PEILLE 29 11 2012
Peille 29 Novembre 2012
Jean a prévu pour aujourd’hui une rando autour de PEILLE avec restaurant à ST MARTIN DE PEILLE. 44 randonneurs(euses) sont inscrits pour le restaurant. Vu les trombes d’eau des jours précédents , Jean a envoyé un mel mercredi soir pour annuler la rando et maintenir le resto : une première dans les annales du cercle. Nous ne serons plus que quarante courageux à faire 200 kilomètres aller et retour pour ce fameux restaurant, où Roland nous avait montré ses talents de magicien le 11 février 2010. Et nous étions déjà 42 au restaurant, comme quoi le nombre de randonneurs n’a pas tant augmenté depuis.
Nous attendons au soleil les dernières voitures qui ont fait un peu de tourisme .
Un apéro varié nous est proposé avec une sangria et un vin d’orange fabrication maison.
Jean B présente leprogramme de la journée. Pas de présentation du profil et du dénivelé, mais, repas, puis visite du village de Peille et du musée du terroir avec une guide de l’office du tourisme musée déjà visité lors d’une rando le 6 juin 2007.
Jean est encadré par ses deux fidèles acolytes serre files qui n'auront pas grand monde à "serrer" aujourd'hui.
Daniel, complète le discours de Jean sur les raisons de l’annulation de la rando trop risquée après les fortes pluies…
Le repas est animé sur toutes les tables.
Après les entrées, le gigôt cuit dans la cheminée et la tarte Tatin tous appréciés.
Mais pas de sieste, on est quand même pas fatigués… ni de jeu de cartes, ni distribution de chocolats ou gingembre… tout fout le camp. Il n’y aura même pas de photo de groupe, comme quoi nous sommes perturbés…
Jean nous demande de partir vers Peille pour le rendez-vous devant l’hôtel de ville avec notre guide, la charmante Nadège.
Certains se perdront dans le village et c’est vrai que parmi ces ruelles moyenne-ageuses ce n’est pas évident de se repérer. Et sans citer de nom, nous dirons que même les plus grands peuvent s’égarer…
Visite de l’ancienne chapelle Saint Sébastien aménagée en hôtel de ville avec le dôme de la salle des mariages,
puis des rues du village.
L’enchevêtrement des constructions et les voutes au-dessus des rues ont constitué une architecture résistante aux séismes qui furent nombreux et parfois violents.
La ruelle obscure
Des anciennes cartes postales montrent que le village a peu changé depuis un siècle, ce qui en fait « le plus curieux des villages des Alpes maritime ».
La boucherie
le café
En fin de visite le musée du terroir rassemble des objets anciens récoltés près des habitants de Peille.
Et en particulier des jarres qui étaient utilisées pour conserver l’huile et une fois usagées comme « tinettes ». D’où l’expression consacrée en randonnée pour la pause technique depuis la visite de 20 07 :« aller à la jarre » . Nous apprendrons que la langue locale est le « peillasque » et que des cours sont proposés.
Merci à Jean pour cette belle journée et pour avoir su adapter le programme aux circonstances …
Merci aux photographe Jean ,Jean-Louis
Du rab:
et comme d'habitude les randonneurs du jour en plein effort, mais qui aujourd'hui marchent en couple:
puis il profite qu'elle tourne la tête...
puis s'en prend à plus petit ...
Ils lèvent la main avec un parfait ensemble
elle sèche la visite du musée...pour la bonne cause
et pour terminer le coucher de soleil du retour, preuve que la météo a finalement été favorable toute la journée
Jeudi 06 Décembre à 8 H 00 : LE MUY (83) . Le PEYRAGU
Itinéraire varié dans le massif du Peyragu, entre la vallée de l’Argens et les abords de l’autoroute A8 ( PK 116 ) .
L : 13 Km 600 . Dh : 406 m . D : 4 H 30 – Niveau : Moyen Médio – Repas et boisson tirés du sac .
Animateur : Mikaël – 04.94.51.65.35 – 06.52.48.65.87 Boulouris N° 699
Itinéraire d’accès : Emprunter l’A 8 dir Aix– Sortir au Muyet suivre la RN 7 en direction d’Aix – Au croisement avec la RN 555 (route de Draguignan), prendre la dir de l’autoroute. Juste avant le péage, emprunter à gauche la route de Ste-Maxime,la suivre sur 1 km pour s’arrêter, deux cent cinquante mètres après être passé sous le pont de l’autoroute . Suivre le petit chemin à droite, traverser le hameau « Les Déguiers » . 100m après la dernière maison, stationner dans le virage à gauche .
Coût du trajet A R : 50 Kms x 0 € 25 = 12€50 + 4€50 = 17Euros
Mikaël : 06.52.48.65.87
La forêt de la colle du Rouet-22 novembre 2012
La forêt de la colle du Rouet-2012
Aujourd'hui c'est JOËL qui nous guidera sur les
pistes de la Colle du Rouet. Cette rando avait
été faite par Bruno le 23 décembre 2009, deux jours avant Noël, de quoi se mettre en forme pour l'après Messe de minuit... Il n'avait réuni autour de lui que 5
valeureux dont trois sont présents ce jour.
