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7 janvier 2023 6 07 /01 /janvier /2023 10:31

2023-01-05-948-1-L'Endre par le Pas des Vaches-G1-G2

 

"Nous sommes 27 randonneurs présents sur le parking du Pont de l'Endre, prêts à prendre le départ de cette première randonnée de l'année 2023.

Après les traditionnels échanges de voeux Anne-Marie présente le parcours, sans omettre de nous rappeler que la prochaine randonnée sera une randonnée "galette" à laquelle il n'est pas encore trop tard pour s'inscrire.

"La randonnée d'aujourd'hui est une belle marche dans la forêt de la Colle du Rouet, à la découverte des rives de l'Endre et du Trou du Gourmié, avec une belle montée raide jusqu'au Pas de la Vache. C'est un parcours "moyen ++" de 11,8 km pour un dénivelé de 136 m."

Comme cette randonnée accueille à la fois des G1 et des G2, Anne-Marie proposera au fil du parcours des variantes sur lesquelles elle guidera les randonneurs qui le souhaiteront pendant que les autres poursuivront sur le tracé initialement prévu, encadrés par Jean Masson qui accepte bien volontiers cette mission.

Le serre-file principal, pour les tronçons communs, sera Bernard.

 

 

Nous prenons le départ vers 9h40 sous un ciel bleu parcouru de quelques nuages et une température un peu plus fraiche qu'attendue.

 

 

 

Nous suivons le cours de l'Endre, partiellement à sec à cette hauteur.

 

 

 

Sur la piste des Pradineaux un soleil plus franc commence à nous réchauffer.

 

 

Anne-Marie explique que "Pradineaux" vient de "pré". Cet espace était une zone d'élevage comme le confirment les appellations que nous rencontrerons en amont "Pas des Vaches" et piste du "Pas des Vaches".

 

 

Nous poursuivons notre route sur cette piste confortable en direction du Trou du Gourmié.

 

 

 

Cet ancien moulin qui se reflète dans l'eau offre un paysage de carte postale.

 

 

Nous nous arrêtons quelques minutes pour le contempler.

 

 

 

Une pause à l'embouchure des gorges de l'Endre, avant d'aborder la montée vers le "Pas des Vaches". C'est ici que commence la première variante proposée par Anne-Marie. Le groupe se scinde en deux. 

Les "G1" abordent en premier la montée, emmenés par Anne-Marie. Ils poursuivront ensuite par des sentiers sur les flancs du Pic Rébéquier jusqu'au gué du Vallon des Gourbières où tous les randonneurs se regrouperont pour partager la pause pique-nique.

 

 

Nous les suivons dans cette montée à travers un amoncellement de rochers.

 

 

 

 

Une pause au sommet le temps d'une photo de "sous-groupe" pour ce "G1" qui s'est lui-même rebaptisé "le Clan des 12".

 

 

Il poursuit sa route à travers la forêt domaniale de la Colle du Rouet,

 

et sur les contreforts du Pic Rébéquier, sous un ciel de plus en plus bleu.
Le clan des 12 prend un peu de temps pour admirer ce beau paysage.  

 

 

 

 

Pendant ce temps le reste du groupe, emmené par Jean Masson, a amorcé lui aussi la montée, à un rythme moins soutenu, en prenant le temps de la contemplation,

 

 

 

 

et en s'accordant, près du sommet, une pause banane, en surplomb d'un magnifique panorama. 

 

 

 

A la hauteur du Pas des Vaches, au lieu de prendre à gauche comme l'aura fait le "G1", nous nous engageons vers la droite sur la Piste de la Rogue Nord,

 

 

une piste ouvrant sur de larges panoramas vers la Colle de Rouet 

 

 

qui nous amène au gué du Vallon des Gourbières.

 

 

C'est dans ce superbe environnement que nous ferons notre pause pique-nique, dès nous aurons été rejoints par le groupe "G1", ce qui se produit dans les minutes qui suivent.

 

 

 

 

Une pause confortable, agréable, au soleil, qui sera suivie de la photo du groupe au complet (presque, certains n'ayant pu s'arracher à une micro-sieste régénératrice). 

 

 

 

Nous repartons en longeant la piste des Corbières.

 

 

 

Un court crochet pour découvrir un petit lac à nouveau en eau.

 

 

Regroupement sur le parking situé à la jonction de la Piste des Corbières et de la Piste de Palayson.

