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6 avril 2024 6 06 /04 /avril /2024 18:10

2024-04-04-814-2-Mont St Martin depuis Maure Vieil-G2

 

Il est environ 9h30 lorsque les 10 candidats à cette randonnée organisée par Anne-Marie, 7 marcheuses et 3 marcheurs, nous sommes loin de la parité, se retrouvent sur la DFCI des Mineurs à Théoule-sur-Mer. 

Il fait 13 degrés pour le moment, le ciel est couvert mais la météo annonce du soleil, et un peu de vent.

Anne-Marie nous présente le tracé du parcours et son profil: "Cette randonnée au départ de Maure Vieil vers le Mont Saint Martin, le Mont Pelet et le Rocher des Monges vous fera découvrir le joli site du pont Sarrazin et ses petites cascades. Courte mais dense, elle propose de belles pentes jusqu'à 24%".

Elle est classée moyen xx pour 12,4 km et une Dh de 430 m.

 

 

Notre petit groupe de marcheur-euse-s averti-e-s ne devrait pas avoir besoin de serre-file (petit exercice, qui ne sera pas répété dans ce blog, d'écriture inclusive).

Anne-Marie nous informe que nous entrons dans une caldeira, c'est à dire "une grande dépression formée par l'effondrement de la partie supérieure du cône d'un volcan à la suite d'éruptions intenses et rapides". Après être montés au Mont Saint Martin, nous ferons pratiquement le tour de cette caldeira via les cols de la Cadière, du Trayas et des Monges.

Nous quittons la DFCI des Mineurs pour celle de la Cadière, une belle piste en surplomb de la Rague, en légère montée.

 

 

Bientôt les premiers rayons de soleil font leur apparition,

 

 

en même temps que la pente s'accentue.

 

 

 

Le ciel dégagé met en valeur le Mont Saint Martin. C'est à proximité de son sommet que nous devrions faire notre pause banane.

 

 

Le rythme est soutenu,

 

 

mais, G2 oblige, Anne-Marie propose des arrêts à intervalles réguliers.

 

 

Nous voici arrivés au pont Sarrazin, un des points d'intérêt de cette randonnée. Il enjambe le ravin de Maure Vieil. Nous sommes ravis de constater qu'il est à nouveau bien en eau et prenons plaisir à écouter les clapotis de la rivière. L'une d'entre nous fait observer que, malgré une pluviométrie favorable ces derniers temps, les oiseaux sont étonnamment discrets dans l'Estérel.

 

 

Nous obliquons vers la gauche pour emprunter un sentier ombragé, plus étroit, en montée,

 

 

 

La nature s'éveille et nous propose à voir de nombreuses espèces de fleurs et d'arbustes parmi lesquelles le laurier-tin, la bruyère arborescente, le ciste à feuilles de sauge, et l'arbre de judée. Nous en verrons bien d'autres au fil de cette randonnée, et notamment en abondance les belles lavandes papillons, toujours très présentes dans l'Estérel.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous retrouvons la rivière pour un passage à guet sans difficultés particulières. Pourtant certains randonneurs semblent concentrés sur une tâche délicate : renseignements pris il s'agissait tout simplement du repêchage d'un bâton malencontreusement tombé à l'eau. 

 

 

Quelques minutes  plus tard nous sommes sur un promontoire qui offre une belle vue sur notre prochain objectif : le Mont Saint Martin.

 

 

 

Nous quittons bientôt le sentier, plutôt confortable, pour une montée qui l'est moins à travers les rochers,

 

 

avec des pentes parfois tranquilles,

 

 

et parfois plus prononcées. La découverte de fragments de craie insolites nous amène à échafauder des hypothèses plus ou moins rigolotes : une pause détente.

 

 

 

Nous sommes récompensés de nos efforts en arrivant en haut du Mont Saint Martin. La vue est magnifique et, bonne nouvelle, c'est l'heure de la pause banane.