Le rendez-vous était sur le parking habituel au bord du Blavet, au pied de l'Eglise des Païens. Mikaël fait remarquer : "il y a une grotte bizarre de l'autre côté du ruisseau qui pourrait évoquer une entrée de chapelle, bien placée près de l'Eglise des Païens. Autre élément troublant, il y a de l'autre côté, le Castel Diaou (le Château du Diable)…"
Après avoir fait placer quelques voitures au point d'arrivée situé à 2 km du départ, Joël, qui a pris de l'altitude, nous présente le programme de la
journée.
"C'est une rando facile mais assez longue, près de 18 km, sur de bons chemins avec une dénivelée moyenne de 430 m. Par ailleurs, je me suis engagé à ne pas aller trop vite, comme je le fais, parait-il d'habitude (cris de joie et
applaudissements parmi les randonneurs). Nous allons un peu modifier le départ pour éviter de franchir un petit ruisseau avec beaucoup de boue à cette saison. Nous allons donc suivre la route sur
200 m, restez bien en file indienne à gauche. Le temps est gris, hélas, et dans la 1ère moitié de la randonnée nous ne pourrons pas apprécier les vastes paysages et les rochers aux
formes et couleurs exceptionnels."
Et c'est là que le blogueur de service s'aperçoit qu'il a oublié son appareil photo !!! La honte ! Heureusement Gérard et André sont là…et équipés. Ouf !
Voici donc nos 32 marcheuses et marcheurs qui s'engagent à 9 h, sur la départementale. Pas trop mal le file indienne.
Comme prévu, nous la quittons très vite pour gagner une piste qui emprunte le cheminement d'un feeder de gaz. C'est une aubaine pour les randonneurs car il nous évite un grand morceau de bitume. De là, calmement nous rejoignons le
GR51 (Balcon de la Méditerrannée) qui nous conduira jusqu'à la Fontaine des chasseurs.
Petit rayon de soleil timide, de courte durée. La véritable montée commence ici, mais la pente n'est
pas sévère, presque un "faux plat montant" comme aime le définir Jean Bo… Et ce sera la traditionnelle photo devant ce qui aurait du être le Rocher de Roquebrune, un peu perdu
dans la brume.
C'est bien vrai, le paysage est remarquable avec les superbes rochers rouges et toutes ces gorges qui se terminent en bas
de la falaise vers le
château du Rouet et la forêt de Palayson au sud. Au nord, sont tous les escarpements colorés qui mènent au Castel
Diaou où nous étions l'année passée.
"Pause banane" pendant laquelle Jean Bo.. tente d'expliquer, à l'aide d'une branche, l'organisation des
voitures pour la semaine prochaine. En résumé, toutes les
voitures vont à Peille pour le départ du 1er groupe. Elles repartent
toutes pour le départ du 2ème groupe sous la conduite de Daniel Ro.. Il est donc impératif d'avoir dans chaque voiture un
chauffeur, ou une chauffeuse, du deuxième groupe.
Oui, bon, avez-vous tous compris ?
Et on repart. La cadence est agréable, Joël tient son engagement, nos "gazelles" elles, ne se sont pas engagées et ont tendance à se détacher du groupe.
En face de nous le rocher de la Fille Isnard. Personne n'a jamais pu nous indiquer l'origine du nom de ce lieu-dit. Tiens, un point rouge à mi-hauteur. Là l'imagination va jouer à plein : "c'est le gardien de
la fille Isnard" dit Mikaël, non dit Jean-Marie, "c'est son amant" et ainsi de suite.
Bon, en fait c'était un chasseur avec un gilet orangé…
Tout ceci nous conduit à la Fontaine des Chasseurs. Il y a quelques années, une cabane permettait aux
chasseurs d'organiser leurs agapes. Depuis elle a brulé.
Par contre la fontaine est toujours là, sortant d'une
ancienne meule provenant vraisemblablement d'une meulière proche, comme il y en a beaucoup par ici.
Mais aujourd'hui, nous avons beaucoup de chance, ce sont quatre filles d'Isnard(?) qui posent pour le photographe.
Quittant le GR51, nous attaquons la piste de la Colle Rousse sur le versant ubac et après un courte montée nous atteignons le point culminant de la rando et attaquons la descente. Le temps est toujours gris mais il ne fait pas froid. Joël nous promet la pause pique-nique dans une demi- heure.
Grande flaque à éviter. Mais un buisson de Collicotum Spinosa,
très Spinosa, gêne le passage latéral et c'est Jean Bo... qui, courageusement ira s'appuyer sur l'arbuste épineux pour faciliter le passage. Quel dévouement ! Un sourire le
remerciera.