 

 

 

C'est ici que le groupe se divise à nouveau pour permettre à ceux qui le souhaitent de rejoindre plus rapidement les voitures au parking du Pont de l'Endre, accompagnés par Jean Masson.

Le "Clan des 12", légèrement remanié, suivra Anne-Marie pour une nouvelle variante en suivant la Piste de Palayson.

Premier arrêt de ce sous-groupe à la zone de Palayson "qui constitue un des cinq sites majeurs de mares temporaires méditerranéennes de Provence-Alpes-Côte d'Azur. La rareté de cet éco-système est ici prise en compte par la création d'une Réserve Biologique Dirigée protégeant non seulement le lit majeur de la mare de Catchéou, mais aussi son bassin-versant....".

 

 

 

 

Reprise de la Piste de Palayson jusqu'au "Terme Renversé",

 

 

avant d'emprunter un sentier sur la droite pour rejoindre le cours de l'Endre à la hauteur du Gué du Portail du Rouet.

 

 

 

A partir du gué nous longerons l'Endre par un sentier boisé très agréable qui autorisera notamment de belles vues sur quelques trous du magnifique Golf de Saint-Endréol situé sur la berge opposée de la rivière.

Nous retrouverons le Pont de l'Endre et nos voitures peu avant 15 heures.

 

 

Une partie du groupe fera un arrêt pour le pot de l'amitié au bar de la Bouverie que le sous-groupe guidé par Jean Masson venait juste de quitter.

L'occasion de remercier Anne-Marie pour cette belle randonnée très agréable.

Merci aussi à Jean Masson dont la disponibilité aura permis d'offrir à chacun des randonneurs présents le choix d'un itinéraire adapté à ses envies et à ses possibilités.

Merci enfin à Bernard, notre serre-file principal.

(Les photos sont de Claudette et Jacques).

Prochaines randonnées : 

Lundi 9 janvier :

-GL1 : Joël => 190-1 Roussiveau et Perthus Occidental :

 

-GL2 : Jack => 099 La Louve :

 

Jeudi 12 janvier :

-G1 : Patrick => 867-1 Caldeira de Maurevieille :

 

-G2 : Denis => 867-2 Caldeira de Maurevieille :

 

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3 décembre 2022 6 03 /12 /décembre /2022 00:15

2022-12-01-679-Callian-Vallon de la Camiole-G2

 

Nous sommes 23 au départ de cette randonnée animée par Joël. Le soleil est présent malgré un ciel légèrement nuageux, mais la température est fraiche.

Joël nous présente le programme : "au départ de Callian et de son piton rocheux surmonté du Château de Goerg nous suivrons un agréable parcours à travers les forêts de pins et de chênes.

Nous passerons près des vestiges du Castrum de Velnasque, place forte à l'origine de Tourettes.

Après avoir longé le Lac de Giraud, peut-être à nouveau en eau, nous rejoindrons Callian par la forêt domaniale de Tourettes et en marchant sur l'aqueduc souterrain de la Siagnole.

Une petite montée en début de parcours et une descente un peu marquée vers l'arrivée. Au total environ 13,4 km pour un dénivelé de 334 m".

Thierry sera notre serre-file.

 

 

Dès le départ nous bénéficions d'une belle vue sur la campagne environnante, et pouvons apprécier les ruelles pittoresques que nous descendons pour sortir du village.

 

 

 

 

Le ciel se dégage rapidement et la luminosité met en valeur les couleurs de l'automne.

 

 

 

Un coup d'oeil en arrière nous permet déjà d'admirer le château-fort médiéval que nous reverrons sous un angle différent vers la fin de la randonnée. 

Callian est un très beau village qui, comme le signalera Joël, a su séduire des célébrités du monde des arts et des lettres, telles que Juliette Adam, femme de lettre de la fin du XIXème siècle, Christian Dior, qui fit restaurer La Chapelle Saint Barthélemy de Montauroux et qui repose depuis 1957 au cimetière du village.  

Sur les hauteurs de Callian se trouve la villa de peintre Fernand Léger, dont le musée, à Biot, retrace l'oeuvre. 

Enfin, près de l'église s'élève l'ancienne demeure d'Édouard Goerg, construite au 19ème siècle et acquise en 1957 par le peintre et graveur expressionniste.  Elle porte aujourd'hui le nom de "château Goerg". 

