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Ce matin nous sommes 34 randonneurs réunis sur le parking des Gorges de Pennafort pour deux randonnées version raccourcie au format rando restau et nous permettre d'être à table vers les 13h.
En attendant le groupe de randonneurs se scindera en deux les G1 qui seront menés par Denis et les G2 qui suivront Thierry.
Thierry nous présente le profil de la randonnée de ce jour peu de montée et des petites boucles en aller retour qui vont agrémentées notre matinée.
9h, c'est l'heure de prendre le départ avec un petit 6°, nous sommes bien couverts. Hervé procède au décompte nous sommes 23 à partir sur le chemin derrière Thierry.
Première petite grimpette dans un étroit goulet,
il faut juste regarder où l'on mets les pieds
Mais très vite le chemin s'élargi à travers une végétation dense.
Thierry nous mets en garde : attention la roche peut être glissante
avec la mousse présente un peu partout sur les rochers.
Nous restons prudents.
Et arrivons sur un magnifique plateau.
Devant la beauté de ce lieu je ne peux qu'immortaliser le groupe là!
Nous quittons le plateau,
pour continuer en direction des falaises,
Tous en contemplation…
devant les gorges rougeoyantes de Pennafort.
Et la Chapelle Notre Dame de Pennafort,
que nous découvrirons plus tard. On peut apercevoir son dôme édifiée en 1855.
Sans oublier un aperçu en contrebas sur l'Hostellerie des Gorges de Pennafort.
Des petites boucles en aller retour
et nous revoilà au point de départ de ce matin.
Prêts pour la seconde partie de la matinée ?
Alors en route pour la chapelle Notre Dame de Pennafort.
Une petite montée cela faisait longtemps,
qui nous amènera par un petit chemin et quelques marches à la Chapelle Notre Dame. Couronnant un éperon rocheux au confluent de deux vallons,
la chapelle Notre Dame de Pennafort de style néo-grec a été édifiée au XIX siècle sur un site religieux médiéval, dont le seul vestige restant est marqué par la présence d'une tour sarrasine datant du XI-XII éme siècle.
La Vierge honorée dans cette chapelle fait toujours l'objet d'une vénération des Callassiens qui gardent la tradition pieuse des pèlerinage en l'occurrence celui du dimanche de Pentecôte.
L'endroit est idéal pour la pause banane à 10h40.
Et non Dominique toujours rien à l'horizon!
Tous derrière et lui devant…
Enfin plus maintenant !
C'est sur une très large piste bordée de pins et chênes que nous continuons.
Nous prenons le temps de faire un petit point de notre avancement.
Mais maintenant il s'agit de repartir.
En avant
et les filles en tête !
suivi de peu par le groupe .
Nous longeons un champs d'oliviers,
Et traversons même un camping pour les nostalgiques des caravanes.
Il semblerait que certains et certaines aient faim !
13h, nous nous retrouverons tous au restaurant
autour d'un bon repas apprécié de tous.
Nous avons parcouru lors de ces 3h17 de marche, 9,07 kms précisément avec un dénivelé de 234 m .
Encore un grand merci à Thierry pour cette belle matinée.
N'oublions pas d'associer nos deux animateurs Denis et Thierry pour la recherche toujours forte appréciée des randos restau qui nous permettent après l'effort de finir autour d'un bon repas .
Les photos sont de Alain et Véronique
La semaine prochaine :
Lundi 2 décembre :
GL1-241- ND de Jérusalem Jaussier lac de la louve par Pierre
GL2-106- Pointe de l'Aiguille par Denis
Jeudi 5 décembre :
G1-880-3- Ponteves - Le Petit Bessillon par Thierry
G2-832-1- Le Thoronet - Canal de Ste Croix par Patrick
Nous sommes 28 sur le parking situé à l'entrée de la Piste des Corbières, non loin du Pont d'Endre.
Il fait 10 degrés sous un ciel couvert, avec un ressenti surement très inférieur, et une menace de pluie à partir de 15 heures selon les prévisions météo.
Dans ce contexte Dominique présente rapidement les caractéristiques de cette randonnée classée "moyen x de 12,3 km pour une Dh de 120 m : "joli parcours essentiellement sur pistes faciles dans la forêt de Palayson à la découverte de magnifiques paysages avec pour principaux centres d'intérêt, notamment, des étangs et des mares temporaires, une ancienne sablière, la rivière Endre, les Pins Parasol...etc.".
Il n'est pas tout à fait 10 heures quand nous prenons le départ sur la Piste de Palayson.
Nous aurons pour serre-file l'expérimenté Alain W.
Assez rapidement nous obliquons à gauche pour emprunter un sentier en légère descente sous les pins.
Au long du chemin, de belles vues sur la forêt de Palayson mises en valeur par ces quelques arbres aux habits d'automne encadrant les sommets ondoyants des pins parasols, spécialement beaux et nombreux dans ce secteur.