Après avoir aperçu les ruines de la Villa Bonnefoy, inatteignables par ce chemin, nous découvrons le lieu de pique-nique où les chasseurs du coin ont laissé des
chaises et un banc. Il est 12 h 30. Il n'y aura pas de place pour tout le monde et une partie du groupe se disperse dans les
rochers.
Nous dégustons le Beaujolais nouveau offert par Joël. Le café et différentes douceurs circulent.
Le vent s'est levé et la digestion aidant il commence à faire froid. Le groupe installé sur les chaises ne semble pas pressé de partir (ils sont bien abrités du
vent) alors que certains ont déjà enfilés les bretelles des sacs.
A 13 h 15, nous repartons dans la descente.
La cadence du groupe de tête s'accélère et Joël fait un arrêt pour regrouper ses troupes. Daniel, notre serre-file se retrouve au milieu du groupe et avec son humour habituel déclare : "J'en avais assez de vous voir de fesses, je voulais vous voir de face". Bon, passons.
Très joli sous-bois avec des érables aux couleurs éclatantes. Dommage qu'il n'y ait pas eu un rayon de soleil.
Dans un virage, aperçu sur l'ancien lac de Méault, toujours vide.
Oui, oui, Nicole, il était bien là !
Encore 1.5 km et avant de retrouver les voitures qui vont permettre aux chauffeurs d'aller récupérer l'ensemble des véhicules restés en attente sur le parking du
Blavet, ramassage de champignons.
Les serre-files n'aiment pas trop ça.Toujours peur d'en perdre un.
C'est à la Bouverie, dans notre troquet habituel que nous prendrons le verre de l'amitié. Petite remarque piquante d'une marcheuse anonyme : "On se souvient plus des cafés où nous nous sommes arrêtés que des randos que nous avons faites" !!!
Merci Joël pour nous avoir guidé à une vitesse raisonnable sur ces chemins faciles avec de beaux points de vue.
Merci pour les photos de André et Gérard …et n'oublions pas dans les remerciements nos serre-files, toujours très pros.
Quelques photos en Bonus :
La pause banane.Méditation devant la colline.
Couleurs d'automne.
Randonneurs.
Quel danseur ce Mikaël !
La spécialiste.
Bien cool notre Guy.
Hommage aux serre-files.
Retour au Blavet.
La semaine prochaine :
Jeudi 29 Novembre à 7 H 00 : RANDO-RESTAURANT à PEILLE (06) . La TERCA
Agréables parcours, sans difficulté, entre les villages de Peille et Saint-Martin de Peille en passant par la Terca .
N°1 : L : 12 Km . Dh : 510 m . D : 4 H 30 – Niveau Moyen Médio – Animateur : Jean Bo.. . 04.94.95.87.73
N°2 : L : 09 Km . Dh : 330 m . D : 3 H 30 – Niveau : Moyen Modérato – Animateurs : Daniel – Jacky
RESTAURANT « Le Relais
St-Martin » :
Au menu : Apéritif de bienvenue – pizza – pissaladière
Barba Juan et ses petits farcis niçois
Gigot d’agneau à la broche ( cheminée ) . Pommes de terre sautées . Salade
Tarte Tatin maison
Vin rouge ou rosé ( 1 bouteille pour 3 personnes ) . Café
En cas de mauvais temps, le repas sera maintenu . Aucun désistement ne sera accepté .
Itinéraire d’accès : Emprunter l’Autoroute A 8 direction NICE . Sortir à LA TURBIE ( N° 57 )
Rejoindre LA TURBIE à 2 Kms , traverser le village et suivre à gauche la D 53 direction PEILLE
Les randonneurs du 1 er groupe démarreront leur parcours à partir du village de PEILLE .
Les véhicules rejoindront le Parking à 3 Km dir. La Turbie, (400m après le carrefour D53 – D22) .
Les randonneurs du 2 ème groupe démarreront leur parcours à partir du Parking .
Les chauffeurs ne pourront donc pas marcher avec le 1er groupe . Organisez vos véhicules en conséquence.
Coût du trajet A R : 200 Kms x 0 € 25 = 50 € + 17 € = 67 Euros Jean Bo.. 06.68.98.13.62
Coaraze-Roccasierra-15 novembre 2012
Coaraze-Roccasierra
Exceptionnellement, il n'y avait aucun blogueur sur cette rando pour des raisons diverses et variées. Ce sera donc un blog à trois mains qui vous sera proposé aujourd'hui : Joël pour le texte, Jean Bo…pour les photos et Jean-Marie pour réunir tout cela. Qu'ils en soient remerciés. Et ne croyez surtout pas à l'improvisation, tout a été méticuleusement préparé !
NB : nous demandons pardon pour ne pas avoir pu assez évoquer les exploits des "Petites Jambes" n'ayant pas eu d'informations concernant ce groupe qui, une fois n'est pas coutume, n'avait pas de photographe.-Les rajouts en italique sont de Jean-Marie).
