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2019 -12 - 19 - 639 - MALPASSET - AIRE DE L'ESTEREL - G1

21 Décembre 2019 , Rédigé par Dominique

2019 - 12 - 19 - 639 - MALPASSET - AIRE DE L'ESTEREL - G1

Nous sommes 13 dont 5 femmes à nous retrouver sur le parking de Malpasset pour la dernière randonnée de l’année. 

 

Parmi nous une nouvelle, Ana, 

 

et Nicolas, géologue invité par son père Eric.

 

Joël nous présente la randonnée, nous remercie de notre présence car la météo était incertaine et remet un exemplaire du parcours à Bernard notre serre-file qui sera secondé par Denis.  Il est 08h45 quand le groupe se met en marche.

 

Bien que Joël nous ait signalé que la force de l’eau avait emporté le gué lors des pluies diluviennes de la fin novembre, c’est impressionnant à voir.

Nous en profitons pour prendre la première photo de groupe

 

puis longeons les vestiges de l’aqueduc romain 

et entamons une petite montée.  Une pluie fine commence à tomber mais il fait doux.

 Nous avançons sur une belle piste bordée d'une végétation verdoyante et

fréquentée aussi par des animaux comme le prouve la corne de chevreuil ramassée par Thierry! 

Nous entamons une montée raide mais nos efforts sont récompensés par la beauté d’un buisson d’herbe de pampas. 

Après l’avoir admiré et photographié, nous attaquons la seconde montée.  La pluie se fait plus dense mais nous persévérons.  

Qu'a donc ramassé Nicolas?

Bref arrêt pour observer sa découverte: un reste de végétaux fossilisés. 

La prochaine surprise sera ce pic-vert en zinc perché sur un poteau électrique et qui fait parler bien des randonneurs!

 

Pas de vrais oiseaux et pas d'abeilles non plus!

 

On voit que l'hiver approche!

 

Peu de temps après Joël nous fait remarquer le majestueux Rocher de Roquebrune qui se dresse à l’horizon. 

 

 

C’est l’heure de la pause-banane que nous prenons rapidement. On n'est pas là pour faire du tourisme!

 

Une montée raide et glissante nous attend. 

 

Un rayon de soleil apparaît ce qui donne un bel arc-en-ciel.

Un plaisantain en tête de groupe nous annonce qu’on a marché vite car nous voici déjà aux voitures! Mais quelles voitures ...

Nous poursuivons donc notre chemin et entrons sur la piste Marras baignée par le soleil et bordée de pins.  Fini le vrombissement des voitures sur l’autoroute, nous sommes en pleine nature.

Il est 12h30 et Joël nous propose de pique-niquer face au Mont Vinaigre. 

Le départ est donné à 13h15.  Nous avançons sur une belle piste et apercevons le Lac d'Avellan vers lequel nous nous dirigeons. Une descente nous mène sur les berges du lac  

où nous faisons une nouvelle photo de groupe.

 

On le quitte pour entamer la magnifique traversée des Gorges du Vallon de l’Avellan. 

Parcours plutôt sportif

 

ponctué des explications de Nicolas qui nous renseigne sur la nature des roches : Gneiss et micro-granites. 

 

Changement de décor.  Nicolas explique qu’il y avait une mine à proximité, mine de Boson, d’où la couleur ocre du terrain et de la roche. 

Il remet à Babette un morceau de fluorine – minerai de fluor particulièrement utilisé dans l’industrie de l’acier 

et nous donne quelques explications sur ces ruines.

Restes d'exploitation de la mine

 

Une fois sortis des gorges, nous nous retrouvons sur une piste plate qui nous ramènera au gué éclaté à proximité des rochers du barrage de Malpasset qui s’est effondré voici 60 ans.

 

 

Et nous voici de retour sur le parking.

 

Nous avons parcouru 20,2 kms pour une dénivelée de 545 m.

C’est au pub Public House de Puget-sur-Argens que nous prenons le pot de l’amitié.

Un grand merci à Joël pour cette belle marche hivernale qui nous a fait découvrir un coin moins connu de l’Estérel, à Nicolas pour ses explications et aux photographes Brigitte, Thierry et Dominique.

Nous souhaitons de joyeuses fêtes de fin d'année à tous les randonneurs et à nos fidèles lecteurs! 

Prochaine randonnée commune aux G1 et G2 :

 

 

 
 

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Ecureuil-Petite Vache-853-9 janvier 2020-G2

20 Décembre 2019 , Rédigé par Jean-Marie

Ecureuil-Petite Vache-853-G2
 

Deuxième rando de l'année 2020. C'est la grosse reprise avec 31 marcheurs.
Jean Ma, l'animateur du jour nous présente, avec son humour habituel, cette rando de 12.4 km et 225 m de dénivelée donc facile et sans problème sur de belle piste. Dimanche dernier il a vérifié les deux gués qui ne présenteront aucun problème.

