Le Baou de Saint Jeannet - 24 janvier 2008
Il suffit de le vérifier sur la photo de groupe.
Au loin on peut
Après le baou, nous nous dirigeons vers le nord. Notre sentier nous permettra de croiser les bories qui se fondent dans un paysage de garrigues et de chênaies ponctuées de dolines et de lapiés. Paysage dominé par l’élément minéral : le calcaire.
Nous nous frayons un chemin à travers ces blocs de calcaire. Notre sentier descend au milieu d’une végétation basse faite de genévriers et de magnifiques genets. D
détachés de la paroi sont équipés pour l’initiation à l’escalade. Car Saint Jeannet est un véritable petit paradis pour les amateurs d'escalade. De nombreuses voies d'ascension sont répertoriées sur son Baou dont la grande face surgit d'un seul jet sur 200 mètres de haut.
Le Baou ! Mais celui-
Intérieur de la chapelle Notre-Dame des Champs
Le vallon de la Camiole - 17 janvier 2008
Après quelques minutes de rep
Nous voici tous
alignés face au soleil pour savourer notre pique-nique.
Un peu à l’écart, Marie préf
Seule ombre au tableau, le deuxième groupe n’est pas là. Mais où sont-ils ? Que font-ils donc ?
Après le repas, nous profitons du soleil.
Pour les uns c’est
Et nous quittons à regret cet emplacement délicieux.
Le village nous apparaît, dominé par le château féodal. Edifié sur un piton r
Et qui voyons-nous, venant à notre rencontre ? Jacqueline, Nicole et Daniel. Leurs explications sont un brin confuses. Daniel explique qu’il n’a pas trouvé la route qui menait à notre lieu de pique-nique. Jacqueline prétend avoir mangé à midi une excellente daube. Qui devons-nous croire ??
Pour fêter nos retrouvailles, prenons donc une photo
du groupe devant le lavoir. Encore un lavoir !!
Merci Jean pour cette belle randonnée, qui démarre en beauté 2008.
Que regardent-ils ? Auraient-ils vu un dirigeable ?
Balcon de la Méditerranée - 27 décembre 2007
Nous commençons à descendre. Car Bruno nous a prévenu, la montée ce sera pour cet après-midi. Tout à
Le temps d’une première pause et nous
Puis après avoir franchi le gué, nous repartons vers l’Est.
Avant d’atteindre enfin le balcon de la Méditerranée ! Comme le dit le topo-guide du GR51, « De la frontière italienne aux calanques de Cassis, la mer est étale, immense, somptueuse. Pour maintenir un dialogue permanent avec elle, le GR 51 se fait sentier en balcon. Du haut des villages perchés, au-delà des rochers sculptés, derrière les collines parfumées, la mer, promise et éclatante, est toujours là, droit devant ». De quoi rêver !
A défaut de
Merci Claudie, merci Jacqueline !
Vue sur les
Le Lac de Carcès - 20 décembre 2007
Mais nous n’en sommes pas encore aux premières chaleurs du printemps. Le sol est gelé, les arbres sont givrés, marchons pour nous réchauffer !
voici
Puis nous découvrons le lac et son barrage.
Que le niveau du lac est bas en cette fin d’automne !
Nous nous arrêtons sur la berge ensoleillée, le temps d'une photo.
Jean en profite pour nous conter l’histoire d’un enfant du pays, Joseph-Louis Lambot. « Cet homme est l'inventeurdu ciment armé, qui donnera naissance au béton armé. Il réalisera deux barques en ciment. La
La pente devient plus forte maintenant. Mais le peloton de tête mène un train soutenu. Jean qui arbore un altimètre tout neuf, nous indique que nous faisons du 6 m/min, ce qui n’est pas extraordinaire. Aussitôt le groupe accélère et frise les 8 m/min !!
Mais il nous faut déjà ral
Tout somm
Après le sommet nous descendons de quelques mètres pour atteindre ce que Françoise nomme « un délicieux plateau » propice au pique-nique.