Après une fin de parcours en voiture sur une route plutôt étroite et sinueuse, 27 randonneurs courageux se sont retrouvés sur le parking de l'entrée du hameau de l'Engarvin à l'altitude de 707 mètres (à l'exception d'un retardataire arrivé quelques minutes plus tard après s'être égaré dans le centre de Nice, malgré les explications claires fournies). Ciel bleu et température agréable augurent d'une bonne journée.
Jean Bo... nous fait un rapide historique sur la rando du jour (déprogrammée le 1° novembre pour cause d'intempéries) et déjà déclinée dans le passé avec quelques variantes, dont notamment une à l'occasion de laquelle notre ami Daniel M... avait fait l'accompagnateur. Cet évènement ne se produisant qu'une fois tous les 4 ans, tous les randonneurs présents ont exprimé leur impatience à voir arriver la saison 2013.
Deux groupes se forment: celui des petites jambes conduites par notre fameux duo de choc Jacky et Daniel R... comprend 14 membres et devra faire 9,277 km et 570 mètres de dénivelée, et le groupe des grandes jambes, de 14 membres, devrait faire
14,950 km et une dénivelée
annoncée à 986 mètres, et qui s'avérera en finale frôler les 1000 mètres.
La rando commence par une montée facile et fort agréable, avec un petit arrêt à la chapelle Sainte Eurosie (ratée par les plus pressés en avance sur le peloton) qui
nous permet de nous faire confirmer par un autochtone, le conseiller municipal Jacques ISOLERY, que le hameau comprend 9 habitants en hiver.
La montée se poursuit donc avec en ligne de mire la chapelle Saint Michel et les ruines de Roca Spaviera, et le plaisir d'admirer les couleurs rougeoyantes des sumacs.
En chemin nous rencontrons d'étranges enclos de grillage en pleine nature destinés à
protéger les captages de source.
En aval de la chapelle Jean ayant indiqué la possibilité d'un "raccourci acrobatique", voila les 3 chamois du groupe qui
s'élancent et qui rejoignent la chapelle quelques minutes avant le gros de la troupe. La pause banane se fait dans les ruines impressionnantes et
inquiétantes à la fois du village de Roccaspaviera, où Jean nous donne toutes les explications adéquates.
Roccasparvièra apparaît pour la première fois dans l’Histoire dans deux chartres du
XIIème siècle recensant les paroisses dépendantes de l’évêché de Nice .Le 6 mars 1271, un des membres de l’illustre famille niçoise des Riquier prête hommage au souverain, ils
seront co-seigneurs de Roccasparvièra, avec un certain Faraud en 1309.
En 1271, le village compte 150 habitants son église paroissiale est déjà dédiée à Saint Michel. Le château est mentionné en 1358 dans le contrat
d’inféodation et acquis avec son fief pour 700 florins d’or par Pierre Marquesan de Nice. En 1364, la Reine Jeanne élève le fief au rang de baronnie,
mais une invasion de sauterelles anéantit les cultures.
La misère se poursuit au point qu’en 1376 la petite communauté est déclarée insolvable.
Mais un sort funeste semble s’acharner sur ce malheureux village victime d’une série
d’épidémies de peste au XVI e siècle emportant une partie de la population.De plus, une suite de redoutables tremblements de terre vont détruire une partie des maisons entraînant le début
de son abandon : 20 juillet 1564, un des plus violents de France, 31 décembre 1612, suivi en 1618 d’importantes secousses du 14 au 18 janvier mettant bas maisons et église avec chutes de
rochers.
L’abandon progressif de cette commune qui aurait compté jusqu’à 350 âmes avant ces bouleversements, avec administration communale et même un notaire, va s’échelonner tout au long du XVIIème siècle.
Si en 1690 quelques irréductibles s’accrochent encore aux ruines, dix ans plus tard, seuls le curé et sa servante y résideront encore avant de se résigner à partir eux aussi en 1723.
L’abandon s’explique d’une part par l’absence d’eau sur ces hauteurs au relief tourmenté où seules des citernes d’eau de pluie devaient permettre une vie précaire, d’autre part les destructions des tremblements de terre qui malmenèrent effroyablement les villages plantés sur le roc.
(http://pays-d-azur.hautetfort.com/archive/2007/04/index.html)
Durant ce laps de temps les nuages étant descendus sur les sommets, nous nous trouvons entourés d'une nappe de brume humide et fraiche qui nous convainc de
partir d'un bon pas. Ce changement de temps inquiète Jean qui envisage d'annuler si nécessaire la montée finale à la cime de
Roccasierra.
Parvenu au Col de l'Autaret (et non du Lauraret situé lui dans le briançonnais. NDLR) il est décidé de tenter notre chance. La montée se fait d'abord par un chemin
agréable en forêt ou croissent forces champignons mais auxquels nos mycologues avertis savent résister. Puis le "sérieux" commence avec la montée finale (entre temps le temps s'est
dégagé)
à la cime de Roccasierra; cette montée justifie la
qualification sportive de cette randonnée comme pourra le constater, à ses dépens, un participant en difficulté, qui parviendra néanmoins au sommet, attendu par le groupe solidaire.
