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5 février 2020 3 05 /02 /février /2020 09:30

Giens La Madrague - 700 - G2

 

Louis nous présente cette randonnée G2 : "nous ferons le tour de la partie occidentale de la presqu'île, qui présente une succession de criques ourlées de graviers et de falaises abruptes, en suivant le sentier du littoral, parfois raide et escarpé, entre les ports de la Madrague et du Niel. Le dénivelé devrait être de l'ordre de 200m pour une distance de 10,4kms. Nous aurons de jolis points de vue sur les îles et les plages qui jalonnent le parcours".

Il fait un peu frais mais beau. Nous avons trouvé la route d'accès à la presqu'île  magnifique, en bordure de l'étang des Pesquiers avec ses marais salants et ses flamants roses.

Il y a en fait deux voies d'accès à la presqu'ïle, qui empruntent le double tombolo de sable qui relie Giens à la côte.

Ceux qui, comme les blogueurs avaient fait confiance au GPS, ont dû renoncer à emprunter la route du sel, via le tombolo le plus occidental, fermé à cette époque, et emprunter la route de Giens en passant par la Capte et le Pousset.

 

 

 

Nous laissons nos véhicules à proximité du petit port de la Madrague.

 

 

Nous observerons tout au long de cette avenue la présence de bornes anti-moustiques. Leur raison d'être nous apparaîtra rapidement car quelques moustiques nous accompagnent au départ de la randonnée.

 

 

Il est 10H20 lorsque nous accédons au sentier du littoral qui démarre sur une petite plage à l'aplomb de la Pointe de l'Ermitage. Nous sommes 25. Jean-Claude et Beps seront nos serre-files.

 

 

Nous suivons une piste large et confortable,

 

 

 

en empruntant parfois des plages qui ouvrent sur de très belles vues sur la rade de Giens, en direction du nord, vers Carqueiranne.

 

 

Il pourrait s'agir de la plage de l'Aygade et de l'île de la Redonne.

 

 

A ce stade le sentier devient déjà plus étroit et escarpé.

 

 

 

Mais l'effort est immédiatement récompensé : le paysage est superbe.

 

 

 

Retour sur des pistes plus clémentes. Nous abordons la partie la plus occidentale de la presqu'île.

 

 

 

Nous atteignons le Pain de Sucre. Quelques îlots au premier plan, et au-delà les îles qui bordent la côte et notamment l'île Longue et l' île de la Ratonnière.

 

 

Il est 11h20, l'heure de la pause banane, après les efforts fournis pour gravir le sentier jusqu'au sommet. Nous sommes à la Pointe des Chevaliers.

 

 

Après un arrêt d'une dizaine de minutes nous reprenons notre marche vers le sud.

 

 

 

Dans ce secteur nous longeons le sommet des falaises en direction de la Calanque du Blé, avec de belles vues lumineuses vers la côte, même si le ciel tend à se voiler un peu.

 

 

Nous atteignons la Pointe des Salis, au sud.

 

 

Nous passons à l'aplomb de ruines. La curiosité pousse Bernard et Claudette  à s'aventurer à l'extrémité de la pointe pour découvrir en contrebas cette structure. Une recherche sur internet nous permettra d'apprendre qu'il y avait tout d'abord à cet endroit un phare à bain d'huile qui fut utile en son temps pour signaler cette côte dangereuse que les marins redoutaient depuis l'Antiquité. Selon l'Atlas Alternatif de la Côte d'Azur "la Marine a, plus tard, établi la route d'Escampo-Bariou (1902-1903) taillée dans le rocher en corniche au-dessus de falaises abruptes. la "route" (qui n'est pas goudronnée et fait plus penser à un chemin de mule) aboutie à un bâtiment aujourd'hui abandonné qui abritait le moteur d'un poste photoélectrique" (voir photo ci-dessous). Sur la terrasse supérieure les ruines sont celles du logement du gardien. On trouve également au sol des traces de fixation d'éléments d'artillerie.

