Le Pic du Cap Roux : 29 décembre 2011
Le Pic du Cap Roux
Aujourd’hui, pour
cette dernière randonnée de l’année, Camille nous emmène dans l’Estérel. Dont nous allons gravir l’un des plus beaux sommets : le Pic du Cap Roux (alt. 454 m).
Nous voici arrivés à la sortie du Trayas, sur le parking de bord de mer.
Pas besoin de "grand angle" pour prendre la photo de groupe. Nous ne
sommes que 7 … sans doute les meilleurs (??), en tout cas les plus courageux.
Il est 9 heures. Le ciel est gris et l’air frisquet. Aussi attaquons nous avec plaisir la route qui monte à la gare du Trayas. Puis nous suivons la piste qui domine la voie ferrée.
Voici à droite, le chemin qui grimpe au col des Lentisques, dont on sait qu’il est très raviné et caillouteux. Mais Camille l’évite. Tant mieux !
« Nous allons contourner le Pic
d’Aurelle par la mer » nous dit-il.
Le Pic d’Aurelle, nous l’apercevons tout là-haut, au détour d’un virage.
A présent, la température s’est radoucie. Camille nous propose une
« pause effeuillage ». « Il est 9 h 30. Nous ferons la pause banane à 10 h 15 ».
Puis Camille ajoute, désignant le sommet qui se dresse au loin : « En face de nous, c’est le Pic du Cap Roux ».
Nous passons à présent juste en dessous du pic d’Aurelle.
Une fois n’est pas coutume, nous marchons sans bruit. « Avec ce silence, nous pourrions voir des animaux » nous dit Marinette. Espérons … peut-être.
Nous approchons de la route qui mène au Col de l’Evêque. Au fur et à
mesure que nous grimpons, nous sommes gagnés par une petite brise bien fraîche.
A tel point, qu’arrivés à la route, Camille nous invite à une « pause rhabillage ». « On va se réfugier chez Honorat » nous dit-il. Référence à la grotte de Saint-Honorat que nous visiterons tout à l’heure.
Nous arrivons au Col de l’Evêque (alt. 158 m). Sur la gauche, un sentier grimpe directement vers le Pic du Cap Roux.
Mais Camille nous dit : « Nous commençons par la grotte ». Nous suivons donc la route en direction de la Sainte Baume.
Puis, tout en marchant, Camille nous montre les sommets que l’on voit sur notre droite : « Le premier, c’est le Pic de l’Ours, puis le Pic de l’Escale. Plus à gauche, c’est le Mal Infernet et le Rocher du Gravier ».
A présent, le ciel s’est assombri, l’air est humide. Nous marchons à
bonne allure. Devant nous se dresse le Pic du Cap Roux et le Saint Pilon.
Nous atteignons la Sainte Baume. Il est 10 h 15, l’heure de la pause
casse-croûte.
Puis Camille nous entraîne dans un sentier en sous-bois, pour voir la « grotte d’en bas », petite grotte moins célèbre que celle de St Honorat.
Nous attaquons un petit sentier qui monte en lacets à travers une
magnifique chênaie. Au-dessus de nous se dressent de hautes falaises tourmentées.
Nous grimpons maintenant un escalier en corniche au- dessus du vide.
Attention ! Les marches sont humides et glissantes.
Enfin nous descendons un petit escalier, pour arriver à la
grotte de Saint-Honorat (alt. 240 m). Ce lieu est un ermitage où s’était retiré Saint-Honorat à la fin du IV° siècle, avant de gagner les îles de Lérins.
Après une courte pause, nous rebroussons chemin.
Dans la descente, nous bifurquons sur la droite pour rejoindre le
sentier qui mène au Pic du Cap Roux.
Nous progressons en sous-bois puis traversons un vaste pierrier.
A présent la vue se dégage sur la baie de Cannes, le Cap
d’Antibes, les îles Ste Marguerite et St Honorat.
Nous poursuivons sur le sentier qui domine la mer, à plus de 400 m
d’altitude. Encore une petite grimpette et nous atteignons le sommet du Pic du Cap Roux (alt. 454 m).
« Départ à 13
heures ! » nous prévient Camille. Car c’est ici, au sommet que nous allons déjeuner. « On a fait un dénivelé de 504
mètres ! ». Ce n’est pas mal !
Pendant que nous attaquons notre pique-nique, Camille énumère pour nous les caps que l’on distingue sur la mer : la pointe des Issambres, la pointe de Ste Maxime et tout là-bas, la pointe de St Tropez et le Cap Camarat.
Pendant que nous déjeunons, des marcheurs nous rejoignent : un couple, une famille. Bientôt nous voici une vingtaine de randonneurs installés au sommet. Car le Pic du Cap Roux est une belle balade, très fréquentée en période de vacances.
D’autant que le soleil brille enfin, nous laissant admirer à loisir le
paysage magnifique.
Nous prenons une photo de groupe avant d’attaquer la
descente.
Cette fois-ci, la vue est encore plus belle, sous les rayons du soleil.
Camille s’arrête pour nous permettre d’admirer le
paysage.
« A gauche, vous voyez le Pic de l’Ours. Plus bas, c’est la Baisse des Sangliers que nous allons rejoindre. Il va donc nous falloir descendre, puis monter jusqu’au Col des Lentisques. Ensuite ce sera une belle descente !! ».
