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17 février 2024 6 17 /02 /février /2024 09:28

2024-02-15-687-2-Vallon des Vallons-Megalithes-G2

 

Il fait 9 degrés, le ciel est bleu, parsemé de quelques nuages. Les G1 sont arrivés avant nous sur le site avec Denis pour animateur, pour prendre de l'avance. Les deux groupes feront pratiquement le même trajet avec une extension pour les G1 qui nous rejoindront pour le pique-nique, et nous terminerons ensemble pour partager le pot de l'amitié.

Thierry présente le parcours G2 : "Rando inédite dans un secteur entre Saint-Cézaire et Spéracédès sur des chemins et des pistes qui vous feront découvrir avens, puits, dolmens et mégalithes. Version courte de la G1".

C'est, pour les G2, une randonnée classée moyen xx de 12,6 km pour une dh de 270 m.

 

 

Jean s'étant spontanément proposé pour être notre serre-file, nous pouvons partir. Nous sommes 21.

Nous empruntons d'abord une portion de la route qui conduit à la déchetterie, mais la quittons rapidement,

 

 

pour nous engager, à gauche, sur un sentier en légère montée au milieu des pins et de quelques chênes.

 

 

 

Un premier regroupement au moment de prendre une piste, encore une fois sur la gauche, pour suivre le Vallon de Colle Basse.

 

 

 

C'est une belle piste, qu'emprunte le GR51.

 

 

La montée est très progressive, le groupe est plutôt compact et les conversations vont bon train. Inutile de trop presser le pas si nous voulons laisser du temps au G1 de façon à synchroniser notre jonction au moment du pique-nique.

 

 

Nouvel arrêt pour procéder à un premier effeuillage et se désaltérer.

 

 

 

C'est reparti, en direction du Col de Cabris.

 

 

Après avoir emprunté un sentier en montée, un peu pierreux, nous arrivons au Col du Cabris. Nous ne sommes pas très loin du village de Le Tignet, ce qui explique la présence de quelques promeneurs accompagnés de leurs chiens.

C'est l'heure de la pause banane.

 

 

 

 

 

 

 

 

Après cette pause nous obliquons vers le nord. Nous longeons le chemin du Bois d'Amon qui nous offre l'opportunité de contempler les montagnes qui émergent au-dessus de la forêt. Thierry nous rappelle que le restaurant "Chez Huguette", spécialement prisé des randonneurs et que nous pourrons retrouver en avril pour une rando-restaurant, se trouve sur l'autre flanc de l'Audibergue, le sommet que nous voyons sur la droite.

 

 

Nous quittons le chemin du Bois d'Amon pour un sentier facile, sur la droite, en direction de Saint-Vallier-de-Thiey.

 

 

 

 

Nous le quittons quand il devient moins agréable 

 

 

et poursuivons, à plat, dans la forêt, à la recherche des avens. 

 

 

 

Le sentier est parsemé de crocus bigarrés.

 

 

Nous approchons des avens recherchés.

 

 

Nous ne  verrons pas le "Beau Serge" mais nous trouvons bientôt cet anonyme. L'entrée n'est pas impressionnante mais il ne faut pas s'y fier : il est d'une profondeur supérieure à 100 m.

 

 

 

Thierry nous dit quelques mots de ces avens et de ces grottes, nombreux autour de Saint-Cézaire-sur-Siagne. "Un aven n'est pas une grotte : cette dernière est une cavité souterraine horizontale, plus ou moins profonde, comptant au moins une partie accessible ; tandis qu'un aven est une sorte de gouffre dont l'accès s'ouvre dans le sol sous forme de puits".

Pour répondre à nos questions il rappelle les caractéristiques des structures karstiques qui permettent la formation de ce type de paysage, essentiellement dans les roches calcaires. Leur perméabilité et le fait qu'elles soient solubles par l'eau chargée de gaz carbonique permet de dissoudre la roche et provoque des infiltrations de l'eau de pluie ou de rivières qui génèrent des dolines, des grottes, des avens, et permettent l'écoulement et le stockage de l'eau souterraine.