 

La météo est super, grand ciel bleu mais température très fraîche.
 

Nous voilà partis sur la piste qui surplombe le ravin du Grenouillet et là notre animateur est parti d'un bon pas oubliant peut-être qu'il conduit un G2.

Mais il s'arrêtera au premier gué  pour que nous puissions constater les dégâts causés par les pluies de  Novembre qui ont emporté une partie de l'enrochement mais rien à voir avec le gué du barrage de Malpasset (voir le blog du 19/12/2019) complètement détruit lors du même épisode pluvieux.
Mais le gué est sec actuellement, l'eau passant en dessous.

 

Nous nous engageons maintenant dans le ravin du Malinfernet qui abrite le lit de la rivière d'Agay.
 Ce petit fleuve de 11 km de longueur prend sa source dans le Massif de l'Esterel, au nord de Théoule-sur-Mer, à la limite des Adrets-de-l'Estérel, passe sous le Rastel d'Agay, le belvédère (287 m) dominant la mer, et se jette dans la mer Méditerranée, dans la rade d'Agay, sur le territoire de Saint-Raphaël1.
Il alimentait deux lacs du massif de l'Esterel, le lac de l'Ecureuil et le lac du Grenouillet, avant que l'ONF (Office National des Forêts) ne décide en 2009 de détruire la digue qui formait le lac de l'Ecureuil, en invoquant des problèmes de sécurité. Il était situé en amont du lac du Grenouillet.

Cf Wikipédia.

 

Ce ravin très fermé est glacial à cette saison car il est très à l'ombre et il faut sérieusement retoucher les photos pour éviter les tons verdâtres mais qu'il est beau ce site. 
 

Le dimanche, à la belle saison et avant la disparition du lac de l'Ecureuil c'était  le lieu de promenade des Raphaélois.
 

Lorsque le soleil éclaire les sommets  c'est un régal avec la rivière qui cascade à notre gauche.
 

Quelques rochers (et un photographe) facétieux permettent des photos amusantes. 
 

Nous voici face au second gué où coule un filet d'eau.

C'est de l'autre côté que  Jean Ma va nous arrêter pour la "pause banane", au soleil car maintenant nous sommes sortis du ravin.
 

En repartant nous pouvons admirer l'ancien déversoir du lac  qui était recouvert par une superbe cascade lorsque le lac débordait.

Et ça méritait bien d'aller fouiller dans les archives d'Avril 1999 pour retrouver le même paysage avec de l'eau.

Mais à cet endroit le chemin a été ravagé par la rivière qui est sortie de son lit.
 

Donc, c'est bien clair, il n'y a plus de lac et la végétation a envahit le fond du réservoir. Même une petite forêt s'y est installée.
Nous quittons l'ex-lac en direction d'un autre petit lac qui ne porte aucun nom mais qui est fameux pour ses reflets.

Mais avant de l'atteindre nous ferons la photo de groupe.

  Poursuivant notre progression, nous découvrons maintenant le massif des Suvières.

 Et enfin nous arrivons au lac. En 1999, avec Yvette nous l'avions découvert un dimanche matin dans les mêmes conditions qu'aujourd'hui, 11 h, Janvier, grand soleil et absence de vent et ce fut le même émerveillement. Les roseaux, les buissons des berges et les rochers, jusqu'au sommet des Suvières se reflètent en plan successifs donnant une impression de relief extraordinaire.
 

Dommage, une grande partie du groupe est passée sans s'y arrêter. En rando, le plaisir de la marche n'empêche pas de profiter du paysage, au contraire.
En remontant nous arrivons a la Baisse de la Grosse Vache. Quel soleil et quel point de vue, jusqu'à la mer, nous fait remarquer Jean Ma !

 

La Grosse vache et les Suvières.

Aujourd'hui nous allons poursuivre sur la grande piste du Baladou en délaissant le GR qui coupe les boucles de la grande piste.
Jean  nous arrête au col du Baladou pour le pique-nique au soleil.

Les spécialistes de la sieste se sont écartés du reste de la troupe  bien regroupé sur les rochers…et l'unique banc de ce grand carrefour.
 

Après les agapes habituelles nous reprenons la  grande piste pour rejoindre le col du Mistral.
 

Très belle vue sur le Perthus Oriental.
 

Au col du Mistral nous quittons la route et les larges pistes pour revenir en

pleine nature alors que les Asphodèles montrent leur verdure. C'est bon signe, la saison avance.
 

Maintenant nous avons une belle vue sur les deux Perthus et une petite discussion s'engage sur leurs  appellations respectives. Sans avoir à sortir la boussole, la polémique prit fin très vite.
Voilà, nous retrouvons la route et les voitures. Le Pot de l'amitié fut pris au Dramont.

 

Merci Jean pour cette rando sympa dans ce cadre merveilleux qu'est l'Esterel.
Merci aux photographes, Claudette, Jacques, Jean-Marie et Thierry.

