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14 avril 2022 4 14 /04 /avril /2022 07:28

 

Mont St.Martin depuis Maure Vieil-G1-814-1

Ce matin nous sommes 23, dont seulement 8 femmes au départ de Maure Viel au-dessus de Théoule sur Mer pour cette randonnée guidée par Thierry.

Thierry nous annonce quelques modifications de parcours. Nous ne marcherons pas 11,4 Kms pour 450 m de dénivelé comme prévu mais 14 Kms avec un dénivelé de 473 m constaté…Le point culminant sera au pied du Mont Pelet à 360 m.

Aujourd’hui Thierry ne porte pas son traditionnel bermuda rose qui est synonyme de beau temps …Mais qu’à cela ne tienne, la météo est déjà clémente pour le départ à 9h07.

Et pour nous accompagner Bernard et Hervé seront nos serre-files du jour.

Maintenant il faut y aller, nous commençons par une belle piste, nous sommes tous très en forme.

Et très peu de temps après le départ, le soleil étant là, les premiers effeuillages sont nécessaires.

 Car là plus de sous bois pour se mettre à l'ombre.

Nous ferons un petit aller-retour vers l’ancienne verrerie et la Chapelle Notre Dame du Labeur.

Aujourd’hui on ne peut pas manquer les tags qui décorent les bâtiments.

"Apparemment, l'édifice sorti de terre en 1967. Un ancien banquier, Jean Guyot en est à l'origine. Dans ce lieu isolé, cet ensemble de bâtiments avec sont dôme de style mauresque, sa chapelle, ses grandes croix, ses bancs extérieurs en béton, a de quoi surprendre. A moins de cent mètres de là, la verrerie fut opérationnelle jusque dans les années 90. Bob le Bleïs y produisit de nombreuses pièces assez recherchées par les collectionneurs. Abandonné depuis plusieurs décennies, les ouvertures de ces entités ont été obstruées".

Vous souhaitez en savoir plus sur la verrerie et la chapelle alors n'hésitez pas...

Nous reprenons notre chemin longeant le ravin de Maure Viel.

Sur la droite nous apercevons le pont Sarrazin situé à une alt.de 63m où au milieu coule une rivière.

Quel bel endroit pour notre photo, le groupe semble un peu dissipé.

 Il faut tous descendre au pied de la rivière…

Mais nous y arrivons et nous sommes tous là.

Nous traversons ce petit pont pas de bois et continuons notre petite grimpette sous les pins et les chênes.

Avec les roches rouges de l'Esterel toujours en fond.

Une heure 15 après notre départ, il faut penser à la pause banane .

Et toujours sur un sentier arboré, nous nous dirigeons vers les restes de l'oppidum du Mont Saint Martin à 287m d’altitude.

Certains préférerons rester au pied, car là encore il faudra faire un aller-retour pour atteindre le sommet, tandis que d'autres n'hésitent pas à grimper un peu plus.

En haut, Thierry nous donnera quelques explications sur l'oppidum et ses origines.

Oppidum dont la racine "opes" veut dire richesse, ressources. Les Romains y renfermaient leurs biens les plus précieux, leurs magasins de vivres et d'armes. C'est un refuge fortifié pour se protéger en cas d'invasion barbare. Il est souvent situé sur un lieu élevé.

Au loin le Pic de l'ours

Le promontoire est étroit, il faut attendre son tour.

Pour voir le magnifique panorama.

Mais cela valait bien le petit détour n'est-ce pas ?

 

Suivons la piste à travers les pins et arbousiers.

Le pic de l'ours est omniprésent.

 

 

Regarde Maurice là bas .

Cela vaut bien une photo.

La baie de La Napoule et un aperçu sur les iles de Lérins

Au milieu des asphodèles le sentier s'élève et le groupe s'étire.

L'endroit est idéal pour la pause repas.

Et cela face à la mer pour certains.

Mais la pause est courte certains ayant ressenti un peu de fraicheur il faut déjà repartir.

 

 

Sur la piste du raccord des Monges nous attendons l'inspiration de notre animateur.

Vous ne savez pas par où je vais vous emmenez là haut

Au rocher des Monges, oui mais par quel chemin 

Ca c'est une surprise, enfin presque !!!

