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22 novembre 2018 4 22 /11 /novembre /2018 16:03

Vallons de la Verrerie et de Maraval-870

 

Jean Ma nous a invités à le rejoindre sur le parking du Planestel pour une rando inédite dans le vallon de la Verrerie.

 

Pour les 15 randonneurs prêts à avaler les 12.6 km et environ 300 m de dénivelée tout était OK pour une bonne journée.

 

 

 

Jean Ma était en pleine forme et après nous avoir expliqué que nous allions descendre toute la matinée sur 7 km, nous aurions, sur le retour, une bonne grimpette de 2 km avec un passage à 20 % , mais accompagnant le geste à la parole il nous déclara : " Dans les montées, tant que le genou n'arrive pas au menton, tout va très bien".

Nous voici donc partis avec deux serre-files, Jean-Claude et Beps, dûment équipés d'une carte.

Mais en attendant la descente, il va falloir monter et très sèchement sur une piste bétonnée  jusqu'à l'amorce du chemin. Jean Ma nous avait prévenus, "les pistes sont larges et vous pourrez discuter à votre aise".

 

 

 

 

Nous y voici à cette fameuse descente, très douce pour l'instant.

Joli coup d'œil sur les montagnes de l'arrière-pays, un peu encombrées de nuages et de neige ???

Il a beaucoup plu et les chemins sont détrempés.

Ah, oui, je n'avais pas évoqué la météo. Les prévisions sont bonnes pour toute la journée avec beaucoup de nuages.

 

Et dans la réalité, ils sont bien nombreux ces nuages et même, ils se permettent de lâcher quelques petites gouttes. Ces petites gouttes grossissent et deviennent envahissantes au point qu'il faudra s'arrêter pour sortir l'équipement de pluie.

Jean Ma se donne un quart d'heure pour envisager un retour immédiat. Nous continuons donc courageusement mais maintenant nous sommes trempés et nous ne pourrons pas attendre le quart d'heure de Jean. A l'unanimité moins une voix  nous décidons d'abandonner et notre guide donne le signal de la retraite.

Même la photo de cette débâcle est floue, la pluie ou la précipitation du photographe ?

Arrivés à l'intersection avec le chemin du retour normal…la pluie s'est arrêtée. Jean nous propose d'avancer sur la piste du retour jusqu'en haut de la grosse montée pour y faire la pause banane. Mais la pluie reprend et Michel nous déclare : "c'est le même nuage, un nuage chercheur de randonneurs".

Abandon de l'idée "Pause banane".
 De nouveau demi-tour avec une photo de groupe bien humide.

Nous voici de nouveau au parking où il y aura  dégustation du Beaujolais nouveau accompagné des petits fromages de chèvre de Rolande. Il fallait bien arroser le retour du soleil entre deux nuages.

 

Bilan de la journée :4,8 km-Dénivelée 111m- Durée 1 h 11-Bravo le G2

 

Merci Jean, c'était raté mais tu n'y es pour rien, on remettra ça aux beaux jours.

 

Les "malheureux" photographes étaient Nicole, Rolande et Jean-Marie

 

La semaine prochaine,

G2

Départ: 8H30

Jack

697-3-La Colle du Rouet-3 

Moyen**

13 km

Dh : 415m

Très beaux panoramas sur le rocher de Roquebrune la forêt de la Colle du Rouet et superbe vue  du Pic Rébéquier. Parcours en grande partie sur pistes.

Parking : D47, 83490 Le Muy

Coût du trajet A/R : 12€

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17 novembre 2018 6 17 /11 /novembre /2018 14:29

2018-11-15 - N°595 - SALERNES-Les Gorges de Plérimond - G1

 

Aujourd'hui, c'est rando/restau, donc l'occasion de se retrouver autour d'une bonne table dont Jean Bo a le secret, mais aussi de faire un bout de chemin en compagnie de nos amis du G2.

Au total 45 randonneurs (24 G1 et 21 G2) sont rassemblés au pied du site de Saint Barthélémy situé sur la commune de Salernes.