 

 

 

C'était une petite extension, un aller et retour. Nous rebroussons chemin

 

 

pour récupérer un sentier en montée vers les Oeufs de Bouc et le col de la Cadière. NB : "les oeufs de bouc seraient en fait des lithophyses (géodes) que l'on trouve dans les coulées de lave (Maure Vieil est un ancien volcan)".

 

 

La pente est parfois raide, comme annoncée dès le départ par Anne-Marie, 

 

 

mais à chaque fois la récompense est là,

 

 

avec un superbe panorama sur l'Estérel.

 

 

 

Les sentiers pierreux ont fait place à une large piste 

 

 

et les belles vues se succèdent, tantôt vers le Golfe de la Napoule et les Îles de Lérins,

 

 

tantôt vers les sommets de l'Estérel, ici le Pic de l'Ours,

 

 

ou encore vers le Golfe de Fréjus.

 

 

Nouvelles vues magnifiques, quand nous amorçons le chemin du retour, vers le Golfe de la Napoule.

 

 

 

Nous abordons, avec prudence, une succession de sentiers en descente,

 

 

entrecoupée de passages plus confortables sur la crête,

 

 

 

avant de retrouver la piste.

 

 

C'est ici que nous ferons notre pause pique-nique. Il est presque 13 heures : le soleil est toujours là mais un petit vent frais s'est levé. 

 

 

Sur le chemin du retour nous pouvons contempler le Mont Saint Martin, d'où nous venons, et le Mont Pelet.

 

 

Les Dames de Onze Heures, ou "Ornithogalum Umbellatum", sont très présentes. 

 

 

Nous nous arrêtons en chemin pour sacrifier à la tradition de la photo de groupe.

 

 

 

Notre longue descente nous offre une nouvelle opportunité de contempler l'Île Sainte Marguerite,

 

 

et la végétation en pleine explosion.

 

 

La longue piste de la Cadière, qui passe au Col des Monges, nous permettra d'apercevoir à un moment sur notre droite le Mémorial Notre-Dame-d'Afrique au sommet de la crête qui surplombe le Port de la Galère. 

Après avoir contourné le Rocher des Monges par la gauche Anne-Marie nous proposera d'abandonner provisoirement la piste pour quelques sentiers pentus, en montée et en descente, offrant de magnifiques vues sur la côte.

 

 

La piste de la Cadière nous ramènera finalement en pente douce jusqu'à nos véhicules,

 

 

et c'est au bar "le Soleil" au Dramont que nous prendrons le traditionnel pot de l'amitié.

 

 

Merci Anne-Marie pour cette randonnée dense, comme tu l'avais qualifiée, et intéressante, avec une succession de très jolis panoramas.

 

La semaine prochaine :

Lundi 8 avril :
 

GL1 : Ravin du Perthus-018-par Joël

 

 

GL2-Baisse du Sablier-104-par Thierry

 

 

jeudi  11 avril : 

G1-Les Marmites du Grand Vallon-877 par Joël

 

 

G2-Pichouris-877-2 par Denis

 

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30 mars 2024 6 30 /03 /mars /2024 16:04

2024-03-28- 912 - VENCE - LES BAOUS - G1

Il est 9h45 ce jeudi matin lorsque nous nous retrouvons sur le parking de "Plan des Noves les plaines" à quelques kilomètres du Col de Vence la température est de 8° et le ciel bien plombé.

Thierry nous présente le tracé de notre randonnée classée 3* qui nous emmènera au plan des Noves puis vers les Blaquières à 809m d'altitude.

Nous ferons deux aller-retours pour aller au Baou des Blancs surplombant Vence puis au Baou des noirs surplombant Saint Jeannet.

Compte tenu des pluies récentes et de la météo les consignes de prudence sont recommandées notamment pour les passages dans les lapiaz.

 Claude qui est notre serre file a la charge de nous compter,
nous sommes 19 .

