Lacs de Vens - G1 - 28/09/2017
Lacs de Vens (06) - G1 - 28/09/2017
Après 2h 40' de route, à cause de ralentissements de circulation et des travaux de voirie, 26 randonneurs sont présents ce matin au hameau du Pra sur la rive gauche de la vallée de la Tinée où la plupart d'entre nous vont découvrir cette mythique randonnée des lacs de Vens.
A 1700 m d'altitude, la température est de 8°c au départ, mais la météo nous promet une belle journée.
C'est Jean Bo, grand spécialiste des lacs de Vens, qui aujourd'hui va nous conduire sur ce parcours aux décors somptueux. "Ici, nous sommes en plein milieu du parc du Mercantour"
Pour profiter pleinement de cette randonnée, il faudra parcourir environ 15 km et grimper de 900 m.


Jean Bo décide de nous faire la présentation détaillée de cette randonnée dès que nous aurons retrouvé un peu plus loin un versant ensoleillé.
Elisabeth sera notre serre-file du jour.
Pour l'instant nous progressons à bonne allure en empruntant cette passerelle à priori assez solide pour supporter tout les marcheurs.
Passerelles qui nous feront découvrir ces magnifiques petits torrents au fil du parcours.


Nous avons maintenant retrouvé le soleil, c'est le moment de marquer la pause "banane", car le plus dur reste à faire.
Après avoir repris quelques forces, nous empruntons cette fameuse cheminée très abrupte, appelée ici "Pas des pêcheurs".

Le souffle devient court et la transpiration abondante. Les lacs de Vens...ça se mérite!!!


A peine si nous avons le temps d'admirer une végétation magnifique.

Nos efforts sont récompensés lorsque nous découvrons enfin le premier lac.
Nous en prenons plein les yeux.



Les lacs de Vens sont constitués d'une enfilade de cinq lacs principaux. Le plus grand, surplombé par le refuge de Vens, a une profondeur de 31 m.
Jean Bo nous propose de continuer un peu plus loin en direction du lac n°3 où il a réservé une table pour le pique-nique.
Rares sont les piques-niques dans un environnement aussi sublime.




En voilà deux qui n'en perdent pas une miette.
Nous reprenons notre chemin, avec le but d'atteindre le refuge de Vens que l'on aperçoit au loin.
Mais toujours pas question de ranger les appareils photos. Le spectacle continue.




"Marmotte... montre-toi, stp"
Ah! En voilà un spécimen, en train de lézarder sous les rayons du soleil.
Si vous voulez en savoir un peu plus sur la marmotte, et si vous ne dormez pas comme elle, alors lisez ceci.
C’est un rongeur de taille moyenne, mesurant 50 à 60 cm de longueur pour un poids entre 4 et 8 kg à taille adulte. Son corps est épais et sa silhouette est trapue. Il possède une queue touffue mesurant entre 10 et 20 cm de longueur.
C’est un mammifère aux pattes puissantes et possédant des griffes épointées du fait de ses habitudes à creuser le sol. La marmotte des Alpes a un court et large museau. Son champ de vision est très important du fait d’une position des yeux quasiment parallèles de chaque côté de la tête. Ses oreilles mesurant entre 2 et 3 cm sont presque invisibles car cachées sous la fourrure. Comme tous les rongeurs vivant dans des terriers, la marmotte a de longues vibrisses (poils en forme de moustache) afin de se repérer dans le noir du terrier.
La couleur de son pelage varie entre le gris et le roux en passant par le brun, le beige et le châtain. Le dessus de la tête ainsi que la queue sont plus sombres.
Elle vit dans les alpages et préfère les terrains à découvert où elle pourra voir arriver de loin ses prédateurs. Que cela soit les prairies ou de la rocaille, la marmotte creuse de longs terriers de plusieurs dizaines de mètres et dont la chambre principale peut faire jusqu’à 1 m cube.
Un dernier effort et nous et nous voilà à proximité du refuge de Vans posé sur son promontoire à 2380 m d'altitude.

Celui-ci est fermé depuis le 26 septembre. Il nous servira de décor pour la photo de groupe.

Nous ne nous attardons pas trop, car la descente jusqu'aux voitures sera longue et par endroits, périlleuse.


En fin de parcours, nous croisons un important troupeau d'ovin dont voici un magnifique spécimen.
Nous voilà au terme de cette randonnée, fourbus pour la plus part d'entre nous, mais émerveillés par ces paysages alpins superbes.
Nous terminons cette journée par le pot de l'amitié que nous partageons sur cette place de Saint- Etienne de Tinée.