Certains s’insta
Après un début de sieste, nous poursuivons notre descente en direction de Carcès. Avec à nouveau de belles vues sur le lac.
Quand tout à coup nous voici face à une scène macabre qui perturbe nombre d’entre nous, provoquant nausées, colère ou gémissements. Le photographe n’a pas le cœur de vous montrer ce spectacle : une mare de sang sur le chemin et, accroché à un arbre, le cadavre encore fumant d’un renard. Sans doute abattu par un chasseur sanguinaire !


Les Gorges de Pennafort - 13 décembre 2007
Nous voici 27 randonneurs au départ. Il y avait longtemps que nous n’avions été si nombreux. Nous sommes tous bien emmitouflés, car il gèle ce matin. Par un sentier nous gagnons un petit belvédère d’où l’on a une vue magnifique sur les gorges de Pennafort. Ces
Puis nous reprenons nos voitures pour aller stationner près de Notre-Dame de Pennafort.
Cette chapelle fait
gorges. Elle est coiffée d'un dôme édifié en 1855 sur les restes d'une ancienne chapelle du XIème siècle. Les habitants de Callas y organisent chaque année un pèlerinage en l’honneur de la Vierge.
Nous empruntons à présent une petite route qui suit le tracé de l’ancien chemin médiéval qui reliait Grasse à Brignoles. Cet itinéraire était très fréquenté par des colporteurs, pèlerins et moines. Sans compter des randonneurs pas toujours fréquentables.
Celle-ci fut construite
Nous revenons sur nos pas en longeant la route, puis après avoir traversé un petit ruisseau, nous abordons la montée. Le sentier est ensoleillé, il commence à faire chaud et nous pouvons nous alléger de quelques vêtements.
Puis une descente abrupte avec ses hautes marches nous mène tout près d’une maison, isolée au milieu des pins. Quand tout à coup nous voici face à une barrière infranchissable. Nous sommes pris au piège ! Quel culot d’installer un grillage sur un sentier de randonnée !
Après quoi, certains
D’autres attaquent le tarot.
Certaines, désirant profiter pleinement du soleil, n’hésitent pas à retirer encore quelques vêtements superflus.
Mais se rhabillent dès
Mais il nous faut rep
Nous allons admirer à nouveau les gorges de Pennafort, vues sous un angle différent, mais toujours d’en haut. Car Bruno a eu l’excellente idée de nous maintenir sur les hauteurs. Nous ne bénéficierons donc pas de la « fraîcheur bienfaisante des gorges et de ses piscines naturelles d’eau turquoise où il fait si bon se baigner » !
Notre chemin grimpe jusqu’à un magnifique plateau rocheux qui surplombe les g
splendide sur le site de Pennafort : la chapelle Notre-Dame et l’Hostellerie de Pennafort.
Un pas de plus
De Peille à Peillon - 6 décembre 2007
Partis à neuf heures, il ne faut pas traîner car nos rendez-vous sont minutés. Nous commençons donc exceptionnellement par une descente. Descente en forme d’escalier aux hautes marches qui nous mène jusqu’à un ruisseau, le Faquin, que nous franchissons. La pente se fait plus douce, mais nous passons par des hauts et des bas ! Nous marchons sous un agréable sous-bois, sur un tapis de feuilles. Les plaisanteries (faciles) fusent, du genre « je peille, tu peilles, nous Peillon » ou « c’est jour de Peille » ! Sur la droite nous bénéficions d’une vue imprenable sur une vaste carrière.
Mais voici bientôt d
Le village nous appara
Il est 11 heures, nous sommes exacts à notre premier rendez-vous. Notre guide nous attend, tout va pour le mieux. Enfin pas vraiment, car celui-ci n’a pas les clés de la chapelle ! Jean lui rappelle qu’il a pris rendez-vous il y a plusieurs semaines, qu’il lui a encore téléphoné la veille… Notre guide appelle aussitôt l’homme qui détient les clés de l’office du tourisme qui renferme les clés de la chapelle.
Certains profitent de cett
Certaines attendent s
La chapelle ? Eh bien pour patienter, allons la voir !