Et là ce n'est que le début, regardez bien où vous allez mettre vos pieds et votre tête.

Une petite pause pour certains avec le sourire.

Mais que de broussailles n'est-ce pas !!!

Où êtes vous derrière ?

Nous y sommes arrivés, ouf avec pour certains quelques égratignures !

Nous sommes bien contents d'avoir quitté la flore beaucoup trop envahissante à notre goût, mais en haut c'est quand même le TOP! 

Non là ce n'est pas encore le bon chemin… 

On préfère donc attendre avant de repartir .

Mais là celui-ci semble être le bon .

Avec à la fin une belle petite descente où tout le monde s'éparpille .

Avant de rejoindre une large piste qui nous amènera après une succession de lacets à notre point de départ sur la DFCI des Mineurs.

Et pour terminer cette agréable journée jalonnée de magnifiques vues, nous prendrons le verre de l'amitié au bar du Dramont .

Merci à Thierry pour nous avoir emmené sur des chemins très variés, étroits sentiers caillouteux plein d'imprévus avec des descentes, des montées et de superbes vues .

Merci à tous nos photographes du jour : Marie-France, Michèle, Véronique et Joël.

La Semaine prochaine

G1

 

G2

 

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10 avril 2022 7 10 /04 /avril /2022 13:43

2022-04-07-765-3-Pas du confessionnal-G1/G2

 

Changement de programme pour cette journée de randonnée du 7 avril. Par suite de l'indisponibilité de dernière minute d'Alain, la randonnée G1 a dû être annulée. Elle sera reportée sur mai.

C'est donc la randonnée organisée par Denis pour les G2 qui regroupe aujourd'hui G1 et G2.  

 

Denis en fait la présentation aux 22 marcheurs présents : "c'est une jolie variante inédite d'une randonnée classique qui nous emmènera des bords de l'Endre par une belle montée (500 m) vers le pic Rébéquier et le pas du Confessionnal d'où nous pourrons profiter d'un large panorama sur Saint-Raphaël, l'Estérel, les Maures et les gorges de l'Endre. Puis une belle descente nous permettra de rejoindre le pas des Vaches et ensuite le trou de Gournié et de terminer ce parcours en suivant le cours de l'Endre". Au total 11,2 km pour 317 m de dénivelé.

 

 

 

 

Jean Masson accepte d'être notre serre-file.

Il fait frais quand nous quittons le parking du pont de l'Endre, ressenti accentué par un vent assez fort.

 

 

nous quittons rapidement la route pour une piste qui longe le cours de l'Endre,

 

 

 

puis un petit sentier en légère montée

 

 

 

comportant quelques obstacles.

 

 

Premier arrêt : Denis nous explique que les crues de l'Endre ayant fortement détérioré le cours de la rivière le parcours initial a dû être modifié. Nous ne descendrons pas dans le lit de l'Endre pour le retour et resterons sur sa rive gauche. Nous emprunterons donc à nouveau le chemin que nous venons d'accomplir depuis le parking qui constitue un tronc commun. 

 

 

Nous poursuivons en abordant un petit raidillon pour rejoindre la route des Pradineaux, 

 

 

que nous quittons bientôt pour nous éloigner de l'Endre par la piste de la Règue Nord. 
 

 

 

Le ciel est magnifique et la vue est belle en direction du Pic Rébéquier.

 

 

La piste est large et confortable.

 

 

 

Nous dominons la forêt domaniale de la Colle du Rouet.

 

 

Pause "effeuillage" avant d'aborder les premières montées, en pente douce mais avec le soleil et relativement à l'abri du vent.

 

 

La piste reste agréable et propice à la contemplation du paysage, un paysage qui nous parait familier car le massif de la Colle du Rouet est un massif de rhyolite amarante issu d'une avancée des volcans de l'Estérel.

 

 

A l'arrière notre serre-file est vigilant.

 

 

Tout autour de nous la végétation explose, et notamment la lavande papillon et le ciste cotonneux.

 

 

Nous prenons le temps d'admirer les fleurs et le panorama, nous sommes en G2...

