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18 janvier 2019 5 18 /01 /janvier /2019 13:25

Le Bois de la Gaillarde-G2
 

Bien encombré le parking du Cimetière des Issambres en ce jeudi matin. Les 17 voitures et 58 randonneurs et randonneuses vont-ils réveiller les morts ? Aujourd'hui c'est rando-galette , Joël et Alain vont conduire les deux groupes sur deux parcours presque identiques avec quelques points de rencontre sur des sites caractéristiques.

Pour le G2, conduit par Joël ce sera 12.9 km et 340m de dénivelée. En fait à l'arrivée si la longueur est OK, la dénivelée sera d'environ 500 m !
 

Joel présente deux nouveaux marcheurs, Denis et Marie-Christine. Bienvenue à eux.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ah ! Un petit mot sur la météo. La pluie s'est arrêtée à notre arrivée sur le parking mais le temps reste bien bouché et les pauvres photographes ne seront pas à la fête. C'était déjà le cas en 2017 lors de la précédente randonnée sur ce parcours. Il y avait eu du soleil l'après-midi espérons que nous  serons aussi chanceux.
Le G2 démarre le premier avec un comptage-27 participants- par les deux serre-files Daniel R et Beps, suivi par le G1 et pendant un certain temps les

deux groupes seront mélangés. Alors que nous avons commencé à monter sur cette large piste, Joël arrête son groupe afin que le G1 puisse se détacher et partir vers ses propres aventures.

Au-revoir les amis, prenez votre cadence habituelle.
 

Nous poursuivons la montée jusque vers le haut du Boucharel où des

forestiers dégagent les arbres morts. Ils ont fait un grand feu, aujourd'hui le risque incendie est nul.
 

Puis nous obliquons vers le Reydissart, toujours en montée.

Nous sommes presque au bout de nos efforts récompensés par une superbe vue de la table d'orientation, en direction de Fréjus et de l'Esterel. Mais le temps est toujours bouché.

Un rayon de soleil va permettre quand même cette superbe photo.
 

Une petite descente nous permettra de rejoindre nos amis du G1 qui nous

attendent devant le Dolmen de l'Agriotier où nous allons écouter Alain nous parler de cette curiosité. Comme il a repris son texte de 2017, le blogueur a fait la même chose…
 

Le Dolmen de l’Agriotier fait partie du groupe de Dolmens à couloir et à petite chambre, de Provence Orientale. L’ensemble chambre - couloir est englobé dans un tumulus de pierre de forme ovale.

Le Dolmen de l’Agriotier présente des caractères différents et originaux puisqu’il n’a pas abrité vraisemblablement de sépulture collective, et que sa dalle de couverture a servi uniquement pour sceller la tombe.
C'est là que nous allons faire la "pause banane".

 

Nous repartons pour faire la photo de groupe, 58 randonneu(se)rs, c'est peut-être un record.Serrez-vous SVP.
 

Nous sommes maintenant sur la ligne de crête, en légère descente sur une large piste facile et en plus ensoleillée. 
 

Nous apercevons  nos amis du G1 en contrebas de notre cheminement. Ils sont allés visiter les ruines de Roqueyrol, ancienne villa gallo-romaine. 
Mais la course poursuite a repris et nous les apercevons déjà dans la

descente alors que nous atteignons ce joli petit lac.

Nous sommes alors très près du Col du Bougnon et cette barrière ferme l'accès au massif.

 Mais les voici sur nos talons et nous pouvons constater que leur groupe s'est fragmenté avec des écarts assez sensibles. C'est dur de suivre la cadence d'Alain…
 

Nous allons reprendre un petit sentier étroit en montée, bien cachés par la

végétation. Quelques gourmandes vont récupérer les dernières arbouses.

C'est vrai qu'il est l'heure de penser à se restaurer alors que nous retrouvons la civilisation avec quelques villas qui doivent disposer de vues remarquables aussi bien sur le golfe de Fréjus-St Raphaël que sur celui de St Tropez.
 

Les deux groupes choisiront des emplacements différents pour le pique-nique ce qui entraînera quelques échanges involontaires.
 