Merci à Jean Bo pour cette superbe randonnée, nous y reviendrons avec plaisir.
Les photos sont de : Claude Ca, Do Gi, Gilbert et Jean Bo.
Au programme du jeudi 05 octobre:
G1 Départ : 6H53 Roland 717-2 Eze le Mont Bastide moyen*** 6,4 km Dh : 600
Découverte des sépultures du Néolitique au travers d’un circuit dans la flore méditerranéenne.
Parking : Boulouris Gare SNCF Coût du trajet A/R : 27 €
St Raphaël-Le chemin du Castellas-28/09/2017
Le Chemin du Castellas
Aujourd'hui, Roland sera notre guide sur cette rando faite à plusieurs reprises en 2007, 2010, 2011 et 2013. Nous y avons rencontré toutes les conditions météorologiques de la région mais la plus marquante fut celle de 2010 sous une pluie battante qui nous avait obligés à revenir directement par la route. C'était un jour de galette des Rois!
Mais en ce 28 septembre, la météo est très bonne et Roland nous présente brièvement sa rando : entre 10 et 11 km et environ 285 m de dénivelée. A partir d'Agay nous emprunterons le bord de mer.
Jacky, tout seul, sera notre serre-file.
Dans la première partie, c'est un chemin historique que les fermiers d’Agay utilisaient autrefois pour se rendre à Saint-Raphaël vendre leur production.
Voici donc les 22 marcheuses et marcheurs qui progressent sous la carrière des Petits Caous, en direction du lieu-dit Les Ferrières.

Des montées, des descentes et une nouvelle appellation pour ce rocher baptisé "Rocher de l'Amour" .Que s'est-il passé en ce lieu ???
Joli passage sous une voûte de mimosas, bien secs cette année.
Aux ruines de la ferme des Ferrieres, Roland nous propose de faire la "pause banane". Il ne reste en ce lieu qu'une sorte de four.
Mais c'est un lieu de passage obligatoire et nous allons être rattrapés par un groupe du Muy, au moins deux fois plus important que le nôtre. Comme ils font le même circuit que nous, immanquablement nous les retrouverons tout au long de la journée.
Mais n'anticipons pas.
Roland les laisse partir devant.
A notre tour, nous nous engageons dans le vallon des Ferrières en direction du village-vacances de Cap Esterel.

Petit à petit, dans le montée, nous découvrons le Rastel d'Agay, première barrière dans l'Estérel.
Nous empruntons la route d'accès au village-vacances
jusqu'au bord de mer et nous progressons maintenant sur la plage de Pourousset avant d'aborder les rochers.

C'est là que 8 de nos ami(e)s vont nous quitter, à leur demande, créant un G2bis (ainsi nommé par Roland). Ils vont revenir par la route jusqu'à la plage du Débarquement. Rendez-vous à midi pour le pique-nique.

Le reste du groupe s'engage sur le Sentier du littoral, d'abord jusqu'à Tiki plage. Roland a donné un bon rythme au groupe et il ne faut pas rater le pas.


Encore un peu de monde sur la plage et quelques courageux dans l'eau.
Pour nous ce sera un passage éclair et nous attaquons le tour du sémaphore. Dans une clairière, nous retrouvons le groupe du Muy en plein pique-nique. Comme il est 11 h 40, ils nous expliquent :"Nous sommes vieux et nous mangeons de bonne heure "… Ce genre de boutade nous redonne du tonus pour rejoindre la Roche percée.

Là, d'habitude on fait la photo devant le trou mais Roland nous fera une première, passant derrière le rocher. Nous immortaliserons ce moment.
Nous poursuivons toujours à bonne allure. Et il fait chaud ! Le soleil tape fort et il n'y a guère d'ombre dans ce secteur rocheux.

Nous retrouvons la grande piste qui descend du sémaphore mais assez vite nous la quittons pour un bijou de petite crique de galets.
Pour en ressortir un petit passage un peu difficile conduit Roland à aider quelques dames. Toujours aussi disponible.
Bien sûr, vue sur l’Île d'or, toujours aussi remarquable.
Inutile de raconter son histoire, tout le monde la connait maintenant dans le groupe.
Après les cairns montagnards du Malmont la semaine dernière voici les cairns maritimes de la crique du Poussaï.

Et, à 12 h 45, nous retrouvons nos ami(e)s déjà installés pour l'apéritif. Pierre G, alerté par son épouse est venu nous rejoindre avec vin d'orange et rosé. Une occasion pour le revoir et chacun d' apprécier son geste.

Comme d'habitude il y aura de quoi enrichir nos pique-niques, petite saucisses au chèvre de Haute-Savoie, tomates cerises, cake au citron…

Roland accordera 20 minutes aux joueurs de cartes, ce qui fera rager quelques impatients de reprendre la route. Et la route, il faudra l'emprunter pour des raisons techniques car le passage en bord de mer est d'abord impossible, matériellement, puis réservé par l'hôtel des Roches Rouges. Quand cesseront ces privilèges ?
Avant de partir, la traditionnelle photo de groupe.
Enfin un peu plus loin nous allons pouvoir reprendre le sentier du littoral mais le groupe G2 bis (voir plus haut) s'est enrichi, ils sont 10 maintenant. Certains y sont rentrés, d'autres en sont sortis.



