Le Pic de la Gardiette : 24 novembre 2011
Le Pic de la Gardiette
Aujourd’hui, Joël nous emmène randonner dans l’Estérel, du côté de Bagnols-en-Forêt.
« Par des pistes et chemins caillouteux », nous allons faire l’ascension du Pic de la Gardiette, où nous attend un splendide panorama.
Nous voici arrivés en contrebas de Bagnols-en-Forêt, près du cimetière. Joël nous compte : nous sommes 34. Puis il nous recompte : 35. Encore un petit effort et nous voici 36 randonneurs. Quel beau groupe !
Joël nous présente le parcours : « Cette rando a été créée par Bruno. Il avait prévu d’aller voir une cascade. Comme nous n’irons pas, la rando ne fait plus 15 km et 540 m de
dénivelé ».
Puis Joël ajoute : « On va faire un deuxième groupe qui ne montera pas jusqu’au Pic. Nous partirons tous ensemble jusqu’au Col de la Pierre du Coucou. Et après l’ascension du Pic de la Gardiette, nous
nous retrouverons tous pour pique-niquer ».
Nous démarrons en empruntant une large piste, la piste de
Bayonne.
Elle grimpe doucement, juste assez pour nous réchauffer un
peu.
Puis nous bifurquons pour rejoindre un sentier de crête.
« C’est le GR51, le fameux Balcon de la Méditerranée » nous dit Joël. « Vous allez bientôt voir des
pins aux formes bizarres ».
Nous continuons à grimper à travers bois, parmi les bruyères et les pins.
Voici un arbre, particulièrement torturé.
Philippe se dévoue pour prendre la pose, au risque de se tordre le cou.
Un peu plus loin, nous croisons un groupe de randonneurs de Fréjus. Le
site est très fréquenté et nous en rencontrerons d’autres.
Nous tournons à gauche, en direction de l’Oppidum de la
Forteresse.
Voici de magnifiques rochers rouges. Mais nous en verrons bien d’autres.
Nous descendons par un sentier raviné. Il nous conduit au pied du mur
d'enceinte de l’oppidum.
Il est presque 10 h 30. C’est l’heure de la pause casse-croûte. Mais
auparavant, place à la culture !
Joël nous en offre une dose en nous parlant des oppida : « Nous sommes ici à l’emplacement d’un camp fortifié datant d'environ 1000 ans avant J-C (Age du Bronze). Le Pic de la Gardiette servait de vigie aux occupants des oppida voisins (celui de la Forteresse, du Castel Diaou).
Ce poste avancé de surveillance était toujours occupé. Les gardiens faisaient des signaux de fumée, le jour et du feu avec flammes, la nuit, pour prévenir les paysans de l’arrivée des ennemis, barbaresques, maures... afin qu’ils puissent se réfugier dans l’oppidum ».
Puis Joël nous parle de Bagnols-en-Forêt, que nous apercevons du haut
de la Forteresse.
« Le village de Bagnols, décimé par la peste de 1348, puis pillé par les bandes de Raymond de Turenne en 1392, fut complètement déserté. C’est en 1477, que l’Evêque de Fréjus, seigneur de Bagnols, fit revivre le village en faisant venir d’Italie, 30 familles de Pieve di Teco (Ligurie) afin de poursuivre l’exploitation des tailleries de meules.
Car la rhyolite amarante,
roche extrêmement dure, célèbre dans l’Estérel pour sa couleur, était utilisée autrefois pour fabriquer des meules : meules de moulins à huile ou à grains ».
Voici d’ailleurs, à deux pas, l’emplacement d’une meule de plus d’un mètre de diamètre, formant baignoire.
Avant de reprendre notre route, nous posons pour la photo de
groupe.
Puis Joël nous demande : « Qui va au pic ? ». Nous nous répartissons par moitié en deux groupes. Mais pour le moment nous suivrons tous la même route.
Voici à droite un alignement de rochers rouges, se dressant vers le
ciel. Quel paysage extraordinaire !
Et voici l’Ecureuil ! Ce sont des roches rousses, qu’on croirait taillées en forme d’écureuil, avec sa queue en panache.
Mais il n’est plus temps de regarder en l’air. La descente nous attend.
Et quelle descente !!
Le sentier dégringole dans les profondeurs. Mais peut-on encore parler
ici de sentier ?