 

 

C'est le moment de faire la pause banane,

 

 

avant d'aborder des montées plus sérieuses, qui seront aussi l'occasion de profiter de vues magnifiques sur le Rocher de Roquebrune et le Massif des Maures.

On distingue ici une partie du parcours du très beau golf de Saint Endréol, traversé par l'Endre. 

 

 

 

Les choses sérieuses ont commencé avec cette assez longue montée par un sentier pierreux entre pins et maquis,

 

 

comportant des épisodes rocheux au milieu des lavandes.

 

 

Après un peu plus d'une demi-heure d'efforts la récompense est là. 

D'abord un arrêt au sommet du pic Rébéquier qui nous a offert une vue à 360° mais que nous avons dû écourter en raison des fortes rafales de vent qui le balayaient. 

Puis un cheminement sur la crête à une altitude moyenne de 300 m pour atteindre, après le Pas de la Renaude et avant le Pas du Confessionnal, un sommet offrant un large panorama sur la mer, Fréjus et Saint-Raphaël.

 

 

Nous apercevrons les roches de la fille d'Isnard. L'occasion pour Denis d'évoquer la légende locale. Une recherche rapide sur le net ne nous a pas permis d'en trouver les détails, mais cette légende avait déjà été évoquée à l'occasion de randonnées précédentes, et notamment par Anne-Marie (blog 2020-03-12-937-les grottes de la Baume Renaude) :

"Isnard était un propriétaire terrien qui entendit parler d'une très jolie jeune fille vivant dans une grotte. Sa femme, Renaude, comprit vite ses absences et se contenta d'exiger qu'il se confesse après chaque rencontre amoureuse, ce qui explique les appellations "Pas du Confessionnal, Baume Renaude et Fille d'Isnard" imprimées sur les cartes et les panneaux".

 

 

Nous profitons de ce magnifique environnement pour réaliser la traditionnelle photo de groupe.

 

 

Déjà midi : il est temps d'aborder la longue descente vers le Trou de Gournié en empruntant tout d'abord un sentier pierreux un peu délicat. 

 

 

Nous rejoignons la piste, qui relie le Pas du confessionnal, sur cette photo, au Pas des Vaches, en surplombant le cours de l'Endre.

 

 

Un court répit dans la descente.

Un panneau d'information rappelle que "le Massif de la Colle du Rouet s'est formé à partir d'anciennes coulées de laves issues de l'Estérel. A la faveur de l'érosion, se sont creusées de petites cuvettes sur la surface de ces dalles rocheuses. Ces dépressions, qui se remplissent d'eau pendant les pluies, sont appelées mares cupulaires. L'évaporation, lente en hiver, permet l'éclosion d'une vie aquatique ou amphibie. Ces mares temporaires sont rares, et précieuses en pays méditerranéen".

 

 

La descente se poursuit,

 

 

révélant bientôt de magnifiques points de vue vers les Gorges de Pennafort et l'arrière pays.

Denis nous aidera à repérer le domaine du Château d'Esclans, une belle demeure du XVIIIème siècle, de style toscan. Sur ses caves, les plus anciennes de la région, s'élevait à l'origine un château médiéval dont on peut encore apercevoir les vestiges. C'est un domaine viticole qui produit des vins rosés haut de gamme.

 

 

Belles perspectives sur les gorges.

 

 

 

La longue descente touche à sa fin.

 

 

Un regard en arrière sur le cours de l'Endre.

 

 

Il est un peu plus de 13h quand nous atteignons le trou de Gournié.

 

 

 

Un cadre magnifique pour notre pause pique-nique,

 

 

 

suivie d'une longue séquence d'observation des poissons, dont trois belles carpes, et de contemplation du vol des canards.

 

 

 

Nous sommes prêts à repartir d'un bon pas sur une belle piste,

 

 

 

en empruntant quelques raccourcis  le long des berges,

 

 

largement mises à mal par les intempéries de ces dernières années...

 

 

Nous arriverons bientôt au terme de cette belle et sympathique randonnée. Elle s'achèvera, comme il est d'usage, autour du pot de l'amitié, dans le cadre agréable de l'Open Brasserie à la Bergerie. Un moment de convivialité dont un instant de distraction des deux blogueurs nous prive malheureusement de témoignages photographiques...