En attendant, nous suivons le sentier qui alterne passages en sous-bois et traversées de pierriers. Bien caillouteux ce sentier !
Enfin nous atteignons le col de l’Evêque.
Nous prenons la route qui monte au col des Lentisques. A droite, un sentier longe la route. « Tu ne prends pas le sentier ? » demande Gérard à Camille.
« Non ! J’en ai assez des
cailloux ! » lui répond celui-ci. Ca tombe bien, nous aussi !
Nous montons donc par la route. Voici à nouveau le Pic d’Aurelle qui se
dresse devant nous.
Avant d’atteindre le col des Lentisques, le groupe de tête marque une pause à la Baisse des Sangliers. Avec en arrière-plan le Pic de l’Ours.
Arrivés au col, nous marquons une dernière pause avant d’aborder la
descente finale.
Longue, très longue descente de 250 m de dénivelé, par un chemin raviné et caillouteux !
Enfin nous atteignons la voie ferrée puis nos voitures.
Et pour terminer cette belle journée, nous allons prendre un pot. Où ça ? A Boulouris ! Où nous dégustons avec plaisir un savoureux gâteau aux pommes préparé par Marinette.
Une belle journée s’achève...
Merci Camille,
pour cette très très belle randonnée de fin d’année.
Et meilleurs vœux à tous !
Les photos sont de Gérard et de Maurice.
Encore quelques photos :
Le groupe au sommet
Paysage vu du Pic du Cap Roux
Prochaine rando : Jeudi 05 Janvier à 8 H 00 : Pont Saint-Jean (83 – 06). Le Sommet du MARSAOU
Randonnée en boucle sur pistes et sentiers parfois très raides. Magnifiques vues sur la mer et l’Estérel.
Circuit N° 1 : L : 14 Km 615. Dh : 700 m. D : 5 H 00. Moyen Alto . Repas et boisson tirés du sac.
Circuit N° 2 : L : 13 Km 818. Dh : 565 m. D : 5 H 00. Moyen Médio. Repas et boisson tirés du sac.
Animateurs : N° 1 Camille Cloutour : 06.81.79.89.39 – N° 2 Jean Borel : 04.94.95.87.73 Boulouris N° 548
Châteaudouble : 22 décembre 2011
Châteaudouble : le Château de La Garde
Aujourd’hui, Joël nous emmène randonner à partir de Châteaudouble, au-dessus des gorges de la Nartuby.
Joël est ravi : Nous sommes 17 randonneurs au départ. Ce qui fait
un très beau groupe !
Nous accueillons parmi nous le fils de Jean-Louis, Martin. Bienvenue !
Nous cheminons à travers Châteaudouble. Nous voici sur la place du Purgatoire. Nous la quittons bien vite, cela va de soi, pour monter au paradis.
Le paradis, c’est, tout en haut du village, une esplanade ensoleillée qui domine de 130 mètres les gorges de la Nartuby.
Joël nous explique pourquoi la rando a été modifiée. « Les inondations de début Novembre ont entraîné des affaissements de terrain, fait disparaître des sentiers,
emporté des passerelles. La randonnée initiale, dans les gorges de la Nartuby, devenait acrobatique et dangereuse.
Nous avons donc décide, Jean et moi, de la remplacer
par une rando plus courte. Elle fera 9 km et 469 m de dénivelé ».
La vue sur la vallée est superbe et nous resterions volontiers à nous prélasser au soleil. Mais la randonnée nous appelle.
Avant de redescendre, nous prenons une nouvelle photo de groupe.
Nous quittons Châteaudouble par un petit chemin qui descend gentiment au soleil.
Puis nous longeons la route départementale. Bientôt un panneau indique que la route de Draguignan est coupée, suite aux affaissements de
terrain.
Nous empruntons un sentier qui grimpe sur la gauche.
Quelques instants plus tard, nous marquons une pause : c’est l’heure du casse-croûte.
Joël en profite pour nous parler de Châteaudouble : « Châteaudouble doit son nom au fait que l’ancien village était défendu par deux forts, ce qui lui a valu les noms de Castel Diabolicum, Castel Duplum,… puis Châteaudouble. Les habitants s’étaient établis bien avant l’arrivée des Romains dans le fort de la Tour, à l’emplacement du cimetière actuel. La tour, dite «sarrasine», construite au Moyen Age (XI° siècle), semble veiller sur l’étroite voie de passage.
De l’ancien château subsiste un donjon très
abîmé, construit semble-t-il par Arnaud de Villeneuve.
Le château de la Garde, situé de l’autre côté de la Nartuby, domine le site sur une crête rocheuse à 607 mètres d’altitude. En 1235, les châteaux de Châteaudouble et de la Garde appartiennent au même seigneur.
En 1304, les deux châteaux deviennent
propriété du comte de Provence Charles II d’Anjou. En 1348, la reine Jeanne cède le château de la Garde à Arnaud de Villeneuve. En 1438, le château de la Garde est déclaré
inhabité ».
Nous reprenons notre grimpette. Il fait beau, le soleil brille. Mais nous restons couverts, car l’air est frisquet.