Nous les retrouveront à la plage de Boulouris, dite "Des kurdes", autre appellation locale.
Les randonneurs du Muy nous ont suivis, puis ils nous précèdent vers un autre parking. Ils ont terminé leur rando.
Quant à nous, nous aurons encore un peu plus d'un km sur la route pour retrouver nos voitures.
Le pot de l'amitié sera pris au bar-tabac de Boulouris où nous avons invité Camille que nous sommes heureux de revoir.
Nous apercevrons aussi Marie-Thérèse qui marche dans le groupe constitué par Rolande. Que de retrouvailles !
Merci Roland, c'était une bonne balade. Tu as inscrit ton nom au palmarès des animateurs de cette grande classique.
Les photos étaient de Rolande et Jean-Marie.
La semaine prochaine, Les Gorges de Plérimond avec Jean Bo : 9 km et 150 m de dénivelée. Départ à 8 h 30.
862 - CIME DE ROCCASIERRA 21/09/2017
862 – CIME DE ROCCASIERRA 21/09/2017
Après 1h1/2 de route, 15 randonneurs se retrouvent à l'entrée de l’Imberguet Calençon en bord de route, nouveau petit stationnement en direction de Duranus.
Alain, notre animateur du jour, nous présente un nouveau randonneur, Frédéric. Nous lui souhaitons la bienvenue parmi nous.
Après avoir pris un chemin bitumé en direction du Collet de Boïera-Calençon,
nous nous arrêtons près d’un lavoir datant de 1939 pour écouter les explications d’Alain sur la randonnée :
« Pour atteindre la cime de Roccasierra, nous aurons une grande montée et une grande descente. Une boucle autour de la cime pour redescendre du col de l’Autaret par le même chemin qu’à l’aller »
Patrick sera notre serre file.
Il est 9h15, quelques échauffements menés par Joël et c’est le départ sur ce chemin qui passe au dessus du village (rappelons 75 habitants avant la guerre et 1 seul actuellement !!!)
Le sentier s’élève assez rudement parmi les chênes disséminés dans le flanc de ce vallon de Riméote orienté Sud-Ouest. Derrière nous à l’ouest on aperçoit la Madonne d’Utelle et son sanctuaire sur sa crête, tandis que la crête Saint Antoine et sa chapelle est visible vers l’Est.
Après 1 km, très belle vue, plein Sud sur la Crête du Férion avec à sa droite le Col du Dragon, .
On parvient aux ruines de Riméotes au milieu de cette 1ère montée.
Le sentier devient moins marqué, mais toujours aussi raide pour atteindre le pylône EDF .
Il est 11h25, c’est la pose banane
De là, on a une vue bien dégagée sur les sommets de la Haute Vésubie, sur Utelle, La Madonne d’Utelle, le Castel de Gineste (1344m), le Brec d’Utelle (1604m), devant nous le Suc de Cabagne (1188m) et le sommet triangulaire de la Cime de Bonvillars (1376m), au loin les sommets du Mercantour, la Cime de La Valette de Prals (2496m), puis le Mont Neiglier (2786m) et la Cime du Gelas à 3143m.
Le chemin quasiment de niveau (très bien pour chauffer les jambes) jusqu’au replat du Collet de Boïera altitude 1021m,(intersection avec le sentier venant de Duranus) nous conduit jusqu’à la Baisse Briquet.
Nous reprenons notre ascension. Le sentier grimpe entre les arbres, les rochers et passages dans 3 petits pierriers,
avant de déboucher sur le large replat tout en prairie du Col de l’Autaret altitude 1280m (intersection avec le sentier venant des ruines de Rocca Sparviera) .
Il est 12h30, nous ferons une photo de groupe sur ce lieu de pacage hivernal des brebis,
On distingue nettement les quelques 220 m de dénivelé qu’il reste à gravir pour atteindre
l’objectif de la randonnéee, le baston sommital de Roccasierra
Nous empruntons le sentier montant de droite (le sentier de gauche Col de Lobe, est celui par lequel nous arriverons au terme de notre boucle et du sommet de la Cime de Roccassiéra).
Le chemin s’engage à travers une nouvelle portion de forêt sur la crête pour gagner la cime.
Celle-ci est défendue par quelques ressauts rocheux aisés à franchir.
Il est 13h45, nous sommes au sommet, la vue est magnifique et dégagée avec un ciel bleu azur et sans vent.
Chacun trouve sa place pour se restaurer.
Après ¾ d’heure de pause, Nous entamons la descente d'abord vers le Nord puis vers le Nord Est entre pins, sur un sentier plus ou moins bien marqué.
Un troupeau de chèvres gardé par des "patous", nous oblige à dévier notre chemin de retour pour atteindre le Col de Lobe (1244m).
Nous reprenons ensuite le sentier de gauche légèrement vallonné et sans difficulté pour regagner le col de l’Autaret par un versant qui hésite entre ombre et lumière, tout en profitant d’une belle vue sur les sommets environnants et le vallon de Peira .
Il est environ 16h30, nous rejoignons le col de l’Autaret et à partir de ce col, un long retour par le même itinéraire qu’à la montée.
Il est 18h15, nous regagnons nos voitures pour aller prendre un pot bien mérité chez Doudou, à l’Hôtel des 2 Vallées au Plan du Var.
Un grand merci à Alain pour cette randonnée très sportive remplie de souvenirs.
16 Kms 700
1223 m DH
Les photos sont de Brigitte
Prochaine sortie G1 :
Jeudi 28/09/2017 Départ : 7h Jean Bo – Les Lacs de Vens Sportif** 13,5Km Dh 881
Parking de Vens GPS : 44.310328 et 6.901070 Coût du trajet A/R : 88 €
FIGANIERES - Le Malmont - G2 - jeudi 21 septembre 2017
FIGANIERES – Le Malmont – jeudi 21 septembre 2017 - G2
Nous sommes 29 dont un bon nombre d’habitués du G1 (auraient-ils craint les + de 1100 mètres de dénivelé annoncés pour l’autre rando) à nous retrouver à Figanières ce matin pour une randonnée inédite « à la recherche d’un point de vue extraordinaire sur la campagne dracénoise et les sommets du pays aixois, des Maures et de l’Estérel », que nous a concoctée Jean-Marie.