Un premier arrêt, mais chacun parait considérer qu'il est prématuré d'ôter un vêtement, la température demeurant toujours aussi basse malgré ce rayon de soleil.
Nous repartons en suivant le Vallon de la Péguière.
Le ciel s'est légèrement éclairci mais ce sera de courte durée.
Le sentier en descente est maintenant fortement raviné.
Il nous mène à un premier gué sur le Ruisseau du Font des Anguilles, que nous passons sans difficulté. Nous en verrons d'autres, comme on dit, par la suite.
En revenant sur nos pas nous sommes rapidement au Trou de la Jarre
dont nous pouvons admirer la cascade, même si elle est de proportions modestes malgré les précipitations récentes.
Nous nous attarderons quelques minutes dans cet endroit paisible
avant de suivre la Piste du Trou de la Jarre en direction de la Forêt Domaniale de la Colle du Rouet. Elle est bordée de grands pins parasols. Notre animateur nous interpelle sur les dangers qui guettent ces beaux arbres après que les autorités aient tiré la sonnette d'alarme à propos de la propagation d'un parasite, la cochenille tortue du pin, dans le département du Var, après avoir provoqué de nombreux dégâts en Italie. Profitons aujourd'hui de ces arbres magnifiques.
Une petite pause dans cette clairière
que nous mettrons à profit pour nous désaltérer.
La piste large
nous conduit aux abords d'un charmant petit lac entouré d'une végétation abondante qui se reflète sur sa surface.
Nous sommes dans le canton de Palayson à proximité du lieudit "Les Pins Parasols" qui porte bien son nom.
Après avoir contourné ce petit lac nous suivons un sentier confortable
qui nous conduit vers un plus grand lac, formé par le Ruisseau des Flacs.
C'est à proximité que nous ferons notre pause banane,
et, après l'avoir en partie contourné,
nos photos de groupe.
Nous suivrons ensuite la large Piste du Portail du Rouet
en direction des rives de l'Endre que nous atteindrons après avoir longé ce mur d'escalade joliment tagué.
Nous atteignons les abords de l'Endre, une rivière de 28,5 km de long qui prend sa source à Tourettes et se jette dans l'Argens près du Muy, à quelques kilomètres en aval de l'endroit où cette photo a été prise.
C'est non loin des bords de la rivière, dans cette clairière au couleurs d'automne magnifiques,
que nous ferons notre pause pique-nique. Elle ne sera pas très longue du fait de la température ambiante et certains la concluront même par quelques mouvements pour se réchauffer.
"A cet endroit, le Portail du Rouet, deux anciennes gravières forment actuellement deux petits lacs. Le lac le plus en aval (lac de la Rimade) a été en partie aménagé permettant de développer quelques activités de tourisme et de pêche".
Un panneau, à l'entrée de la clairière, renseigne sur la réglementation de la pêche et sur les principales espèces piscicoles présentes dans les lacs : sandre, brochet, perche, gardon, brème, carpe, etc.
Un peu plus loin nous sommes au bord du lac du Portail du Rouët, ou lac de l'Endre, qui s'allonge sur 600 m et atteint 150 m dans sa plus grande largeur.
Nous suivons le cours de l'Endre vers l'amont, en bordure de la Forêt Communale du Muy, et ne tardons pas à voir les conséquences des débordements de la rivière à la suite des dernières intempéries.
Sur la rive opposée nous distinguons une partie du magnifique Golf de Saint-Endréol.
A cet endroit l'Endre a largement débordé. Les embacles naturelles et la végétation couchée donnent une idée de la puissance qu'a pu atteindre le courant. Nous en verrons d'autres manifestations ultérieurement.
Nous nous trouvons bientôt contraints de traverser un petit bras de la rivière à gué.
Pas si simple !
Encore quelques traces du débordement de la rivière,
et nous sommes bientôt confrontés à un nouveau défi. Cette fois la largeur du gué nous contraint à improviser quelques travaux de génie civil. Une sorte de "Koh-Lanta" façon G2 en quelque sorte.
Tout le monde s'y colle,
et la traversée peut s'organiser, avec l'assistance de Dominique.
Tout s'est déroulé sans encombre, nous voici prêts à poursuivre l'aventure.
Nous ne tardons pas à rejoindre la route des Pradineaux pour quelques dizaines de mètres avant de bifurquer à droite sur la Piste des Pins Pignons,
dont voici quelques spécimens,
qui nous ramènera en direction du parking. On pourra constater, à la façon dont nous sommes vêtus, que la température n'a guère augmenté, mais nous aurons heureusement été épargnés par la pluie.