La falaise est ici à 119 mètres au-dessus des flots. Le site de l'Atlas Alternatif de la Côte d'Azur explique comment un puits, creusé depuis le sommet de la falaise, et une galerie munie de rails, ont permis l'installation du poste photoélectrique, un projecteur très puissant, au niveau de la mer, pour éclairer la passe afin que la batterie d'artillerie située plus en hauteur soit opérationnelle la nuit.

 

 

Un panneau d'information signale bientôt que nous sommes ici aux portes du Sanctuaire Pelagos. Cette aire marine, de 87500kms carrés, s'étendant jusqu'aux côtes nord de la Sardaigne et à l'Italie et englobant la Corse, est destinée à la protection des mammifères marins et résulte d'un accord international (France, Monaco, Italie).

Elle vise à maintenir la richesse biologique de cette zone qui compte notamment de nombreuses espèces de cétacés (dauphins, cachalots, etc.).

Le sentier continue au sommet des falaises, avec des surplombs impressionnants.

 

 

 

Nous passons la Pointe Escampo-Barriou et arrivons à la Pointe du Rabat.

Nous avons un beau point de vue sur les îles, sans doute l'île du Grand Ribaud au premier plan et Porquerolles au-delà.

 

 

Depuis un moment déjà le sentier alterne avec obstination les montées et les descentes.

 

 

Il est quelquefois aménagé mais les marches sont hautes et mettent à dure épreuve les muscles et les articulations.

 

 

Louis nous réconforte en nous annonçant que l'heure du pique-nique est proche.

 

 

En effet nous apercevons la plage d'Escampo-Barriou, où notre pause est prévue.

 

 

Le soleil est présent mais le vent est frais. Nous choisissons de nous installer un peu à l'abri, en surplomb de la plage. Il est environ 13h.

 

 

Le pique-nique est agréable et convivial mais légèrement écourté par rapport aux pratiques habituelles du G2 car le chemin est encore long jusqu'à la Madrague.

Nous reprenons notre route vers la Pointe du Pignet.

Photo de groupe avec les îles en arrière plan.

 

 

Une belle vue sur la côte que nous venons de longer.

 

 

Une courte pause vers la Pointe de la Galère pour admirer le paysage.

 

 

 

Après la plage des Darboussières la côte est sauvage et la couleur de l'eau magnifique.

 

 

 

Le sentier continue à présenter des descentes et des montées un peu rudes.

Quelques uns d'entre nous acceptent avec soulagement la proposition de Louis de rejoindre la Madrague en empruntant un raccourci.

Le reste du groupe poursuit son chemin vers la Pointe des Morts et, au-delà, jusqu'au petit port de Niel.

 

 

Le reste du chemin se fera par la route, au soulagement de tous, car les jambes commencent à être lourdes.

 

 

 

 

Nous arrivons au joli port de la Madrague où nous attendent nos cinq compagnons.

 

 

Nous rejoignons nos véhicules quelques centaines de mètres plus loin et convenons avec Louis de nous retrouver pour le pot de l'amitié au seul café ouvert sur la presqu'île, le Duc place Saint Pierre.

Mais quand nous arrivons sur place les quelques clients installés en terrasse nous indiquent que le bar est fermé, le patron s'étant absenté pour une durée "indéterminée".

Compte tenu de l'heure tardive et de la durée du trajet de retour nous décidons collectivement de renoncer pour une fois et avec regret à notre pot de l'amitié.

Merci Louis pour cette randonnée.

Merci également à nos deux serre-files.

la semaine prochaine :

 

 

 

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1 février 2020 6 01 /02 /février /2020 15:11

2020/01/30 - 526- LA GARONNETTE - G1

Aujourd'hui, c'est la randonnée Galette des Rois, mais avant de la déguster, randonnée dans les Petites Maures de 17,5 kms pour une dénivelée de 509m.

