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1 février 2020 6 01 /02 /février /2020 08:56

La Gaillarde en Balcons - 931-1 - G2

 

C'est une nouvelle randonnée créée par Alain,  dans le massif des Petites Maures, sur les communes des Issambres et Saint-Aygulf, à l'est du Massif des Maures.

Une boucle d'une douzaine de kms pour 350 à 400m de dénivelé en prélude à la dégustation de la galette qui réunira G2 et G1 à l'Hôtel Club "Vacanciel" aux Issambres.

Alain présente le programme aux randonneurs présents : "c'est un parcours principalement sur pistes. Dans un premier temps nous longerons le vallon de la Gaillarde. Puis nous nous dirigerons vers le col de Bougnon où nous ferons la pause banane. Nous passerons à proximité des ruines de Roqueyrol. Nous irons ensuite plein Est vers le dolmen de l'Agriotier. Nous atteindrons les ruines des Quatre Vents où nous pique-niquerons. Le retour vers le parking se fera par de belles pistes, pas trop pentues, vers 15h30".

 

 

 

Nous sommes 31 au total selon le compte fait par nos deux serre-files, Jean-Claude et Beps.

 

 

Le départ est donné vers 9h15. En amorçant le sentier vert "agriculture" on voit combien, ici aussi, les sentiers ont souffert des intempéries de fin 2019.

 

 

Nous atteignons rapidement une piste plus confortable qui longe le cours de la Gaillarde.

 

 

Un premier arrêt.

Alain le met à profit pour nous faire observer les troncs calcinés de certains chênes, stigmates des incendies qui ont ravagé les Petites Maures à plusieurs reprises, les plus notables en 1923, 1943, 1962, 1990 et 2003.

Celui de 1923 a marqué l'abandon de l'habitat. Jusqu'alors le défrichage important autour des fermes les avaient préservées.

Nous passerons à proximité des ruines de deux d'entre elles.

 

 

Les mimosas commencent leur floraison. Il y en a peu dans ce secteur des Petites Maures.

 

 

Bref arrêt au carrefour de Masligour pour se désaltérer. Il fait beau. La visibilité est bonne ce qui nous permet d'apercevoir les sommets enneigés du Mercantour.

 

 

Nous prenons la piste de droite, large, en bon état, qui nous mène en légère montée en direction du col de Bougnon où passe la D8 qui relie Roquebrune à Sainte Maxime via le Haut des Issambres. Nous aurons tout le loisir de contempler le panorama sur le golfe de Fréjus, avec l'Estérel en arrière plan.

 

 

Nous nous installons pour la pause banane.

 

 

 

 

 

 

Nous abordons bientôt un sentier en montée.

 

 

Au passage nous découvrons les ruines de Roqueyrol, maintenant entourées d'oliviers.

Sur le chemin, des panneaux d"information renseignent sur les suberaies, forêts de chênes-liège fréquentes dans les Maures. Le liège alimentait les bouchonneries, notamment celle de Roquebrune sur Argens. Les troncs écorcés et les branches étaient transportés vers une charbonnière située dans les environs, pour la production du charbon de bois.

 

Nous arrivons sur une plateforme qui domine une propriété privée, puis nous laissons sur la droite un sentier qui se dirige vers les ruines de Roqueyrol. Peu après, nous prenons un sentier sur la gauche, qui se poursuit parallèlement à la piste. C'est à ce carrefour que 5 randonneurs nous quittent provisoirement pour un tracé légèrement raccourci. Nous les retrouverons plus tard avant de reprendre nos véhicules.

 

 

Notre sentier s'élève au milieu des cistes cotonneux. Un peu plus tard dans la saison le spectacle doit être magnifique.

Il nous offre au passage de belles vues, alternativement sur le golf de Saint-Tropez, puis sur celui de Fréjus.

On aperçoit ici la pointe du cap de Saint-Tropez et au-delà le cap Camarat.

 

 

Chemin faisant Alain nous indique à l'horizon l'emplacement de la décharge à ciel ouvert utilisée par les villes de Fréjus et de Saint-Raphaël.

Un peu plus loin nous atteignons la table d'orientation du site "Les Petites Maures".