A présent nous dominons Châteaudouble. D’ici on aperçoit l’ancien
chemin muletier, seul accès au village jusqu’au XIX° siècle, avant que l’on ne perce un tunnel dans le rocher.
Et au-dessus de nous, voici les ruines du Château de la Garde.
Nous pénétrons à présent dans une zone de silence.
« Chut ! Nous approchons
du Château de la Garde ». Non, ce n’est pas le vieux château ! Il s’agit du domaine viticole, le plus haut du Var, à 590 m d’altitude. Le voici tout en bas, sur notre
gauche.
Et pourquoi marchions nous en silence ? Parce que nous empruntons une piste interdite, même aux randonneurs.
Nous la quittons bien vite. Joël nous fait prendre un sentier qui grimpe à travers bois. « Nous allons vers le sommet de la Colle Pelade » nous dit-il. Et Joël ajoute : « Nous n’avons pas reconnu cette partie ».
Le sentier grimpe à travers les taillis. Bien tracé au départ, il
disparaît peu à peu. Nous nous frayons un chemin parmi les arbustes aux branches traîtresses.
Quand soudain nous entendons des voix en contrebas. Nous constatons alors que nous avons perdu nos serre-files, Daniel et Jacky, ainsi que Michel et Martin. Où sont-ils donc passés ?
Jean, Joël les appellent. Pas de réponse ! Sans doute n’ont-ils
pas vu que nous quittions la piste.
Joël rebrousse chemin et part à leur recherche. « C’est une rando exploration » nous explique Jean. « Cette partie n’était pas prévue ».
Voici enfin Joël qui ramène ses brebis égarées.
Nous poursuivons notre grimpette en sous-bois. Sur la gauche, la vue
est dégagée. On aperçoit la mer, le mont Vinaigre.
« Nous sommes ici à 615 m » nous dit Joël. « Et le sommet de la Colle Pelade est à 656 m ».
Mais pour l’atteindre, il faudrait nous aventurer à travers les broussailles. « Et aurons nous une belle vue, là-haut ? » Pas sûr !
Nous renonçons donc. Nous nous contenterons de cette magnifique vue, un peu étriquée, sur 45 ° à peine !
Nous faisons demi-tour et redescendons à travers bois. Attention aux branches qui piquent et griffent, agrippent les bras et rabotent le crâne !
Enfin voici la piste que nous avions quittée. Fin de la
variante !
« On aurait pu rester sur la piste » remarque l’un de nos serre-files.
Nous poursuivons notre chemin. Quand soudain le paysage se dégage. Une
clôture apparaît. Derrière elle, une rangée de panneaux solaires. Non pas une rangée, mais des dizaines de rangées !
Nous longeons le grillage, stupéfaits de voir ces milliers de panneaux
solaires installés sur près d’un kilomètre.
Arrivés à l’extrémité du terrain, Joël nous propose de pique-niquer sur un talus, en lisière d’un bois. Avec devant nous, une vue remarquable sur une forêt de panneaux
photovoltaïques.
Nous déjeunons avec appétit, … et avec soif, si l’on en juge par le
nombre de bouteilles qui circulent.
Après le café, Joël nous invite à reprendre la route.
Nous longeons le deuxième côté du « parc solaire », quand tout à coup : « Stop ! Jean-Louis a oublié ses
bâtons ! ».
Tandis que Jean-Louis rebrousse chemin, nous avançons jusqu’au bout du
terrain pour consulter le panneau d’informations du Parc Solaire.
C’est alors que trois randonneurs (Jacky, Maurice, Michel) quittent le groupe en catimini. Sans autorisation du chef ! Enfreignant ainsi une règle fondamentale du code du randonneur.
Le panneau d’informations nous apprend que ce parc solaire de 12 Mw, a
été construit à l’initiative de la commune de Figanières. Il couvrira la consommation de 4560 foyers et permettra d’économiser 4726 tonnes de CO2 par an.
Mais voici Jean-Louis qui arrive à grandes enjambées, tout penaud.
Puis nos trois contrevenants nous rejoignent. Un technicien leur a dit que l’installation était opérationnelle depuis … aujourd’hui même !
Avant de repartir, Joël nous précise : « Nous allons descendre … puis remonter ». Nous voilà prévenus !
Nous reprenons notre route, pour nous arrêter cinq minutes plus
tard.
Jean et Joël, penchés sur leurs cartes, se concertent. Sous le regard
amusé de Dominique.
Enfin nous attaquons la descente vers la Nartuby. Descente en
sous-bois, sur un tapis de feuilles mortes, parsemé de cailloux.
« On arrive à la chapelle Saint Jean » nous dit JoëL. Et il ajoute : « On va remonter d’environ 100 mètres, c’est rien du tout ».
Mais avant de remonter, il nous faut franchir la Nartuby.
Nous traversons la route. En face de nous, la passerelle qui enjambait
la rivière est malheureusement détruite.
Nous descendons prudemment le talus pour atteindre la rive de la Nartuby.
Il n’y a pas vraiment de gué. Mais en sautant de rocher en rocher, on
doit pouvoir passer.
Jacky, Jean, Joël, Jean-Louis, Michel donnent la main ou le bâton aux
moins assurés d’entre nous.