La semaine prochaine,


 

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Les Grues par les Collets Redon-G2-20/12/2019

20 Décembre 2019 , Rédigé par Jean-Marie

Les Grues par Les Collets Redon-812-3-G2

Pas de blogueur pour cette dernière randonnée de l'année en G2. Heureusement dans ces cas-là il y a toujours des bénévoles pour palier cette carence. Aujourd'hui c'est Anne-Marie pour le texte et Jean Be pour les photos qui ont été mis à contribution. Merci beaucoup à tous les deux.

« La pluie du matin n’arrête pas le pèlerin », dit le proverbe. Nous étions 15 pèlerins à 9 heures du matin au col Notre-Dame, Patrice compris, et nous écoutions Patrice qui présentait la randonnée. Si les conditions météo se dégradent, il sera possible de réduire le circuit. Sinon, nous passerons 5 cols (Notre Dame, le Trayas, la Cadière, les Trois Termes, les Replats), nous ferons un peu plus de 13 kilomètres et un peu plus de 400 m de dénivelée. Une descente caillouteuse requerra toute notre attention.

Nous accueillons un nouveau randonneur, Guy.

Anne-Marie est serre-file.

Nous prenons le GR 653A, en direction du col du Trayas.

Les Grues à notre gauche, la mer à notre droite.

Peu après notre départ, nous voyons un petit oratoire nouvellement édifié. Les pèlerins que nous sommes s’y recueillent.

Nous poursuivons notre route, regrettant un peu que le soleil ne vienne pas illuminer les rochers et la mer.

Arrivés au col du Trayas, la pluie se fait sentir et nous sortons les capes

pour continuer notre chemin sur le GR51 vers le col de la Cadière. A l’abri sous les arbres, la pluie se fait moins sentir. Le mont Saint-Martin est bien ennuagé.

Pause banane au col de la Cadière. Il ne pleut plus.

Nous empruntons ensuite la piste des Œufs de Bouc et c'est le moment de faire la photo de groupe.

Puis nous parvenons au col des Trois Termes.

Nous y faisons une petite halte pour contempler la carte toute neuve, Patrice nous explique le chemin restant à faire, et nous montrer le coin repas au col des Replats.

Nous empruntons la route goudronnée, admirons au passage la vue sur les Suvières et le Marsaou, et la maison des Trois Termes blottie au creux des rochers.

Nous quittons la route après environ 1,5 km, et prenons un sentier à droite avec un panneau qui nous indique « Lac de l’Ecureuil ». 300 mètres après, nous parvenons au col des Replats pour le déjeuner et, enfin, le soleil se dévoile et vient nous réchauffer ! Avec un arc en ciel en prime !

Nous repartons après déjeuner.

Patrice nous avait prévenus : un sentier difficile nous attend jusqu’à la rivière. De fait, de nombreuses crevasses et des pierres font obstacle à notre marche.

Nous parvenons à la rivière et traversons le gué sans difficulté.

Restent ensuite 3 kilomètres de montée continue par le GR51. La montée n’est pas difficile, la pente est régulière, mais les troupes sont fatiguées, et Michel souffre de sa jambe.

Le retour se fait donc à petite allure, autant de haltes que nécessaire, pour

se désaltérer et se détendre, et nous parvenons enfin au col Notre-Dame vers 15 h.

Sur le chemin du retour, nous faisons une pause bien méritée au café du Soleil, au Dramont.

Merci, Patrice, pour cette magnifique randonnée !

  Merci à Jean Be, notre photographe, pour avoir assuré infatigablement le reportage tout au long de notre trajet !

Bonnes fêtes de fin d'année à tous les randonneurs et à tous nos fidèles lecteurs. A l'année prochaine

Prochaine randonnée le jeudi 2 Janvier 

 

 

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2019-12-12 - N°684 - Mont Vinaigre depuis le Testanier - G1

13 Décembre 2019 , Rédigé par Gilbert

2019-12-12 - N°684 - Mont Vinaigre depuis le Testanier - G1

 

Ce matin, Louis nous a donné rendez-vous sur le parking du col du Testanier pour une randonnée inédite, même si beaucoup d'entre nous ont déjà empruntés une ou plusieurs parties de ce circuit. 13 randonneurs et randonneuses sont présents malgré un mistral assez soutenu. Aussi bonnets et gants sont de sortie pour la première fois de la saison.

 

 

Louis nous présente rapidement cette randonnée:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"Parcours varié avec, pour commencer l’ascension du mont Vinaigre depuis le col du Testanier. Du sommet, vue à 360 ° sur toute la région. Ensuite nous descendons vers la maison forestière de la duchesse, puis poursuivons sur une piste jusqu’au col du logis de Paris près des Adrets-de-L’Estérel. Après traversée de la DN7, nous empruntons un chemin vallonné passant par le Pey Servier puis descendons jusqu’au lac de l’Avellan. Nous remontons ensuite tranquillement jusqu’au parking par un petit sentier."