C'est un très beau point de vue qui nous est offert sur les étangs de Villepey, Fréjus, et l'Estérel en arrière plan.

Alain nous indique la direction des principaux massifs, celui de l'Audibergue, le mont Lachens (plus haut sommet du Var), un sommet enneigé vers le Val d' Allos, la Tête de l'Estrop à 2961m ou le Mont Pelat à 3051m, et le Mercantour enneigé.

 

 

Saint Aygulf, Fréjus, Saint-Raphaël et l'Estérel.

 

 

 

Nous poursuivons notre route et faisons un arrêt devant le dolmen de l'Agriotier.

Le site et le monument sont protégés par la loi et, sauf autorisation du Ministère de la Culture, toutes recherches et tous prélèvements sont interdits.

Le département du Var comporte une cinquantaine de dolmens dont un groupe important dans les Maures et l'Estérel.

Alain nous rappelle que les dolmens sont des sépultures le plus souvent collectives édifiées aux environ de 3300 ans avant Jésus Christ. A cette époque l'homme devient plus sédentaire et modifie ses rites funéraires.

Le dolmen de l'Agriotier fait partie du groupe de dolmens à couloir et à petite chambre de Provence orientale. L'ensemble "chambre-couloir"est englobé dans un cumulus de pierre de forme ovale. L'originalité de ce dolmen est qu'il n'a vraisemblablement pas abrité une sépulture collective et que sa dalle de couverture a servi uniquement pour sceller la tombe.

 

 

Nous reprenons notre marche en direction des ruines des Quatre Vents que nous atteignons un peu avant midi.

Comme aux ruines de Roqueyrol, aujourd'hui entourées d'oliviers, nous constatons ici des plantations récentes.

Un panneau d'information que nous rencontrerons plus tard sur le chemin indique que la Gaillarde est un des derniers vallons littoraux non urbanisés de la côte varoise et que le Conservatoire du Littoral, en partenariat avec les communes concernées, a entrepris de réhabiliter ce patrimoine par différentes actions d'aménagement.

 

 

Nos deux serres-file sont vigilants.

 

 

Photo de groupe devant les ruines.

 

 

Nous reprenons la piste en légère descente.

 

 

 

Parfois à peine visibles au milieu des cistes.

 

 

et toujours avec de magnifiques points de vue.

 

 

Nouvelle photo de groupe.

 

 

Alain attire notre attention sur le plan d'eau d'entraînement au ski nautique situé en bordure de la route de Fréjus à Roquebrune et qui est utilisé pour les championnats de France ou d'Europe. En lisière de ce plan d'eau, un grand domaine viticole, le Château Vaudois.

 

 

Nous atteignons le lieu prévu pour notre pique-nique. La vue est agréable et les rochers confortables. Le soleil refait son apparition.

 

 

 

 

Nous repartons sur une piste large et facile. La fin de la randonnée se fera essentiellement en descente.

 

 

 

Ce G2 est tellement dynamique que nous atteignons l'Hôtel Club "Vacanciel" avec un peu d'avance.

L'opportunité de faire quelques pas sur la plage, voire pieds nus dans la mer pour certaines, et de prendre un peu de repos.

 

 

 

Encore une photo de groupe, réunissant G1 et G2.

 

 

Après les voeux adressés aux randonneurs par Joël et le rappel par Jean Borel de la date de la prochaine randonnée-repas, l'heure est venue de lever nos verres à l'amitié et de déguster ensemble la galette des rois, dont Alain nous avait préalablement rappelé l'histoire :

"...les épiphanes étaient des divinités grecques qui apparaissaient aux hommes, comme Zeus, Hermès, Athéna...etc. Cette fête tire son origine des célébrations païennes de la lumière et la galette, par sa forme ronde, symbolise le soleil. Dans cette galette se trouve cachée une figurine et celui qui la trouve devient roi d'un jour. Cette coutume païenne remonte à l'Antiquité romaine lorsque de grandes fêtes, les Saturnales, étaient organisées en l'honneur du dieu de l'agriculture et du temps, entre fin décembre et début janvier.

Maîtres et esclaves mangeaient alors ensemble et une fève était glissée dans l'un des mets afin de désigner le roi du festin.