Le village est également célèbre pour abriter la sépulture de Soeur Emmanuelle, souvent surnommée "la petite soeur des chiffonniers", décédée et inhumée en 2008 à Callian . 

 

 

Nous empruntons un court tronçon de route,

 

 

avant d'aborder la montée à travers la forêt.

 

 

Un premier effeuillage avant une montée

 

 

d'abord assez progressive sur une piste large qui nous amène à la pause banane.

 

 

 

Joël propose à ceux qui le souhaitent un aller et retour jusqu'aux "ruines du Castellum de Velnasque, dont la plus ancienne mention connue figure dans la liste des localités du diocèse de Fréjus soumises au Comte de Provence en 1232-1234.

Velnasque était probablement un satellite de Tourrettes. En 1320, la seigneurie appartenait, comme celles de Tourrettes et de Pibresson, à la famille de Villeneuve, qui le conserva jusqu'à la fin de l'Ancien Régime.

L'abandon du castrum remonte probablement à la guerre de l'Union d'Aix, dans les dernières années du 14ème siècle, mais une réoccupation partielle et temporaire au siècle suivant n'est pas exclue.

Le toponyme aujourd'hui attaché au site, Saint-Laurent, indique l'existence d'une église, sans doute celle du castrum, dont l'emplacement n'est pas connu.Les ruines ont été partiellement fouillées en 1978 par Guy Désirat, qui a dressé un plan des vestiges".

Les photos qui suivent montrent l'importance des ruines du site.

 

 

 

 

 

La marche reprend sur une piste large et confortable,

 

 

 

qui se transforme en sentier à travers la forêt domaniale de tourrettes,

 

 

bientôt en montée assez marquée.

 

 

 

Après avoir longé le Lac Giraud, pratiquement à sec et semble t-il aujourd'hui propriété privée, Joël nous propose un arrêt dans cette clairière ensoleillée.

 

 

Nous y ferons notre pause pique-nique dans des conditions agréables dans un premier temps, avant que le soleil se cache progressivement et qu'un petit vent frais vienne abaisser sensiblement la température.

 

 

 

 

Ce sera également le lieu choisi pour notre photo de groupe.

 

 

 

Quelques centaines de mètres après avoir quitté la clairière nous faisons une rencontre insolite : de magnifiques spécimens de bovins en totale liberté au coeur de la forêt de Tourrettes. 

 

 

 

 

Peu après cet épisode un des blogueurs, spécialement peu concentré au cours de cette randonnée, s'apercevra, mais un peu tard, avoir oublié ses bâtons sur le lieu du pique-nique. Sous-estimant la distance parcourue et certain de pouvoir identifier précisément le lieu de l'oubli il décidera de revenir sur ses pas, avec l'aide de Thierry, notre scrupuleux serre-file.

Il en résultera tout de même une immobilisation de 10 à 15 minutes de l'ensemble du groupe, qui accueillera le retour du fautif en manifestant de façon sonore mais avec beaucoup de bienveillance. Pardon à tous et merci pour votre compréhension. 

 

 

 

La randonnée se poursuit dans la forêt en longeant des réserves de chasse.

 

 

Nouvelle pause pour permettre à Joël de nous dire quelques mots à propos de l'aqueduc souterrain de la Siagnoles qui se trouve sous nos pas : "Cet aqueduc romain, classé monument historique depuis 1886, alimentait la ville de Fréjus depuis Mons et Montauroux. Alimenté par deux sources différentes, dont la Siagnole, il est qualifié de bicéphale. Il part d'une altitude de 516 m et rejoint Fréjus, situé à 34 m d'altitude, en suivant une pente moyenne de 1,1%, l'eau mettant environ 17 heures à parcourir la totalité de l'aqueduc, à la vitesse moyenne de 2,4 km/h. La date de construction a été estimée au milieu du 1er siècle et il est resté en service 305 ans..".

En poursuivant notre route nous voyons sur la gauche des vestiges de l'ouvrage qui se trouve sous nos pas.

 

 

 

Au sortir de la forêt le paysage change mais continue d'offrir de belles vues.

 

 

 

Nous débouchons bientôt sur le village, surplombé de son beau château-fort médiéval. La vue est vraiment magnifique.

 

 

 

 

Joël nous donne des informations détaillées sur la longue histoire de ce château qui commence vers 1038 et qui sera jalonnée d'une multitude de seigneurs :

 

Une route en assez forte descente nous ramène au pied du village.

