dessous du Lachens du Cousset, premier contrefort du Mont Lachens.

Nous sommes dans une forêt de grands conifères semblant avoir été un peu bousculés par une tempête.

Vers l'est, la montagne de Brouis où nos amis du G1 doivent crapahuter vers le plateau.

Nous poursuivons notre montée sur une large piste et commençons à rentrer dans le "jaune", à savoir des genets en fleur à perte de vue.

De temps en temps de superbes églantiers viennent apporter une tache rose dans l'or des genêts et des graminées s'inclinent sous l'effet du vent, attention aux allergies.

Encore quelques belles fleurs, la ronce blanchâtre et la petite campanule.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La montée se poursuit  mais la chaleur est bien supportable. Les premiers parapentes apparaissent dans le ciel.

La température n'est pas encore assez élevée pour  qu'ils trouvent de bonnes ascendances et ils rejoignent assez vite l'aire d'atterrissage que nous voyons en bas du chemin.

L'un d'eux s'échappe vers l'ouest où se trouvent quelques aires d'atterrissage à l'entrée du village. Le groupe s'intéresse à leurs évolutions. Louis, pilote d'ULM, nous apporte beaucoup d'informations sur l'aérologie.

Un vautour tourne au-dessus du Mt. Lachens dont nous voyons maintenant clairement les antennes Il parait qu'ils se nourrissent des cadavres des randonneurs perdus selon Jean-Marie !

Jolie vue sur la vallée qui conduit à la Roque Esclapon.

Maintenant ce sont deux élégants planeurs qui tournent au-dessus du sommet. Alors que Louis nous explique sérieusement qu'ils recherchent une ascendance qui semble se refuser à eux vu le nombre de tours qu'ils effectuent, une randonneuse a une autre explication, il a perdu ses

lunettes et cherche où elles sont tombées ! Pourquoi pas…

Après les vautours mangeurs de randonneurs et les planeurs en recherche optique, le groupe est vraiment en forme !

400 m de dénivelées et nous serions au sommet et Nelli trépigne, elle  voudrait bien les franchir. Mais ce n'est pas au programme des G2 et nous quittons le GR49 pour commencer notre descente et très vite nous nous dirigeons vers une forêt de conifères.

Incroyable, dans ce coin perdu, en pleine nature, un panneau de permis de construire. On dirait que c'est sérieux, en y regardant de plus près, il concerne un local de 15 m2 pour abriter le matériel d'un apiculteur.

    Pas beaucoup d'ombre par ici;

 La descente nous rapproche de la forêt et Louis va nous trouver un coin à l'ombre pour le pique-nique.

Seule une randonneuse, amoureuse du soleil, ne profitera pas de l'offre de notre animateur. C'est un pique-nique presque sobre que va vivre le G2, pas trop habitué à ce régime.

Comme toujours, les spécialistes de la sieste vont profiter d'un moment de repos. Après un petit topo de Louis sur la mesure des dénivelées et la photo de groupe nous reprenons la descente.

Le blogueur s'est intéressé à ce nuage aux formes effilées mais en reprenant le cliché il a constaté que le fameux vautour de ce matin était toujours dans le secteur (voir l'encerclé rouge).

Quel sentier merveilleux, de l'herbe, une pente douce, des fleurs, des graminées (ça c'est moins sympa pour les allergies). De temps en temps, il est presque envahi par les genêts.

 

Laser de Gaulle
Sauge des prés
Orchis (tardif)

Attention Nelli,toute seule à l'arrière, il n'y a pas de serre-file aujourd'hui !

Nous arrivons sur l'aire d'atterrissage mais aucune voile en vue, dommage. Ils doivent faire la sieste là-haut!

 Un groupe d'enfants et leurs instituteurs sont venus profiter de la nature et du spectacle.

Un peu plus bas nous doublons un autre groupe d'enfants un peu plus âgés. Ils semblent beaucoup s'intéresser aux cailloux du chemin. Louis ira questionner un des responsables et il apprendra que ce secteur est riche en fossiles et il s'en fera offrir  un, fossile partiel d'un escargot (200millions d'année, une paille !)..

Il commence à faire très chaud et une montée assez sèche sur de l'enrobé va nous ramener aux dures réalités de la rando. Mais ce sera assez court et nous retrouverons la piste caillouteuse qui nous ramène au village. Au passage, un cerisier va attirer quatre participants qui vont se régaler.

A chaque passage à cette saison, c'est un grand classique.

Il ne reste plus qu'à rejoindre Bargemon pour prendre un pot bien frais, en face de la fontaine, sous un énorme platane.

Merci Louis pour cette rando sympa. Nous avons appris beaucoup sur ces drôles d'engins volants

Merci aux photographes, Nelli et Jean-Marie.

 

Pas de programme pour jeudi prochain. Bon séjour à Briançon  et bonnes vacances.

On se retrouve en Septembre pour de nouvelles aventures.

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