André remarque : « Qu’est-ce qu’elle est dure, la descente au Pic ! ». Joël précise : « Le Pic n’est pas en bas. Il faudra
remonter ! ».
Nous poursuivons la descente parmi les pins et les bruyères, sur un sentier raviné. Ce n’est plus un sentier, c’est le lit d’un torrent aujourd’hui à sec. On l’imagine furieux, dévalant la pente, pendant les pluies violentes de début novembre.
Enfin nous atteignons le bas de la descente, près du Petit Roc. C’est ici que nous attendra le deuxième groupe pour pique-niquer.
Il est 11 h 50. « Il nous reste 1,3 km avant d’atteindre le sommet du Pic » nous annonce Joël.
Nous attaquons la montée vers le Pic. Par un sentier en sous-bois, très
agréable.
Puis la pente se fait plus raide et le sentier plus caillouteux.
Et nous terminons l’ascension par un peu d’escalade dans les rochers.
Au sommet, la vue est magnifique … mais les places sont
chères !
Jean-Marie réussit à prendre une partie du groupe en
photo.
Puis nous quittons notre perchoir et attaquons la
descente.
Nous atteignons l’emplacement du pique-nique où nous attend le deuxième groupe.
Nous déjeunons, confortablement installés. Le soleil brille, il fait
bon, la vie est belle !
« Départ dans dix
minutes ! » annonce Joël. Et nous voici repartis pour une petite balade à travers bois.
Le sentier est très facile. Nous en avons fini avec les pentes
raides.
Quelle agréable promenade digestive !
Arrivés à un embranchement, nous marquons une pause.
« Tiens, n’est-ce pas là, derrière ces arbres, que nous avons pique-niqué ? ».
Joël confirme : « C’est vrai. On aurait pu en effet venir directement ici, après le pique-nique ». Mais nous aurions manqué cette charmante promenade à travers bois.
Nous empruntons à présent la piste du Petit Roc.
Quand soudain un panneau nous annonce : « FOSSÉ PROFOND ».
En effet la piste est entièrement coupée par un effondrement de terrain.
Heureusement une petite passerelle de rondins de bois nous permet de
franchir le fossé.
Claude tend une main secourable à Alice, sous le regard serein de
Jean-Louis.
Puis nous reprenons la piste et rejoignons bientôt nos
voitures.
Pour finir cette belle journée, nous allons prendre un pot bien mérité,
à Bagnols-en-Forêt.
Merci Joël, pour cette très belle randonnée, malgré les cailloux et les sentiers ravinés !
Merci aux photographes : Claude, Gérard, Jean-Louis et Jean-Marie.
Encore quelques photos :
Randonneurs
Photo au sommet
Roches rouges
Piste défoncée
Sentiers ravinés
Prochaine rando : Jeudi 1er Décembre à 7 H 30 :
RANDO-RESTAURANT à La ROQUE ESCLAPON (83)
Belles pistes et jolis sentiers sur le flanc Sud du Mont Lachens entre les villages de La Bastide et La Roque.
Restaurant : « Le Coq en Pâte » : 20 Euros vin et café compris.
L : 12 Km. Dh : 508 m. D : 4 H 00 –Niveau : Moyen Médio.
Animateur : Jean Borel –04.94.95.87.73 – 06.68.98.13.62
Beaulieu-Plateau St.Michel-17 nov.2011
BEAULIEU- Le Plateau St.MICHEL
Ce récit de nos aventures aurait pu s'intituler " Retour
chez les Riches" faisant
référence à notre dernier passage à Beaulieu le 9 mai 2009 où nous avions découvert la presqu'ile du Cap Ferrat (Voir le blog de l'époque).
Comme en 2009, c'est par le train que nous avons rejoint ce petit joyau de
la Côte d'Azur. Mais aujourd'hui nous nous retrouvons à 43, marcheuses et marcheurs, devant la gare de Beaulieu. Effectif extraordinaire ! Depuis le 27 octobre, nous rongions notre frein, les
conditions climatiques désastreuses sur la région ayant contraint à annuler deux randonnées consécutives, ce qui est une première au Cercle de Boulouris.