Attention ! Certains rochers peuvent glisser !
Jean, voulant aider Daniel, mettra ainsi les pieds dans
l’eau.
Le blogueur, très à l’aise (!!), ferme la marche.
Et nous voici tous sains et saufs, sur l’autre rive.
La grimpette jusqu’à Châteaudouble n’est plus qu’une formalité. Nous
rejoignons la route qui pénètre dans le village par une porte percée dans un énorme rocher.
Nous regagnons nos voitures. Et pour clore cette belle journée, nous allons prendre un pot bien mérité à Figanières.
Merci Joël, pour cette très belle randonnée, pleine de surprises. Et Joyeux Noël à tous !
Merci aux photographes : Gérard, Jean et Jean-Louis.
Encore quelques photos :
Place du Purgatoire
Châteaudouble
Forêt de panneaux solaires
Pont détruit sur la Nartuby
Prochaine rando : Jeudi 29 Décembre à 8 h 00 : SAINT – RAPHAEL - Le Pic du Cap Roux
Par pistes et sentiers, nous grimperons à un sommet prestigieux, le Pic du Cap Roux, en passant par la Ste Baume
L : 12 Km 200. Dh : 590 m. D : 4 H 30 – Niveau : Moyen Alto.
Animateur : Camille Cloutour – 06.81.79.89.39
Itinéraire d’accès :
Prendre la RN 98 en direction de Cannes. Au Trayas, après un panneau accroché sur un mur de soutènement annonçant « Corniche de l’Estérel », vous trouverez sur votre droite le parking de la Calanque du Morland, juste avant l’hôtel restaurant, lieu de stationnement pour nos véhicules.
Coût du trajet A R : 36 Kms x 0 € 20 = 7 Euros 20
Sillans-la-Cascade-15 Décembre 2011
Sillans-la-Cascade-2011
26 marcheuses et marcheurs sur le parking de Salernes- Il est 9 h 15 et, à
l'ombre, il fait plutôt frisquet. "Je vous invite à partir tout de suite. Dès que nous serons au soleil, je vous présenterai la
rando d'aujourd'hui qui va nous conduire à Sillans-la-Cascade," nous dit Jean.
Et nous voilà partis le long de la Bresque, fil rouge (en fait, elle est d'une belle couleur turqoise) de cette journée. Une montée très raide nous conduit à une bifurcation où un groupe d'ouvriers nous signale que nous allons nous heurter à un grillage, car le chemin que nous prévoyons d'emprunter mène maintenant à une propriété privée. Effectivement un panneau le précise.
Une fois de plus nous sommes confrontés à ce problème, comme souvent à la périphérie des villages comme le fait remarquer Jean. Il part en éclaireur avec Daniel et nous trouve une échappatoire via un autre chantier de construction, inoccupé aujourd'hui.
La prochaine fois où nous aurons à passer par là, il faudra encore improviser. En tout cas bravo à notre guide, même si l'accès n'est pas très facile au milieu des troncs d'arbres à terre.
Et c'est un peu plus loin que Jean pourra nous présenter cette rando. " Nous l' avons déjà fait deux fois, en 2007 et en 2008. Pour aujourd'hui j'ai fait une synthèse des
deux randos précédentes en simplifiant et raccourcissant le parcours pour arriver à 13 km et 520 m de dénivelée.
Mais rassurez-vous, l'essentiel a été préservé et vous allez vous régaler. Par ailleurs, j'ai prévu une variante" Petites Jambes" évitant les rives
de la Bresque parfois surprenantes !!!"
Nous voici partis vers la chapelle de la Croix Solliès notre prochaine étape. C'est par un petit sentier en montée que nous
rejoignons la grande piste de "l'arête sommitale". De là, très rapidement nous atteignons le plus haut point de la randonnée à
425 m d'altitude. Et là, seconde surprise de la journée, bonne celle-ci, la chapelle a été restaurée :
toiture, contreforts, grilles, chœur débarrassé de ses gravas.
Il y a encore du travail à faire mais ce qui était une ruine lors de notre
dernier passage, reprend figure de monument. Datant du 11ème siècle, sa façade a été restaurée au 18ème. Renseignement pris, c'est la commune qui est à
l'initiative de ces travaux de sauvegarde. Bravo.
C'est là que nous faisons notre "pause banane" comme déjà en 2008, ainsi que la photo de groupe. Jean va aussi nous donner des nouvelles de nos ami(e)s à "l'infirmerie". Albert est revenu parmi nous ce qui nous réjouit…et lui aussi ! Bertrand a été opéré
et rentre chez lui ce jour, même chose pour Denise déjà rentrée depuis une semaine. Nous leur souhaitons une bonne guérison. Depuis la rando à Beaulieu, Ginou souffre d'une tendinite sur un
muscle sous-fessier, patience chère amie. Quant à Nicole, son plâtre n'est plus qu'un souvenir, encore douloureux.
Mais aujourd'hui Jean nous convie à redescendre un peu jusqu'à un petit belvédère d'où la vue sur Salernes et son château est très jolie. (Une découverte sur Internet).
Nous repartons est/sud-est sur la grande piste, en faux plat montant et descendant en alternance et sur ce chemin facile, les langues vont bon train.