Le soleil est au rendez-vous et la température déjà bien agréable.
Jean-Marie nous présente deux nouveaux Josiane et Bernard


et le profil de la randonnée.
« Pour commencer une belle montée d’un kilomètre » (plutôt 2 –ndlr).
Jean Be sera notre serre-file du jour en l'absence de Jacky et Daniel.
Nous traversons le village par des ruelles étroites pour rejoindre la petite route puis la piste de la Panisse, d’où nous avons une belle vue sur Figanières.



C’est au sommet que nous faisons la pause banane, au croisement de la piste de la Marecouale et de l’ancienne voie romaine.


« Finie la montée » dira Jean-Marie .

Mais n’allons-nous pas rencontrer quelques soucis. Une battue en cours est annoncée. Certains se souviendront d’une certaine randonnée de novembre 2014 à Collobrières.
Pas du tout : sympa les chasseurs et pleins d’humour « pas de sanglier aujourd’hui, mon collègue a tué seulement 3 randonneurs ».

Au loin nous apercevons la tour Malmont, qui esthétiquement ne mérite pas une photo et que nous atteindrons par un sentier bien raide après une boucle de 2 kms. C’est donc çà Jean-Marie la soi-disant fin de montée.


Quel beau champignon.Ne vous évertuez pas à essayer de le manger. Il est fait de pierres comme cet étrange personnage derrière lequel nous faisons la photo de groupe.



La montée n'en finit pas. Chacun surveille ses pieds.


Ouf diront quelques-uns.Finie la pente. Certains s’arrêtent devant les panneaux explicatifs du sentier botanique.

« Vous pourrez revenir au printemps quand tout sera fleuri. Une route vous conduit à seulement 1 km de là. »


A proximité de la tour, une vue à 270° s’ouvre à nous : en contrebas Draguignan, à notre gauche à l’Est l’Estérel, face à nous le rocher de Roquebrune, les Maures, le secteur de Toulon et le Coudon… la Sainte Victoire, les Bresillon…



C’est un peu plus loin que nous nous arrêtons pour le casse-croûte. Bien installés à table ou sur des pierres à l’ombre ou au soleil. Chacun choisira. Apéritif (vin à l’orange, Stanislas, petits chèvres, tomates cerises…. )Vin rouge…on se répète chaque semaine, mais quand on aime, on ne compte pas avec le G2.


Pas de belote aujourd’hui.
Il est temps de repartir. Plus de côte annoncée. Chacun s’élance d’un bon pas sur une large piste mais rapidement le groupe s'étire : chaleur et digestion en sont les causes.


Des pétarades fusent. Pas de chasseurs, ni de sangliers à l’horizon. Nous passons à proximité du site de ball-trap. L’écho est tel qu’il nous semble que les tirs viennent de tous côtés.

Une petite brise nous rafraîchit de temps en temps. Au passage nous voyons un arbre mort au tronc énorme,

et cheminons sur la piste de Cassade, où Jean-Marie nous parle des spécificités qui ont fait la renommée de Finaguières, les petites olives « finaguiéro » comme nous pouvons les voir ici,

les figues noires et la vigne que l’on pourrait voir d’un autre côté de la commune.
Une mante religieuse passe de bâton en bâton pour se laisser admirer et photographier.

En arrivant au croisement d’une piste menant au pont de la Tuilière, dont le passage est fermé, nous décidons d’aller jusqu’à lui mais la végétation a envahi ce pont romain. Voici néanmoins ce que certains randonneurs du cercle ont pu voir en octobre 2010 (photo d’archive du blog faite par Jean-Marie– Figanières – la Cabre d’or).