Nous prenons le sentier en légère descente,

Sur notre gauche on peut apercevoir les ruines d'un bâtiment et des murs de pierres sèches. 

 Nous suivons le GR51 parmi les chênes,

il faut regarder où l'on mets les pieds, le sol pierreux est glissant.

Les pluies récentes ont laissées de belles flaques.
Nous les éviterons, enfin pas tous… 

Nous voici arrivés au plan des Noves.

Ancien "grenier" du pays vençois, évoque ce passé agricole par sa toponymie ("Noves" vient du latin "terrae novae" "terres nouvelles").

Domaine du pastoralisme hivernal, le Plan des Noves a vu quelques champs renaître grâce aux cultures à gibier (blé, sarrasin, sainfoin), donnant ponctuellement au site son visage d’antan, lorsque les cultures de céréales y abondaient. Quelques grandes bâtisses à l'abandon rappelle que ces vastes espaces à la terre fertile abritaient jadis une population de paysans sédentaires malgré l'absence de source ou de ruisseau.

Nous traversons le plateau,  

La visibilité est toujours réduite,

Dans le brouillard Thierry nous laisse imaginer la Combe Martine.

 Et sur le lapiaz nous nous posons pour la pause banane.

 Tout savoir sur le lapiaz

Nous continuons en direction des Blaquières point le plus haut de notre randonnée culminant à 809 m.

Nous voici arrivés à la balise 124,
celle-ci nous indique la direction des deux Baous .
 

Le ciel s'est dégagé, 
en route pour le Baou des Blancs. 

Et toujours des pierres! 

Une croix datant de 1896, une table d'orientation et un banc 
nous sommes au sommet du Baou des Blancs à 673m d'altitude.

Mais qu'est-ce qui les fait rire ?

 Bien installé, Thierry nous donne quelques explications:

Le terme "Baou" principalement utilisé dans le sud de la France fait référence à un escarpement dont le sommet est souvent plat.

Les "Baous" jumeaux des Noirs et des Blancs se font écho en rappelant la mémoire des confréries de pénitents qui jouèrent au Moyen Age un rôle important de secours et d'assistance au delà de leur vocation spirituelle.

Le Baou dit "des Blancs" est ainsi nommé parce que la confrérie vençoise des Pénitents Blancs y montait annuellement en procession.

L'homme du néolithique occupait déjà la place, on a retrouvé des traces dans les grottes. Le sommet est devenu un oppidum dès l'âge du Bronze...jusque vers 750 avant J.C. C'était là sans doute la capitale du peuple ligure des Nerusii avant la fondation de Vintium (Vence). Au moyen Age, le site devient le Castrum Saint-Laurent, une place fortifiée dont on peut découvrir encore aujourd'hui les nombreuses ruines, les murs d'enceintes avec des tours semi-circulaires. Cette bastide servira de refuge lors des invasions entre le VIème et le Xème siècles. Pendant les guerres de religion, le castrum sert de camp retranché pour les protestants. Sa démolition est ordonnée en 1591 mais sera effective plus tard sous l'administration de Richelieu".

 Le baou des blancs surplombe la ville de Vence et la cote en arrière plan.

c'est l'endroit idéal pour le pique nique.

Ainsi que pour la traditionnelle photo de groupe .

Et oui Denis c'est dur, il faut résister mais rassure toi c'est la dernière!

C'est un aller-retour, donc il faut revenir sur nos pas. 

Denis et Thierry en pleine observation….
des sommets au loin. 

La montée au Baou des Noirs était incertaine en début de journée du fait de la météo couverte, mais les éclaircies venues nous pouvons maintenant la faire et tout le monde suit…

 Sur notre gauche, nous avons une vue sur le Baou Saint Jeannet culminant à 802m qui domine la commune de Saint Jeannet à son pied. 
En contrebas nous en entendons les chiens d'un refuge .

 Il aurait été dommage de ne pas voir ce magnifique panorama du Baou des Noirs à 680m.