Puis nous changeons brutalement de direction pour rejoindre Sillans. Nous empruntons un morceau de piste où Camille avait eu bien du souci avec les "petites jambes"
en 2008 du fait de la végétation. Mais le sentier est maintenant mieux dégagé et c'est sans problème que nous atteignons le petit promontoire
où nous avons une jolie vue sur la cascade.
Aujourd'hui, elle s'est dédoublée, suite aux fortes pluies du mois de
novembre, plus impressionnante que d'habitude. Rappelons qu'à cet endroit elle tombe de 44m. c'est la plus haute cascade du Var.
Il est 12 h 30 et Jean va nous trouver un superbe coin pique-nique, au soleil, à l'abri du vent, sous la falaise : chapeau
!
Bien installés et bien approvisionnés en divers breuvages rosés et rouges, nous nous réchauffons au soleil. La sieste va être super.
Mais il faut repartir car de la Bresque, jusque là, nous n'avons guère profité. Alors que 3 dames accompagnent Jacky sur le
parcours du haut, Jean, avec le reste du groupe descend au bord de la rivière. Quelle couleur !
Mais plus question d'accéder au plan d'eau sous la chute. Un fort grillage barre le chemin et plusieurs panneaux précisent l'interdiction," Risque de chutes de pierres". Jean met en garde les randonneurs. "Si vous franchissez ce grillage, c'est sous votre propre responsabilité". Car, nous sommes en France… et le grillage a déjà été contourné à tel point qu'un sentier s'est formé au delà du poteau le plus extrême.
Maintenant, le groupe s'engage sur la rive. Au début, tout se passe bien. Puis la rive devient souvent dégradée : glissement de terrain, arbres en travers, etc… Un peu l'enfer ! Certains parleront même de forêt vierge. Mais ça pourrait être pire si on se réfère au compte rendu de la rando de 2007 :
"Compte tenu des montées, des descentes, de la végétation dense et surtout du sol argileux et détrempé, ce fut un véritable parcours du combattant avec une succession de cris, de jurons, de glissades incontrôlées, de chutes (sans gravité heureusement). Daniel macula entièrement son magnifique pantalon de boue collante alors que Daniella, accrochée à une liane avec beaucoup d'autorité, se mit à pivoter et disparut, tête en avant dans un fourré où elle eu du mal à s'extirper. Plus de peur que de mal.
Nicole et Chantal s'en sortirent mieux, aidées par les bras vigoureux de Camille et Daniel. Quant à Jean, dérapant dans une descente il alla s'égratigner l'oreille sur un épineux mal intentionné. Petite hémorragie sans gravité."
Aujourd'hui, le sol n'est pas trop glissant mais le relief est devenu très compliqué et certains passages sont un peu difficiles. Heureusement les bras vigoureux de Jean et de Camille en ont aidé plus d'un à se sortir d'un mauvais
pas. La salsepareille en liane, en particulier en travers du chemin,
c'est redoutable, d'où l'allusion à la forêt vierge.
Mais le paysage est extraordinaire, cette rivière turquoise, coupée de rapides et de cascades secondaires nous fait oublier tous
les aléas de ce cheminement… acrobatique.
Revenus sur un terrain plus facile, l'examen des pantalons n'est pas trop catastrophique, à quelques exceptions près.
Pas de bobos, un malheureux coup de bâton sans conséquence et c'est tout.
Nous retrouvons les "Petites Jambes" au rendez-vous prévu. Il ne reste plus que 4 petits kilomètres à parcourir jusqu'au village
sur un bon chemin, pratiquement plat. En arrivant au village, nous avons le plaisir de découvrir un joli plan d'eau et un superbe pont romain.
Voitures, chaussures de ville et le traditionnel Café des Négociants sur la belle place de Sillans. Heureuse fin de randonnée!
Merci Jean, c'était super et la rivière toujours aussi belle.
Merci aux photographes Claude, Jean et Jean-Marie.
Quelques photos en bonus.
Sillans vu du belvédère
La chapelle de la Croix Solliès en cours de restauration
Coup de zoom sur le village
Randonneurs
Nicole en tête: a t'elle rejoint le groupe des gazelles ?
Les randonneurs boivent...qui va trinquer ?
Randonneuse en pleine activité...de digestion
Non, nous n'avions pas oublié les joueurs de cartes
Le fameux plan d'eau
De cette passerelle, il ne reste que la moitié. Brrr !!! ça fait peur. Des plaisantins ont complèté le travail incomparable de la nature
La semaine prochaine :
Jeudi 22 Décembre à 8 H 00
CHATEAUDOUBLE ( 83 ) . Le chateau de La Garde.
Les nombreux affaissements de terrain, les sentiers par endroits entièrement disparus et les passerelles emportées par la crue de La Nartuby, rendent le parcours initialement programmé, dangereux et complètement impossible .
Par conséquent, nous avons décidé, Joël et moi, de vous proposer un parcours différent, sans aucune difficulté, qui évitera le secteur concerné par les inondations .
En voici les caractéristiques :
Longueur : 9 Km 400
Dénivelée : 469 m
Niveau : Moyen modérato
Village médiéval, châteaux, tour sarrasine, chapelles seront les fils conducteurs de ce circuit .