 

 

 

 

 

 

 

Jean Bo nous fait sa présentation habituelle pour les deux groupes avant que G1 et G2 ne se séparent, pour  se retrouver ce midi au restaurant Le Provençal à Aups.

 

 

Au menu du G1: découverte du site Saint Barthélémy avec sa chapelle, puis passage obligé par le fameux Trou du Loup, puis pistes faciles qui nous conduirons jusqu'à Aups. A la sortie du restaurant G1 et G2 feront route ensemble avant de séparer à nouveau pour un deuxième passage du Trou du Loup pour le G1, avant un retour au parking.

Distance à parcourir annoncée 16 km, dénivelé 495 m, pour cette randonnée classée Moyen ***.

 

 

 

 

Nous accueillons ce matin Pascale, nouvelle adhérente au Cercle de Boulouris, et à qui nous souhaitons la bienvenue.

 

 

Sous cette passerelle, coule la Brague, petit cours d'eau qui prend sa source au fond du vallon Saint Barthélémy. L'humidité ambiante nous surprend.

 

A une époque fort lointaine, les nymphes des bois avaient pour habitude de se baigner dans les eaux de la source du Vallon de Saint Barthélemy. Pour en interdire l'accès aux mortels, les dieux remodelèrent les rochers alentours en forme de hautes falaises. Un jour, des chevaliers parvinrent sur les bords de l'étang, effrayant sans le vouloir les nymphes qui disparurent. Les chevaliers en conçurent alors un profond désarroi. Pris de pitié pour ces malheureux humains, les dieux les changèrent en peupliers. C'est depuis ce jour que ces arbres grandissent sur les berges de l'étang.

 

Ci-dessous l'étang de Saint Barthélémy, bien rempli par le récent épisode pluvieux .

 

Creusé par les eaux anciennes d'un torrent, vallon de St Bathélemy est aujourd'hui un Espace Naturel Sensible et protégé.

 

De nombreuses cavités longent notre sentier.

 

 

« On a retrouvé dans une des grottes des ossements humains portant des stries de silex. Il semble ne faire aucun doute qu’il s’agit là d’un témoignage d’anthropophagie. […] Certains os ont été brisés pour en extraire la moëlle très appréciée ».

 

Nous découvons  un peu en hauteur la chapelle Saint Barthélémy.

 

 

A travers le grillage de la porte d'entrée, on peut admirer à l'intérieur les fresques de l'artiste Alain Dalmasso.

 

 

Cette chapelle a été érigée au XVIè siècle et a été transformée au cours du XIXè siècle.

Nous progressons maintenant vers le Trou du Loup, non sans admirer au passage ces belles couleurs automnales.

 

 

Nous y voilà enfin!!! Le point fort de la journée : le Trou du Loup.

Il s'agit d'un passage creusé dans la roche par l'eau, une sorte de conduit coudé de 3 mètres de long, pas facile à atteindre pour les petites jambes.

Pour nous permettre un passage facile, nous nous débarrassons de nos sacs à dos et de nos bâtons. A l'aide d'une corde fournie par notre animateur du jour, ceux-ci sont hissés  sur la partie supérieure de cet obstacle, tandis que les randonneurs empruntent ce court mais étroit boyau. Heureusement aucun de nous n'a la carrure d'un rugbyman et tout le monde franchit avec aisance cette curiosité de la nature.

Notre serre file du jour, Jean Ma, en plein effort.

 

 

Coucou: c'est nous que voilà!!!

 

 

 

 

Avec l'aide de Daniel Ma, tous les sacs à dos et bâtons sont récupérés par leurs propriétaires.

 

 

 

Après cette séquence "émotion", nous reprenons le cours de notre randonnée sur des sentiers plus paisibles. Nous en profitons pour faire une pause où une première couche de vêtement est rangée dans le sac.

 

 

 

 

 

Tiens, un gilet jaune qui s'est trompé de date et de lieu de la manif!!!