Joël, notre animateur du jour, nous donne rendez vous aux Issambres en direction du col du Bougnon. Il présente sa randonnée aux 22 Randonneurs présents :

" nous longerons la rivière nommée " la Garonnette ", nous cheminerons en crête pour profiter d'une vue dégagée sur les massifs environnants et nous terminerons par une montée raide et une belle descente "

 

Le temps est  très agréable, la piste est belle. Direction vers la Garonnette

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Patrick notre serre file, toujours présent à son poste.

La traversée se fait sans problème

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous longeons la Garonnette et arrivons à la stèle du pompier Norbert Peloux mort à 24 ans dans les incendies du 21.08.1982

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Joël nous donne quelques explications sur la Garonnette  : 

" - la Garonnette est un fleuve côtier puisqu'elle se jette directement dans la mer

     - Ste Maxime et Roquebrune se sont associés après les inondations de 2009 pour curer et aménager le cours d'eau. Les travaux furent terminés le 11.06.2010 juste avant les pluies diluviennes ce qui a évité des dégats "

Le ciel est bleu, la température est clémente , nous nous arrêtons pour un premier "effeuillage" 

En face de nous, le Vieux Revest

Une petite grimpette pour aller voir les ruines "David".

Chacun imagine ce que pouvait représenter ces ruines

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous quittons le lit de la Garonnette pour nous diriger vers le col de Peigros, toujours en grimpant.

Arrêt pour la pause banane pour reprendre des forces, le plus dur est à venir...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous passons sur une piste parsemée de chênes lièges

et sur la crête, nous apercevons la mer, le Mercantour enneigé

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Fréjus avec le Mont Vinaigre en arrière plan

et la baie de St Tropez

Nous avons fait 13 kms, et décidons de nous restaurer à la hauteur du col de Bougnon avant d'entamer la montée raide de Cabasse.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il ne reste plus que 4 kms environ, il n'est que 13h et nous avons rendez vous pour la galette à 16h.

Nous allons donc faire cette montée raide chacun à son rythme mais avant de prendre le départ, photo de groupe 

Un petit arrêt pour les photographes, ça repose...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Maintenant il faut descendre, attention c'est rocailleux...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La randonnée est terminée, avant de rejoindre nos amis du G2 pour la Galette des Rois au village de vacances VACANCIEL...

Un grand merci à Joël pour cette agréable journée .

Merci également aux photographes : Thierry et Brigitte R.

 

Quelques photos prises au village de vacances :

 

Accueil des randonneurs par nos deux animateurs du jour : Joël et Alain

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les randonneurs G1 et G2 :  après l'effort le réconfort...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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1 février 2020 6 01 /02 /février /2020 08:56

La Gaillarde en Balcons - 931-1 - G2

 

C'est une nouvelle randonnée créée par Alain,  dans le massif des Petites Maures, sur les communes des Issambres et Saint-Aygulf, à l'est du Massif des Maures.

Une boucle d'une douzaine de kms pour 350 à 400m de dénivelé en prélude à la dégustation de la galette qui réunira G2 et G1 à l'Hôtel Club "Vacanciel" aux Issambres.

Alain présente le programme aux randonneurs présents : "c'est un parcours principalement sur pistes. Dans un premier temps nous longerons le vallon de la Gaillarde. Puis nous nous dirigerons vers le col de Bougnon où nous ferons la pause banane. Nous passerons à proximité des ruines de Roqueyrol. Nous irons ensuite plein Est vers le dolmen de l'Agriotier. Nous atteindrons les ruines des Quatre Vents où nous pique-niquerons. Le retour vers le parking se fera par de belles pistes, pas trop pentues, vers 15h30".

 

 

 

Nous sommes 31 au total selon le compte fait par nos deux serre-files, Jean-Claude et Beps.

 

 

Le départ est donné vers 9h15. En amorçant le sentier vert "agriculture" on voit combien, ici aussi, les sentiers ont souffert des intempéries de fin 2019.

