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4 janvier 2020 6 04 /01 /janvier /2020 12:09

2020 - 01 - 02 - 856 - 2 - DE BOULOURIS A AGAY - G1 et G2

 

 

Nous sommes 23 à nous retrouver sur le parking du Manoir – 12 dames et 11 messieurs – pour la première randonnée de la nouvelle décennie.  Il fait frisquet mais nous sommes déterminés à reprendre nos bonnes habitudes ... et nos bâtons !

 

 

Anne-Marie présente la randonnée qu'elle a proposée aux 2 groupes du jeudi et rassure les G2 présents qu’ils pourront revenir par la Route de la Corniche soit à pied soit en bus s’ils ne souhaitent pas rentrer par le littoral.

 

 

 

Il est 08h10 quand nous passons devant la poste

 

et traversons le beau quartier résidentiel de Boulouris avec ses demeures à l’architecture provençale.

Une fois quittée l’Avenue Raoul Blanchard, nous prenons une piste qui longe la Route de la Nécropole où nous ne croiserons que quelques promeneurs matinaux et leurs chiens.  

 

 

Anne-Marie nous annonce une descente raide puis une montée qui ne l'est pas moins.

 

 

 

 

Cette année, nous ne prendrons pas la piste du Caous 

 

mais suivrons un chemin forestier étroit 

 

dont le sol est jonché de branches mortes et couvert de glands.  Des sangliers sont passés par là comme le prouvent les ravages dans la terre!

 

 

Nous revoici sur une belle piste

 

et il est 09h40 quand nous faisons la pause-banane au barbecue du village de vacances Cap Estérel. 

 

 

Après avoir repris quelques forces et nous être désaltérés, 

 

 

nous empruntons un sentier broussailleux pour aller à la Ferme Castellas

  mais devons rebrousser chemin car il est impraticable.

 

Nous en prenons donc un autre à partir du panneau Les Ferrières.  Le paysage est magnifique

 

 

et nous ne manquons pas d’admirer les nuages suspendus au-dessus de la mer et adossés aux roches rouges.

 

Nous humons les senteurs du sous-bois que nous traversons

 

 

et une fois que nous en sommes sortis, nous remarquons que la route qui va nous mener à la ferme Philippe s’est effondrée suite aux intempéries récentes.

 

 

Nous y sommes à 11h mais ne nous y attardons pas et ne faisons qu’admirer les serres et les vignes qui l’entourent. 

 

 

Nous nous retrouvons sur la route le temps de rattraper la piste du Drapeau. 

 

 

Le Rastel d’Agay domine le paysage.  Nous quittons cette piste, longeons le square Jean Laroche et descendons l’escalier du Boulevard du Rastel 

 

 

tout en admirant la vue sur la mer.

 

 

Une route nous mène à la plage d’Agay

 

qu'il nous faut bientôt quitter pour passer sur le pont. 

 

 

Derrière nous, le Rastel d'Agay inondé de lumière:)

Heureusement, nous nous retrouvons rapidement sur le sentier du littoral.

 

Bernard, notre serre-file, s'assure que tout le monde est bien là

 

Il est midi quand nous nous installons sur les roches de la Plage du Pourrousset pour le pique-nique. 

 

 

C’est avec quelques regrets que nous quittons ce magnifique endroit à 12h40 mais nous savons que d'autres superbes panoramas nous attendent au détour des criques qui jalonnent ce sentier.  

 

 

Nous sommes surpris de voir 2 baigneuses dans la mer sur la plage de Camp Long ainsi que deux scaphandriers et quelques amateurs de soleil qui se font bronzer en maillot de bain en ce 2 janvier. 

C’est à 13h30 que nous prenons le pot de l’amitié au Soleil Bar du Dramont. 

Tiens, les biscuits n’ont pas autant de succès que d’habitude!  Serait-ce suite aux résolutions pour 2020 ou à cause de quelques excès lors des fêtes de fin d’année? 

Une seule randonneuse décide de rentrer par la Route de la Corniche tandis que le reste du groupe la traverse pour longer la voie ferrée et marcher le long des anciennes carrières du Dramont où nous lisons quelques-uns des panneaux du sentier des Carriers. 

 

Nous traversons à temps la voie ferrée au niveau du camping de l’Ile d’Or car la cloche retentit annonçant l’approche d’un train et les barrières se baissent une fois le dernier randonneur passé. 

Nous nous retrouvons alors sur la plage Pierre Blave aux roches noires

d'où nous continuons notre périple 

 

 

 

 

jusqu'à la plage de la Tortue.

 

Nous avons parcouru 18,9 kms avec une dénivelée de 327m.

Un grand merci à Anne-Marie pour cette randonnée dont nous ne nous lassons pas, à Bernard et Denis nos serre-files sans oublier Marie-Christine et Dominique, les photographes du jour.