Il faisait très frais à Boulouris lorsque nous avons embarqué dans le TER
mais le soleil est bien monté dans le ciel et la température s'est bien adoucie. Lorsque, après avoir jeté un coup d'œil sur
l'église de Notre Dame de l'Espérance, Jean nous rassembla sur la petite esplanade où nous avions fait la photo de groupe en 2009, un premier " effeuillage" s'avèra nécessaire.
Que c'est beau ! Devant nous, la mer, sans une ride. Au nord l'immense falaise blanche. Et ces fleurs !
Jean commence à nous présenter deux nouveaux, tout d'abord Nicole dont c'est la première sortie avec nous, et
Gilbert
qui nous a déjà accompagnés le lundi. Bienvenue à eux. Il signale par ailleurs la présence de trois
accompagnateurs du Groupe Intermédiaire : Claude, Jacques et Gérard soupçonnés de faire de l'espionnage !
Petit topo de Jean sur BEAULIEU-sur-MER dont le nom seul est déjà symbolique : Bello Loco.
"Savez-vous comment on appelle les habitants de Beaulieu ? Ceux qui étaient là en 2009 doivent le connaître, questionne
Jean. Jean-Marie, tu l'as même écrit dans le blog ! Les "Berlugans et Berluganes".
Mais depuis 2009, il
est passé de "l'eau sous les ponts" et les neurones ont bien vieilli.
"Beaulieu occupe l'emplacement d'un site
préhistorique et de l'antique port grec d'Anao, agrandi par les romains qui commencèrent à y construire des demeures de marbre et de mosaïque (déjà le goût du
luxe). Rasée plusieurs fois au 3ème et 4ème siècle, les habitants se réfugièrent sur la falaise du plateau Saint Michel d'où ils ne descendirent qu'à la fin du 13ème. Issu du
12ème siècle, son nom Bellolocco, fut francisé en 1860. A cette époque, hameau de Villefranche-sur-Mer, il attire Anglais, Français, Russes du Gotha, têtes couronnées… C'est le début
de son essor touristique. En 1891, la commune devient indépendante de Villefranche.
Petite par sa taille, 92 ha, avec 4000 habitants, c'est par contre la championne des prix de l'immobilier.
Deux
grandes routes desservent la commune, la "Basse Corniche" (DN 98), la moyenne corniche (DN7). Nous allons les rencontrer lors de notre rando.
Nous allons parcourir une dizaine de km avec une dénivelée de 420m, montant jusqu'au plateau Saint Michel, au-dessus de la moyenne Corniche, à 380 m environ. Nous longerons la côte jusqu'à Eze puis nous attaquerons la montée vers le plateau."
Il est 9 h 50 lorsque
nous quittons le cœur de la ville en longeant le grand port de plaisance avec ses yachts prestigieux. C'est là que nous avions pris notre pot en 2009
: imaginez la note !
43 randonneurs, cela
fait une belle caravane et nos deux fidèles serre-files, Daniel et Jacky, vont avoir une rude tâche aujourd'hui.
Très vite nous gagnons
la plage de "la Petite Afrique", un peu envahie par les posidonies, situation normale à cette saison, peut-être accentuée par la tempête des dernières semaines. C'est là que Jean va nous proposer la "pause banane". Soleil, plage et palmiers : le rêve !
Il fait maintenant chaud et il faudra à nouveau "s'effeuiller". Jusqu'ou iront-nous ?
Quittant la Petite Afrique, Jean avait prévenu : " Nous aurons un passage un peu plus délicat sur environ 400 m."
Effectivement, la plage
s'est transformée en un amas de gros galets, encombrée de troncs d'arbres apportés par la tempête et la
progression ralentit sérieusement. Quelques figures d'équilibre ont mérité la photo.
Avant de sortir de cette
zone, juste en dessous de la route, une habitation troglodytique d'un genre particulier nous étonne beaucoup : comment peut-on accepter ceci dans une commune comme Beaulieu
? Bon d'accord, il y a des fleurs.
C'est fait, nous
quittons les galets et empruntons un morceau de la Basse Corniche, bien protégés de la circulation. Nous allons ensuite rejoindre le bord de mer, au petit port de Vilva Maris, en traversant une résidence
privée.
Devant nous la grande
plage d'EZE où de larges lits de posidonies vont faciliter (quelques avis divergents) notre marche.
Voici Eze-Bord-de-Mer.