Vue de l’extérieur, elle ne paie pas de mine. Jean nous explique qu’elle fut construite en 1495 et remaniée au 16ème siècle. Mais voici la clé ! Nous pénétrons enfin dans la Chapelle des Pénitents Blancs !
Pas de doute, dès le premier regard, à la vue des magnifiques fresques, c’est une splendeur ! Nous nous asseyons pour écouter religieusement – cela va de soi ! – notre guide. Il nous parle d’abord de ces Pénitents Blancs, vêtus d’un costume de toile blanche et d’une cagoule, qui se dévouent pour secourir les malades et les nécessiteux. Puis il nous décrit longuement les peintures murales du 15e siècle attribuées à Jean Canavesio : la Passion, la Crucifixion, la Mise au Tombeau. Sans oublier le retable de bois sculpté 17e et sur l’autel une Pietà en bois polychrome.
Mais après déjeuner il n’est pas question de faire la sieste. Nous avons rendez-vous à la Mairie de Peille.
Sur notre gauche se trouve
Nous poursuivons notre grimpette, laissant sur la droite le Mont Agel (1107 m), reconnaissable à son émetteur TV.
Pour finir nous montons jusqu’à l’église au superbe clocher pyramidal lombard en pierres de taille. Après la marche, voici le temps du recueillement.
(*) La vue de Peillon - vous l'aurez noté bien sûr - n'est pas prise à l'arrivée, mais au retour vers Peille !
Pique
La Cime des Collettes - 29 novembre 2007
Nous voici donc 21 randonneurs au départ de Toudon.
Après un court raidillon nous atteignons le vaste plateau de Sebairons. On y distingue encore
Nous prenons le temps d’une pause casse-croûte. Camille s’assied, il souffre terriblement du mollet.
Jean essaie d’apaiser
Peu après, nous franchissons un ressaut escarpé. Le sentier se faufile au pied de hautes falaises de calcaire et de gypse. Ce
Le photographe a quand même droit à un sourire.
Sentier agréable qui déroule ses lacets dans une belle forêt de pins. Mais à l’ombre il y fait un peu frais !
Au déto
pins nous découvrons les sommets du Mercantour, dont le splendide Mont Mounier tout blanc de neige.
Encore une
nous voici sur un premier sommet. Sept d’entre nous décident de s’y arrêter, tandis que le reste du groupe gravit la Cime des Collettes. Par endroits, le sol est gelé. Attention à ne pas glisser sur les cailloux verglacés !
Nous arrivons au sommet, parsemé de bosquets de buis. Le temps d’une photo et nous redescendons récupérer notre petit groupe de 7.
Pas de difficultés sur ce sentier – hormis le franchissement d’un tronc d’arbre ! Nous voici à présent dans un paysage aride, où se succèdent landes à genêts, blocs de calcaire.
Avant d’atteindre le village, Bruno nous raconte l’histoire de Toudon, fief des Grimaldi de Beuil, de 1315 à 1621.
Enfin voici Toudon, l’auberge, la pissaladière, le kir et la suite.
Merci Bruno pour cette belle randonnée aux paysages variés et magnifiques.
Le Mounier ... enc
ore lui
!
Le village de Toudon
Le village de Malaussène et la
vallée du Var
.
Les Gorges du Blavet - 15 novembre 2007
Treize randonneurs courageux et/ou optimistes, en tout cas plus optimistes que la météo qui prévoit de légères pluies à partir de 11 heures. Certains ont déjà senti quelques gouttes. Mais comme dit le dicton : Pluie du matin n’arrête pas le randonneur.
Bientôt au-dessu
Cette fois-ci tout le monde a senti les
Bruno prend alors le pouls de ses troupes. Une A. G. s’improvise. Cert
Si Je
Dernière photo de groupe avant d’atteindre les voitures. Il est 11 heures.
Merci Bruno pour cette trop courte randonnée, qui aura eu le mérite de nous faire prendre l’air... Ainsi que le vent, le froid, la pluie et la neige !