 

 

En le traversant à nouveau nous pourrons admirer l'église et son clocher typique avec son toit de tuiles vernissées aux couleurs vives.

 

 

Une dernière information fournie par Joël  : la randonnée porte le nom de "Callian - Vallon de la Camiole".

La Camiole est en fait le nom local donné au Biançon, un affluent de la Siagne d'une longueur de 24,6 km qui prend sa source sur la commune de Mons et coule du nord-ouest au sud-est en traversant le Lac de Saint-Cassien.

Le pot de l'amitié a été pris en terrasse au coeur du village, avec nos remerciements à Joël pour cette magnifique randonnée.

 

 

Un moment convivial, malheureusement un moment perturbé par le même blogueur récidiviste, qui cette fois a cherché fébrilement ses clés de voiture pendant de longues minutes, allant jusqu'à envisager le pire, pour finalement les retrouver dans son sac à dos : nouveau mea culpa...

(Merci à Thierry, notre serre-file. Les photos sont de Michèle, Jean Bo, Claudette et Jacques)

 

Prochaines randonnées :

Lundi 5 décembre :

GL1 : 032-1-Pic du Cap Roux et Sainte Baume par Alain

 

GL2 : 264-Auriasque Piste de l'Esquine par Thierry

 

Jeudi 8 décembre :

G1 : 846 - Roquebrune-Escaillon-Valdingarde par Thierry

 

G2 : 509-2-Lac de Saint-Cassien-Sud par Denis

 

Lundi 12 décembre :

GL1 : 267-Parc de Valescure-Roche noire par Anne-Marie


GL2 : 265-Diane Pra Baucous par Jack

 

Lundi 19 décembre :

GL1 : 165-Vallée du Reyran par Denis

GL2 : 103-Vallon de la Moure par Patrick

 

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20 novembre 2022 7 20 /11 /novembre /2022 14:03

2022-11-17 - 740-4-5 - Andon-la-Moulière-Station l'Audibergue - G1-G2 

 

 

 

29 randonneurs se sont levés tôt pour se retrouver à 8 heures 30 sur le parking de la station de ski de l’Audibergue.

Tout de suite nous sommes accueillis par les cinq Saint Bernard de la station.

Aussitôt prêts, Denis qui doit mener la G1 demande aux personnes souhaitant marcher avec lui de se signaler. Seules quatre mains se lèvent. Les Animateurs décident alors de ne former qu’un seul groupe sur le parcours G2 qui ne manque ni d’attrait ni de difficultés. Les G1 pourront lâcher les chevaux après la pause banane.

Thierry, l’animateur du jour pour les G2 présente la randonnée devant le restaurant «Le Christiana», plus connu sous le nom de «Chez Huguette» oû nous irons après nos efforts.

 

 

 

Par rapport aux éditions précédentes le point de départ n’est plus à la Moulière mais au pied de l’Audibergue. La première partie du tracé est modifiée ce qui va réduire le parcours de quelques centaines de mètres et le dénivelé de quelques dizaines, mais surtout, il ne sera plus nécessaire de marcher après le repas ce qui est apprécié de tous.

Nous sommes à 1351 mètres d’altitude et nous allons parcourir 7,4 kilomètres pour un peu plus de 400 mètres de dénivelé. ENVIRON !

Il n’est pas neuf heures quand le groupe attaque la première montée sur une piste de ski verte appelée « Le Safran » en guise d’échauffement. Deux Saint Bernard nous emboitent le pas, l’un collé aux pieds de l’animateur. Ils nous suivront tout au long du parcours.

 

Une première petite pause et nous attaquons un agréable sentier étroit mais avec peu de dénivelé. Elle sera très rapidement suivie d’un bref arrêt déshabillage. Tout le monde est chaud.

 

 

 

Le cheminement se fait dans un très beau sous-bois de résineux

 

 

Nous en profitons pour admirer le Mercantour sous la neige mais il faut rester prudent car nous sommes en milieu géologique de type karstique avec des rochers qui peuvent être glissants.

 

 

Une nouvelle pause boisson lorsque nous retrouvons la large piste de l’ancien tracé et nous reprenons rapidement notre marche pour ne pas nous refroidir à l’ombre des sapins.

 

 

La piste est belle en légère descente. Les conversations vont bon train et le groupe s’étire. Nous croiserons le téléski Charbonnière et sa piste noire.