L'Eglise a ensuite institué l'Epiphanie le 6 janvier pour célébrer la rencontre entre les Rois Mages et l'Enfant Jésus, la tradition de la fève dans le gâteau est restée.

Au moyen-âge cette tradition devient la fête des fous avec l'échange des rôles entre maîtres et domestiques et celui qui trouvait la fève était nommé "roi d'un jour" (il disposait du pouvoir d'exaucer tous ses désirs et même de donner des ordres à son maître).

La galette est en général coupée en autant de parts que d'invités plus une laissée pour être offerte au premier pauvre qui pourrait frapper à la porte".

 

 

 

 

Merci à Alain pour cette magnifique randonnée, bien documentée, et aux organisateurs de la "galette des rois" qui a conclu une journée très agréable.

Les photos sont d'Alain, Jean-Marie, Brigitte, Claudette et Jacques.

 

La semaine prochaine :

 

 

 

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24 janvier 2020 5 24 /01 /janvier /2020 15:24

Ravin de la Petite Maurette-G2
 

Anne-Marie avait préparé pour le G2 une rando dans le massif des Maures aux portes de Roquebrune sur Argens. Sur le parking du cimetière de Roquebrune elle fait donc une brève présentation du programme du jour. 
"Le circuit, créé à l’origine en sens inverse (départ par le sentier botanique), a été réaménagé dans l’autre sens pour éviter d’être bloqué au gué de la petite Maurette, ce qui aurait nécessité de revenir en arrière et de faire 2 kms supplémentaires. 
Autre avantage : les points de vue dans le ravin de la petite Maurette et sur le sentier botanique sont plus beaux dans ce sens. 
Pas d’inconvénient particulier sur le circuit dans ce sens. La première montée, vers le Monastère, est soutenue, mais ne dure pas longtemps
Quelques descentes pierreuses après le lac des Clos.  
Le vallon des Enfers est un endroit pittoresque, même si le sentier n’est pas toujours facile à emprunter. 
Le nouveau circuit est un peu plus long avec une dénivelée sans changement: 
13.2 km et 375 m."


Le serre-fil sera Jack. Merci à lui de veiller sur notre sécurité.
 

La météo ne prévoit pas de pluie mais un temps couvert avec quelques alternances de soleil. Pas l'idéal pour les photographes.
Nous attaquons donc la montée vers le Monastère de Notre-Dame de Pitié. Très vite le groupe se scinde en deux. Le photographe s'est placé à mi-distance.

Cette situation se reproduira en permanence tout au long de la journée.
Nous arrivons au Monastère.

C'est là, qu'en 2018, les  gendarmes sont venus chercher, en vain, Xavier Dupont de Ligonnes, assassin présumé de toute sa famille.. 
Ce monastère fait partie de la Congrégation Province d’Avignon Aquitaine de l’ordre des Carmes Déchaux.
Près de soixante-dix ans que les frères Carmes se sont installés sur les hauteurs de Roquebrune-sur-Argens, dans le Var dans une imposante bâtisse flanquée d’une chapelle du XVIIe siècle et protégée des regards des randonneurs par un haut mur.

Derrière, sept ermitages, des maisonnettes spartiates, avec dans chacune un oratoire, et une autre cellule se trouvant à l’extérieur située dans la colline voisine.


Les journées de ces frères, appartenant à l’ordre des Carmes déchaux, sont rythmées par cinq offices. Dès 6 h par les laudes. Et, à 20 h, c’est le dernier, par les complies, un office où les frères doivent faire un examen de conscience. Avant de psalmodier : « En paix, je me couche, aussitôt je m’endors… »
Entre les offices, les frères sont « invités à équilibrer leur vie par le travail manuel ». Principalement « le nettoyage et l’entretien » de la vaste propriété. Ménage, débroussaillage pour éviter les incendies qui peuvent embraser la garrigue qui encercle le monastère. D’autres se prêtent aussi au « travail d’iconographie ».
L'imposante bâtisse est flanquée d’une chapelle du XVIIe siècle. 
La communauté est, malgré tout, dévouée à la contemplation. Contrairement aux dix autres couvents français de la congrégation, elle n’a pas pour mission de propager la foi. Ce qui fait du monastère Notre-Dame de Pitié de Roquebrune un Saint-Désert, selon la dénomination des Carmes déchaux. Un lieu, c’est très rare dans cet ordre, où les laïcs ne sont pas admis en retraite. Seuls des religieux et des prêtres et séminaristes peuvent venir s’y retirer. Ainsi que des postulants
Cf. https://www.ouest-france.fr/faits-divers/affaire-de-ligonnes/affaire-dupont-de-ligonnes-ce-monastere-de-roquebrune-ou-l-fait-voeu-de-silence-5489708.