Encore une photo : Les reconnaissez-vous ?
Les crêtes du Bauroux - 8 novembre 2007
Le village de Séranon est connu pour ses ruines
Jean profite de notre halte pour nous parler de l’Epopée de la Route Napoléon. Car le 3 mars 1815, Séranon reçut la visite de Napoléon, de retour de l’île d’Elbe. Nous apprenons ainsi que l’Empereur et sa troupe rencontrèrent à la tombée du jour, une file de muletiers de Caille, portant du blé au marché de Grasse. L’Empereur les obligea à empiler sur leurs mulets les sacs de ses soldats harassés et à rebrousser chemin jusqu’à Séranon. Napoléon fut hébergé au château de Broundet, ou il passa la nuit tout habillé sur un fauteuil Louis XIII.
Suite de l’Epopée dans une prochaine rando.
Nous arrivons à pr
C’en est fini de la séquence culturelle. Nous sommes venus pour marcher, eh bien marchons !
A
Peu après, notre chemin repart vers l’Est pour atteindre la fameuse arête sommitale qui doit nous mener au sommet du Bauroux. A présent nous abordons une montée toute en douceur – ou très pentue selon les goûts - et très ombragée. A gauche nous avons une large vue sur la vallée de Valderoure. A droite nous pourrions admirer celle de Séranon, si nous chaussions des échasses, car notre chemin se trouve en contrebas de la crête.
Encore quelques minutes et nous parvenons au sommet du Bauroux, signalé d’une grande croix.
Nous nous installons sur le versant Nord,
à l’abri d’une petite brise fraîche, pour pique-niquer.
Jean Borel en profite pour nous faire admirer
Après notre pique-nique, nous quittons le sommet du Bauroux pour une descente que Jean nous annonce comme rapide. Nous débutons en effet par un passage escarpé, donc très intéressant pour le photographe. Celui-ci – au péril de ses articulations - n’hésite pas à emprunter un raccourci abrupt pour obtenir ces images.
Pourquoi cette folle gaieté, dans un sentier escarpé ?
Après ce début difficile, la suite de la descente ne sera qu’une formalité. Descente facile pour les uns, rapide pour les autres, c’est l’éternel débat !
Bien qu’ayant craint de perdre une randonneuse perdue dans ses rêves, nous parvenons tous dans la vallée et traversons Caille avant d’atteindre Séranon et nos voitures.
La salle est vaste, la vue y est belle et la serveuse aimable. Rendez-vous est pris pour dans 4 ans.
Quelques photos :
Détails de la chapelle Ste Brigitte : armoiries et bénitier extérieur
L'église du Vieux-Séranon
Le Ravin des Fabrigouliers- 1er novembre 2007
Le Ravin des FABRIGOULIERS.
En ce jour de Toussaint 2007, nous
avons ranimé le parking de Boulouris, un peu endormi à 7 h30. Cette heure très matinale vous évoque peut-être un départ pour un
département voisin avec une longue route en perspective… Erreur, nous allons à quelques kilomètres de là, en plein Esterel, au parking de Belle Barbe que nous atteignons à 7 h 45. Pas un chat… ni
un sanglier, pour accueillir les 12 marcheuses et marcheurs à qui Bruno GUERIN se propose de faire découvrir les fabricouliers ! 15,5 kms et 350 m de dénivelée, une promenade! Parité parfaitement
respectée, avec une petite nouvelle, Maryse à qui nous souhaitons la bienvenue.
Il fait très beau, un peu frais à l'ombre (certains parleront de 5 °) lorsqu'à 7 h 57 ( un record !), notre petit groupe démarre joyeusement.
Premier arrêt photo et effeuillage (traduction : on retire une couche de vêtements) près d'un joli petit lac collinaire avec des reflets superbes.
Puis, arrivée au col Aubert où le cairn, très célèbre dans
l'Esterel, n'a pas grossi depuis notre dernier passage. Maintenant ça monte sérieusement pour rejoindre le col du Baladou où nous retrouvons la grande piste du même nom (pour parler "branché", on dirait
éponyme).