 

 

Pour ne pas déranger quelques chasseurs locaux présents, Jean Bo propose de retarder l'heure de la pause banane. Chose faite quelques hectomètres plus loin.

 

 

Et dans la foulée, la photo de groupe est mise en boîte.

 

 

Jean Bo nous explique que l'interdiction par les propriétaires de traverser une partie de leur terres, l'ont obligé à modifier le parcours par rapport à  la dernière randonnée faite en 2011 dans ce secteur.

 

 

 

Nous arrivons maintenant sur le territoire de la commune de Aups.

Vielle maison-musée, au décor très hétéroclite.

 

 

Principale ressource économique de la région, la culture de l'olive est très importante ici, puisque la commune d'Aups compte 60 000 oliviers.

 

 

La récolte débute généralement fin-octobre et se poursuit jusqu’à la fin décembre. La région PACA (Provence Alpes  Côte d’Azur) assure 75% de la production française dont 20% sont couverts par le seul département du Var.

Récoltées par machines ou plus traditionnellement ramassées à la main ou par filets, Aups traite, suivant les années, dans sa coopérative oléicole et son moulin à huile, entre 500 et 600 tonnes d’olives. Il faut environ 5 kg d’olives pour obtenir 1 litre d’huile.

 L’huile d’olive se définit:

- par son goût : le seul possible est celui de l’amertume (plus ou moins importante)
- par son fruité (ensemble de sensations aromatiques)

On distingue (en fonction du ramassage plus ou moins tardif) le fruité vert (aux arômes dominants d’artichaut cru et de fruits verts), le fruité mûr aux parfums d’amande et de fruits rouges et jaunes et le fruité noir issu d’un procédé spécifique de fermentation, aux notes de champignons et de vanille.
Pour les huiles destinées à la consommation, on note 3 qualités, en fonction du goût et du degré d’acidité oléique.
- l’huile dite extra vierge: totalement naturelle et sans aucun mélange, le  goût doit-être « parfaitement irréprochable » et le taux d’acidité maximal inférieur à  0.8g pour 100g
- l’huile dite vierge: goût « irréprochable » et taux d’acidité maximal ne dépassant pas les 2 g.
- l’huile d’olive simple: mélange d’huile vierge et d’huile raffinée, donc moins naturelle.

 

Arrivés dans Aups, Jean Bo nous fait découvrir ce platane vieux de 400 ans devant lequel nos randonneuses du G1 vont poser pour la postérité.

 

Mesuré en 2017, ce platane a une circonférence de 6,30 m environ!!!

Devancés de quelques minutes par nos amis du G2, nous nous installons à la table du restaurant "Le Provençal" pour un bon moment de convivialité et de bonne humeur.

Au menu aujourd'hui: apéritif, salade fermière, épaule d'agneau et ses légumes, dessert et café.

 

 

 

 

Deux heures plus tard, nous récupérons sacs et bâtons pour reprendre notre marche.

Les deux groupes réunis profitent de cette piste facile à la sortie d'Aups, pour mêler digestion et discussion.

 

 

 

 

Voilà une belle photo de famille lorsque G1 et G2 se retrouvent.

 

Plus loin, nous découvrons cette construction circulaire dont la destination est énigmatique : enclos pastoral,  lieu de culte???

 

 

A la faveur d'un rassemblement, Jean Bo annonce que le G1 ne fera pas un deuxième passage par le Trou du Loup. Peut-être que certains ont peur de rester coincer dans ce passage après le repas de ce midi.

 

 

Ultime difficulté de la journée avant le retour au parking, et alors que la clarté du jour diminue rapidement : cette descente délicate abordée avec prudence.

 

 

Fin de la journée: grand merci à Jean Bo pour l'animation de cette belle randonnée et ce bon restaurant.

Les photos sont de: Brigitte Ri, Claude Ca, Gilbert et Jean Bo.