 

 

En poursuivant notre chemin nous pouvons admirer un beau panorama, qui porte jusqu'au Mont Lachens, le plus haut sommet du Var.

 

 

Nous approchons d'un canal enterré, sur lequel nous allons marcher pendant quelques centaines de mètres en longeant les Prés de Merle.

 

 

L'histoire du canal de la Siagne est extrêmement complexe. Les projets le concernant ont donné lieu à de nombreuses controverses entre 1850 et 1868. Le projet soutenu par la ville de Cannes s'imposera finalement. Il alimentera les communes entre Grasse et Cannes mais oubliera les communes situées en partie haute.

"Seule Saint-Cézaire tira son épingle du jeu...son maire obtint...la construction d'une machinerie capable de porter dans un réservoir 200 m3 en 24 heures (le bélier). Les autres communes attendront la construction du Canal Belletrud... pour être desservies en eau. Les villages au-dessus du canal, Le Tignet, Cabris, Spéracèdes ne bénéficieront pas de son eau".

 

 

Belle perspective !

 

 

Un arrêt pour se désaltérer et se concerter avec le G1 que nous devrions bientôt retrouver pour la pause pique-nique.

Thierry le met à profit pour nous parler de l'origine des bâtiments abandonnés que nous avons pu apercevoir sur la route qui nous amenait à Saint-Cézaire.

Il s'agit d'une  réalisation originale menée dans les années 1970 par deux architectes proches de l'école corbuséenne.

l' Unité de Retraite "Riviera 2" était un ensemble de cinq bâtiments de quatre étages constitués de 188 logements à sélection sociale s'adressant à des résidents âgés, aisés et autonomes, implantés dans un parc arboré de 8 ha. Chaque immeuble constituait une Unité Retraite proposant des studios indépendants réunis sur un socle comprenant des services communs et donnant accès à un jardin d'agrément et de nombreux éléments de confort (résidence sécurisée, piscine, espace détente, etc.).

Les deux architectes avaient travaillé dès 1965 sur 6 programmes de ce type dont seulement 4 verront finalement le jour dans les années 1970. Riviera 2 est donc l'une des premières résidences-services françaises. L'ensemble n'a été que peu transformé au cours de son utilisation, mais est abandonné depuis plus de 20 ans.

Pour en savoir plus :

https://www.culture.gouv.fr/Regions/Drac-Provence-Alpes-Cote-d-Azur/Politique-et-actions-culturelles/Architecture-contemporaine-remarquable-en-Paca/Le-label-Architecture-contemporaine-remarquable-en-Provence-Alpes-Cote-d-Azur/Label-ACR-Alpes-Maritimes/Saint-Cezaire-sur-Siagne-Unite-de-retraite-Riviera-2

 

 

Encore une portion de "canal " en direction du Vallon des Vallons,

 

 

puis nous prenons un sentier vers la gauche pour amorcer la descente qui nous ramènera vers Saint-Cézaire-sur-Siagne.

 

 

Nous sommes un peu en avance. Nous en profitons pour faire une photo du groupe G2 avant de tous nous regrouper.

 

 

 

Il ne fait pas de toute qu'il a plu récemment. C'est suffisamment rare pour s'en réjouir malgré la boue.

 

 

Nous atteignons le lieu du rendez-vous avec les G1,

 

 

et nous installons confortablement pour commencer notre pique-nique en les attendant.

 

 

 

Ils ne tardent pas à nous rejoindre.

 

 

Ce sera l'occasion d'une photo de groupe réunissant les 40 marcheurs du jour.

 

 

Nous repartons tous ensemble.

 

 

Un arrêt pour permettre à Denis de nous dire quelques mots des mégalithes qui jalonnent le site.

 

 

Nous ferons également une pause devant cette borie, un site  qui a contribué à l'alimentation en eau de Sainte-Cézaire sur lequel Denis nous donnera également des informations. 

Le problème de la pénurie en eau a toujours été présent dans cette région : voir http://www.canal-belletrud.fr pour en savoir plus, un site extrêmement bien fait qui donne beaucoup d'informations sur l'eau et sur sa gestion.