Nous aurons droit à une dégustation de liqueur de myrte avec des avis partagés sur  son côté médicamenteux ce à quoi, Denis déclarera qu'il est prêt à se soigner.
La montée au château d'eau avec une vue extraordinaire à 360° qui était le clou de cette randonnée n'est plus possible pour des raisons de sécurité, quel dommage !

 

Bien reposées, prêtes à repartir.

Joël donne le signal du départ et propose à ceux qui ne connaissent pas

l'oratoire de ND des Dolmens d'aller  le découvrir… et c'est là que nous constatons que nous avons beaucoup de nouvelles recrues, la moitié du groupe !
 

 

Puis un petit détour vers le dolmen de la Gaillarde. Nous avons repris les commentaires d'Alain de 2017 (les blogueurs adorent le copier-coller). 
 

La fouille de ce dolmen s’est effectuée en 1908 par le Dr Raymond qui a découvert des restes osseux humains et des pointes de flèches en silex.

Les dépouilles étaient disposées dans la chambre, recouverte par une dalle dite de couverture. Un couloir permettait d’y accéder. Une fois les corps installés, la chambre et son

couloir d’accès ont été comblés par un mélange de terre et de galets de rivière qui ne viennent pas du vallon de La Gaillarde. Tout l’édifice s’insère dans un tumulus circulaire (d’un diamètre approchant les 10 mètres).
Le dolmen de La Gaillarde a subi les outrages du temps et de l’homme. Seule une partie de sa charpente est visible. Elle est en mauvaise état, la dalle de couverture ne reposant plus que sur un des piliers. Cependant, il demeure une ressource archéologique importante, témoin d’une trame sociale qu’il convient de préserver.

Deux autres sépultures mégalithiques ont été mises à jour non loin de là mais elles ont été détruites lors de la construction d'un lotissement.

Il ne reste plus qu'à redescendre sur 3 km environ à travers une forêt de mimosas qui semblent avoir été maltraités par une tempête et dont la floraison est en retard.
 

De l'avis unanime des anciens du groupe, ce sentier est très dégradé par rapport à notre dernier passage et il faudra rester très vigilant tout au long de la descente.
Nous avons retrouvé un bon chemin et nous passons devant cette belle maison du Garum.

 

Le Garum selon Apicius devait remplacer le sel.
Le garum est une sorte de sauce, faite a partir d’intestins de maquereaux macérés dans du sel puis séchés au soleil.
Il devait ressembler au nioc-mam chinois.

Le Larousse gastronomique dit :
Il est généralement admis que ce condiment n’est autre chose que la saumure que l’on obtenait en salant des poissons marins, des scombres ou maquereaux surtout, et en les pressant pour en extraire le jus. Le plus réputé qui était obtenu avec le scombre, s’appelait le garum nigrum. On le mettait dans des petits pots comme l’on fait actuellement pour la moutarde, et chaque convive l’accommodait à sa façon, l’un avec du vinaigre (oenogarum), un autre avec de l’eau (hydrogarum), un autre avec de l’huile (oléogarum). Le garum Pipératum était comme son nom l’indique, fortement poivré.

Cf-https://leg8.fr/monde-romain/cuisine-romaine/recette/garum
 

Rencontre avec les deux petits ânes toujours dans le même enclos et comme à chaque passage leur grande copine va leur offrir quelques morceaux de pomme.
Il ne reste plus qu' à remonter le long de la rivière pour retrouver nos voitures et le G1 qui nous attend depuis une demi-heure.
Nous partons en convoi pour aller déguster la galette des rois  au Club Vacanciel des Issambres, superbe établissement.

 

Avant la dégustation, Joël va prendre la parole pour remercier les animateurs, les blogueurs et blogueuses, l'équipe logistique qui gère les catalogues. Il remerciera plus spécifiquement Jean-Marie qui a décidé d'arrêter la conduite des randos, en rappelant sa longue carrière au sein du groupe de marche.

Un cadeau lui fut remis au nom de ses amis.
Et il ne resta plus qu'a  fêter les rois et les reines.

 

Merci Joël et Alain de nous avoir réuni pour cette rando, grand classique proche de chez nous C'est toujours un plaisir de redécouvrir ces paysages…même si le temps est un peu bouché.
Et merci aussi pour l'organisation de cette galette.