Nous partons pour une marche de 15,8 km avec un dénivelé de 630 m.

 

 

Après avoir quitté le col du Testanier, nous traversons une parcelle peuplée d'eucalyptus en pleine mue. Au pied de chaque arbre,  un amoncellement d'écorce jonche le sol.

 

 

Bien que l'eucalyptus (ou gommier), arbre de la famille des Myrtacées, soit originaire d'Australie et de Tasmanie et qu'on l'associe volontiers aux climats chauds, certaines de ses espèces s'avèrent très rustiques et peuvent sans problème s'adapter à nos latitudes. Les dimensions de l'arbre varient selon les espèces (de quelques mètres de hauteur à plus de 100m dans leur milieu d'origine) .

Les feuilles de l'eucalyptus sont persistantes, effilées, gracieuses et odorantes quand on les froisse, et elles arborent des tons de gris bleuté. Quant à l'écorce beige, brune ou rouge, elle se renouvelle chaque année et desquame en créant de jolis contrastes de couleurs. Enfin, la floraison estivale, blanche ou rouge, produit des fleurs légères semblables à de petits pompons.

 

Le soleil aidant, l'impression de froid s'estompe et nous avançons d'un bon pas.

 

 

 

 

A l'ouest, nous repérons la vallée de l'Argens et le rocher de Roquebrune.

 

 

 

Une, deux, une, deux ... la troupe suit son chef.

 

 

On ne les présentes plus : nos deux serre file du jour, Dominique et Elisabeth.

 

 

Une petite pose pour profiter du paysage.

 

Au nord-est, les cimes du Mercantour sont bien enneigées.

 

 

Après une ascension sans difficulté, nous arrivons au sommet du Mont Vinaigre. La photo de groupe est faite rapidement, car la haut le vent est glacial.

 

 

Le mont Vinaigre est le point culminant du massif de l'Estérel. Il culmine à 614 m d'altitude. Il se trouve sur la commune de Fréjus. Il dispose d'un héliport sous son sommet.

Le mont Vinaigre était le repaire de brigands : Gaspard de Besse (1757-1781), qui détroussait les voyageurs et agents du fisc au XVIIIe siècle, s'y abritait. Son histoire inspira Jean Aicard pour son roman Maurin des Maures. C'était aussi le refuge des forçats évadés du bagne de Toulon.

 

Nous entamons notre descente en direction de la maison forestière de la Duchesse.

 

 

Magnifique point de vue sur la forêt qui nous entoure.

 

 

La forêt domaniale de l'Estérel s'étend au nord-est de Saint-Raphaël et de Fréjus, du mont Vinaigre, son point culminant (614 m) jusqu'au rivage méditerranéen. Ce vaste massif au relief escarpé offre des paysages somptueux marqués par le contraste entre les roches rouges provenant de son lointain passé volcanique, les peuplements de pins maritimes et de chênes-lièges, et l'horizon lumineux de la Méditerranée. C'est un site classé au titre de la loi sur les paysages de 1930.

 

Nous découvrons maintenant la maison forestière de la Duchesse qui est, semble t'il, en cours de rénovation.

 

A coup sûr, la Duchesse est bien gardée!!!

 

L'essentiel à retenir:

 

A l'arrière du bâtiment, il y a encore du travail  de remise en état à prévoir.

 

 

 

 

 

On a même retrouvé une empreinte de dinosaure.

 

 

 

Nous profitons de cette halte pour faire la pause "banane".

 

 

En direction du col du Logis de Paris, la descente se fait à vive allure.

 

 

 

 

 

Peu après la traversée de la DN7, nous posons sacs et bâtons pour reprendre des forces.

 

 

 

Le pique-nique à peine terminé, nous reprenons aussitôt la route en direction du lac de l'Avellan.

 

 

 

Très certainement à cause des dernières pluies, celui-ci est bien plein.

 

 

Encouragée par tous les randonneurs présents, Dominique fera un sans faute dans la traversée de ce gué.

 

 

Enfin, dernière difficulté de la journée, il faut grimper une très longue piste qui nous ramène aux voitures.

 

 

Nous devons revenir sur Boulouris, pour trouver un bar pouvant nous accueillir. C'est ici que terminons cette belle journée.

 

 

 

Merci à Louis pour cette belle randonnée inédite et pour ce grand bol d'air.

Les photos sont de Dominique et Gilbert.

 

La semaine prochaine pour votre dernière randonnée G1 de l'année 2019:

Départ : 8H

JOEL

639-Malpasset-Aire de l Esterel

MOYEN xxx 19,2 km Dh : 694 m

Belle et longue randonnée d'hiver à la découverte des vallons de Font Freye et des Maravals pour aboutir au Logis de Paris et revenir à Malpasset par les Gorges de l'Avellan.