 

 

Puis nous partons à la recherche du Dolmen de Colbas, un des plus grands dolmens du département enserré dans un cumulus de 14 m de diamètre, qui devrait se trouver sur notre chemin mais que nos deux animateurs ont cherché vainement pendant leur reconnaissance.

Encore une jolie vue avec le lac de Saint-Cassien en prespective.

 

 

Nous avons pris un sentier sur la gauche au milieu du maquis,

 

 

et nous nous mettons bientôt tous à la recherche du dolmen, avec beaucoup d'implication. Mais la nature a repris ses droits depuis les incendies qui ont affecté cette partie du massif et malgré les efforts de tous nous ne parviendrons pas à retrouver le célèbre mégalithe.

 

 

Heureusement, à force de perspicacité, Michel sauve la situation "in extremis" en découvrant ce dolmen miniature : nous ne rentrerons pas bredouilles !

 

 

Après une assez longue descente à travers bois et un retour au parking pour récupérer nos véhicules nous nous retrouverons au centre de Sainte-Cézaire pour partager le pot de l'amitié.

 

 

 

 

 

 

 

 

Merci à Thierry et à Denis pour cette randonnée agréable et bien documentée, et merci à nos serre-files, Jean pour le G2 et Marc pour le G1.

 

La semaine prochaine :

 

lundi 19 février :

GL1- Sommet de l'esquire-014-2 par Patrick

 

GL2-Rocher du Gravier-059 par Thierry

 

 

jeudi 22 février :

G1-Lieutenante-Baou Rouge-682 par Thierry

 

 

G2-Le Thoronet-Canal Ste Croix-832-1- par Patrick

 

 

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 15:31

2024-02-Jeudi- 840-4 La Garde Freinet-les Roches blanches par le lac - G1

Nous sommes 18 vaillants à nous retrouver sur le parking dont 5 femmes. 

 

Patrick nous présente la randonnée: "Au départ du centre de la Gare-Freinet nous emprunterons un chemin pentu en descente qui nous emmènera au Rucher de Blay pour un point de vue sur le lac.  Ensuite une pente raide nous mènera au Fort de la Garde et à la Croix de la Garde d'où nous aurons un magnifique panorama depuis la table d'orientation.  Nous continuerons sur une belle piste à travers un paysage apocalyptique dû aux incendies de 2022 et nous terminerons par le chemin des crêtes pour contempler les Roches Blanches.  Nous regagnerons La Garde-Freinet par une descente pentue et visiterons le village."

Je présente brièvement un nouvel adhérent prénommé Philippe.

Une fois le village traversé nous nous engageons d'un bon pas sur le chemin pentu qui descend.

Nous arrivons au Vallon Vanada où s'étend un lac au-dessus  d'une station d'épuration d'eau. Cette retenue est le ruisseau des Neufs Riaux. 

D'un commun accord nous choisissons d'en faire tout le tour pour voir de plus près le rucher de Blay apparu pour la première fois dans le cadastre en 1613.

 

Nous écoutons Patrick lire tout le panneau et sommes plus impatients que jamais de voir ces ruches en liège de plus près.

Nous revenons sur nos pas et montons une pente raide qui nous mènera éventuellement au Fort de La Garde.

Nous jetons un dernier regard sur ces curieuses ruches entourées d'un muret de pierres sèches. 

Au sommet, la pause-banane à 11h15 - ouf!

Jolies vues de la pause-banane ci-dessus et ci-dessous
Et on repart!

Nous arrivons au Fort de la Garde.

Un fossé entoure le fort

 

Tout, tout, tout, vous saurez tout sur le Fort!
Photo de groupe près du fort
Vue sur La Garde-Freinet du fort

Après cette agréable pause, nous reprenons nos bâtons et affrontons une descente périlleuse.

Nous arrivons à la Croix de la Garde.  Quelques courageux s'y rendent.

Au pied de ce rocher se trouve une table d'orientation d'où nous avons un magnifique panorama.

De nouveau La Garde-Freinet vue de la table d'orientation

Nous continuons sur une large piste bordée de chênes.

qui sinue parmi les versants des collines recouverts de pins verdoyants mais aussi d'arbres brûlés par les fréquents incendies.