Merci aux photographes, Claude C, Nelli, Jean Bo, Jean-Marie

La semaine prochaine le 24 janvier 2019


 

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12 janvier 2019 6 12 /01 /janvier /2019 15:09

Joël nous donne rendez vous près d'une station des traitements des eaux à Cogolin. C'est la première randonnée de l'année 2019, 17 randonneurs sont heureux de se retrouver en ce début d'année .

Le ciel est bleu mais la température n'est que de 0 degré. Les bonnets et les gants sont indispensables.

Joël nous présente la randonnée : L 17Kms avec une dénivelée de 526m.

Une montée sur 6 kms le matin avec un petit raidillon et l'après midi que de la descente. Il nous promet de belles vues après le passage dans la forêt de Cogolin

Il est 9h20, nous démarrons sur une piste très large, d'un bon pas, le soleil dans les yeux.

Notre serre file est bien entouré

 

Le soleil commence à nous réchauffer, nous nous arrêtons pour un effeuillage très léger, 

et atteignons vers 10h40 le Peinier après avoir déjà fait 5 kms, où nous ferons la pose banane.

avec en face de nous les Hauts de Peinier

Regroupement autour de Joël qui nous annonce la difficulté de la journée, un petit raidillon sur 120 m

Nous sortons de la forêt, et découvrons les belles vues annoncées par Joël, telles que la baie de Sainte Maxime avec en arrière plan le Mercantour enneigé

Au Km 6, nous ferons une boucle de 5 kms et serons émerveillés par la beauté des vues dégagées tout le long de ce parcours.

Nous arrivons au lieu "l'Oppidum de Montjean" (alt 445m) que Joël n'a pas trouvé lors de sa reconnaissance, arrêt pour les photos.

Un peu de culture sur les fouilles de l'Oppidum de Montjean

 

Les Fouilles de l'oppidum du Montjean 

Oppidum (du latin n. oppidum, pl. oppida : lieu élevé, fortification. (À noter le pluriel aussi utilisé : oppidums) est un lieu de refuge public, caractéristique de la civilisation celtique, dont les défenses naturelles ont été renforcées par des travaux collectifs. Il est souvent situé sur un lieu élevé (une colline ou un plateau), mais peut aussi être sur une île, un cap, dans un méandre de fleuve, un marais, etc. 

          L'occupation du massif des Maures à l'Age du Fer est encore très mal connue. Les données réunies à la suite des fouilles sur les oppida de Maravielle (La Môle) et du Montjean (Cavalaire-La Môle)) ne suffisent pas à présenter un panorama complet de la période qui s'étend de l'arrivée des Grecs en Provence à la conquête romaine : seule certitude, ils sont occupés au VIe siècle av. J.-C. pour l'un, et du VIe au IV av. J.-C. siècle pour l'autre. 

 Malgré des lacunes qui invitent à la prudence, les connaissances actuelles indiquent que ces sites furent abandonnés dans le courant du IVe siècle au plus tard. Le IVe siècle est justement l'époque de la fondation d'Olbia, près d'Hyères. Deux hypothèses sont envisagées : la création de ce comptoir massaliote vers 350 av. J.-C. provoque l'assimilation pacifique des populations indigènes du massif des Maures, ou, au contraire, la destruction militaire des forteresses et la soumission de leurs habitants. 

La nature des céramiques retrouvées diffère entre les oppida du Montjean et de Maravielle. 

Au Montjean, le matériel comporte de la céramique indigène modelée (jarres, coupes, écuelles, faisselle) et de la céramique importée (vases à boire, de fabrication attique, italique ou marseillaise, et surtout des amphores, dans leur immense majorité, de type massaliète). Les habitants du Montjean commerçaient donc principalement avec les Phocéens en leur achetant du vin. 

A Maravielle, le matériel céramique comporte de la céramique modelée (coupes, urnes) et de la céramique tournée importée (amphores principalement étrusques, peu de céramique marseillaise fine). La plus grande ancienneté de Maravielle (un demi siècle peut-être) n'explique pas l'abondance des amphores étrusques qui y ont été retrouvées, alors que les marseillaises y sont très rares. A l'inverse, amphores marseillaises et céramique attique abondent au Montjean, alors qu'elles sont rarissimes à Maravielle pour la même période.