C'est ici que nous quittons la côte en commençant une petite montée dans les rues du village où tout le monde s'enthousiasme pour les orangers et autres mandariniers couverts de fruits. Et on
évoque les litres de vin d'orange potentiels…Les bougainvillées sont aussi magnifiques et en font rêver plus d'un.
Il fait maintenant très chaud mais Jean nous rassure : "La montée que nous allons aborder maintenant se fera à l'ombre sur l'ubac et nous allons retrouver la fraîcheur."
Effectivement, nous nous
engageons dans un petit vallon très frais et lorsque nous franchissons un petit ruisseau, passant complètement à l'ombre, il fait carrément froid. Mais la pente est là, bien là, même. L'effort va
nous réchauffer.
Le chemin est bon, en lacets et la montée se fera sans problème : au mois de Juillet, ce chemin doit être apprécié pour sa fraîcheur.
Nos amis du Groupe Intermédiaire commencent à se poser des questions sur le passage de leurs marcheurs sur ce chemin.
A la cote 277, un chemin
s'amorce sur la gauche, au coin de la chapelle Saint Michel. Il conduit à une sorte de petit belvédère d'où la vue sur le Cap Ferrat et la baie de Villefrance est extraordinaire. Partant de là, on peut redescendre sur Beaulieu par un chemin difficile et dangereux…que nous n'emprunterons
pas.
Après une photo de nos
deux Michel(le) devant la chapelle dédiée à leur saint- patron, nous reprenons notre montée : il reste environ
100m de
dénivelée qui seront franchis facilement.
Et nous débouchons sur
le plateau. De la table d'orientation, la vue que nous avions à la cote 277 s' est élargie, elle va jusqu'à l'Esterel avec une vue aérienne de l'aéroport de Nice dont la largeur, gagnée sur la
mer, étonne la plupart des marcheurs. Que de camions a t-il fallu pour gagner ainsi sur la mer !
Il est 12 h 30, ce sera
le lieu de notre pique-nique, qui sur des tables, qui sur les rochers. Jean avait bien prévu son horaire car c'est un coin idéal : on ne pouvait trouver mieux.
Bien entendu, il y eu
quelques dormeurs dont nous garantirons l'anonymat et des joueurs de cartes, les habitués, toujours aussi bruyants et démonstratifs : de vrais méridionaux.
Quelques petites fleurs
étranges se cachent parmi les cailloux. Personne ne les connaît, il s'agit d'Aristoloches (Aristolochia Rotunda): une découverte. On les remarque dans les livres, avec leur nom bizarre, mais jamais encore dans la nature où elles paraissent pourtant
abondantes.
Il est l'heure de
redescendre. Par un sentier en corniche, au bord d'un à-pic impressionnant, nous progressons le long de la
falaise.
La vue sur Beaulieu, la presque-ile du Cap Ferrat et la baie de Villefranche est un régal pour les yeux. Jean va nous
monter la villa Kérilos, un des joyaux de Beaulieu.
Traversant la Moyenne
Corniche, nous poursuivons notre descente avec un "peloton" très étiré. Mais Jean va provoquer un regroupement pour faire la photo de groupe. Il était temps !
Nous avons retrouvé la
civilisation et parcourons ruelles et surtout escaliers, bordés d'agrumes et de fleurs. Voilà, nous sommes arrivés dans la ville et vu
notre effectif, nous nous répartirons dans deux cafés pour le pot de l'amitié.
Nous avons encore une heure "à tuer" avant de reprendre notre train. Certains gourmands iront goûter les spécialités locales dans une pâtisserie que je vous recommande particulièrement (à côté de la pharmacie) alors que des dames iront faire du lèche-vitrine, concrétisé par des achats vestimentaires. Ah ! Les cartes bleues.
Merci Jean. Encore une belle rando, facile, avec une impression de vacances. Presque de l'exotisme.
Merci aux photographes : Jean, Jean-Marie, Claude, Jean-Louis.
Merci aussi à nos serre-files Daniel et Jacky.
Quelques photos en bonus
Chapelle Santa Maria de Olivo- IXème siècle. Aujourd'hui désaffectéeet utilisée pour des expositions.
EZE, plage, le village perché
C'est Jean-Louis qui a pris cette photo étrange. Quelle est l'origine de ce batiment ? Sur Internet, on retrouve à Eze, un café, un hôtel, un refuge et une association qui portent le même nom.