Parking : sur la D37, passez le gué puis sous l'autoroute et se garer au parking à gauche Cout du trajet A/R : 9 €

 

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2019/12/12 - Le Thoronet - La Vigie des Ubacs n°929

13 Décembre 2019 , Rédigé par Rolande

Le Thoronet : La Vigie des Ubacs n° 929 – jeudi 12 décembre 2019

Privés de randonnée la semaine dernière suite aux fortes précipitations et inondations du week-end les G2, malgré la fraîcheur de 5 degrés et un peu de vent, sont contents de se retrouver autour de Jean devant l’office de tourisme du Thoronet pour une randonnée inédite. Nous sommes 22.

« La randonnée se présente comme une douce ascension de la barre des Ubacs longtemps terre de bauxite.  C’est un parcours en aller-retour de 8.5 kms et 339 m. de dénivelé. Au sommet, le panorama est immense, des Maures à la Sainte-Baume, de l’Esterel aux Alpes. Une tour de surveillance DFCI est accessible par un escalier en fer. Le point de vue à 400 grades est époustouflant. Le tracé initial a été revu à la baisse pour le confort des randonneurs , la pente est très régulière et les pistes sont d’excellente qualité. Un véritable billard ! ! ! (même si c’est un billard incliné . . .!!)»

Nous accueillons pour la randonnée Jean, le fils d'Henri venu du Canada. Jean Ma et Patrice sont nos serre-file.

Nous commençons par la traversée du village. La place Sidi Carnot sur laquelle se trouvent la mairie et l’église est superbement décorée. Eh non les cadeaux ne sont pas pour nous.

Devant la fresque de la mairie Jean donne quelques explications sur la région terre de bauxite dont vous aurez des précisions en fin de blog.

L’église est fermée et ceux qui ne la connaissaient pas n’auront que la possibilité de voir la petite crèche à travers des barreaux.

De l’autre côté de la départementale nous passons devant un logis de France renommé (mais non pas de rando-resto aujourd’hui) et une résidence séniors (on en reparlera dans quelques années !!!)

avant de quitter le bitume et d’emprunter la large piste des Lucoux. Au passage nous pouvons admirer de magnifiques pyracanthas.

Un bon point pour les chasseurs nombreux dans le secteur. Les cartouches ne sont pas abandonnées dans la nature.

La montée est régulière.

Arrêt en cours de route pour la pause banane.

Nous passons devant les ruines d’un ancien relais de poste.

En bordure de chemin les restanques nous rappellent qu’ici les terres étaient agricoles.

Nous quittons la large piste pour une petite sente qui grimpe bien, découverte par Jean lors de la reconnaissance et pour laquelle il a opté (la piste initialement prévue étant très caillouteuse, défoncée et en dos d’âne).

Au sommet nous arrivons à une bifurcation.

Non ce n’est pas pour nous. C’est le trajet du G1 !!.

Nous nous dirigeons vers le sommet des Ubacs où se trouve la vigie du Thoronet. Cela monte, monte....

Nous y accédons par un escalier métallique. Une table d’orientation représentant une carte IGN s’y trouve.

Nous avons une vue panoramique à 360°. Nous voyons entre autres les sommets enneigés des Alpes de Haute-Provence, Le Coudon et les Maures.

Nous faisons alors la photo de groupe. Photo verticale ce qui n’est pas la coutume.

Le pique-nique ne peut se faire au sommet tant le vent souffle.

Nous redescendons au col où chacun trouve place à l’abri.

Comme à chaque randonnée la distribution commence avec en plus les fêtes approchant distribution de papillotes. Merci à tous.

Certains profitent de la pause pour faire la cueillette de thym.

Mais il nous faut redescendre. Et soudain retentit le tonitruant appel de Jean « départ dans dix minutes ! » puis « départ dans 10 secondes ! »

Chacun est vigilant car à la descente les pierres roulent sous les pieds et Jean de dire « Allongez vos bâtons ».

A un croisement Jean propose en option à ceux qui le souhaitent d’aller voir une ancienne mine de bauxite tandis que les autres attendront au soleil.

Le chemin descend bien. Il va falloir remonter et Jean n’est pas certain de l’emplacement de la mine aussi nous faisons demi-tour après que Rolande, faisant suite à la visite du musée des Gueules Rouges avec le Cercle ait donné quelques explications sur l’exploitation de la bauxite dans le Var : « Entre la fin du XIXe siècle et les années 1980, le Var a constitué le principal gisement de bauxite français et a tenu le rôle de leader mondial pendant plusieurs dizaines d’années jusqu’à la découverte de mines en Afrique, Australie et Amérique latine où la main d’œuvre était moins chère. Minerai de base de l’aluminium, la bauxite devient l’or de la Provence et est exploitée à ciel ouvert ou dans des mines souterraines.
Le Musée des Gueules Rouges de Tourves retrace l’histoire de cette activité minière, industrie qui a fortement marqué et façonné le territoire. Il relate également l’histoire de ces hommes, qui travaillaient dans des conditions éprouvantes et rentraient chez eux couverts de poussière rouge de bauxite, ce qui leur a valu le surnom de "Gueules Rouges ». 