 

Au programme de votre prochaine sortie: Jeudi 22 Novembre

Départ: 8H00

Jack

670-Circuit de Peirol

Moyen**

16 km

Dh : 670 m

Cette randonnée en boucle, dans Les Maures, traverse de magnifiques forêts et offre de très beaux points de vue - Presque uniquement sur pistes.

 

Parking : D14, 83390 Pierrefeu du Var

Coût du trajet A/R : 60€

 

 

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16 novembre 2018 5 16 /11 /novembre /2018 19:41

Salernes – Les gorges de Plérimont G2 – jeudi 15 novembre 2018.

Bien nombreux nous sommes à nous retrouver sur le parking du site de Saint Barthélémy à Salernes pour cette randonnée-resto en partie commune avec le G1, proposée par Jean Bo.

Jean présente rapidement les randonnées des deux groupes et rappelle les précédentes éditions, pas toutes parties du site de St Barthélémy.

C’est Joël qui conduit aujourd’hui les 21 randonneurs courageux du G2 qui se sont levés si tôt (départ de Boulouris à 7h30), ce qui n’est pas leur habitude. La température est fraîche mais le soleil est au rendez-vous.

Le parcours annoncé pour le G2 est de 13.3 kms et 312 m. de dénivelé (17.2 kms selon le GPS de Joël à l’arrivée et 395 m. de dénivelé)

Nous partons tout d’abord vers les grottes de St Barthelemy.

Le terrain est humide et glissant et l’eau arrive au niveau des pierres, aussi chacun évite de se mouiller les pieds.

C’est à l’entrée d’une grotte que nous faisons la photo de groupe,

puis nous faisons demi-tour, repassant près de l’étang. Direction la chapelle St Barthélémy, datant du XVIème siècle, transformée au XIXème , qui nous invite à regarder par le trou de la serrure ses peintures murales. A l'intérieur les fresques sont de l'artiste Alain Dalmasso. Celle-ci n'est ouverte que le 24 août, jour de pèlerinage pour la pluie. Tous les vœux ont dû être exaucés cette année.

Joël nous propose de faire la pause banane au soleil, le petit déjeuner ayant été matinal. Il en profite pour nous parler du site Saint Barthélémy.

" Cet étroit vallon a été creusé il y a fort longtemps par les eaux d'un petit torrent qui s'est depuis bien assagi. Il coule à présent tranquillement et accueille en son lit de belles écrevisses. Une légende est associée à cet étang. A une époque fort lointaine, les nymphes des bois avaient pour habitude de se baigner dans les eaux de la source du Vallon de Saint Barthélemy. Pour en interdire l'accès aux mortels, les dieux remodelèrent les rochers alentours en forme de hautes falaises. Un jour, des chevaliers parvinrent sur les bords de l'étang, effrayant sans le vouloir les nymphes qui disparurent. Les chevaliers en conçurent alors un profond désarroi. Pris de pitié pour ces malheureux humains, les dieux les changèrent en peupliers. C'est depuis ce jour que ces arbres grandissent sur les berges de l'étang.

S’agissant des grottes : on y a retrouvé dans une de celles-ci des ossements humains portant des stries de silex. Il semble ne faire aucun doute qu’il s’agit là d’un témoignage d’anthropophagie.  Certains os ont été brisés pour en extraire la moelle très appréciée . Doit-on attribuer ce cannibalisme à une pratique religieuse (culte des morts) ou à une période de grande famine ? »

Nous voilà partis direction Aups par sentiers et pistes majoritairement montantes, caillouteuses et parfois boueuses.

Il semblerait que nous soyons en sortie mycologie et non randonnée, tant de champignons arrêtent les marcheurs.

 

 

 

 

 

 

Mais nous ne sommes pas là pour la cueillette dira Joël. A défaut quelques photos et grâce à Guy le spécialiste les ignorants auront le nom et sauront s’ils sont bons, mais oseront-ils ultérieurement les ramasser pour certains.