Au fond la baie de Nice et Cannes

On repart avec pour objectif les chênes verts au loin. 

Nous traversons des champs et...des tas de pierres .

Mais que regardent 'ils tous ? 

La neige sur les sommets du Mercantour,
difficile à imaginer sur la photo et pourtant elle est bien là! 

Nous traversons un paysage assez lunaire
et 
passons sur le site de "Mangia Pan" constitué d'anciennes bergeries.

Nous sommes de retour au Plan des Noves, mais là la vue est dégagée!

Notre dernière montée de la journée,
le GR51 descendu ce matin qui nous ramène au parking.  

Nous prenons notre pot de fin au "Select Bar" où nous sommes accueillis avec le sourire.

Un grand merci à Thierry pour cette belle randonnée aux panoramas à couper le souffle et pourtant ce n'était pas gagné au départ.

Un vrai plaisir pour les yeux et les jambes avec montées et descentes sur 15,46 Kms avec un dénivelé de 542m effectués en 6h52.

Les photos sont de Véronique

La semaine prochaine :

- Lundi 1er Avril 2024 : 

GL1/GL2 : Col des Sacs - 181-1  animée par Thierry

- Jeudi 4 Avril 2024 : 

G1 : La Maline - 786  animée par Patrick

G2 : Mont Saint Martin - 814-2  animée par Anne Marie

 

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29 mars 2024 5 29 /03 /mars /2024 16:30

2024-03-28-506-Belle Barbe-Maraval-G2

 

9h25 sur le parking du col de Belle-Barbe, dans l'Estérel. Le ciel est couvert, la température est de 14 degrés, mais la météo prévoit un rayon de soleil dans la matinée.

Malgré tout, les précipitations de la veille ont dû dissuader nombre de randonneurs, puisque nous ne sommes que 8 au rendez-vous, dont deux ex-animateurs. Nous serons bien encadrés...

Le moral est bon, Alain P. peut nous présenter le programme :

"Très joli parcours dans l'Estérel, dans les ravins du Perthus et du Maraval, sur des pistes larges sans difficultés. Une seule montée (8Om sur 500m) jusqu'à la baisse des Charretiers et nous contournerons la barre du Roussiveau avec une belle descente caillouteuse. Retour par le pont du Perthus et le col du Mistral".

C'est une randonnée classée moyen xx, de 14,3 km pour une Dh de 331 m.

 

 

C'est parti, par un sentier en légère montée, au milieu de plantes dont la floraison a été accélérée par l'alternance de pluie et de soleil, principalement des cystes cotonneux et des asphodèles blancs à cet endroit.

 

 

 

Il fait rapidement chaud, ce qui justifie un arrêt "effeuillage".

 

 

Nous nous dirigeons vers le col du Mistral,

 

 

et empruntons la route qui mène au pont du Perthus.

 

 

C'est une grand satisfaction de voir à nouveau de l'eau dans l'Estérel !

 

 

Nous suivons le ravin du Pertus,

 

 

 

en longeant les parois du pic du Perthus Occidental,

 

 

jusqu'au pont des Cantines. Nouvel arrêt pour la pause banane. Jean Borel en profite pour attirer notre attention sur les points IGN, incrustés dans le parapet du pont, aussi bien au pont du Perthus, nous avions pu l'observer tout à l'heure, que sur celui-ci :

"Ces points géodésiques sont répertoriés par l'Institut National de l'Information Géographique et Forestière... mis en place à partir du XIXe siècle, ils sont très importants car ils ont la particularité d'être des points dont on connait précisément les coordonnées géographiques et ils jouent, ou ont joué, un rôle dans la cartographie par triangulation".

 

 

 

Nous reprenons la piste en suivant le cours du ruisseau du Perthus en direction du pont du Pigeonnier.

 

 

Deux photos du ruisseau du Perthus, comme nous n'avions pas pu le voir depuis quelque temps.

 

 

 

Nous voici au pont du Pigeonnier.

