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9 novembre 2019 6 09 /11 /novembre /2019 17:03

2019-11-7-937-2-THEOULE-LE TRAYAS VIA COL NOTRE DAME

 

 

 

Nous sommes 15 au départ de cette randonnée organisée par Louis.

Nous accueillons Michel, nouvellement inscrit  et qui participe à sa première randonnée avec le Cercle de Boulouris. Bienvenue à lui.

 

 

Nous marcherons de Théoule au Trayas sur une distance prévue de 12,2 kms avec un dénivelé de 390 mètres.

 

 

 

Une originalité : pas de co-voiturage aujourd'hui mais un trajet en train de Boulouris à Théoule. Il fait frais sur le quai de la gare de Boulouris mais le soleil est présent.

 

 

 

Notre TER est à l'heure. Le trajet d'une vingtaine de minutes nous donne l'occasion d'admirer sur notre gauche les sommets familiers de l'Estérel et à droite, par intermittence, de splendides points de vue sur les calanques et les plages.

Dès notre arrivée en gare de Théoule le panorama s'ouvre vers Mandelieu-La-Napoule et la route nous mène au bord de mer en quelques centaines de mètres.

 

 

 

 

La belle luminosité de ce début de matinée met en valeur les couleurs du port de Théoule et nous offre, depuis le chemin côtier, une belle perspective sur les sommets enneigés du Mercantour.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La promenade André Pradayrol, qui longe la côte, a été aménagée pour mettre en valeur la végétation locale. Elle conduit au parc départemental de la Pointe de l'Aiguille, parcouru par la voie Aurelia, qu'emprunte le chemin de Saint-Jacques de Compostelle en suivant sur cette portion le GR 653A.

Le littoral offre des points de vue spectaculaires. Le parc favorise le développement d' espèces végétales inhabituelles et se prolonge en mer par des fonds très riches favorisant la reproduction des sars, des dorades ainsi que des poissons de roche et des crustacés (voir la liste des parcs départementaux sur le site du département https//www.departement06.fr).

 

 

 

Nous faisons une courte pause devant la table d'orientation, l'occasion de procéder à la traditionnelle photo de groupe.

 

 

Nous quittons cette promenade facile et agréable en bord de mer pour amorcer la montée vers Notre Dame d'Afrique, un des objectifs principaux de cette journée.

 

 

 

 

Une heure trente s'est écoulée depuis notre départ de la gare de Théoule quand nous atteignons le site de Notre Dame d'Afrique.

 

 

La statue impressionnante, haute de 12 mètres et d'un poids de 30 tonnes, fait partie du mémorial souhaité par les rapatriés d'Algérie. Elle est la réplique d'une statue d'1,5 mètre existant toujours à Bologhine, dans la région d'Alger.

 

 

 

Pour plus de précisions, se reporter au compte rendu, par Rolande, d'une précédente randonnée qui avait été l"occasion d'une rencontre fortuite avec le sculpteur de l'oeuvre, Fortuné Evangelisti, originaire de Montauroux ("ND d'Afrique et les 3 cols" G2-883-2018-05-15).

 

 

 

Nous profitons de cet arrêt pour faire notre pause banane.

Une piste agréable nous conduit ensuite vers le col de Théoule. Nous passons au dessus de la voie ferrée qui emprunte le tunnel des Saumes, sous nos pieds.

 

 

Nous apercevons Miramar sur la gauche et, en face de nous, le Pic de l'Ours.

 

 

 

 

Nous poursuivons vers le col du Trayas.

 

 

 

 

 

 

 

 

Un petit en-cas avant la pause déjeuner : les fruits de l'arbousier, cueillis rouges, sont comestibles crus, mais doivent être consommés avec modération.

 

 

Nous poursuivons notre chemin en direction du col Notre Dame. Nous aurons sur notre droite le sommet des Grosses Grues et devant nous le Pic de l'Ours

 


 

 

Au passage, belle vue sur les îles de Lérins et la baie de Cannes.

 

 

Une courte pause avant d'attaquer la montée.

 

 

 

 

 

Le col Notre Dame est proche. Pause déjeuner. La vue est belle, même si le ciel se couvre.

 

 

Une citerne enterrée, il semble qu'elles le soient souvent dans les Alpes Maritimes, nous accueille le temps du repas.

 

 

Certains d'entre nous recherchent l'abri du vent un peu en aval.

 

 

 

Nouvelle photo de groupe.

 

 

 

Après avoir rejoint le col Notre Dame nous amorçons une assez longue descente par un chemin étroit et pierreux vers le Trayas.

 

 

Quand nous arrivons à la gare du Trayas nous disposons encore de plus d'une heure avant l'arrivée du train qui doit nous ramener à Boulouris. Largement le  temps de prendre le traditionnel pot de fin de randonnée au Relais des Calanques.

 

 

La terrasse est spacieuse et couverte. Appréciable, car la pluie, qui nous avait épargnés jusque là, commence à tomber.

 

 

 

 

Avantage supplémentaire, et comme son nom pouvait le donner à penser, le restaurant offre une belle vue sur les calanques, des atouts somme toute au diapason de l'addition.

 

 

De quoi conclure agréablement cette belle journée de randonnée. Merci à Louis pour l'avoir organisée et merci à Rolande et à Jean-Marie pour leurs contributions photographiques et leurs conseils.

La pluie nous épargnera encore le temps de rejoindre le train, une nouvelle fois ponctuel, qui nous ramènera en quelques minutes au parking du Manoir.