Merci à Denis pour très agréable journée, et à Jean Masson notre serre-file.

Les photos sont de Claudette, Marie-Jeanne et Jacques.

 

La semaine prochaine

G1

G2

 

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4 avril 2022 1 04 /04 /avril /2022 08:30

2022-03-31 - 714 - Rayol-Canadel - G1

 

 

 

C’est à 10h sous un beau soleil que nous nous retrouvons autour de Denis pour écouter la présentation de la randonnée.  

 

 

Le Rayol-Canadel sur Mer est une petite commune touristique de 683 hectares, située entre la Mer Méditerranée et le massif des Maures.  C'est une agréable station balnéaire et familiale au climat doux et tempéré.  Nous allons faire une boucle, longerons un peu le littoral et emprunterons le plus long escalier de France avant de nous retrouver sur le Pateck, notre point de départ.  Le Pateck était le lieu où les moutons étaient rassemblés une fois remontés du bord de mer. Cet endroit majestueux domine la mer et les flancs des collines avoisinantes. Nous apprenons que Pramoussier, le Rayol et le Canadel ne sont qu’une seule et même commune et que ces quartiers dépendaient de la Môle avant 1949.  

Sur le cadastre de 1808, le territoire du Rayol-Canadel ne comporte que quelques cabanes de bergers ou d'exploitants de liège. C’est vers 1925 que fut créée la station balnéaire et climatique du Rayol-Canadel par la « Compagnie d'entreprises immobilières pour l'aménagement et l'extension des villes » sur 300 hectares des versants sud des collines de front de mer de la commune de La Môle.  Ce développement a été facilité par la ligne des Chemins de fer de Provence en 1889 qui reliait Saint-Raphaël à Hyères.

La commune du Rayol-Canadel a été constituée le 30 août 1949 par une scission de la commune du Môle, à tradition plutôt agricole à l'époque, de celle de Rayol-Canadel résolument orientée vers le tourisme. 
 

Le profil montre « peu de marron » mais Denis nous annonce un dénivelé de 500 m environ.

Denis présente Pascal que nous accueillons chaleureusement.

 

 

Jean M accepte d’être notre serre-file et nous nous mettons en marche tandis qu’il nous compte.  Nous sommes 23, 9 dames et 14 messieurs.  

Nous passons devant l’église Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus du Rayol construite de 1930 à 1932 par un certain Marcel Guesnot, architecte, à l’origine de plusieurs villas et de l’école du Rayol.

 

 

Nous commençons par une montée sur une route goudronnée

 

 

et rejoignons bientôt une piste en sous-bois

 

 

d'où nous sortons pour admirer le panorama ci-dessous:

 

 

Le Cap Bénat tout au fond avec l’Ile de Porquerolles derrière, le Lavandou – là où l’on voit des habitations et plus près de nous, le Cap Nègre et de l’autre côté le Cap Lardier.

 

Les îles d'Or
Zoom sur l'île du Levant

 

Nous quittons ce superbe point de vue pour emprunter un étroit chemin dans la forêt.

 

 

Le printemps a de l’avance ici par rapport à Saint-Raphaël d’où nous venons : nous sommes surpris par la quantité de buissons de lavande-papillon, les cistes de Montpellier et les asphodèles déjà en fleurs.

 

            

 

Il fait chaud et histoire de ne pas perdre de temps car le voyage fut long, nous combinons la pause-effeuillage avec la pause-banane.

 

 

Nous voici repartis!

 

 

Nous faisons attention à ne pas écraser les nombreux iules sortis après les pluies abondantes de la veille.

 

 

Nous continuons notre montée pour nous arrêter et contempler la vue qui s’offre à nous.  Denis pointe son bâton vers l’Anse de Bonporteau, petite plage sauvage et préservée, la plus belle de Cavalaire d’après lui. C’est une plage de sable fin bordée de rochers. 

 

 

 

Toujours sur notre belle piste, nous remarquons en bas le Pateck et quelques-unes de nos voitures.  Certains s'inquiètent - où sont donc les leurs? 