 

Pas besoin de gendarmes pour nous, nous allons pouvoir visiter la chapelle qui comporte un ensemble important d'ex-voto provençaux.
 

A la sortie, petit briefing autour de la carte puis en route en direction de la Maurette.  Pendant ce temps nous admirons ce petit oratoire bien pourvu en saintes statuettes.
 

Et premier coup d'œil sur le Rocher. Ce sera un peu notre fil rouge de la journée car nous allons pouvoir l'observer sous différents angles, à tel point que certain ne le reconnaîtrons  pas.
 

Regroupement avant une grande descente caillouteuse. Depuis le monastère nous n'avons pas été gâtés par l'état des sentiers.

Les grosses chutes de pluie récentes dans ce secteur ont bien raviné mettant le rocher à nu. 
Nous arrivons à la Maurette puis à son confluent avec la Petite Maurette que nous retrouverons en fin de journée.

 


Ses rives bien encombrées de végétaux divers  montrent bien l'intensité de ses débordements récents. Par contre dans certains passages très accidentés, le rocher a été bien "lavé".
 

Peu de mimosa dans ce secteur mais Anne-Marie en trouvera quand même pour décorer son vêtement.

Encore un coup d’œil sur le Rocher, très particulier avec le sommet 4.

Petit détour pour rejoindre les ruines du Moulin de Font Blanche dont on aperçoit l'aqueduc dans la végétation.

C'est là que nous ferons la "pause banane".
 

Nous reprenons la grande piste qui monte vers les Clots ce qui permet au photographe de faire une revue de la troupe.
 

Mais que fait Anne-Marie en queue de peloton ? Y a t'il un pilote ou sommes-nous en automatique ?
Bel exemple d'érosion.

 

 Nouveau point de vue sur le Rocher.

Alors que notre animatrice s'engage avec le plus gros de l'effectif sur une traverse menant au lac des Clots, six participants ont préféré le confort de la grande piste.

Tout le monde se retrouve au bord du lac sur la rive occidentale, les deux autres côtés étant envahis de roseaux.

Nous venons ici systématiquement à cette saison car c'est un secteur proche de Saint Raphaël et à chaque fois nous y retrouvons un fort vent frisquet. C'est là que nous nous installons pour le pique-nique.

Ces cinq là ont trouvé un coin à l'abri.
Pas de sieste aujourd'hui vu les conditions et c'est très vite que les randonneurs, café avalé, ont remis le sac sur le dos afin de reprendre la route. La route, enfin c'est plutôt un chemin inondé qui

nous attend puis une courte montée bien raide mais courte  nous conduisant à la cote maxi de la rando, 265 m.
C'est là que nous allons faire la photo de groupe.

 

 Puis nous abordons une grande descente toute droite, bien pierreuse.

Elle nous conduit à l'entrée du Vallon des Enfers qui longe un affluent de la Petite Maurette.
 

Passage du gué sans difficulté, l'eau est basse et quelques pierres ont été judicieusement placées.

Maintenant nous surplombons le Ravin de la Petite Maurette et nous retrouvons à nouveau le Rocher sous une face différente.
 

Nous progressons maintenant nord-est sur un sentier en corniche ne présentant pas de difficulté puis nous nous écartons du ravin pour gagner le site des 25 Ponts

 (rappel, ils n'ont pas été construits par les romains  c'est en fait un aqueduc datant du 18ème siècle qui alimentait la première fontaine du Village).