Cette piste, bien connue des marcheurs et des vététistes, est un régal : large donc conviviale, pente douce et pas trop de cailloux qui roulent. Il fait toujours très beau et même chaud, bien qu'il soit encore tôt. Les bruyères roses sont en fleurs mais on voit qu'elles ont souffert de la sécheresse. La piste du Baladou est doublée du GR, plus accidenté, mais Bruno a été sympa pour notre fête , car aujourd'hui c'est la fête de tous les saints, en nous maintenant sur la piste principale. Nous montons donc à une bonne allure avec un petit arrêt à la Baïsse (col en provençal) de la Petite Vache puis à sa grande sœur de la Grosse Vache. Poétiques à souhait les appellations, non …
La Grosse Vache est un belle falaise avec un petit plateau à 314 m. Elle est très caractéristique de ce secteur. C'est de la Baïsse de Mathieu que la vue sur ce
massif est la plus impressionnante. A cet endroit, le GR contourne par l'ouest alors que poursuivons sur le grand chemin par l'Est . Il est 10 h lorsque nous atteignons le Col des Suvières,
important carrefour avec deux chemins, l'un vers l'ouest pour le Mont Vinaigre et l'autre vers l'est en direction du col des trois Termes. Petite
pause casse-croûte, au soleil, en encourageant les nombreux vététistes qui commencent à arriver. Nous nous faisons traiter de "lézards"par l'un d'eux. Il faut dire que nous sommes bien installés,
au soleil, comme… des lézards heureux.
Nous avons bien marché et sommes presque à mi-parcours. A ce train là, nous serons à midi au lac de l'Ecureuil.
Le chemin est bordé de superbes eucalyptus. Certains ont souffert de la sécheresse mais l'ensemble donne une sensation de fraîcheur.
Les sacs sont refermés, en route pour la deuxième partie de la rando. Un peu plus haut que nous la Maison Foretière des Trois
Termes nous montre ses superbes restanques , bien orientées au sud et que nous
n'avons pas l'habitude voir par le sentier du haut.
Comme souvent la moitié du groupe a dépassé Bruno et lorsque nous quittons la piste
principale, petit jeu habituel du meneur qui bifurque sans prévenir. La dernière des" échappés" n'entend plus de bruit derrière elle, se retourne pour voir Bruno et l'autre moitié du groupe
rigolant dans le sentier divergent. Bien sûr elle va alerter tout le monde et Bruno reprend la tête et nous traversons un ensemble de ruches où les abeilles ne semblent pas encore réveillées :
c'est jour férié. Bruno va nous conduire au fameux ravin des" fabrigouliers" où là, il va faire une petit
topo sur cet arbre dont l'autre nom est le micocoulier..
Origine : Europe du Sud (espèce méditerranéenne) le Micocoulier de Provence, Celtis australis supporte le froid jusqu'à -23°, sauf quand
il est jeune. Écorce cannelée, ressemblant à celle du hêtre, grise avec quelques pustules et protubérances. Feuillage caduc. Feuilles
simples, alternes, elliptiques, légèrement asymétriques à la base (ce qui aide à les reconnaître), dentées
et rugueuses sur le dessus. Elle s'apparentent à celles de l'orme, mais elles sont plus allongées et moins larges.
Fleurs petites, dépourvues de pétales, en mai. Petit fruit brun ressemblant à une olive (1 cm) à maturité en septembre. C'est
une drupe qui persiste sur l'arbre après la chute des feuilles.
Utilisations : son bois souple et néanmoins résistant sert à confectionner des cannes, des manches d'outils, des cravaches et des avirons. Ses graines contiennent une huile comestible. Son
écorce est utilisée pour produire une teinture jaune.
et nous allons ainsi passer une bonne heure, tranquilles.
Bruno
Bruno donne le signal du départ et
Merci Bruno pour cette balade, très agréable, dans cet Esterel que nous aimons tant.
Et oui !
.
Incroyable !!!
Cascade en Avril 1999