La semaine prochaine de Novembre, rando-resto.

 

L

 

 

 

 

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8 novembre 2019 5 08 /11 /novembre /2019 11:15

Bonjour à tous,

J'ai le plaisir de vous annoncer qu'un couple de blogeu(se)r vient de rejoindre notre équipe : Claudette et Jacques. C'est lui qui assurera la publication du blog du G2 du 7 novembre 2019. 

Bravo pour leur dévouement et bon courage à nos ami(e)s.

Jean-Marie

 

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25 octobre 2019 5 25 /10 /octobre /2019 20:00

2019-10-24 - 844 - BELLE BARBE – PLAN PINET – G1

 

Après les intempéries de ces derniers jours et la vigilance orange ayant été levée dans la nuit, nous pouvons prendre le départ pour cette randonnée au cœur de l’Estérel, programmée par Anne-Marie.

Nous sommes 14 randonneurs au parking du col de Belle Barbe. Le temps est encore nuageux mais la température est douce.

Anne-Marie nous présente la randonnée d’un peu plus de 20 km, avec une dénivelée cumulée estimée à 744 m. Nous avions fait cette randonnée en décembre 2016 sous le soleil. Ce jour, les brumes qui s’élèvent donnent une luminosité particulière.

Alain s’étant proposé comme serre-file, nous prenons le départ à 8h25 : plein nord, en direction du col Aubert, nous commençons par une grimpette d’une centaine de mètres sur le flanc du pic du Baladou.

Les sentiers sont bien détrempés et nous devons faire des écarts pour passer de grosses flaques, voire marcher les pieds dans l’eau, l’Esterel ruisselant fortement ce jour.

Mais le moral de la queue de la file reste au plus haut.

Le soleil fait son apparition et illumine le profil du Perthus Oriental.

Mais le rocher de Roquebrune est toujours dans la grisaille.

Nous atteignons le col Aubert à 8h50.

Au col du Baladou, malgré l’humidité, nous observons le pic de l’Ours, celui du Cap Roux, le Pilon et le Saint Pilon.

Nous redescendons en zone boisée vers le col du Perthus.

Le Mont Vinaigre est visible en arrière-plan.

Nous commençons à voir, au fond de son ravin le Perthus, ruisseau d’un peu moins de 9 km.

C’est ensuite le beau panorama sur les deux Perthus, séparés par un ravin, véritable petit Colorado.

A la Baisse de la Petite Vache, que nous atteignons à 9h40, nous avons une belle vue sur le pic de l’Ours et la Dent de l’Ours, à sa gauche.

Les cascades visibles sur le flanc droit du chemin et qui coulent vers le Gourin, présagent-elles un gué difficile à franchir ?

Le gué du Gabre de Gourin (affluent du Perthus) ne se passera pas à pieds secs : diverses techniques sont mises en place et Pierre précise que l’eau n’est pas froide…

Anne-Marie nous indique que nous sommes à l’extrémité sud du lac de la Prison, que nous verrons cet après-midi. Elle nous fait observer, au travers la végétation, le massif de la Prison qui culmine à 302 m.

Elle nous précise également que « ce site ayant servi, pendant la deuxième guerre mondiale, pour le regroupement de français devant partir pour le STO, les ruines seraient celles de la baraque des gardiens ».

Une fine pluie se met à tomber.  Mais l’épisode pluvieux ne dure pas.

En dessous de nous, le lac de la Prison est un peu visible, avec sa tache de nénuphars.

Le mont Vinaigre se dégage rapidement de sa couverture nuageuse et le ciel bleu apparait. A sa gauche nous voyons les Malavalettes.

Il est 11h45 quand nous arrivons à la cascade.

Nous allons monter au Plan Pinet par le GR. Une photo de groupe est prise par Alain. 

Le Mont Vinaigre se présente sous son profil plus reconnaissable.

Après un passage auprès de magnifiques eucalyptus dénudés, nous atteignons le lac du Plan Pinet.

Nous reprenons nos bâtons vers la Baisse Violette où nous devons déjeuner. Les nuages se densifient. Une pluie fine nous accompagne en début de repas et se transforme rapidement en une forte ondée avec même de la grêle.

Nous mangeons (trop) vite et au café la pluie cesse.

Nous repartons rapidement pour nous réchauffer, en direction du col des Suvières. Il est 13h20. La vue sur les deux Perthus est grisâtre.

Nous retrouvons le soleil, qui ne nous quittera plus. cool

Passage en forêt, traversées de pierrier….

Et nous voilà au lac de la Prison. Mais le gué est infranchissable et nous devons remonter au nord pour franchir plus aisément le Gabre du Gourin, puis un nouveau détour hors-piste à l’ouest avant de franchir un petit ru dont le débit avait bien grossi en son aval.

Nous contournons le lac de la Prison : au fond, la barre rocheuse des Suvières apporte une touche minérale.

La fin de la randonnée suit le cours du Gabre de Gourin

 jusqu’au pont des Cantines, confluence avec le ruisseau de Maraval, puis le ravin du Perthus jusqu’au pont éponyme.

Nous regagnons nos voitures à 16h15, via le col du Mistral.

Le pot de l’amitié est pris au bar du Soleil, au Dramont.

Merci Anne-Marie pour cette belle randonnée et cette découverte des cascades et ruisseaux de l’Esterel, en crue.

Les photographies sont de Alain et Claude.

La semaine prochaine :

 

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