En approchant de notre destination nous pouvons observer un cognassier et un kaki chargés de fruits.


C’est au bar de la Figue Noire que nous nous retrouvons pour partager le verre de l’amitié.


Avant de nous séparer Dominique informée par le barman nous invite à nous rendre à un lavoir typique dans la commune, d'où nous avons une belle vue sur l'église.



Au retour ce sont des figuiers que nous pouvons admirer. L’un d’entre au vu de la grosseur de son tronc est très vieux.


Merci Jean-Marie pour cette agréable balade d’un peu plus de 11.5 kms et de 370 m de dénivelé.
Les photos sont de Dominique et Rolande.
Prochaine rando G2 - jeudi 28 septembre 2017 avec Roland
"Chemin du Castellas". Facile. 11.4 kms - Dénivelé 325 m.
Départ : 8h30
Littoral des Issambres -14 septembre 2017
LITTORAL DES ISSAMBRES - G1 - 14 septembre 2017

Notre animateur Joël n’était pas à St-Raphaël la veille de la randonnée et apprit par Rolande, l’animatrice du groupe G2 et tandis qu'il était sur la route du retour, que les massifs seraient fermés le lendemain pour cause d’alerte rouge incendie. Ils décidèrent donc de se rabattre sur le bord de mer, seul secteur autorisé et durent chacun improviser un parcours à la dernière minute avant d’en informer les marcheurs.
C’est ainsi que 6 d’entre eux, 5 femmes et un homme, dépités mais décidés, retrouvèrent Joël sur le parking du Manoir vers 9 heures tandis que Rolande arriva à rassembler 13 volontaires.
Nous voici donc sur le parking de la Plage de la Gaillarde où Joël nous présente le tracé et le dénivelé de la randonnée. Le soleil brille déjà et nous partons d’un pas vaillant. Tout au long de notre parcours, nous allons admirer les reflets bleus de la Méditerranée ainsi que les magnifiques propriétés qui longent la côte et nous extasier devant les merveilles de la nature.


Nous apercevons deux cormorans juchés sur une roche

puis des méduses que nous verrons malheureusement à plusieurs reprises.

Notre petit groupe a la forme

bien que Joël fatigue déjà un peu!

Nous reprenons la marche, descendons des sentiers,

montons des escaliers

et faisons une pause pour admirer un spirographe rouge au port de Férréol.

Non loin de lui, un Bernard l’ermite que vous voyez aussi sur la photo, ce crustacé qui, comme l’explique Joël, naît sans coquille et doit, toute sa vie durant, chercher un coquillage adapté à sa nouvelle taille alors qu’il grandit.

Nous arrivons au vivier gallo-romain des Issambres

où nous apprenons que les Romains étaient de grands amateurs de produits de la mer, murènes et muges en particulier. C’est pourquoi les riches propriétaires du littoral faisaient construire des viviers pour capturer le poisson et le garder vivant.
Très peu de ces constructions seront conservées en Gaule. Le vivier gallo-romain des Issambres, classé au titre des Monuments Historiques en 1939, est le seul resté en eau vive et en bon état.
Taillé et maçonné dans le rocher, il est constitué de trois bassins (1, 2, 3) séparés par des murs.
Le renouvellement de l’eau était possible grâce à des vannes (a, b, c, d sur le panneau) probablement en bronze et par des chenaux. Une plate-forme de circulation large de deux mètres en moyenne était aménagée sur les côtés.
Ce vivier devait dépendre d’une villa gallo-romaine (1er – 3è siècle après J-C) située dans l’anse de la Gaillarde. Dans une des pièces d’habitation de cette villa, a été trouvée une mosaïque dont le médaillon central représentait un dauphin nageant entre deux tridents, symbole de l’intérêt des Romains pour les activités maritimes.
Nous repartons et tandis que nous songeons encore à l’ingéniosité des Romains, se dresse bientôt devant nous le musée de l’Art Tonique qui expose des statues et nous ramène rapidement à l’art moderne.

Nous poursuivons notre chemin et résistons à la tentation de nous installer à la terrasse du Cercle

– c’est qu’on n’a pas eu de pause-banane! Daniel me fait partager son admiration pour le maçon qui a érigé le mur de pierres blanches qui entoure ce bâtiment côté mer mais il faut se dépêcher pour rejoindre le groupe qui gravit un bel escalier sans s’aider de la rampe!

L’aventure continue

puis pause-déjeuner à l’ombre. Nous prenons le temps de bavarder et de partager quelques victuailles mais où sont donc le vin, le café, les chocolats? Toutefois, mini-saucissons et fougasse circulent sans oublier les fruits secs à la fin, le gingembre de Joël et le thé!