 

 

Nouvel arrêt au point 174 situé à 1357 mètres d’altitude pour une pause boisson et technique.

Encore 500 mètres à parcourir et nous arrivons au parking de la Moulière après avoir contourné une bergerie dont le bétail avait rejoint les pâturages.

 

Thierry nous emmène vers l’Aven de la Glacière où il nous explique que l’endroit est un haut lieu de spéléologie avec de nombreux avens, l’Ollivier, Isabelle, Vigneron, Beaulieu et que l’un d’eux dispose même d’une Via Souterrata qui permet aux non-initiés de découvrir la spéléologie en toute sécurité.

https://cotedazurfrance.fr/a-faire/activites-nature-et-sensations/via-souterrata-caille/

 

 

Nous ferons la pause banane à quelques mètres de là au pied du télésiège du Parc de la Moulière.

 

 

Nous sommes enfin au soleil, le ciel est bleu, pas un nuage, pas une goutte de pluie, contrairement à ce qui était annoncé par des prévisionnistes météo pessimistes.

C’est maintenant que les choses sérieuses vont commencer. Denis part devant accompagné des quatre marcheurs G1.

 

 

Le groupe G2 suit pour une montée de deux kilomètres qui va serpenter autour du téléski. La pente débute à 11% pour atteindre 22% dans la dernière partie.

 

 

 

 

Plusieurs pauses nous permettront d’admirer les sommets voisins dont le Mont Lachens

Arrivés au sommet du télésiège la vue nous permet d’admirer les massifs au loin et à chacun d’identifier un sommet qu’il connait.

 

 

Le vent est violent et le groupe reprend vite la marche en direction la table d’observation à 1602 mètres. Il faut être prudent, nous sommes proches de la falaise et le vent très puissant nous pousse vers elle.

 

 

 

 

 

Nous prenons cependant le temps de faire une photo de groupe. Il manquera les G1 et deux randonneurs qui n’ont pas fait ce petit détour.

 

 

Un peu plus loin un troupeau de chèvres paît tranquillement.

 

 

Nous poursuivons notre route le long de la crête vers l’arrivée du téléski de l’Aups. Là le spectacle à 360° est époustouflant. Chacun prend le temps d’en profiter et de faire des photos.

 

 

 

Chose amusante remarquée par certains, un des Saint Bernard est reparti vers l’arrière pour vérifier que les retardataires vont bien et suivent, tandis que l’autre accompagnera une randonneuse dans la tout dernière montée alors qu’elle manquait de souffle et la fera s’arrêter pour en reprendre.

 

 

Chacun a marché à son rythme prenant le temps de jouir du spectacle. Le timing est bon, nous avons de la marge.

Le groupe se reforme avant d’attaquer la descente raide. De 16 à 29%.

Rappel des consignes de sécurité, rallonger les bâtons, slalomer et privilégier la marche sur l’herbe quand c’est possible.

Et c’est parti pour la descente sur les pistes rouges, chacun dans son style.

 

 

Tout le monde arrivera en bas sans aucune chute, une demi-heure après les G1, mais largement à temps pour l’apéritif.

 

 

 

 

Les joyeuses agapes peuvent commencer et les regards pétillants des randonneuses et randonneurs disent tout le plaisir que chacun a pris.

 

 

Petit rappel du menu que l’on peut qualifier de pantagruélique ou de gargantuesque.

Farandole des entrées avec charcuterie de pays, terrine et fromage de tête maison, salade aux lardons et croutons.

 

 

Suivi du gigot d’agneau-haricots verts, daube de bœuf à l’ancienne, beignets de courgette, ratatouille et frites, toujours maison.

 

 

 

 

Plateau de fromages dont le redoutable « Bruccio » maison d’Huguette 

 

 

Et enfin les desserts

 

 

 

A la demande de Thierry, Huguette est venue nous saluer et nous avons pu l’ovationner.

 

 

Et pour terminer des randonneurs heureux.

 

 

Texte de Thierry et Joël. Photos d'Alain, Jean-Bo, Joël, Thierry, Marie-Jeanne, Denis , Michel, Marc...

 

La semaine prochaine, jeudi 24 novembre :

- G1-Grimaud -la-Quérières-545 par Denis

- G2- Lac-des-Escarcets-851 par Jean-Ma

 

Lundi 28 novembre :

- GL1-La-Flute-Sud-186 par Thierry

 

-GL2-Nécropole-Ferrières-266 par Jack

 

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