Camille fait la pause dans la montée !!!
Zut ! je ne m'y retrouve plus !
Les "espions": Claude, Jacques, Gérard.
Pique-niqueurs.
Y aurait-il des pirates au large ?
Vue aérienne
Descente
Joli buisson de cactus.
Superbe
La semaine prochaine Jeudi 24 Novembre à 8 H 00 : BAGNOLS en FORET ( 83 ) . Le Pic de La Gardiette
Pistes et chemins caillouteux, ascension sur rocher pour atteindre le pic et splendide panorama sur 400 Grades.
L : 17 Km 000 . Dh : 540 m . D : 5 H 00 – Niveau : Moyen Alto – Repas et boisson tirés du sa.
Animateur : Joël Lefeuvre– 04.89.99.01.07 – 06.23.07.11.99
2 ème circuit raccourci ( en supprimant l'aller-retour au Pic de La Gardiette ) :
L : 12 Km 3 Dh : 380 m Niveau : Moyen Médio
Les 2 groupes prendront leur repas ensemble .
Itinéraire d’accès :
Du carrefour Peire Sarade emprunter la Corniche d’Or (D 100) en direction l’A 8 – Au giratoire du Capitou prendre la D 4 direction BAGNOLS EN FORET. A l’entrée du village, à hauteur de l’ancien restaurant « Le Bernard l’Ermite » obliquer à gauche et descendre la D 47, via Draguignan, jusqu’à la chapelle Notre-Dame. A ce carrefour partir légèrement à gauche et suivre la route sur sept cents mètres pour aller stationner dans le parking du nouveau cimetière de BAGNOLS-en-FORET .
Coût du trajet A R : 60 Kms x 0 € 20 = 12 Euros
A Bruno
A BRUNO
Cette photo a ouvert la plupart des blogs relatant les randonnées menées par Bruno
GUERIN. Il n'en conduira plus car il nous a quittés le 16 septembre 2011. Au nom des marcheurs du Cercle de Boulouris, les blogueurs ont rassemblé quelques photos qui
nous rappellent la bonne humeur, l'entrain et la grande gentillesse de notre ami. Cet article est aussi un hommage à celui qui, en Juillet 2006, avait vaillamment défendu le
principe du blog devant un Conseil d'Administration du Cercle de Boulouris.
Avec son groupe de randonneurs -
rencontre avec les pompiers en exercice à St.Vallier.A la Mangiarde avec un groupe plus réduit, les durs ! Il y avait de la neige et la pente était sévère.
Avec notre doyen Jean BRYqui
profite du banc installé au sommet du Baou de St. Jeannet.
Concertation autour d'une carte par les spécialistes. Ah ! les cartes. Combien Bruno les aimait !
Nicole attentive. Bruno est-il en train de recruter
une nouvelle accompagnatrice ?
Avec les blogueurs, au lac de Ste Croix,
à la Ste.Baume,
à Fayence.
Les bories- Combien nous en a t-il fait découvrir, quitte à rallonger l'itinéraire.
Là, devant la chapelle du XIIème siècle, à Roquebrune-sur-Argens, Bruno nous montre les mimosas en fleurs qu'il nous promet. Hélas la saison est en retard et nous n'en verrons point. Mais quelle belle balade autour de la montagne de la Flûte !
Le même jour, en ordre de
marche.
Les pique-niques de Bruno : du confort et prendre son temps.
Lac de St.Cassien : le niveau de l'eau était trop haut et la plage très réduite. Installé dans une barque échouée, Bruno se régale.
Bruno, très sérieux, au Plan de la Tour
A Bormes les mimosas
Durs, durs, les quatre sommets de la montagne de Roquebrune.
Bruno, seul au sommet, au Rayol-Canadel.
I
Il faisait plutôt frisquet à Cotignac !
Au fond du "Chaos" de l'Imbut sur le Verdon
Clownerie ou bien situation périlleuse ?
Bruno, tu nous a fait parcourir l'Esterel, découvrir le Plateau de St.Vallier, les Maures, l'Esteron et autres lieux. Tu l'as bien méritée, cette médaille de la Fédération. Merci encore Bruno.
Et c'est à nous de tirer notre chapeau.