Meilleurs vœux de bonheur et santé à tous les marcheurs et à nos fidèles lecteurs et à bientôt le plaisir de se retrouver sur les pistes:)

La semaine prochaine :

 

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21 décembre 2019 6 21 /12 /décembre /2019 09:18

2019 - 12 - 19 - 639 - MALPASSET - AIRE DE L'ESTEREL - G1

Nous sommes 13 dont 5 femmes à nous retrouver sur le parking de Malpasset pour la dernière randonnée de l’année. 

 

Parmi nous une nouvelle, Ana, 

 

et Nicolas, géologue invité par son père Eric.

 

Joël nous présente la randonnée, nous remercie de notre présence car la météo était incertaine et remet un exemplaire du parcours à Bernard notre serre-file qui sera secondé par Denis.  Il est 08h45 quand le groupe se met en marche.

 

Bien que Joël nous ait signalé que la force de l’eau avait emporté le gué lors des pluies diluviennes de la fin novembre, c’est impressionnant à voir.

Nous en profitons pour prendre la première photo de groupe

 

puis longeons les vestiges de l’aqueduc romain 

et entamons une petite montée.  Une pluie fine commence à tomber mais il fait doux.

 Nous avançons sur une belle piste bordée d'une végétation verdoyante et

fréquentée aussi par des animaux comme le prouve la corne de chevreuil ramassée par Thierry! 

Nous entamons une montée raide mais nos efforts sont récompensés par la beauté d’un buisson d’herbe de pampas. 

Après l’avoir admiré et photographié, nous attaquons la seconde montée.  La pluie se fait plus dense mais nous persévérons.  

Qu'a donc ramassé Nicolas?

Bref arrêt pour observer sa découverte: un reste de végétaux fossilisés. 

La prochaine surprise sera ce pic-vert en zinc perché sur un poteau électrique et qui fait parler bien des randonneurs!

 

Pas de vrais oiseaux et pas d'abeilles non plus!

 

On voit que l'hiver approche!

 

Peu de temps après Joël nous fait remarquer le majestueux Rocher de Roquebrune qui se dresse à l’horizon. 

 

 

C’est l’heure de la pause-banane que nous prenons rapidement. On n'est pas là pour faire du tourisme!

 

Une montée raide et glissante nous attend. 

 

Un rayon de soleil apparaît ce qui donne un bel arc-en-ciel.

Un plaisantain en tête de groupe nous annonce qu’on a marché vite car nous voici déjà aux voitures! Mais quelles voitures ...

Nous poursuivons donc notre chemin et entrons sur la piste Marras baignée par le soleil et bordée de pins.  Fini le vrombissement des voitures sur l’autoroute, nous sommes en pleine nature.

Il est 12h30 et Joël nous propose de pique-niquer face au Mont Vinaigre. 

Le départ est donné à 13h15.  Nous avançons sur une belle piste et apercevons le Lac d'Avellan vers lequel nous nous dirigeons. Une descente nous mène sur les berges du lac  

où nous faisons une nouvelle photo de groupe.

 

On le quitte pour entamer la magnifique traversée des Gorges du Vallon de l’Avellan. 

Parcours plutôt sportif

 

ponctué des explications de Nicolas qui nous renseigne sur la nature des roches : Gneiss et micro-granites. 

 

Changement de décor.  Nicolas explique qu’il y avait une mine à proximité, mine de Boson, d’où la couleur ocre du terrain et de la roche. 

Il remet à Babette un morceau de fluorine – minerai de fluor particulièrement utilisé dans l’industrie de l’acier 

et nous donne quelques explications sur ces ruines.

Restes d'exploitation de la mine

 

Une fois sortis des gorges, nous nous retrouvons sur une piste plate qui nous ramènera au gué éclaté à proximité des rochers du barrage de Malpasset qui s’est effondré voici 60 ans.

 

 

Et nous voici de retour sur le parking.

 

Nous avons parcouru 20,2 kms pour une dénivelée de 545 m.

C’est au pub Public House de Puget-sur-Argens que nous prenons le pot de l’amitié.

Un grand merci à Joël pour cette belle marche hivernale qui nous a fait découvrir un coin moins connu de l’Estérel, à Nicolas pour ses explications et aux photographes Brigitte, Thierry et Dominique.

Nous souhaitons de joyeuses fêtes de fin d'année à tous les randonneurs et à nos fidèles lecteurs! 

Prochaine randonnée commune aux G1 et G2 :

 

 

 
 

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20 décembre 2019 5 20 /12 /décembre /2019 14:21

Ecureuil-Petite Vache-853-G2
 

Deuxième rando de l'année 2020. C'est la grosse reprise avec 31 marcheurs.
Jean Ma, l'animateur du jour nous présente, avec son humour habituel, cette rando de 12.4 km et 225 m de dénivelée donc facile et sans problème sur de belle piste. Dimanche dernier il a vérifié les deux gués qui ne présenteront aucun problème.

 

La météo est super, grand ciel bleu mais température très fraîche.
 