 Un magnifique Pyracantha étonne certains par sa fructification. Nous avons l'habitude de voir cette plante en haie défensive bien taillée. Quand elle est laissée libre, sa floraison et donc sa fructification est intense.
Quelques participants finiront par la route alors que le reste du groupe empruntera le sentier botanique.
Le pot de l'amitié sera pris sur la place des Artichauts, comme d'habitude. Nous avons occupé toutes les tables du café !!!


 

Merci Anne-Marie, de nous avoir fait découvrir ce secteur des Maures, les sentiers étaient rendus inconfortables par les intempéries mais tu n'y pouvais rien.
Merci pour les photos de Nicole et Jean-Marie et une pensée pour Nelli dont nous n'avons pas pu utiliser, pour des raisons techniques, ses superbes photos.

La semaine prochaine, randos de la Galette des Rois.
 

 

 

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24 janvier 2020 5 24 /01 /janvier /2020 09:47

23/01/2020 - 831- BAR- PLATEAU DE CAVILLORE -G1

Nous sommes 14 randonneurs dont 6 femmes à nous retrouver vers 9h40 sur le parking du cimetière de Bar -sur-Loup.

Louis, notre animateur du jour nous présente sa randonnée :

12km8 pour une dénivelée de 804m. Montée depuis Bar-sur-Loup jusqu'au plateau de Cavillore en passant par le très joli village de Gourdon. Boucle au plateau de Cavillore avec une vue magnifique annoncée sur la mer (si le temps le permet) pour une redescente sur Bar-sur-Loup en repassant par Gourdon.

 

 

Patrick est notre habituel serre file accompagné d'Anne Marie

Nous accueillons Philippe, invité de Marie Jeanne et Denis.

Nous démarrons la randonnée vers 9h50 sur une petite portion de route bitumée pour arriver très vite à son point de départ, sur le chemin de Saint Claude .

Nous commençons par une montée en escalier pour continuer sur un faux plat tout en regardant là-haut, la première étape qui nous attend : Gourdon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tout en progressant d'un bon pas, nos yeux s'arrêtent sur les gorges, les falaises calcaires sous un ciel bleu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous rentrons dans un tunnel et nous en sortons, il y fait trop noir !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous passons sans hésitation sur la passerelle du Vallon de Gourdon

et continuons à monter en direction de Gourdon, par le chemin du Paradis.

Arrêt à l'Aqueduc de Foulon, un panneau indique que la piste est fermée au tunnel n°16, souvenirs pour les randonneurs qui avaient fait les Gorges du Loup avec Joël.

Nous allons poursuivre la montée après avoir enlevé une "couche". Il fait toujours beau et c'est de plus en plus raide.

Profitons pour admirer le paysage, car les nuages arrivent

la mer en arrière plan sur notre gauche et les falaises calcaires qui suivent.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Regroupement avant d'arriver à Gourdon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous prenons le temps de faire le tour de GOURDON, les touristes se font rares, par contre nous avons rencontré des randonneurs.

 

 

 

 

 

 

 

Nous ferons la pause banane à l'abri, près du lavoir

Après avoir pris des forces, nous allons attaquer la deuxième étape , le plateau de Cavillore en prenant le chemin de la Carraire

Chacun marche à son rythme mais plutôt soutenu, le vent est frais. Nous laissons le gentil petit village de Gourdon derrière nous, surplombé de gros nuages.

La baie de Cannes, avant que les nuages la recouvrent....

Encore quelques mètres et nous arrivons sur le plateau de Cavillore

où nous ferons la photo de groupe

Il est temps maintenant de redescendre vers Gourdon, il y a trop de vent pour déjeuner sur le plateau.

 

Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons pour déjeuner dans un endroit à l'abri du vent.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous repartons très vite, et sur le retour nous nous arrêtons à la chapelle Saint Vincent.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après avoir fait le huit, nous retrouvons l'intersection du chemin du Paradis mais cette fois nous le prenons en direction de Bar-sur-Loup.

Nous finirons notre randonnée sur le chemin du Bosquet bordé d'orangers et citronniers, qui nous mènera à nos voitures.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous prendrons le pot de l'Amitié au pub de Pré du Lac, endroit que nous aimons tout particulièrement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un grand merci à Louis pour cette randonnée, de maintien de notre forme.

Merci également aux photographes : Claude, Thierry et Brigitte R.

Semaine prochaine :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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