Au loin se dessine le Rocher de Roquebrune.

Et nous revoilà à notre point de départ. Nous allons au bar de l’Avenir pour partager le verre de l’amitié,

Face au bar, un bistrot-restaurant rend hommage à ces « Gueules Rouges », tout comme la commune du Thoronet dont la mine a été une des activités essentielles jusqu’au 4 décembre 1989 date à laquelle «Les Gueules Rouges» viennent d’apprendre la fermeture de plusieurs sites varois d’extraction de bauxite, dont celui de Peygros. La Commune, sous l’égide de son Maire Gabriel Uvernet et du Conseil Municipal, tenait à ériger la Reconstitution d’une entrée de mine de Bauxite en remerciements à toutes ces générations de mineurs Thoronéens qui ont travaillé laborieusement et dangereusement pendant des décennies dans les exploitations de Peygros, le Rigoulier, le Recoux. Le Recoux était la meilleure mine de la région avec le plus grand nombre de travailleurs, qui bien souvent, ont commencé à descendre dans la mine dès l’âge de 14 ans.(cf panneau à côté de la reconstitution). 

Merci Jean pour cette agréable balade inédite.

Les photos sont de Jean, Nicole et Rolande.

La semaine prochaine  : jeudi 19 décembre 2019

Les Grues par St Raphael – Animateur : Patrice

Niveau moyen** - 10,3 km -  Dénivelé 441 m

Belle randonnée d'hiver à la découverte des beaux points de vue de l'Estérel

Parking: Col Notre Dame - Coût du trajet A/R: 10 €

 

 

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2019-12-05 -888- DU TRAYAS AUX GRUES - G1

6 Décembre 2019 , Rédigé par Brigitte

2019-12-05 -888- DU TRAYAS AUX GRUES - G1

Le temps est gris mais il ne pleut pas et il ne fait pas froid. 18 randonneurs dont 5 femmes se retrouvent sur le parking de la Calanque de Maupas (avant la gare du Trayas), autour d'Alain notre animateur du jour. Nous sommes émerveillés devant la Méditerranée déchaînée, si bien qu'Alain nous demande de descendre pour la contempler de plus près. Il nous présente également sa randonnée : 15 kms 700m de dénivelée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il nous présente également Thierry, nouveau dans le G1. Nous lui souhaitons la bienvenue.

 

 

 

Babeth et Patrice se proposent pour être serres files, merci à eux deux.

 

En quittant le bord de mer, Alain revient sur l illustre pionnier amoureux de l'Estérel et nous donne des indices pour trouver son nom. Après les annonces, Joël donnera la réponse : Edouard Alfred Martel. Alain nous en reparlera au cours de la randonnée. 

 

Nous nous dirigeons vers la gare du Trayas, pour monter vers le col Notre Dame

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur notre gauche, le Pic d'Aurelle, la baie de Cannes avec les îles de Lerins

 

Nous nous arrêtons pour admirer le Mercantour enneigé

 

Il est 9h30 et nous atteignons le col Notre Dame. Quelques photos vues et revues mais on ne s'en lasse pas...

Pic de L'Ours et la Dent de l'Ours
Mont Vinaigre

 

Après un petit arrêt boisson, nous attaquons les grues, en passant sur la crête du Petit Trayas, une petite descente pour mieux remonter!!!

en escaladant les rochers qui nous mènent vers la petite grue où nous ferons la pause banane

Michel fait du charme à notre serre file

Alain nous a préparé et lu tout un exposé sur l'Estérel de Martel pendant la pause banane, ci-après un petit résumé sur l'exploration de l'Estérel, mais vous pourrez lire l'article en entier sur le lien ci-joint :

http://pointe-maubois.com/l-esterel-de-martel

" De 1877 à 1879, entre 18 et 20 ans, il va explorer l'Esterel, entreprenant des levées topographiques, il y trouve le calme et le repos mais il effectue aussi des explorations, Agay, le Mont Vinaigre, le grotte de l'Ours. Il rectifie la carte d'Etat Major de l'Esterel…..

En 1893, Edouard-Alfred Martel est au Trayas. Outre ses aventures souterraines dans les Causses, dans l'Aveyron, le Loiret, le Puy de Dôme et dans les Alpes, il est chargé de reviser la frontière des Alpes...

Au cours de l'année 1895 il travaille à une carte de l'Esterel " au 1/10000ème par courbe équidistantes de 25 mètres" comprenant les massifs côtiers...

C'est avec l'aide d'"un forestier de génie", Muterse, auquel il rend hommage dans de nombreux articles que E.A. Martel a établi sa carte de l'Esterel…..