 

 

Nous atteignons rapidement une piste plus confortable qui longe le cours de la Gaillarde.

 

 

Un premier arrêt.

Alain le met à profit pour nous faire observer les troncs calcinés de certains chênes, stigmates des incendies qui ont ravagé les Petites Maures à plusieurs reprises, les plus notables en 1923, 1943, 1962, 1990 et 2003.

Celui de 1923 a marqué l'abandon de l'habitat. Jusqu'alors le défrichage important autour des fermes les avaient préservées.

Nous passerons à proximité des ruines de deux d'entre elles.

 

 

Les mimosas commencent leur floraison. Il y en a peu dans ce secteur des Petites Maures.

 

 

Bref arrêt au carrefour de Masligour pour se désaltérer. Il fait beau. La visibilité est bonne ce qui nous permet d'apercevoir les sommets enneigés du Mercantour.

 

 

Nous prenons la piste de droite, large, en bon état, qui nous mène en légère montée en direction du col de Bougnon où passe la D8 qui relie Roquebrune à Sainte Maxime via le Haut des Issambres. Nous aurons tout le loisir de contempler le panorama sur le golfe de Fréjus, avec l'Estérel en arrière plan.

 

 

Nous nous installons pour la pause banane.

 

 

 

 

 

 

Nous abordons bientôt un sentier en montée.

 

 

Au passage nous découvrons les ruines de Roqueyrol, maintenant entourées d'oliviers.

Sur le chemin, des panneaux d"information renseignent sur les suberaies, forêts de chênes-liège fréquentes dans les Maures. Le liège alimentait les bouchonneries, notamment celle de Roquebrune sur Argens. Les troncs écorcés et les branches étaient transportés vers une charbonnière située dans les environs, pour la production du charbon de bois.

 

Nous arrivons sur une plateforme qui domine une propriété privée, puis nous laissons sur la droite un sentier qui se dirige vers les ruines de Roqueyrol. Peu après, nous prenons un sentier sur la gauche, qui se poursuit parallèlement à la piste. C'est à ce carrefour que 5 randonneurs nous quittent provisoirement pour un tracé légèrement raccourci. Nous les retrouverons plus tard avant de reprendre nos véhicules.

 

 

Notre sentier s'élève au milieu des cistes cotonneux. Un peu plus tard dans la saison le spectacle doit être magnifique.

Il nous offre au passage de belles vues, alternativement sur le golf de Saint-Tropez, puis sur celui de Fréjus.

On aperçoit ici la pointe du cap de Saint-Tropez et au-delà le cap Camarat.

 

 

Chemin faisant Alain nous indique à l'horizon l'emplacement de la décharge à ciel ouvert utilisée par les villes de Fréjus et de Saint-Raphaël.

Un peu plus loin nous atteignons la table d'orientation du site "Les Petites Maures".

C'est un très beau point de vue qui nous est offert sur les étangs de Villepey, Fréjus, et l'Estérel en arrière plan.

Alain nous indique la direction des principaux massifs, celui de l'Audibergue, le mont Lachens (plus haut sommet du Var), un sommet enneigé vers le Val d' Allos, la Tête de l'Estrop à 2961m ou le Mont Pelat à 3051m, et le Mercantour enneigé.

 

 

Saint Aygulf, Fréjus, Saint-Raphaël et l'Estérel.

 

 

 

Nous poursuivons notre route et faisons un arrêt devant le dolmen de l'Agriotier.

Le site et le monument sont protégés par la loi et, sauf autorisation du Ministère de la Culture, toutes recherches et tous prélèvements sont interdits.

Le département du Var comporte une cinquantaine de dolmens dont un groupe important dans les Maures et l'Estérel.

Alain nous rappelle que les dolmens sont des sépultures le plus souvent collectives édifiées aux environ de 3300 ans avant Jésus Christ. A cette époque l'homme devient plus sédentaire et modifie ses rites funéraires.