 

 

A partir de maintenant nous allons suivre, un temps, le cours du ruisseau du Maraval, et entamer la principale difficulté de la journée, une piste en montée de 80m de dénivelé sur 500m de distance,

 

 

 

pour atteindre la maison forestière des Charretiers. Elle est malheureusement en ruines, comme la plupart des maisons forestières de l'Estérel. Cela ne nous empêchera pas d'en faire le décor de nos premières photos de groupe.

 

 

Si certains sont intéressés par une brève histoire de ces maisons forestières de l'Estérel, au nombre d'une dizaine, il est possible de se reporter à un blog spécifique réalisé pendant le confinement de 2020: blog du 18 avril 2020, édité le Ier mai 2020 "confinement n°7-les maisons forestières de l'Estérel-2020-05-01".

Un sujet qui revient dans l'actualité au moment où une pétition est lancée sur change.org intitulée "qui a déshabillé la Duchesse ?".

 

 

C'est bientôt l'heure de notre pique-nique, installés sous les chênes, à l'abri du vent, au moment d'amorcer notre retour vers le col de Belle Barbe.

 

 

 

Depuis notre lieu de pique-nique nous avions l'opportunité  d'apprécier cette belle vue, à travers les feuillages, vers Saint-Raphaël, Fréjus et les Issambres.

 

 

Un peu plus tard, après avoir suivi un sentier pierreux en descente, c'est à proximité de la baisse Andoulette que nous nous arrêtons quelques minutes,

 

 

pour faire de nouvelles photos de groupe,

 

 

 

et pour contempler le panorama à 180 degrés qui s'offre à nous, d'abord vers Saint-Raphaël et Fréjus,

 

 

 

 

 

vers le pic du Cap Roux,

 

 

 

 vers le pic de l'Ours,

 

 

et vers les sommets des Grues.

 

 

Un peu plus tard, pendant la descente sur les flancs de la barre du Roussiveau, nouvelle vue sur le golfe de Fréjus

 

 

avant de longer le vallon de l'Apié de Sigallon, de passer sous une grotte signalée par Alain comme s'étant récemment effondrée,

 

 

et d'affronter quelques passages délicats.

 

 

 

Nous voici sous la barre du Roussiveau.

 

 

 

Au lieu de descendre en direction du parking de la maison Forestière du Roussiveau, comme nous aurions pu le faire, pour rejoindre la route, Alain nous propose de remonter légèrement pour emprunter un sentier qui nous mènera en descente sur les flancs du pic du Perthus Occidental, vers le pont du Perthus, que nous apercevons ici. 

 

 

 

Nous suivrons un moment la route qui relie le pont du Perthus au col du Mistral, en coupant par des sentiers, 

 

 

dont celui-ci, déjà emprunté à l'aller.

 

 

Un dernier arrêt contemplatif, avant de rejoindre le parking de Belle Barbe,

 

 

à travers les cystes et les asphodèles.

 

 

C'est au bar-restaurant "Le soleil", au Dramont, où l'accueil est toujours sympathique, que nous prendrons le verre de l'amitié. 

Le fait d'avoir choisi d'utiliser quelques sentiers ici ou là plutôt que la route aura légèrement réduit la distance parcourue, de l'ordre de 13,2 km au lieu de 14,3 comme prévu, mais augmenté le dénivelé, 360 m contre 331 m.

 

 

Un grand merci à Alain pour cette belle randonnée, qui aura finalement bénéficié d'un temps clément, ce qui nous aura permis de profiter de belles vues sur la mer et sur les sommets de l'Estérel.

(les photos sont de Jean-Bo, Claudette et Jacques).

 

La semaine prochaine :

Lundi 1er Avril :

GL1 /GL2 : Col des Sacs-181-1- par Thierry

 

 

Jeudi 04 Avril :

G1 : La Maline-786- par Patrick

 

 

G2 : mont Saint Martin-814-2 par Anne-Marie

 

 

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