 

 

Chemin faisant, Denis nous signale que nous approchons du point culminant du coin à savoir le Drapeau qui porte bien son nom comme vous pourrez le constater sur la photo ci-dessous.

 

 

Un drapeau flotte à 316m d’altitude.  Un petit groupe suggère d’y monter et nous voilà grimpant les rochers.

 

 

 

 

 

 

Nous repartons

 

Ces efforts nous ont ouvert l’appétit et c’est au Col du Canadel que nous tirons les pique-nique du sac à 12h30. 

 

 

 

Merci à Claude pour le délicieux vin à l'orange fait maison

 

Denis nous donne le signal du départ et nous repartons d’un bon pas. 

 

Le vin d'orange semble avoir donné des ailes à notre animateur!

 

 

 

 

 

 

Nous nous arrêtons au début de la Voie Verte pour écouter Denis nous en parler. Elle se trouve sur la ligne de chemin de fer Toulon - St-Raphaël et traverse aussi Saint-Aygulf et les Issambres. On connaît le train qui l’emprunte sous le nom de Train des Pignes mais pourquoi ce terme nous demande Denis ? Plusieurs randonneurs connaissent la réponse et apprennent aux autres que le train allait si lentement parfois que les voyageurs avaient le temps de descendre et de ramasser des pignes dont ils se servaient ensuite pour chauffer leurs demeures.

 

Et on la remonte!

 

Curieux ce mimosa toujours en fleur et joli l'arbre de Judas à côté

 

Toujours le long de la Voie Verte
Superbe la glycine!

La gare fut démontée après la fermeture de la ligne en 1962 et la chapelle Notre-Dame du Rosaire fut construite à la place. 

 

 

Nous arrivons à la Plage du Débarquement du Canadel où un obélisque nous rappelle la mort de 13 soldats français lors du débarquement du 15 août 1944.

 

 

 

Nous lisons les deux panneaux qui nous donnent des renseignements sur cette triste page de l’histoire et sur les magnifiques villas qui furent construites au début du siècle dernier.

 

 

Plage du Débarquement

 

Nous descendons ensuite sur la plage de sable mais la quittons rapidement pour prendre un chemin qui va nous mener au fameux escalier dont nous a parlé Denis et nous nous en souviendrons !  C'est l'escalier le plus long de France qui va du bord de mer au Drapeau !

 

 

 

 


 

 

Ces escaliers furent construits durant l’année 1927. ils étaient une voie de communication du lotissement Terres de France, de la mer au point culminant Le Drapeau.
A l’époque, le drapeau surplombait l’ensemble de l’opération immobilière Lotissement Terres de France. L’on peut encore y jouir d’une vue fabuleuse sur plusieurs kilomètres de côte d’Est en Ouest.
Bâtir ces marches fut une entreprise importante, les ouvriers étaient répartis en plusieurs endroits, ceux du chantier en bordure de mer furent obligés de construire des murs de soutènement importants, allégés par des arcades.
Les grands escaliers de pierres sont élevés en schiste du Massif des Maures, matériau local, utilisé dans l’emmarchement à volées droites et des paliers. Des murets le bordent, portant des jarres en terre cuite ventrues et fleuries pour la plupart. Les escaliers utilisent au mieux les accidents du terrain.

 

 


Nous nous retrouvons au Pateck, pergola circulaire, lieu où les moutons étaient rassemblés une fois remontés du bord de mer. Cet endroit majestueux domine la mer et les flancs des collines avoisinantes.

 

 

 

C'est là que Bernard nous offre un pot pour fêter son anniversaire et la naissance de son petit-fils. 

 

 

 

Nous le remercions, le félicitons et lui chantons « Prendre un enfant par la main ».  

 

 

 

 

 

Le groupe presqu'au complet

 

Il est temps de remercier notre animateur et notre serre-file pour cette très belle randonnée.  Nous prenons la route du retour après avoir parcouru 15 kms pour 500 m de dénivelé.

Les photos sont de Marie-Jeanne, Michèle, Claude et Dominique.

La semaine prochaine :

 

 

G1

G2

 

Magnifique cette glycine !

 

 

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