Le dolmen de l'Agriotier fait partie du groupe de dolmens à couloir et à petite chambre de Provence orientale. L'ensemble "chambre-couloir"est englobé dans un cumulus de pierre de forme ovale. L'originalité de ce dolmen est qu'il n'a vraisemblablement pas abrité une sépulture collective et que sa dalle de couverture a servi uniquement pour sceller la tombe.

 

 

Nous reprenons notre marche en direction des ruines des Quatre Vents que nous atteignons un peu avant midi.

Comme aux ruines de Roqueyrol, aujourd'hui entourées d'oliviers, nous constatons ici des plantations récentes.

Un panneau d'information que nous rencontrerons plus tard sur le chemin indique que la Gaillarde est un des derniers vallons littoraux non urbanisés de la côte varoise et que le Conservatoire du Littoral, en partenariat avec les communes concernées, a entrepris de réhabiliter ce patrimoine par différentes actions d'aménagement.

 

 

Nos deux serres-file sont vigilants.

 

 

Photo de groupe devant les ruines.

 

 

Nous reprenons la piste en légère descente.

 

 

 

Parfois à peine visibles au milieu des cistes.

 

 

et toujours avec de magnifiques points de vue.

 

 

Nouvelle photo de groupe.

 

 

Alain attire notre attention sur le plan d'eau d'entraînement au ski nautique situé en bordure de la route de Fréjus à Roquebrune et qui est utilisé pour les championnats de France ou d'Europe. En lisière de ce plan d'eau, un grand domaine viticole, le Château Vaudois.

 

 

Nous atteignons le lieu prévu pour notre pique-nique. La vue est agréable et les rochers confortables. Le soleil refait son apparition.

 

 

 

 

Nous repartons sur une piste large et facile. La fin de la randonnée se fera essentiellement en descente.

 

 

 

Ce G2 est tellement dynamique que nous atteignons l'Hôtel Club "Vacanciel" avec un peu d'avance.

L'opportunité de faire quelques pas sur la plage, voire pieds nus dans la mer pour certaines, et de prendre un peu de repos.

 

 

 

Encore une photo de groupe, réunissant G1 et G2.

 

 

Après les voeux adressés aux randonneurs par Joël et le rappel par Jean Borel de la date de la prochaine randonnée-repas, l'heure est venue de lever nos verres à l'amitié et de déguster ensemble la galette des rois, dont Alain nous avait préalablement rappelé l'histoire :

"...les épiphanes étaient des divinités grecques qui apparaissaient aux hommes, comme Zeus, Hermès, Athéna...etc. Cette fête tire son origine des célébrations païennes de la lumière et la galette, par sa forme ronde, symbolise le soleil. Dans cette galette se trouve cachée une figurine et celui qui la trouve devient roi d'un jour. Cette coutume païenne remonte à l'Antiquité romaine lorsque de grandes fêtes, les Saturnales, étaient organisées en l'honneur du dieu de l'agriculture et du temps, entre fin décembre et début janvier.

Maîtres et esclaves mangeaient alors ensemble et une fève était glissée dans l'un des mets afin de désigner le roi du festin.

L'Eglise a ensuite institué l'Epiphanie le 6 janvier pour célébrer la rencontre entre les Rois Mages et l'Enfant Jésus, la tradition de la fève dans le gâteau est restée.

Au moyen-âge cette tradition devient la fête des fous avec l'échange des rôles entre maîtres et domestiques et celui qui trouvait la fève était nommé "roi d'un jour" (il disposait du pouvoir d'exaucer tous ses désirs et même de donner des ordres à son maître).

La galette est en général coupée en autant de parts que d'invités plus une laissée pour être offerte au premier pauvre qui pourrait frapper à la porte".

 

 

 

 

Merci à Alain pour cette magnifique randonnée, bien documentée, et aux organisateurs de la "galette des rois" qui a conclu une journée très agréable.

Les photos sont d'Alain, Jean-Marie, Brigitte, Claudette et Jacques.

 

La semaine prochaine :

 

 

 

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