 

Elle n'en finit pas cette piste!
Et on a faim, nous!

Ouf, nous nous posons parmi les roches pour dévorer notre pique-nique. 

Et c'est reparti!

Y'en a qui souffrent!

Et d'autres qui sourient quelque soient les circonstances :)

Mais nos efforts sont récompensés par la curiosité géologique qui nous attend: sur notre gauche un cairn géant

et sur notre droite les Roches Blanches.

Site d'intérêt géologique à 637m d'altitude, les Roches Blanches sont composées de filons de quartz étincelant émergeant du schiste. 

Nous reprenons notre chemin et apercevons au loin la baie de St-Tropez avec vue sur Cogolin et Grimaud.

Une longue piste large et facile nous ramène au village 

et c'est au Bar du Soleil que nous prenons le pot de l'amitié.

 

Un grand merci à Patrick pour cette superbe randonnée de 15,5 kms et 544m de dénivelé.

Merci à nos serre-files Denis et Thierry.

Les photos sont de Dominique G.

Jeudi 22 février: 

G1 menée par Thierry:

Lieutenante-Baou rouge - Moyen xxx - 16,2 kms pour 441m de dénivelé.

G2 menée par Patrick:

Le Thoronet-Canal de Ste-Croix - Moyen xx - 12,5 kms pour 258m de dénivelé.

 

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10 février 2024 6 10 /02 /février /2024 10:19

 

2024-02-08-801-Circuit des Monges N 3-G2

 

Le parking Pastor est très chargé, vers 9h15, quand nous nous retrouvons sur place, un lieu de stationnement prisé aussi bien des randonneurs que des cyclistes.

Il fait 9 degrés, le ciel est bleu, mais déjà parsemé de nuages blancs, et une brume légère brouille un peu l'horizon.

Joël nous présente le circuit, créé à partir d'une G1 remaniée : "Beau circuit sur de belles pistes dominant les paysages magnifiques de la baie de Théoule, et passant par les cols de Théoule et des Monges. Une petite montée sur sentier étroit pour découvrir la statue du Mémorial d'Afrique sous un angle inhabituel, et la possibilité d'un aller-retour au Rocher des Monges".

C'est une randonnée classée moyen xx de 9,1 km pour un dénivelé de 358 m. 

 

 

Alain, notre serre-file, procède à un comptage rapide quand nous nous engageons sur la piste du Vallon de l'Autel : nous sommes 26.

 

 

Nous sommes rapidement rejoints et dépassés par le groupe de cyclistes rencontré sur le parking.

 

 

Un premier arrêt après une dizaine de minutes de marche sur cette belle piste : Joël nous indique que nous allons prendre sur la gauche le sentier en montée qui nous conduira jusqu'au site de Notre Dame d'Afrique.

 

 

D'abord étroit, raide et encombré de branches, le chemin s'élargit bientôt et devient plus facile.

 

 

Nous faisons une pause de temps à autre pour jeter un regard sur le paysage environnant,

 

 

 

et poursuivons la montée, qui sera la principale difficulté de la journée.

 

 

De nouveaux épisodes de contemplation,

 

 

qui seront aussi l'occasion de procéder à un effeuillage que l'arrivée du soleil et l'effort de la montée ont rendu nécessaire.

 

 

La vue vers Théoule est belle.

 

 

Nous ne sommes plus qu'à quelques minutes du sommet,

 

 

 

où nous retrouvons le GR 653A qui nous conduit vers le Mémorial.

 

 

 

Une nouvelle occasion d'admirer cette belle statue de 12 mètres de hauteur. Joël nous rappelle qu'elle a été réalisée par le sculpteur Fortuné Evangéliste qui s'est inspiré du modèle original installé dans la Basilique de Saint-Eugène d'Alger.

Ce mémorial est un lieu de recueillement, de méditation et de rassemblement. Dédié à Notre-Dame d'Afrique, il a été consacré en 2000. La première pierre a été posée en 1990 sur un terrain mis à disposition de l'Association "Mémorial Notre-Dame d'Afrique" dans le cadre d'un bail emphytéotique.