 

 

Le lac de la Verne

L'Aéroport de la Môle
Cavalaire

 

Cap Lardier
Ile du Levant

Nous avons terminé notre boucle, nous nous installons pour le pique nique avec une vue magnifique et le soleil qui nous réchauffe. Vous remarquerez aussi que le G1 se fait aussi plaisir!!!!

 

Avant de reprendre le départ vers 13h15, nous ferons la photo de groupe.

Il ne nous reste plus que 6kms à faire en descente dans le Val d'Astier

en nous arrêtant

soit pour la pose devant ce tronc immense

soit pour se cultiver

Pourquoi utiliser la bruyère pour fabriquer les pipes

en traversant les vignobles de l'Astier

Il est 15h10, nous regagnons nos voitures. En fait nous avons fait 18k800 avec une dénivelée d'env.500m.

Nous prévoyons de nous arrêter au bar habituel à Grimaud, celui ci étant fermé nous continuons jusqu'à Sainte Maxime où nous prendrons le pot de l'Amitié.

Un grand merci à Joël pour cette excellente randonnée de "remise en jambes"

Merci aux photographes : Claude, Gilbert et Brigitte R

Prochaine sortie : Jeudi 17 JANVIER 201 -Randonnée GALETTE DES ROIS

 

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11 janvier 2019 5 11 /01 /janvier /2019 11:41

Camp Long-Pastourelle-813-2-G2

 

Première rando de l'année 2019 avec déjà une belle vue sur la baie dAgay.

 

C'est Jack qui s'y colle pour le G2. 31 marcheuses et marcheurs du Cercle de Boulouris se retrouvent sur le parking de Tiki Plage dans un petit froid glacial, agrémenté d'un peu de mistral. Jack présente brièvement sa rando qui commencera par un cheminement dans les rochers en bord de mer. Pour ceux qui voudraient éviter ce passage ils auront la possibilité de prendre la route. Ensuite nous poursuivrons vers la ferme Pilipp puis par une montée assez raide nous rejoindrons Pastourelle d'où nous aurons une vue à 400 gr. Puis nous redescendrons en pique-niquant à l'Aire Peyronne. Nous allons parcourir environ 12,5 km avec une dénivelée de l'ordre de 350m.

Notre serre-file sera Jean-Claude.

Nous accueillons aussi deux nouveaux marcheurs, Claudette et Jacques. Bienvenue à eux.

Les deux groupes démarrent, 21 marcheurs vers le plage et le sentier du littoral

et 10 autres par la route. Ce sont ces derniers qui arriveront les premiers, en bas de Cap Esterel, au soleil…et à l'abri du vent.

Très vite l'autre groupe arrive à son tour

et ensemble ils vont grimper avec en perspective, à gauche, les bâtiments

de Cap Esterel et à droite le Rastel d'Agay qui sera le fil rouge de la matinée : incontournable !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous redescendons maintenant par le vallon des Ferrieres jusqu'à l'ancien barbecue ou Jack regroupera sa troupe qui s'était un peu distendue dans le vallon. Puis nous repartons plein est, au soleil cette fois, et après avoir parcouru environ 4 km Jack décidera de faire la "pause banane" au soleil. Mais l'effeuillage n'a pas encore eu lieu et reconnaissez-vous cette marcheuse avec son bonnet au ras des yeux?

Là c'est un conciliabule d'ancien(ne)s, quelles histoires se racontent-ils?

Nous repartons plein nord par un petit sentier perdu dans la végétation.

Paysage très limité mais par quelques échappées on peut admirer…le Rastel. Descente vers la ferme Philipp au bas du vallon Vacquier. Il y a une vingtaine d'année on pouvait encore descendre en voiture par là. Depuis la route a été fermée et la nature a repris ses droits.

Jack nous prévient, nous allons aborder la difficulté de la journée, une montée sur environ 1 km, assez raide.

La première partie est effectivement bien pentue mais elle est assez courte.

Un petit plat qui redonne de l'espoir mais vite déçu car ça remonte de plus belle.

Enfin, Ouf ! nous sommes en haut sur un grand croisement où un panneau nous indique que les chevaux sont ici interdits. Il doit y avoir une raison mais c'est bien la première fois que l'on voit cette notification.