Notre animateur nous propose de rentrer par l’intérieur, c’est-à-dire de rejoindre la route et de remonter l’Allée de l’Ancien Train des Pignes, bordée de superbes villas. La végétation méditerranéenne nous entoure et nous nous arrêtons pour photographier une fleur de cactus et les fruits de cette plante, à savoir les figues de Barbarie.

Nous continuons sur cette route plate et facile que nos mollets apprécient et en atteignons la fin sans difficultés.

Nous changeons de souliers au parking et allons nous rafraîchir au café-restaurant de plage Maïva, face à la mer.


Nous avons parcouru 8,5 kilomètres avec un dénivelé de 185 mètres, donc nous avons pris le temps d’admirer le paysage et aurons celui de nous baigner une fois rentrés chez nous car il fait très beau.
Pour finir, quelques photos du G2 envoyées par Rolande. Celles d'avant sont de Dominique.






Merci beaucoup à nos animateurs Joël et Rolande d’avoir pensé à une si jolie randonnée à la dernière minute.
Prochaines randonnées le jeudi 21 septembre.
G1:
Cime de Roccasierra, un panorama à 400 grades au sommet sur le Mercantour et le littoral niçois.
Animateur: Alain.
Distance: 13 kms, dénivelé: 1150 m, Niveau: sportif *** - Départ: 7h
G2:
Figanière-Malmont, randonnée inédite à la découverte de la montagne de Draguignan.
Animateur: Jean-Marie.
Distance: 13 kms, dénivelé: 363 m, Niveau moyen ** - Départ: 8h30
Correns - Les ruchers de pierre - rando 854 G2 - jeudi 7 septembre 2017
Correns –"Les ruchers de pierre" – G2 – 7 sept.2017
C’est Jean-Marie qui nous propose cette rando de rentrée, inédite, pour nous mettre en jambe, rando qu’il a découverte avec Mickaël et Yvette il y a deux ans. Nous sommes 24 dont un certain nombre de randonneurs habitués du G1. Il fait un peu frais mais la chaleur ne tardera pas à se faire sentir.

Après nous avoir présenté 3 nouveaux randonneurs : Claudine, Catherine et Yves



et donné des nouvelles des amis randonneurs, malades, opérés ou convalescents,

Jean-Marie nous présente la randonnée longue de 11.3 kms pour un dénivelé de 290 m.
C’est en file indienne que nous nous dirigeons vers le centre de Correns,

1er village bio de France dans lequel se trouvent 17 fontaines et 2 lavoirs puis continuons sur une petite route peu fréquentée qui par la suite deviendra piste,

puis sur un chemin au milieu des vignes,

d’où nous pouvons voir le Grand Bersillon.
Nous passons près d’un élevage de chevaux au milieu d’oliviers


avant d’arriver au bord de l’Argens.

Arrêt devant l’Ecluse pour la pause banane.

Michel a bien apporté son siège mais a oublié sa canne à pêche.

Nous abandonnons la piste pour « attaquer la montée » au milieu d’une végétation dense


et arrivons à proximité d’une propriété sur laquelle se trouvent 3 bories et une habitation troglodyte, 2 étant des puits.

Jean-Marie et Mickaël avaient rencontré le propriétaire qui leur avait indiqué le lieu où nous allons nous rendre maintenant.

Après être passé devant plusieurs restanques

nous arrivons aux ruchers de pierre « l’Apié de Gayassu »


« L’enclos date de la fin du 19è siècle ou du début du 20è. Il a été construit pour mettre à l’abri les « bruses » ou ruches en écorces de liège à l’abri des prédateurs. Avant les bruses étaient mis dans des murs apié (restanques avec des niches plein sud). Ici on se trouve dans un complexe plus commercial (à Aups et Correns). Les bruses étaient placés sur des banquettes sur une pierre plate et avaient une autre dalle dessus pour les protéger du vent et de la pluie. L’enclos est toujours sur un terrain en pente pour faciliter l’envol des abeilles par-dessus le haut mur. Elles vont butiner jusqu’à plusieurs kilomètres de leur ruche. » - La restauration du site a été effectuée par Hélène GIANNARELLI.



La montée terminée nous arrivons sur un site ombragé qui convient à tous pour la pause pique-nique.



Les bonnes habitudes ne se perdent pas dans le G2 : vin d’orange, tomates cerises, petits fromages de chèvre, saucisson, pâté croûte pour ouvrir l’appétit, puis rouge et rosé pour faire « couler » le restant des casse-croûte.

Petite sieste pour certains ou partie de cartes pour d’autres, mais il est temps de repartir.
Il reste plus de la moitié du chemin, mais avec seulement 80 m. de montée et sur chemin large et route mais sous un soleil ardent. Des arrêts sont nécessaires pour s'hydrater.



De l’autre côté de l’Argens nous pouvons apercevoir les gorges et le mur d’escalade auprès desquelles nous sommes passés lors de notre rando « arrosée » en juin dernier,


puis pouvons observer le petit et le grand Bersillon.