La vue du sommet justifie amplement l'effort fourni.
Mais cet effort n'est pas terminé car il convient de
redescendre par une pente raide et empierrée qui met les genoux à rude épreuve.
Nous arrivons finalement au lieu de pique nique à 14H15 alors que les petites jambes, restaurées depuis longtemps (et gelées) s'apprêtaient à en repartir.
Ils ont eu le bon goût de nous laisser quelques "provisions liquides" que, malgré une tentative avortée d'un randonneur facétieux de garder à son usage exclusif,
nous avons bien appréciées comme remontant physique et moral. (Il s'agissait en fait d'arroser la naissance d'un arrière-petit-fils. Et voici donc notre deuxième arrière-grand-mère, bravo
Denise !)
Après une courte pause de 45 minutes nous repartons d'un bon pas, évitant même à l'arrivée de dépasser la traine des petites jambes, pour éviter de froisser toute susceptibilité.
Chacun a pu apprécier une rando qui sort de l'ordinaire et la journée s'est terminée par un pot bien mérité.
Merci Jean pour cette rando particulièrement réussie. Quelques photos en bonus :
Chapelle à L'Engravin
Vas-y Simone, montre le chemin.Paysages- Pas possible, le Mt.Mounier !
Tout la-bas, ne serait-ce pas la Madone d'Utelle?
Que c'est bon de s'arrêter !
Fiers de leur exploit !
Toujours bien placé !
Superbe !
La semaine prochaine :
Jeudi 22 Novembre à 8 H 00 : La BOUVERIE (83) . Forêt de la COLLE du ROUET
Itinéraire sur bons chemins . Beaux paysages rocheux . Panoramas magnifiques .
L : 17 Km 400 . Dh : 430 m . D : 5 H 00 – Niveau : Moyen Modérato – Repas et boisson tirés du sac .
Animateur : Joël
– 04.89.99.01.07 –
06.23.07.11.99
Itinéraire d’accès : Prendre la RN 7 en direction d’Aix en Provence – Passer devant la zone industrielle du Puget – Laisser à droite l’accès à l’autoroute puis continuer jusqu’au giratoire de la Bouverie. Là, tourner à droite et aller au giratoire de la Mairie annexe de la Bouverie – Emprunter la route, direction Coulet Redon – Au croisement avec la D 47 , progresser à droite, via Bagnols en Forêt, sur 4 Kms, pour stationner, à droite, sur le bas-côté de la route après le croisement d’une piste
( Blavet – Cote 211 m ) . Placer quelques véhicules pour le retour, à 2 Kms, après l’EDEN VERT .
Coût du trajet A R : 44 Kms x 0.25 = 11 Euros Joël : 06.23.07.11.99
Le ravin des fabrigouliers-8 novembre 2012
Le ravin des fabrigouliers…modifié
Cette rando avait déjà été faite pour la Toussaint 2007. Dans le fameux ravin, un passage très raviné
avait été un peu difficile à négocier. Lors de la reconnaissance que fit Jean Ma…il y a quelques semaines, le ravinement s'était encore accentué rendant le passage carrément
dangereux. Il décida donc de contourner l'obstacle en montant jusqu'à la maison Forestière des Trois Termes, rejoignant le chemin normal au niveau du ravin des Cabrairets. C'est ce qu'il
expliqua aux marcheurs de ce jour. Bravo pour cette initiative.
C'est au parking de Belle Barbe qu'il accueille 20 marcheuses et marcheurs par un beau temps, frais et ensoleillé. "La promenade
d'aujourd'hui est facile avec environ 17 km et 700 m de dénivelée (chiffres approchés à cause de la
modification-NDLR). Nous aurons de bons chemins sauf sur un morceau de descente assez pentu dans la première partie du
retour après la Maison Forestière."
Jean B0… donne ensuite des nouvelles des blessés et des malades.
C'est Daniella qui sera serre-file. Mais où sont donc nos serre-files habituels ? Encore avec les TPJ ?
Et c'est parti sur la route du col du Mistral, à bonne allure. Très vite, nous l'abandonnons au profit d'un petit chemin qui se transformera très vite en ruisseau. Nous l'avions emprunté
dans une rando du Lundi, c'était pire, mais ça passait.
Aujourd'hui il faut faire un peu d'équilibre sur les
côtés mais tout le monde se retrouve sur le chemin, au sec. Très vite nous atteignons un petit lac dont Jean Bo…était tombé amoureux il y a quelques semaines.
Il l'avait baptisé du même nom que le col qui le surplombe, Aubert, car paradoxalement ce petit bijou ne portait pas de
nom.
Puis nous gagnons le col avec son fameux cairn qui aura l'honneur de figurer sur la photo du groupe. Jean Ma…profite de cet arrêt pour accueillir Simone, une marcheuse du lundi
qui nous a rejoints. Ironiquement Jean Bo…lui demandera si elle est à
jour de ses cotisations.