Repas et boisson tirés du sac .
Animateur : Joël – 04.89.99.01.07 - 06.23.07.11.99
Itinéraire d’accès :
Emprunter l’autoroute A 8 direction Aix . Quitter l’autoroute à la sortie N° 36 ( le Muy ) . Suivre la D 1555 direction Draguignan .
A 3 Kms 500 tourner à droite D 54 direction Gorges du Verdon .
Passer Figanières . Au croisement avec la D 955, tourner à gauche et immédiatement à droite .
Atteindre CHATEAUDOUBLE et stationner les véhicules sur la place à l’entrée du village .
Coût du trajet A R : 100 Kms x 0 € 20 = 20 € 00 + 4 €00 = 24 Euros Joël Lefeuvre : 06.23.07.11.99
LA MONTAGNE DE THIEY-08 Décembre 2011
LA MONTAGNE DE THIEY
Aujourd'hui, Camille nous propose l'ascension de la montagne de Thiey au dessus du village de Saint Vallier de Thiey situé sur la route Napoléon .
Jean ajoute qu'ils ont décidé d'ajouter une variante pour les petites jambes qui n'ira pas jusqu'au sommet. Les deux groupes se retrouveront pour le pique
nique.
Puis il explique qu'il pourrait encore proposer une variante, mais cela deviendrait du sur mesure...
Une fois tout le groupe prêt, nous partons à 30 ,qui est le bon décompte final après plusieurs additions au cours de la journée.
Nous sommes partis avec le mistral encore actif à Saint Raphaël et le temps est magnifique, avec du soleil et un ciel très dégagé, mais il fait encore frisquet.
Nous traversons les vestiges de cultures en étages avec des murets en pierre très bien conservés.
Très vite une première pause effeuillage s'impose avec l'arrivée rapide du soleil.
Jean en profite pour nous présenter la sortie de fin d'année à Saint Martin Vesubie du mardi 26 au vendredi 29 Juin. Ceux qui le veulent
pourront participer à la sortie du lundi. Les inscriptions seront à fournir avec l'acompte pour le 29 février 20012. L'augmentation de tarif de demi pension n'est que de 50 centimes à 65€ 50
contre 65 € l'a dernier.
Nous nous séparons ensuite en deux groupes:
les petites jambes
et vous l'avez deviné, les grandes jambes.
Nous montons tous sur le flanc de la montagne par un sentier en lacets très bien tracés.
Il est déjà 10 heures et c'est la pause banane au milieu de plants de thym, qui apprécient ces terrains calcaires contrairement à ceux acides de l'Estérel.
Nous commençons à apercevoir la baie de Cannes, dans la brume.
Nous repartons et notre sentier se croise avec une piste. Certains randonneurs en tête ( toujours les mêmes femmes, menées par Annie ) ne prennent pas la bonne voie. Camille se fait un plaisir de leur faire faire demi tour: « vous deviez m'attendre au croisement ». Quelques dizaines de mètres plus loin il s'aperçoit que c'est lui qui avait pris la mauvaise voie et tout le groupe doit rebrousser chemin:" cris de victoire du groupe de tête!!!".
Dans les derniers lacets, où Camille improvise deux pas de danse...
, encore une dernière petite grimpette pour atteindre le sommet à 1550 mètres
Nous découvrons une vue magnifique à 360°. Pas de brume au nord, les sommets sont très bien dégagés et par contre de la brume sur la côte et des nuages au dessus de la mer avec la chaîne du Mercantour enneigée, mais pas encore beaucoup à environ 1800 mètres d'après Jean-Marie. Et plus près le plateau de Caussol avec son observatoire, le mont Lachans, l'Audibergue et au sud la mer depuis le cap Camarat jusqu'à la baie de Cannes.
Nous rencontrons un petit groupe de randonneurs qui atteint le sommet en même temps que nous par un autre versant.
Petite pause pour admirer le panorama et profiter du soleil sans vent, curieusement au sommet. Mais il ne faut pas faire attendre les petites jambes affamées.
Une surprise attend les grandes jambes.
Les petites jambes ont pris le temps de dresser une table à même le sol et de disposer une nappe.
C'est le grand animateur Jean qui offre l'apéro pour son anniversaire. Comme les femmes, il n'osera avouer son âge et dira fêter ses 61 ans... C'est vrai qu'il trotte encore comme un jeune cabri.
Nous trinquons à sa santé et quelques uns tentent d'entonner le joyeux anniversaire qui s'avère bien timide: les randonneurs sont plus habiles du mollet que des cordes vocales...
Ensuite un pique nique bien mérité sur une belle pelouse face aux pentes du mont Lachans. Agrémenté de vin rouge, de rosé, de gingembre et de chocolat offerts à tous.
Ensuite la sieste,
puis le départ par un long sentier à flanc de montagne parmi les pierres où il faut faire attention... ce qui n'empêche pas une chute, cette fois sans gravité pour Yvette.
Nous passons près d'un splendide chêne
Lors du pot nous prenons place sous une arbre qui a vu Napoléon passer. Jean refait la même photo du muret sous le mur de l'église.