Nous voilà partis sur la piste qui surplombe le ravin du Grenouillet et là notre animateur est parti d'un bon pas oubliant peut-être qu'il conduit un G2.

Mais il s'arrêtera au premier gué  pour que nous puissions constater les dégâts causés par les pluies de  Novembre qui ont emporté une partie de l'enrochement mais rien à voir avec le gué du barrage de Malpasset (voir le blog du 19/12/2019) complètement détruit lors du même épisode pluvieux.
Mais le gué est sec actuellement, l'eau passant en dessous.

 

Nous nous engageons maintenant dans le ravin du Malinfernet qui abrite le lit de la rivière d'Agay.
 Ce petit fleuve de 11 km de longueur prend sa source dans le Massif de l'Esterel, au nord de Théoule-sur-Mer, à la limite des Adrets-de-l'Estérel, passe sous le Rastel d'Agay, le belvédère (287 m) dominant la mer, et se jette dans la mer Méditerranée, dans la rade d'Agay, sur le territoire de Saint-Raphaël1.
Il alimentait deux lacs du massif de l'Esterel, le lac de l'Ecureuil et le lac du Grenouillet, avant que l'ONF (Office National des Forêts) ne décide en 2009 de détruire la digue qui formait le lac de l'Ecureuil, en invoquant des problèmes de sécurité. Il était situé en amont du lac du Grenouillet.

Cf Wikipédia.

 

Ce ravin très fermé est glacial à cette saison car il est très à l'ombre et il faut sérieusement retoucher les photos pour éviter les tons verdâtres mais qu'il est beau ce site. 
 

Le dimanche, à la belle saison et avant la disparition du lac de l'Ecureuil c'était  le lieu de promenade des Raphaélois.
 

Lorsque le soleil éclaire les sommets  c'est un régal avec la rivière qui cascade à notre gauche.
 

Quelques rochers (et un photographe) facétieux permettent des photos amusantes. 
 

Nous voici face au second gué où coule un filet d'eau.

C'est de l'autre côté que  Jean Ma va nous arrêter pour la "pause banane", au soleil car maintenant nous sommes sortis du ravin.
 

En repartant nous pouvons admirer l'ancien déversoir du lac  qui était recouvert par une superbe cascade lorsque le lac débordait.

Et ça méritait bien d'aller fouiller dans les archives d'Avril 1999 pour retrouver le même paysage avec de l'eau.

Mais à cet endroit le chemin a été ravagé par la rivière qui est sortie de son lit.
 

Donc, c'est bien clair, il n'y a plus de lac et la végétation a envahit le fond du réservoir. Même une petite forêt s'y est installée.
Nous quittons l'ex-lac en direction d'un autre petit lac qui ne porte aucun nom mais qui est fameux pour ses reflets.

Mais avant de l'atteindre nous ferons la photo de groupe.

  Poursuivant notre progression, nous découvrons maintenant le massif des Suvières.

 Et enfin nous arrivons au lac. En 1999, avec Yvette nous l'avions découvert un dimanche matin dans les mêmes conditions qu'aujourd'hui, 11 h, Janvier, grand soleil et absence de vent et ce fut le même émerveillement. Les roseaux, les buissons des berges et les rochers, jusqu'au sommet des Suvières se reflètent en plan successifs donnant une impression de relief extraordinaire.
 

Dommage, une grande partie du groupe est passée sans s'y arrêter. En rando, le plaisir de la marche n'empêche pas de profiter du paysage, au contraire.
En remontant nous arrivons a la Baisse de la Grosse Vache. Quel soleil et quel point de vue, jusqu'à la mer, nous fait remarquer Jean Ma !

 

La Grosse vache et les Suvières.

Aujourd'hui nous allons poursuivre sur la grande piste du Baladou en délaissant le GR qui coupe les boucles de la grande piste.
Jean  nous arrête au col du Baladou pour le pique-nique au soleil.

Les spécialistes de la sieste se sont écartés du reste de la troupe  bien regroupé sur les rochers…et l'unique banc de ce grand carrefour.
 

Après les agapes habituelles nous reprenons la  grande piste pour rejoindre le col du Mistral.
 

Très belle vue sur le Perthus Oriental.
 

Au col du Mistral nous quittons la route et les larges pistes pour revenir en

pleine nature alors que les Asphodèles montrent leur verdure. C'est bon signe, la saison avance.
 

Maintenant nous avons une belle vue sur les deux Perthus et une petite discussion s'engage sur leurs  appellations respectives. Sans avoir à sortir la boussole, la polémique prit fin très vite.
Voilà, nous retrouvons la route et les voitures. Le Pot de l'amitié fut pris au Dramont.

 

Merci Jean pour cette rando sympa dans ce cadre merveilleux qu'est l'Esterel.
Merci aux photographes, Claudette, Jacques, Jean-Marie et Thierry.

La semaine prochaine,


 

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