Nous rejoignons la grande piste du Baladou au col éponyme. Nous avons déjà "consommé" 140 m de dénivelée. Nous allons parcourir presque 7 km sur ce véritable boulevard jusqu'à la Maison forestière, un vrai faux plat montant comme le définirait le grand chef : 120 m de dénivelée sur 7 km.
Sur ce chemin facile, les langues vont bon train et le peloton s'étire, s'étire, comme s'il fallait escalader le mont Pelat.
A 10 h, à la Baisse de la Petite Vache, Jean décide d'arrêter le groupe pour la "pause banane". Il fait toujours beau et depuis le col Aubert les polaires ont rejoint les sacs.
Même pour ceux qui ont beaucoup pratiqué l'Esterel, ces paysages sont toujours aussi merveilleux avec, sur notre
gauche, le mont Vinaigre,
à droite le pic de l'Ours et les grues, devant nous la Grosse vache et les Suvières.
Passé le Col des Suvières, nous abandonnons le Baladou mais le chemin est toujours large et peu pentu.
C'est un secteur où les eucalyptus se sont largement développés au bord de la piste.
Déjà nous apercevons la Maison forestière. Fermée depuis la mise à la retraite de l'agent de l'ONF qui l'occupait, elle est à nouveau ouverte et nos dames pourront aller caresser le cheval du garde forestier. Les belles restanques sont toujours bien entretenues mais le
potager a disparu.
Nous sommes donc au sommet de la rando et il n'y a plus qu'à se laisser redescendre.
Vite dit ! Car la première partie de la descente est très pentue et fort caillouteuse. Bien creusée par les pluies récentes, le chemin est très mauvais et c'est avec beaucoup de précautions que
Jean Ma… va guider son groupe.
Nous débouchons sur un petit lac, encore un sans nom, très sympathique et nombreux sont ceux qui se seraient installés là pour un pique-nique, car il est l'heure de se restaurer. Mais notre guide a
décidé d'aller plus loin, jusqu'au lac de l'écureuil. Le passage du gué se fait par l'intermédiaire d'un ensemble de gros rochers qui vont nous obliger à un peu d'escalades.
Mais solidarité aidant, tout le monde passe. 6 randonneurs contourneront l'obstacle sans se mouiller les pieds, via la
petite plage.
Tout le monde se retrouve à la bifurcation du chemin du ravin des Fabrigouliers, fermé par un tas de cailloux.
La suite de la descente est plus facile dans le sous-bois où les sumacs jettent leurs derniers feux. Encore quelques passages de gués ou d'effondrements et nous arrivons à l'ex lac de l'Ecureuil.
Là le groupe va se partager en trois pour le pique-nique, un sur la colline,
l'autre au bord de l'eau en aval de l'ancien gué
et le dernier en amont dans un site idyllique.
Le troisième groupe avait du rosé, mais pas de café. Jean Bo… et Joël assureront le service du café. Quel dévouement ! A quand la course des garçons de café ?
Il est temps de repartir et après avoir contourné le reste du lac, un petit arrêt s'imposa au niveau de l'ex-cascade afin d'expliquer comment se présentait le site,
autrefois, en cas de forte pluie. Le spectacle était alors superbe mais peu le voyait car il fallait monter jusque là le lendemain (ou le
jour…) de la pluie.
Nous nous engageons maintenant dans le Malinfernet. Quel spectacle! c'est toujours aussi beau et Jean Bo…évoquera les aiguilles de Bavella en Corse. N'exagérons pas, nous ne sommes pas sur le GR 20 mais sur le plus modeste GR51.
Traversée de la passerelle et remontée vers le col Aubert. Il n'a pas changé depuis ce matin. Jean-Marie
rajoutera une pierre sur le cairn pour marquer notre passage. Il ne reste plus que 1.5 km pour regagner le parking. Il fait toujours beau,la température était idéale, tout le monde est content de
cette journée et des superbes paysages que nous a fait découvrir Jean Ma… Même pas fatigués malgré les quelques chiffres annoncés
de dénivelée... très exagérés.
Merci Jean Ma… pour cette superbe balade dans cet Esterel qu'on maudit parfois mais qui demeure toujours aussi étonnant.
Merci à Daniella qui a parfaitement accompli sa mission de serre-file.
Merci pour les photos de Gérard et Jean-Marie.
Quelques photos en bonus:
Pas facile ce chemin !Sympa le lac Aubert- Quels reflets !
Iront-ils jusqu'au bout ces deux-là ?
Bien décidés.
Superbe !
La Maison forestière des Trois Termes.
Cool le Baladou !
Un petit coup de main ?
Pas d'hésitation.
Le bain de pied de notre serre-file
Toujours aussi beau.
La semaine prochaine : (non, ce n'est pas une erreur, cette rando avait été annulée le 1er novembre)
Jeudi 15 Novembre à 7 H 00 : COARAZE (06) . Cime de ROCCASSIERA
Belvédère unique du moyen pays, suspendu sur une étroite crête calcaire, à 1501 m, entre Paillon et Vésubie .