 

 

 

Par ordre : 1 - lactaire à lait jaune  (non comestible) 2 - caprins chevelus (très bons comestibles à consommer très frais avant qu'ils ne noircissent) 3 - bolets (comestibles) - 4 - clitocybes de l'olivier , fausses girolles (toxiques) 5 - souchette armillaire couleur de miel (bon comestible) 6 - tricholomes ou petits gris (très bons comestibles) 7 - russule rouge (non comestible) - 8 - amanite solitaire (bon comestible)

Le chemin des Prés plat nous conduit à la départementale 557.

Après l'avoir traversée nous cheminons sur une petite route asphaltée qui nous conduit tout d’abord au domaine Bayard où nous passons devant une maison avec d’étranges plaques, vieux outils, pompe à essence et cheminée d’usine. Quel étrange personnage doit habiter ici!

Nous approchons d’Aups, des champs s’offrent à notre vue, tout comme des oliviers bien chargés et un magnifique érable.

Après avoir fait un petit tour dans le village pour voir l’église Saint-Pancrace avec son fronton portant la devise républicaine Liberté-Egalité-Fraternité, ce qui étonne bon nombre d’entre nous, mais dont l’explication nous est donnée par la plaque devant l’entrée « Les insurgés varois contre le coup d’état de Louis-Napoléon Bonaparte se réfugièrent dans la  collégiale Saint Pancrace lors de la bataille d’Aups du 10 décembre 1851. Lors de la promulgation de la loi de la séparation de l’Eglise et de l’Etat en 1905, les Aupsois décidèrent tout naturellement, comme d’autres communes du Haut Var, d’apposer la devise de la République française sur le portail de leur église",

puis la fontaine ronde qui porte également une colonne surmontée d’une Marianne et le platane vieux de 400 ans planté en 1603 sous Henri IV,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

nous nous dirigeons vers le Provencal, devant lequel se trouve une sculpture réalisée « Le Provençal en terro de Zaou ». par Régis LIVENEAU en 2003 où nous retrouvons l’autre groupe ainsi que Martine et Xavier, « blessés » qui nous avaient patiemment attendus pour partager le déjeuner. Au menu : apéritif de bienvenue, salade fermière, épaule d’agneau et petits légumes, dessert, café le tout accompagné de vin rouge et rosé.

Il est 14h20 et un strident « départ dans 10 minutes » retentit.

Les deux groupes partent ensemble, abandonnant Monique et Jean-Michel, fatigués qui préfèrent rester avec les blessés , le retour étant pour la quasi-totalité identique.

Les 43 randonneurs s’élancent au rythme G1 dont les marcheurs prennent la tête et qui en l’absence de circulation occupent la largeur de la route.

Dès le départ le groupe s’étire. Arrivés au  Bayard nous prenons un large chemin, puis la piste des Espouveries. De nouveau des champignons en vue, mais pas le temps de s’arrêter. Le chemin devient plus étroit.

Montée, puis 1ère bonne descente.

Après être passés devant d’anciens enclos de bétail faisant penser à des tholos nous sommes face à la difficulté annoncée.

Jean propose une photo des deux groupes réunis.

Tout le monde empruntera la descente, le G1 ayant renoncé de retourner au Trou du Loup. La pente est raide, caillouteuse, bien ravinée et glissante par endroits. Plusieurs regroupements sont nécessaires pour répondre aux coups de sifflet de l’arrière.

Face au nombre de marcheurs le groupe est étiré, très étiré… Enfin nous voilà à la route. Plus que 500 mètres.

C’est à temps que nous regagnons le parking de départ, la nuit tombant.

Merci Jean et Joël pour cette longue et agréable randonnée.

Les photos sont de Jean et Rolande

 

La semaine prochaine :

G2

Départ: 9h00

Jean Ma

870-Vallon de la Verrerie

Moyen*

12,1 km

Dh : 290 m

Version prolongée d’une randonnée du lundi sur la commune des Adrets de l’Estérel. Nous emprunterons la piste de l’Ubac de la Verrerie et le GR49 le long du Vallon du Maraval

Parking : le Planestel- Les Adrets de l’Estérel

Coût du trajet A/R : 11 €

               

 

 

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