Merci à notre animateur Camille, pour cette très belle journée, et à Jean pour les petites jambes ainsi qu'aux photographes, Claude, Gérard, Jean-Marie .
du rab avec des photos de couples, et celui de nos célèbres serres files
et un randonneur qui songe qu'il aimerait bien être en couple...
randonneuses
et pour terminer le chef fier de montrer sa rose .
Prochaine randonnée:
Jeudi 15 Décembre à 8 H 00 : SALERNES - SILLANS LA CASCADE ( 83 ) . La Vallée de La Bresque
Au départ de Salernes, cette randonnée nous conduira sur les rives de la Bresque, à la découverte de la cascade .
L : 15 Km 500 . Dh : 480 m . D :4 H 00 – Niveau : Moyen Médio – Repas et boisson tirés du sac .
Animateur : Jean Borel – 04.94.95.87.73 – 06.68.98.13.62 Boulouris N°677
Itinéraire d’accès :
Emprunter l’autoroute A 8 direction AIX . Sortir Au Muy ( sortie N°36 ) et suivre Draguignan D 555 .
Après le garage Renault ( au rond-point des Danseurs ) suivre la direction SALERNES par D 557 .
A l’entrée de SALERNES, aux deux premiers ronds-points , suivre SALERNES CENTRE .
Au 3 ème rond-point, après la Gendarmerie, suivre la voie marquée « Ancienne Voie Ferrée de Provence «
Parcourir 100 mètres et stationner sur la droite dans le PARKING Place Jean Moulin à SALERNES .
Coût du trajet A R : 110 Kms x 0 € 20 = 22 € 00 + 4 € 00 = 26 Euros Jean Borel : 06.68.98.13.62
La Bastide- 1er décembre 2011
La BASTIDE
Aujourd'hui, c'est
Rando-Resto.
Le 9 juin de cette année, lorsque nous avions gravi les pentes du mont LACHENS (prononcez LACHANS), Jean qui accompagnait les "petites jambes" avait disposé de beaucoup de temps pour prendre un pot avec son groupe au « Coq en Pâte », à la Roque Esclapon, en attendant le retour du 1er groupe. Comme il sait si bien le faire, il en avait profité pour négocier un éventuel menu. Ensuite, il ne restait plus qu'à construire, autour de ce repas, un belle rando. C'est ce qui conduit aujourd'hui 28 marcheuses et marcheurs sur la place de l'église de la Bastide.
Après une petite montée, près d'une sorte de calvaire, il
nous regroupe autour de lui. " C'est ici que nous avions pique-niqué le 20 octobre 2011en venant de Bargème.
La rando d'aujourd'hui a été composée avec des parties de cette rando et de celle de Juin au mont LACHENS.
Nous allons monter sur les flancs du dit mont qui est je vous le rappelle le "toit" du Var avec ses 1685 m puis nous redescendrons sur la Roque Esclapon où nous prendrons
notre repas. L'"infirmerie"est actuellement bien pleine, je vais donc vous donner des nouvelles de Denise, Jacqueline, Nicole, Ginou, Bertrand, Mikaël, Albert."
Comme vous avez pu le remarquer, nos serre-files habituels, Daniel et Jacky sont absents. Ils ne sont pas à l'infirmerie mais épuisés, hier, par une reconnaissance diabolique. Mais vous les verrez quand même au restaurant …
Xavier qui est présent nous annonce qu'il va devoir arrêter de marcher provisoirement car il souffre d'une tendinite au talon.
A la suite de cet exposé, Claude fera remarquer : " En entendant ceci, on se sent vraiment en forme !"
Et voilà, c'est parti sur de larges pistes en bon état. Jean nous
avait prévenus, il y a 375 m à monter sur quatre kilomètres et nous les attaquons bravement. La cadence est soutenue, Chantal, comme d'habitude en tête.
Jean sera obligé de la freiner, faute de quoi nous risquons d'arriver trop tôt au restaurant et d'éplucher les pommes de terre du gratin dauphinois…D'ailleurs, 9 à 10 m de dénivelée à la minute,
c'est trop.
A mi-pente Jean arrête le groupe pour la "pause banane" près d'un abreuvoir en cascade permettant de désaltérer un gros troupeau.
Le temps est toujours gris mais de temps en temps un
rayon de soleil éclaire la vallée.
Les graminées poussant au bord du chemin, admirées en Juin sont toujours aussi belles mais elles ont changé de
couleur. Hélas plus de magnifiques buissons d'églantines faisant, au printemps, le charme de cette montée.
Nous avons repris la montée, toujours à même cadence…et alors que nous surplombons l'aire d'atterrissage des parapentes, Daniel et Camille s'arrêtent désignant du doigt le fond du vallon en contrebas. Un gros sanglier semble-t'il !
Il était effectivement très gros puisque c'était une vache… Vite chez l'ophtalmo, Messieurs.
A 10 h 45 nous atteignons un petit replat où les petites jambes
avaient pique-niqué en Juin. Altitude 1370 m, le Lachens est juste au-dessus de nous avec ses immenses antennes si caractéristiques.
Jean propose ironiquement à ceux qui le souhaitent de parcourir les
300 m de dénivelée restant pour atteindre le sommet. Comme ceci risquerait de les priver de repas, tous se résignent à se contenter de la photo de groupe avant d'aborder la descente dans la forêt.