Randonnée sportive dont le bastion sommital nécessite quelques pas d’escalade. Un 2 ème parcours est proposé
N°1 : L : 14 Km 956 . Dh : 986 m . D : 6 H 30 - Niveau : Sportif . Animateur : Jean Bo... . 04.94.95.87.73
N°2 : L : 09 Km 277 . Dh : 630 m . D : 4 H 00 - Niveau : Moyen Médio . Animateurs : Daniel – Jacky
Les repas, tirés du sac, devraient être pris ensemble, pour les 2 groupes, au Col de l’Autaret . Boulouris N° 795
Itinéraire d’accès : Emprunter l’autoroute A 8 direction NICE . Sortir à NICE-EST ( Sortie N° 55 ) .
Aux feux, tourner à gauche direction SOSPEL par les Cols .
Suivre la D 2204 b dir. SOSPEL et remonter la vallée du PAILLON jusqu’à POINTE DE CONTES .
Au rd-point, suivre la D 15 dir. CONTES puis COARAZE . A Coaraze, suivre à gauche Col de St Roch
Parcourir 5 Kms et tourner à gauche sur une petite route qui rejoint le hameau de L’ENGARVIN .
Garer les véhicules en contrebas des dernières maisons sur un petit PARKING à droite (balise 463) .
Coût du trajet A R : 208 Kms x 0 € 25 = 52 € + 14 € = 66 Euros Jean Bo... : 06.68.98.13.62
Escragnolles : 1er Novembre 2012
Escragnolles : Plateau de Briasq
Aujourd’hui, Jean
nous emmène randonner près d'Escragnolles, village situé dans l'arrière-pays grassois, au pied de l’Audibergue. Nous ferons le tour du
plateau de Briasq, entaillé par les vallées de la Siagne et de la Pare.
Nous avons rendez-vous à l'entrée du village d'Escragnolles, au parking de la Colette, sur la route Napoléon.
Après la pluie d'hier, nous retrouvons avec plaisir le ciel bleu et le soleil. Mais ici, à plus de 1000 mètres, il fait un vent glacial et les premiers arrivés restent sagement au chaud dans leur voiture.
Et voici la deuxième voiture qui arrive. Il n'y en aura pas d'autre.
Car nous ne sommes que 9 courageux à randonner en ce jour de Toussaint.
Nous attaquons la piste. Daniel, notre serre-file, nous recompte : nous sommes bien 9.
A présent, nous marchons à l'abri du vent et nous commençons à nous
réchauffer. Nous marquons une pause au soleil.
Jean nous parle du village d'Escragnolles : « A la suite de la peste de 1420, la population du village fut anéantie. Pour le repeupler, il fallut faire appel à des habitants de la région proche ou de l'arrière pays de Gênes : les Figouns, grands mangeurs de figues et parlant le Figoun.
L’origine du mot figoun remonte au Moyen Âge
et se référerait aux vendeurs itinérants de figues sèches, fruit qui abonde dans la région et remplaçait, chez les pauvres, le sucre et le miel. Comme tous les itinérants, ces vendeurs étaient
peu appréciés ; le terme figoun est de ce fait plutôt péjoratif ».
Puis Jean nous présente la rando : « On va descendre jusqu'au hameau en ruines de Rouyère. Puis nous contournerons le plateau de Briasq, entaillé par
les vallées de la Siagne à l’Est et de la Siagnole d'Escragnolles (ou Siagne de la Pare) à l'Ouest. Nous descendrons aux sources de cette dernière. Et nous remonterons par l'ancienne route Napoléon en passant par Escragnolles. C’est une randonnée en balcon, facile. Elle fait
près de 13 km et 509 m de dénivelé ».
Puis Jean nous montre le profil de la rando : « Ici, nous sommes à 1039 m. Nous atteindrons la crête du Cavalet, notre point culminant à 1081 m et nous pique-niquerons à 715 m, au-dessus des sources de la Siagnole d’Escragnolles ».
Nous reprenons la piste en légère descente.
« A gauche, vous avez la vallée de la Siagne » nous montre Jean.
« Et au-dessus de nous, ce sont les falaises de
l'Audibergue ».
Nous descendons à petite vitesse. Jean parvient même à lire ses notes en marchant. Je vais vous parler de l’épopée de la Route
Napoléon (2èmeépisode) : « Le Général François Mireur est né à Escragnolles. On lui doit notre hymne national. En effet, il
entonne pour la première fois en 1792 le Chant de Guerre pour l'Armée du Rhin, composé par
Rouget de
Lisle. Les volontaires marseillais l’adoptent et le chanteront au cours de leur marche vers Paris.
De retour de l’île d’Elbe en 1815, Napoléon est accueilli à Escragnolles par l’oncle du général Mireur, le curé du village.