Il écrit en 1899 un livre "Le Trayas (Var), l'Esterel, Agay, le Cap Roux etc, guide du promeneur dans les massifs côtiers de l'Esterel, entre Cannes et Saint Raphaël" comprenant deux cartes, dont celle, très précise de l'Esterel…… "

Alain lance un défi pour atteindre le grosse grue en indiquant le record de son ami à 6mn 30

 

Les premiers auront mis moins de 8 mn suivis de près par les autres, bravo à tous.

Là-haut nous avons une belle vue sur l'aérodrome de Cannes avec en arrière plan le Mercantour enneigé.

 

Après avoir récupéré, nous allons attaquer la descente vers le Col de la Cadière

Pour un retour au col Notre Dame par la piste ornée d'eucalyptus 

Il est 11h55, nous arrivons au Col Notre Dame. Nous devions continuer vers la dent de l'Ours où était prévu le déjeuner. Nous déjeunerons toujours à la dent de l'Ours mais en faisant un "crochet" par le Pic de l'Ours;.

Nous ne nous attardons pas au Pic de l'Ours, le vent souffle et espérons trouver un endroit non venteux pour déjeuner en descendant à la dent de l'Ours.

C'est le cas, nous sommes à l'abri et chacun sort le pique nique

Après le déjeuner, Alain poursuit son exposé sur l'Histoire "oubliée " de la Maison en ruine du Trayas

Ci-après un petit résumé,

"En 1917, âgé de 58 ans, Édouard-Alfred Martel se décide à concrétiser un vœu qu’il a fait trois décennies plus tôt et fait construire cette fameuse demeure de la pointe Maubois. Il y séjourne régulièrement jusqu’à sa mort, en 1938

La maison de la pointe de Maubois est à l’abandon depuis plus de cinquante ans.

L’histoire de sa maison n’est pas terminée pour autant, sa femme Aline de Launay-Martel, hérite de la maison après sa mort. Elle décide donc de la vendre en 1943. Peu après, la maison est réquisitionnée. Elle est endommagée par un bombardement aérien la veille du débarquement de Provence, et est vendue par son propriétaire en 1951.

Elle ne sera réhabilitée et transformée qu’en 1957. Elle fait ensuite l’objet de spéculation immobilière et est de nouveau vendue en 1981, en 1982 et en 1985.

En 1996, la bâtisse va retrouver une seconde jeunesse... mais pour quelques semaines seulement. La maison de la pointe de Maubois est utilisée comme lieu de tournage du film d’action « Double Team » avec Jean-Claude Van Damme, Mickey Rourke et le basketteur Dennis Rodman.

Pour les besoins du tournage, les deux façades visibles sur les plans des caméras ainsi que le rez-de-chaussée sont rénovés, une terrasse est ajoutée, le terrain est aménagé et une piscine y est creusée.

http://pointe-maubois.com/wp-content/uploads/2019/02/vlcsnap-2016-12-15-21h25m00s231.png

Réhabilitation de courte durée: le toit est pulvérisé par une explosion prévue dans le scénario.

Voilà la maison de Maubois plus endommagée que jamais.

Cette maison présente un réel intérêt historique, elle est liée à un personnage d’envergure internationale. Si Alphonse Karr a développé la connaissance de Saint-Raphaël, Édouard-Alfred Martel a été la cheville ouvrière du tourisme dans l’Estérel qu’il a découvert puisque c’est à travers ses nombreux articles qu’il incitera le plus grand nombre à venir explorer ses beautés. Il a cartographié cette région, et a été l’artisan de la nouvelle route de la corniche, allant jusqu’à octroyer gratuitement une partie de son terrain. L’Estérel n’aura pas le cœur de l’oublier et de laisser disparaître la maison dont il a si longtemps rêvé et qu’il a mis tant de soin à construire.

Le hic, c’est que le terrain est en zone non constructible et qu’aucun chantier n’y est permis."

Quelques gouttes de pluie, seulement pour donner le signal du départ.

En direction du col des lentisques, nous apercevons dans la brume le rocher de Roquebrune, passons en sous bois 

Sur notre droite le massif du Cap Roux

et nous nous arrêtons en face du rocher d'Uzelle pour la photo de groupe

Joël profite de l'arrêt au col des Lentisques pour rappeler aux randonneurs qui le désirent, l'inscription à la FFR pour la somme de 24,40€ (voir son mail adressé le 16.11.2019)

Dernière photo de groupe avec en arrière plan un arc en ciel et retour vers la gare du Trayas.

Nous nous retrouvons au café habituel du Dramont pour le pot de l'Amitié

Merci à Alain pour cette randonnée animée par l hommage à Edouard-Alfred MARTEL

Merci également aux photographes : Gilbert, Thierry et Brigitte

 

Prochaine randonnée : le Jeudi 12.12.2019

Louis vous confirmera sa randonnée en fonction du temps et de la poursuite ou non des grèves de train.