 

 

Nous reprenons le GR 653A, qu'emprunte le Chemin de Compostelle, en direction du col de Théoule.

 

 

C'est bientôt l'heure de la pause banane.

 

 

Elle nous donne l'occasion de contempler la vue vers Miramar, le port de la Figueirette et le Trayas.

 

 

Joël nous fait remarquer les nids d'hiver de chenilles processionnaires qui ornent de nombreux pins tout autour de nous. Leur présence est de plus en plus importante.

 

 

Nous poursuivons le GR 653A au long d'une belle piste qui descend vers le col de Théoule en passant au-dessus du tunnel des Saumes, emprunté par la voie ferrée. Cette fois la vue porte vers le golfe de la Napoule et permet d'apercevoir, malgré la brume,  le port de Théoule et Mandelieu au-delà. 

Chemin faisant nous aurons pu apercevoir le Pic de l'Ours ainsi que les sommets des Grues.

 

 

Nous arrivons au col de Théoule où se croisent plusieurs sentiers de randonnée,

 

 

et prenons la piste des 3 cols, large et confortable, 

 

 

qui nous conduit au col des Monges, puis au Rocher des Monges où nous prendrons notre pique-nique. 

 

 

Une courte pause au préalable : le soleil s'est caché, il y a un peu de vent. Il faut remettre quelques couches et penser à boire.

 

 

Nous approchons du sommet. C'est maintenant un sentier, aménagé de larges marches que nous suivons jusqu'au lieu du pique-nique. 

 

 

Pendant que certains s'installent sur les rochers, les plus courageux suivent Joël pour un aller et retour jusqu'au sommet. La montée n'est pas toujours facile.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le panorama est vaste depuis le haut mais le ciel s'est bien couvert et la luminosité est faible,

 

 

ce qui n'altère en rien la joie et la fierté du petit groupe de 8 randonneurs vainqueur du sommet du Rocher des Monges.

 

 

 

Il est bientôt rejoint par Bernard qui s'est décidé tardivement à faire l'ascension.

 

 

Tout le monde se regroupe pour le pique-nique,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

que nous ne prolongerons pas outre mesure car la température a fraichi. Nous amorçons la descente.

 

 

Un arrêt en route pour la traditionnelle photo de groupe,

 

 

 

et pour profitez des vues qui s'offrent à nous. Les mimosas sont de plus en plus présents dans cette zone au fil du temps et certains massifs sont bien en fleurs, comme on peut le voir ici.

 

 

 

Nous marchons d'un bon pas sur cette piste large et confortable.

 

 

Les sommets de l'Estérel nous accompagnent. On aura pu voir, sur les photos précédentes et sur celle-ci, le Mont Saint-Martin, le Sommet Pelet, et au-delà les Suvières et le Sommet du Marsaou.

 

 

La longue descente se poursuit allègrement, 

 

 

en plongeant sur Théoule.

 

 

Nous longeons de beaux spécimens d'eucalyptus. 

 

 

et pouvons observer sur notre gauche les grottes et les sculptures étranges générées par l'érosion sur ces falaises.

 

 

Plus en aval nous longerons de belles villas accrochées sur les pentes et cette étrange demeure surmontée de tours.

 

 

Nous atteignons le port de Théoule, sous le soleil qui daigne faire sa réapparition.

 

 

Une belle vue sur le Château de Théoule, aujourd'hui complexe hôtelier,

 

 

et nous terminons cette belle journée par le pot de l'amitié, partagé au Bistrot de Lérins, au cours duquel

 

 

ce moment de complicité entre un animateur fraichement retraité et un autre qui le sera très prochainement n'aura pas échappé aux blogueurs.

 

 

Un grand merci à Joël pour nous avoir fait découvrir cette belle variante. Merci également à Alain notre serre-file.

 

La semaine prochaine : 

Lundi 12 février  :

GL1-Lac des 3 vallons-280 par Denis

 

GL2-Le Grand Défens-100-2 par Patrick

 

 

Jeudi 15 février :

G1-Vallon des vallons-687-1 par Denis

 

G2-Vallon des Vallons-687-2 par Thierry

 

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