Un buisson de myrte bien fourni en fruits va attirer quelques dames qui vont faire leur cueillette. L'année prochaine il y aura de la liqueur dans les randos du G2!

Jack, bon prince, va laisser ces dames remplir leur sac et c'est avec leur accord qu'il donnera le signal du départ pour une nouvelle montée, brève

mais raide qui nous conduira à une sorte de belvédère où, comme il nous l'avait indiqué ce matin la vue est à 400 gr (ou 360 ° puisque Jean Bo n'est pas là).

Très beau point de vue par ce temps très clair. A l'ouest le Rocher de Roquebrune et tout au fond la Montagne Sainte-Victoire, au nord le mont

Vinaigre, les Suvières, les Grues, le pic de l'Ours et dans un creux de

vallon les neiges du Mercantour, à l'est la rade d'Agay  et incongru,

malgré tout, la Carrière du Caous.

Après ce tour d'horizon bien apprécié, nous abordons une descente assez caillouteuse et nous arrivons sur l'Aire Peyronne et son menhir soit disant guérisseur.

Cette pierre levée qui s'enfonce au moins d'un mètre dans la terre, est ornée de plus de deux cents cupules (petits creux) et d'un serpent à tête couronnée sur sa partie haute.
Les scientifiques pensent que ces petites cavités pratiquées il y a des milliers d'années étaient probablement destinées à recueillir l'eau de pluie.


 

Mais alors, pourquoi son nom de pierre guérisseuse ?
Son grand axe est située nord-ouest-sud-est, et la pierre se trouverait au-dessus de deux courants souterrains se coupant à angle droit. On peut penser que les radiations verticales émises par ces deux courants, suivraient la ligne centrale de ce menhir jouant le rôle de collecteur d'ondes. La face nord du menhir possède une polarité positive d'une certaine longueur d'ondes biométriques, et la face sud a une polarité négative. Le côté ouest et le côté est donnent une interférence, et le sommet de la pierre taillée en cône ne fournit aucune radiation. Ainsi une personne possédant une polarité négative mise en contact avec les cupules du côté nord, voit sa polarité transformée en positive et ne subit par contre, aucune transformation en se mettant en contact avec la face ouest. Constatations troublantes qui expliqueraient les propriétés bienfaisantes attribuées à la pierre depuis des millénaires ?
Une chose est sûre : l'un des courants qui passe sous le menhir n'est autre que celui d'Aiguebonne (la bonne eau - aigo en provençal signifie eau). Alors pourquoi ne pas imaginer que les Romains et même les peuples primitifs qui étaient des adorateurs de l'eau n'aient pas décidé d'élever ce monument à la gloire de la déesse de l'eau ?

Cf-www.geocaching.com/geocache/GC56E7H_le-menhir-daire-peyronne

 

C'est là que nous allons nous installer pour notre pique-nique. Comme d'habitude il sera bien arrosé : vin d'orange, rosé, blanc doux, avec en supplément foie gras, andouille de Vire.

Tartinage du foie gras...

 

N'y aurait-il pas un anniversaire à souhaiter ? Le blogueur qui connait la réponse gardera le secret.

Un chasseur en 4*4 vient faire la conversation.

Il se plaint de la disparition des oiseaux dans l'Esterel (nous aussi mais certainement pas pour les mêmes raisons)et signale que les laies (pour les ignares, c'est la femelle du sanglier...)sont déjà pleines, 1 mois et demi avant la période normale.

Photo de groupe puis départ pour la dernière étape vers un point de vue sur le Dramont et l'Ile d'or (Salut Tintin !). Le chemin d'accès étant particulièrement caillouteux, deux de nos amies prendront la route.

Nous les retrouverons avant de poursuivre vers le village du Dramont en longeant un des deux lacs de l'ancienne carrière.

Ne dirait-on pas un sous-marin ?

Il ne reste plus qu'à passer en dessous du sémaphore pour retrouver nos voitures.

Direction le café du Soleil pour le pot de l'amitié. Merci à Louis qui nous a ouvert son portail pour garer quelques voitures.

Merci Jack pour cette première rando de l'année où, en restant dans les limites de la commune, tu nous a fait découvrir de nouveaux sentiers.

 

Les photos étaient de Jean-Marie.

La semaine prochaine,

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