Lors d’une pause pour se désaltérer, deux vaches en bordure de propriété et de la route nous observent. Vraies ou fausses ? En résine mais bien imitées comme peut le constater Daniel.

C’est au pied de la croix de Basson que nous faisons la photo de groupe.

Jean-Marie nous explique que « la croix haute de 12 mètres, posée sur un piton rocheux de 25 mètres a été inaugurée le 3 mai 1912. Foudroyée elle fut reconstruite en 1974 et un pèlerinage a lieu chaque vendredi 3 mai – pèlerinage du Grand Pardon. »

« Le Pardon de Correns - Histoire d’un pèlerinage provençal. Depuis le XIème siècle, l’histoire de Correns est intrinsèquement liée avec l’histoire de l’abbaye bénédictine de Montmajour près d’Arles. En effet, en 1002, Balde de Chateaurenard fait don de ses terres de Correns aux moines pour y faire construire un prieuré. Associant la prière au travail manuel, les religieux exploitent les terres et, en près d’un siècle, mettent en place le plus riche prieuré de la région. Cet essor temporel et spirituel va contribuer au privilège de recevoir les cérémonies du Pardon…
La date d’institution du Pardon est inconnue mais les sources documentaires indiquent que les premiers pardons datent de la fin du Moyen-âge. Pour attirer la dévotion des peuples de Provence, l’abbaye de Montmajour cède au prieuré corrensois une parcelle de la Vraie Croix. La fête du Pardon de Correns est alors fixée au troisième jour du mois de mai, fête de l’Invention de la Sainte Croix, lorsque ce jour coïncide avec un vendredi. Plusieurs papes (Urbain VIII et Clément XII) vont accorder des indulgences plénières aux pèlerins qui viendront prier et vénérer la relique du 2 mai au coucher du soleil jusqu’au 3 mai. Ils seront ainsi pardonnés de tous leurs péchés.
Aux XVIIème et XVIIIème siècles, des foules venant de toute la Provence se rendent à Correns comme en témoigne le procès-verbal du juge Louis Braquety qui indique la présence de 53 235 pèlerins lors du pardon du 3 mai 1613 ! La « porte du Pardon » de l’église paroissiale est là pour nous rappeler l’existence de cette fête ; son ouverture et sa fermeture symbolisant le début et la fin de l’indulgence plénière accordée aux fidèles pénitents.
Selon le calendrier actuel, le 3 mai coïncide avec un vendredi tous les 6, 5, 6 et 11 ans soit un cycle de 28 ans. La dénomination « grand pardon » est attribuée lorsque la période séparant deux cérémonies est de 11 ans. C’est précisément le cas pour le grand pardon du 3 mai 2013 (le dernier ayant eu lieu en 2002). Les cérémonies commencent le jeudi 2 mai au soir par une procession aux flambeaux, l’ouverture de la porte et une nuit d’adoration. Le lendemain, vendredi 3 mai, les célébrations se poursuivent par la messe solennelle présidée par Mgr l’évêque de Fréjus-Toulon, la procession des reliques de la Vraie Croix dans les rues du village et la fermeture de la porte. Pour l’occasion des bannières représentant des saints ornent les rues du village et les fontaines et les façades des maisons sont décorées.
La foi qui animait les Corrensois depuis des temps anciens s’est maintenue jusqu’à nos jours grâce à leur opiniâtreté et à leur fidélité, sachant se rassembler unanimement pour donner aux cérémonies un témoignage de foi et de tradition. Signé - Gilles Bouis ».
Nous approchons du village et pouvons constater au loin les ravages des derniers incendies.

C’est au Val que nous nous rendons pour partager le verre de l’amitié.


Merci Jean-Marie pour cette très agréable nouvelle randonnée.
Les photos sont de Dominique, Jean-Marie et Rolande
Prochaine randonnée du G2 – jeudi 14 septembre 2017 – Le Lac de la Prison : 11.500 kms, 215 mètres de dénivelé. Moyen * Départ 9h00. Animatrice Rolande
Sentier Martel 2 - 07/09/2017 - 517-2 - G1
Sentier Martel 2 - 07/09/2017 - G1

Les randonneurs du Cercle ont fait leur rentrée cette semaine et, pour la reprise, Joël a reprogrammé cette marche en rive droite du Verdon qui n’avait pas pu être effectuée le 1er juin dernier, à cause de mauvaises conditions météorologiques.
Sur le parking du Couloir de Samson, nous sommes 16 randonneurs au rendez-vous. Aujourd’hui, le soleil est de la partie et la température fraiche du matin (7°) montera régulièrement jusqu’à atteindre les 27° dans l’après-midi.
Joël présente rapidement la randonnée en reportant les explications complémentaires aux pauses ultérieures : c’est une marche en aller-retour jusqu’à la Mescla, point de confluence du Verdon et de l’Artuby, de 13,7 km avec une dénivelée cumulée référence Openrunner de 1110m et selon notre animateur, souhaitant sans doute nous rassurer, de 870 m. Mais le profil présenté n’affole personne.