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2019-11-28 – 556-1 – BELLE BARBE-SUVIERES PAR LES COLLETS REDON - G1

2 Décembre 2019 , Rédigé par Claude

2019-11-28 – 556-1 – BELLE BARBE-SUVIERES PAR LES COLLETS REDON - G1

 

 

L'accès aux massifs varois venant d'être ré-autorisé, après ce premier épisode de pluies diluviennes, 14 randonneurs se retrouvent sur le parking de Belle Barbe. Anne-Marie nous avait prévenu la veille : « l'eau coule en abondance et les sentiers sont un peu chahutés …Il est possible que notre temps de marche soit moins performant que dans des conditions normales…. Le circuit peut être raccourci à différents endroits… ».

Sur le terrain Anne-Marie nous présente le trajet du jour et plusieurs hypothèses de courts-circuits. Bref, un parcours d'un peu plus de 22 km, et 600 m de dénivelée, pouvant être raccourci en fonction des conditions rencontrées.

Mais la journée nous réservera des surprises et il vous faudra attendre la fin de ce récit pour voir le tracé que nous avons vraiment suivi.

Il est 8h20 quand le groupe se met en route plein nord, direction le Col Aubert, Alain « serrant » la file. Nous avions pris ce même sentier il y a un mois, également le lendemain de grosses pluviosités et force est de constater que, ce jour, le sentier ruisselle nettement moins. Nous sommes donc optimistes et ce, d’autant plus que le temps est clément et que le vent annoncé est encore absent.

Nous dominons la forêt domaniale de l’Esterel et observons le rocher de Roquebrune qui apparait à l’horizon.

La barre du Roussivau apparait en arrière gauche du Perthus, et entre les deux, tout au fond le Mont Vinaigre peut être distingué.

Les deux Perthus

Nous arrivons au col Aubert avec une nouvelle vue dégagée sur le Rocher de Roquebrune.

Au col Aubert, nous révisons le Pic de l'Ours, la dent de l'Ours, la Petite et le Grosse Grue.

Le ciel n’est-il pas bien bleu ?

Après la vue des deux Perthus séparés par le ravin éponyme, nous passons à la Baisse de la Petite Vache avant d’atteindre celle de la Grosse Vache où nous faisons la pause banane.

Devant nous se dressent Les Suvières, que nous allons contourner puis gravir et, à droite, le sommet Pelet.

Anne-Marie a pris le rythme de Maurice et le groupe est bien soudé.

Avant d’atteindre la Baisse des Pourraques nous rencontrons diverses embûches, quelques arbres ayant été déracinés.

Mais les pierriers ne se sont pas effondrés et leur passage ne pose pas de problème.

Nos derniers efforts sont récompensés par un panorama merveilleux mais très venté au sommet des Suvières, à 559m d’altitude.

Nous descendons pour nous mettre à l’abri pour le déjeuner, face à la baie de Cannes et aux îles de Lérens.

Nous redescendons à la Baisse de Pourraques et Anne-Marie nous présente une première alternative pour rejoindre directement la Maison Forestière des Trois Termes. Mais les randonneurs, bien vaillants préfèrent prendre le sentier en balcon des Suvières et faire une paire de kilomètres supplémentaires.

Sorti du bois, le sentier nous offre des vues superbes.

Nous faisons une photo de groupe, avec derrière nous le Mont Pelet.

Nous arrivons à la MF des Trois Termes et nous repérons deux wallabys en train de paresser au soleil. Une photo de groupe les réveillera.

 

Nous repartons vers le col des Replats et contournons le sommet des Collets Redons puis le Petit Collet Redon.

Nous descendons vers le ravin des Trois Termes par une sente très humide et poursuivons en balcon vers le lac de l’Ecureuil.

Le premier gué s’enjambe bien, surtout avec l’aide de François.

Nous contournons le Mamelon de l’Ecureuil en contre-bas et observons le débit de l’eau important, donnant naissance à de belles chutes.

Arrivés au deuxième gué, la hauteur et vitesse de l’eau nous rebutent. Après avoir cherché, en amont et en aval, des zones de passage plus appropriées nous approuvons la décision d’Anne-Marie de faire demi-tour, par sécurité.

Nous remontons donc vers La Grosse Vache en contournant le sommet des Redonnets puis la Petite Vache pour arriver au Col du Baladou.

Compte tenu de la tombée de la nuit, c’est par la piste que nous poursuivons, vers le col Mistral. Il est rare de pouvoir vous montrer dans notre blog les lumières de la ville.

Nous terminons par la route et regagnons nos voitures vers 18 heures, un peu fourbus quand même.

Comme promis voici notre trajet du jour.

Merci Anne-Marie pour cette très belle journée et cette impression finale "d'aventure".

Les photographies sont de Annick et Marc, Claude et André, qui de plus a réalisé un petit film que vous pourrez regarder avec le lien suivant.

https://youtu.be/fm8VjuAZ3C8

La semaine prochaine, il y a a un changement de programme pour le G1 et Alain animera « Du Trayas aux Grues » avec un départ du Parking du Manoir, à 8h :  Parcours 15 kms pour 700 m de dénivelé + (Moyen +++).

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