Toujours de larges pistes et même dans un bois de petits pins, une
piste herbeuse qui nous change des sentiers de l'Esterel. Quelques flaques nous rappellent que le Nord et l'Ouest de la France manquent d'eau, le paradoxe.
Lorsque nous atteignons l'aire d'atterrissage des parapentes, Jean nous fait remarquer une zone de 30 m de côté environ, entourée d'un grillage tout neuf. Elle n'existait pas lors de notre dernier passage.
"Ceci est un périmètre de protection pour un captage de
source, nous apprend-t'il, protection contre les pollutions humaines et
animales". En
grand professionnel, il nous fait remarquer que le grillage à été implanté au delà de la zone de bornage. Ah! Ces spécialistes, impitoyables !
"On ne peut même plus pi..uriner contre le grillage", remarque André.
Et c'est là aussi que nous allons retrouver les fameuses
vaches-sangliers ou sangliers-vaches, comme vous voulez.
Lorsque nous rejoignons la route, une brave dame en voiture nous demande si nous n'avons pas vu ses deux labradors blancs. Hélas pour elle, mis à part les vaches-sangliers, nous n'avons pas rencontré d'autre animal. Néanmoins, nous prenons son n° de téléphone au cas où.
Encore une demi-heure pour atteindre le village. Mais une autre rencontre animale va nous arrêter pendant quelques minutes. Deux magnifiques juments de trait, à la crinière blonde de surcroit, viennent nous
saluer au passage.
Qu'elles sont belles ! Mais il s'avèrera qu'elles n'aiment pas le
chocolat …au désespoir d'Yvette et de Martine.
Encore une rencontre equestre en arrivant au coeur du
village.
Nous voici devant le "Coq en pâte", il est 12 h 30, nous sommes dans les temps. Les serre-files et l'ambulance de Grand Pierre sont déjà là. Un sympathique menu avec les produits du pays nous attend :
Croustillant de Chèvre au miel et aux noix .
Pièce d’agneau de pays .
Gratin dauphinois
Dessert maison – Vin et café
Si le chèvre fut trouvé "costaud" par certains, le "rab" de gratin et de dessert fut particulièrement apprécié à la table des
serre-files. Il faut dire qu'après leurs efforts de la veille…
Toutes les bonnes choses ayant une fin, il faut reprendre la route, le ventre plein, mais avec seulement 1,7 km à parcourir.
Un gros nuage noir coiffe le mont LACHENS et une dizaine de
vautours profitent des ascendances. Nous somme rarement venus ici sans voir ces gros oiseaux. Pas facile de les photographier.
Jean prétendra qu'ils sont là pour les randonneurs attardés…
Encore des chevaux, très beaux eux aussi, mais d'un noir de jais.
Décidément, c'est la journée du cheval !
Voilà, c'est fini, changement de chaussures et adieux déchirants jusqu'à…la semaine prochaine où nous découvrirons la montagne de Thiey.
Merci Jean pour cette bonne journée. Une fois de plus tu as fait le bon choix pour le restaurant.
Merci aux photographes Claude et Jean-Marie.
Quelques photos en bonus :
A quoi correspond cette zone défrichée : coupe-feu
ou passage d'un future ligne haute tension?
La descenteRandonneuses
Super la "pause banane"
Le mont LACHENS sous le soleil
Zone d'atterissage des parapentes
La Roque-Eslapon
Les retardataires : attention aux vautours !
La belle et la bête.
La semaine prochaine, Jeudi 08 Décembre à 7 H 30 : SAINT-VALLIER de THIEY ( 06 ) . La Montagne de THIEY
Longue montée en lacets jusqu’au vaste sommet désertique (1553 m) offrant un très beau point de vue sur 400 G.
L : 14 Km 000 . Dh : 700 m . D : 5 H 00 – Niveau : Sportif – Repas et boisson tirés du sac .
Animateur : Camille Cloutour– 06.81.79.89.39
Un 2 ème circuit " Petites jambes " en supprimant l'ascension finale à la Montagne de Thiey sera proposé..
Longueur : 9 Kms 157-Dénivelée : 461 m -Durée : 5 H 00-Niveau : Moyen Médio
Animateur : Jean Borel
Itinéraire d’accès :
Prendre l’autoroute A 8 en direction de Nice . Quitter à la sortie N° 39 (les Adrets).Emprunter la D 37 via le Lac de Saint-Cassien et Montauroux . Au carrefour avec la D 562, tourner à droite en direction de Grasse .
A Val de Tignet, prendre à gauche la D 11 via Saint-Cézaire
A Spéracédes, tourner à droite et par la D 513 gagner Cabris .
Suivre la D 4 sur la gauche via Saint-Vallier de Thiey et emprunter la RN 85 ( Route Napoléon ) dir. Castellane .
Passer le « Pas de la Faye « et descendre sur 2 Kms 500 pour se garer au niveau du Pont du Vallon de NANS .
Utiliser le PARKING à droite, en contrebas, au départ de la piste forestière ( Balise N° 65 ) .
Coût du trajet A R : 119 Kms x 0 € 20 = 23 € 80 + 5 € 20 = 29 Euros