Nous commençons par descendre les marches qui mènent au bord du Verdon.
Puis le sentier, le GR 4, s’engage dans une première gorge dite Couloir de Samson.

Nous traversons le Baou, bien à sec et montons un escalier métallique pour atteindre l'entrée d'un premier tunnel.
Il s’agit du tunnel du Baou, long de 670 m et dont la première partie est en courbe. Les lampes sont de sortie : frontales, issues des portables ou encore vieilles torches à la lueur jaunâtre.

Nous arrivons à deux fenêtres successives, dite de la Baume aux Pigeons, qui nous permettent de voir le Verdon en contrebas.


A la sortie du tunnel, les gorges se resserrent entre les falaises vertigineuses.

Nous traversons le tunnel de Trescaïre, beaucoup plus court (une centaine de mètres). Puis nous retrouvons l’air libre et le canyon.
Nos lectures sur la toile indique que ces tunnels ont été construits dans le cadre « de projets hydroélectriques qui ont concerné les Gorges, dès 1900. La faisabilité d'un conduit forcé pour garder le Verdon à sa hauteur pendant les 25 km du Grand Canyon a été étudiée, et des travaux ont débuté pour creuser sept tunnels dans un calcaire très dur, avec dynamite, pelles et pioches. Quelques mille hommes y ont travaillé jusqu'à ce que la première guerre mondiale les appelle. Le projet, trop titanesque, sera abandonné par la suite… Les fenêtres ne sont rien d'autre que les trous d'où on évacuait les gravats à l'époque de leur construction »
Une belle vue plongeante nous est offerte au belvédère de Trescaïre.

Une fois le couloir de Samson franchi par ces deux tunnels, le canyon devient beaucoup plus large. Le chemin surplombe le Verdon, dont nous apercevons les eaux émeraude, de temps en temps au travers les arbres.

Nous voyons l’entrée interdite d’un troisième tunnel qui est contourné par le GR4.
Puis nous attaquons un petit passage plus délicat muni de mains-courantes en fer, mais qui se passe aisément le sol étant sec.

Il est l’heure de faire la pose banane. Le chemin est étroit et le rang d’oignon s’impose.


Le sentier continue en hauteur, nous offrant des magnifiques paysages au-dessus du Verdon, passe sous les chênes, ressort dans les éboulis, redescend vers la rivière et remonte en corniche dans la falaise de la baume aux Chiens.




La vue sur le Verdon y est impressionnante.

Très rapidement après nous atteignons la baume des Hirondelles qui va nous accueillir pour une photo de groupe.

Nous pouvons observer le relief caractéristique issu de l’érosion de l’eau quand le Verdon était à cette hauteur, sapant par la base les couches calcaires les plus tendres et laissant les plus dures en relief par-dessus.

Nous sommes bien petits au pied de cette falaise haute de quelques cents mètres.


Nous continuons à monter et arrivons au site impressionnant de la brèche Imbert. Un escalier a été installé dans un goulet entre 2 parois verticales : 252 marches avec des paliers intermédiaires étroits mais permettant le croisement entre les flux montant et descendant des randonneurs.
En haut des marches une petite visite au belvédère permet de regarder les eaux turbulentes du Verdon.


Nous quittons le GR 4 et prenons à gauche une sente qui descend en sous bois vers la rivière. La pente est un peu raide.

Mais c'est rapidement que nous atteignons le beau site de la Mescla : « (du provençal mesclun qui signifie mélange), lieu où l’Artuby se jette dans le Verdon… C’est à cet endroit que se noya l’abbé Pascal en 1928. Il était l’un des pionniers du Verdon. »

Nous prenons une longue pause pour pique-niquer.

Bien requinqués, nous reprenons le chemin du retour : c’est presque dans nos pas que nous repartons en chemin inverse.

Nous prenons le temps de faire quelques nouvelles photos à la descente dans la brèche Imbert.






La paroi abrupte de la falaise de l'Escalès surplombe le chemin.

Au niveau de la « plage du Solitaire » les rafteurs replient leurs bateaux et rejoignent également le parking.

Nous prenons le pot de l’amitié à Comps-sur-Artuby, les deux bars précédents sur notre route étant fermés.

Merci Joël pour cette belle randonnée de reprise.
Merci également aux photograhes, Alain W., Brigitte, Claude C., Eliane et Michel.
La semaine prochaine, jeudi 14 septembre :
G1 Départ : 8H Joël - 526 – La Garonette moyen*** 16,7 km Dh : 460
Suivons les rives de ce joli fleuve côtier avant un parcours en crête vers le Col de Cabasse; montée et descente raides en fin de parcours.
Parking : A gauche après le Pont sur la Garonette GPS : 43.361081 et 6.673851