Le curé invite l’Empereur à déjeuner et le conduit chez sa parente, la mère du vaillant général. L’infortunée était devenue aveugle. Napoléon, tout ému devant tant de détresse, offrit plusieurs pièces d’or à Madame Mireur et au curé ».
Puis nous attaquons un sentier plus pentu, à travers bois.
Petite descente sans grande difficulté, sur un tapis de feuilles mortes.
En bas nous atteignons le village en ruines de Rouyère.
Nous nous arrêtons au soleil pour une pause casse-croûte, près d’un vieux four à pain.
Puis nous reprenons notre route vers le Sud. Il fait bon et nous avons pu nous alléger de quelques vêtements.
Mais Jean nous prévient : « Après le virage,
progressivement on va se retrouver face au vent ».
Mais le vent semble s’être calmé et nous progressons gentiment, à flanc de coteau.
Puis nous attaquons la grimpette en direction de la crête du Cavalet.
Jean nous montre les falaises qui nous dominent : « Vous voyez le plateau de Briasq au-dessus de nous ».
Nous poursuivons la grimpette et atteignons le sommet.
D’où nous avons une vue magnifique sur la vallée de la Siagne.
Le temps de faire quelques photos et nous commençons la descente.
C’est un petit sentier sans difficulté. « Vous
pouvez laisser glisser » nous dit Jean. Attention quand même à ne pas glisser trop vite !
A présent nous traversons de vastes pierriers.
Puis nous atteignons un promontoire qui domine la vallée. Ici aussi, le point de vue est splendide.
Il est presque midi. Nous pourrions nous installer sur ces rochers calcaires en forme de gradins et pique-niquer au soleil devant ce paysage superbe. Mais Jean a prévu un autre emplacement.
Nous poursuivons notre descente à flanc de montagne, puis à travers bois.
« Vous avez compris qu'on n'est plus dans la même vallée ? » nous demande Jean.
Bien sûr, bien sûr ! Nous avons quitté la vallée de la Siagne pour celle de la Siagnole d’Escragnolles.
Et nous atteignons un promontoire qui domine la source de la rivière. Jean nous explique : « La Siagnole d’Escragnolles prend naissance ici. Elle est captée en partie par le canal de
Belletrud qui alimente cinq communes en aval : Saint-Cézaire, Spéracèdes , Cabris, le Tignet, Peymeinade ».
Et c’est ici que nous pique-niquons, dominant la rivière. On aperçoit, tout en bas, une petite cascade.
Pique-nique au soleil, dans un cadre magnifique, confortablement assis. La vie est belle !
Mais il nous faut repartir. « On commence par 400
mètres de plat, puis ça va remonter » nous prévient Jean.
La piste grimpe régulièrement à travers bois. Puis nous longeons de magnifiques champs de pâquerettes.
La pente devient plus raide. Une petite pause s’impose, n’est-ce pas mesdames.
Nous reprenons notre grimpette et apercevons les premières maisons.
« On va arriver dans la conurbation d'Escragnolles » nous dit Jean. Conurbation, conurbation, … comme c’est bizarre ! (Et pourtant c’est du bon français).
Nous arrivons donc dans la banlieue d’Escragnolles. Ce petit village, c'est St Pons.
Puis nous traversons Escragnolles. Malheureusement nous ne pourrons visiter l’église, fermée en ce jour de Toussaint.
Voici une vue de l’intérieur, photo prise par Jean lorsqu’il a reconnu la rando.
En revanche, voici la maison natale du Général Mireur, décédé en 1798, pendant la campagne d'Égypte, à l’âge de 28 ans.
Nous traversons Escragnolles puis atteignons nos voitures.
Et pour terminer en beauté cette belle journée, nous allons prendre un pot à St Vallier-de-Thiey.
Merci Jean, pour cette très agréable randonnée autour du plateau de Briasq.
Merci aux photographes : Jean-Marie et Gérard.
Et voici encore quelques photos :
Au sommet
Au pique-nique
A la chasse au pivert
Et toujours des paysages splendides
Prochaine rando : Jeudi 8 Novembre à 8 H 00 : Massif de l’ESTEREL (83). Le Ravin des Fabrigouliers
Au départ du Col de Belle-Barbe, sur pistes et sentiers, randonnée en boucle dans un cadre remarquable.
L : 15 Km 219. Dh : 642 m. D : 5 H 00 – Niveau : Moyen Médio – Repas et boisson tirés du sac.
Animateur : Jean Masson – 04.94.82.44.23 – 06.09.75.02.01 Boulouris N° 606
Itinéraire d’accès : Emprunter la RN 98 en direction de Cannes. Dans le village d’Agay, au giratoire tourner à gauche. A l’intersection (hauteur du garage), tourner à droite via l’Estérel - Franchir le Pont du Grenouillet – Passer devant la Maison Forestière du Gratadis et dans la descente appuyer à gauche via le Col de Belle Barbe et son parking .
Coût du trajet A R : 30 Kms x 0 € 25 = 7 Euros 50