Encore quelques beaux spécimens de Pins Parasol,
et quelques beaux points de vue sur la forêt et les sommets,
dont celui du Coulet Redon culminant à 212 m d'altitude, et nous atteindrons le parking sans avoir été rattrapés par la pluie, si l'on excepte quelques gouttes tombées avec parcimonie sur la fin du parcours.
Nous terminerons cette belle journée à "l'Actu Bar" à la Bouverie, où nous serons accueillis de façon très sympathique.
Nous lèverons nos verres en l'honneur de Dominique pour le remercier d'avoir organisé et mené cette très agréable randonnée. Nous n'oublions pas d'associer à ces remerciements Alain, notre serre-file.
Les photos sont d'Alain, Claudette et Jacques, et la mise en forme de Claudette.
La semaine prochaine :
lundi 25 novembre :
GL1-57-Trou de la Jarre-Lac de l'Endre par Thierry
GL2-175-1-La Cabre par Dominique
Jeudi 28 novembre : Rando-Resto
G1-664-2-Gorges de Pennafort-Vallon de la Bouisse par Denis
G2-664-3-Gorges de Pennafort-Basse Garduere par Thierry
2024-11-14-552-Barre du Roussivau-Bonnet de Capelan-G2
Nous sommes 14 à nous retrouver sur le parking de la maison forestière de Roussivau, avec une parité parfaite, une température de 15 degrés, un ciel bleu, du soleil et un petit vent frais.
Toutes les conditions sont réunies pour une belle randonnée G2 dans l'Estérel, un massif si cher au coeur de tous les Raphaëlois.
Alain nous présente le parcours "qui nous emmènera de la barre de Roussivau jusqu'au Bonnet de Capelan en passant par les maisons forestières des Charretiers et des Malavalettes, et le col de l'Essuyadou. Nous aurons de beaux points de vue sur tous les sommets de l'Estérel. Le retour se fera par le lac de la Péguière et la piste Castelli".
C'est une randonnée classée moyen xx de 14 km pour une Dh de 360 m avec pour seules difficultés éventuelles les passages de gués.
Nous partons vers 9h en empruntant sur quelques centaines de mètres la route qui conduit au Pont du Perthus,
avant de bifurquer sur la gauche pour amorcer la montée.
Marie-Jo sera notre serre-file.
Le premier objectif de la matinée est clairement visible, sur la gauche de la Barre de Roussivau.
Pour y accéder le sentier est un peu caillouteux, mais la pente assez progressive au départ.
Alain nous signale la présence d'une grotte au-dessus de nous, aujourd'hui non visible depuis notre position compte tenu de l'abondance de la végétation.
Certains passages s'avèrent un peu délicats car les dernières précipitations ont sensiblement raviné le terrain.
Nous nous élevons progressivement en profitant de la vue vers Saint-Raphaël et Fréjus par delà la maison forestière de Roussivau, avec la silhouette du Massif des Maures à l'horizon.
Nous atteindrons bientôt la Baisse de l'Andoullette, depuis laquelle nous aurons une vue magnifique non seulement vers la Baie de Saint-Raphaël,
mais aussi, de l'autre côté, vers les Suvières et le Marsaou.
Après une courte pause pour nous hydrater nous reprenons notre chemin en direction de la maison forestière des Charretiers. Au lieu d'emprunter la piste qui relie le Pic du Perthus Occidental à la Baisse des Charretiers Alain nous propose une petite variante sur un sentier en montée
qui nous offrira d'autres vues magnifiques, côté mer,
et en direction de Mandelieu.
Nous profiterons de cette position dominante mais néanmoins abritée du vent et ensoleillée pour faire notre pause banane.
Notre serre-file apprécie la nature environnante et notamment les nombreux eucalyptus qui bordent le sentier.
Mais qu'y a t-il au pied de celui-ci ?
Ces curieux champignons sont, selon l'application consultée, de la famille des "agaricaceae", des champignons se caractérisant par leur peau rugueuse, dont la couleur peut varier. Ils seraient relativement communs, notamment en forêt. Les membres de cette famille peuvent être comestibles, mais certains sont toxiques et d'autres très dangereux. Prudence !
Nous arrivons en vue de la maison forestière des Charretiers, aujourd'hui en ruine et dont les derniers occupants auraient été les chantiers de jeunesse pendant la seconde guerre mondiale.
Nous y ferons une courte pause
avant de reprendre notre chemin en direction du carrefour de Colle Noire, chemin le long duquel nous aurons tout loisir d'admirer la végétation, spécialement abondante à la suite des nombreuses précipitations des dernières semaines.
Généreuses productions de glands formant un véritable tapis par endroits, fruits mûrs des arbousiers, apparemment appréciés de certains randonneurs, et ceux des myrtes, nombreux dans le massif,
ou encore couleurs d'automne spectaculaires des arbres à perruques.
Après le carrefour de Colle Noire un sentier agréable nous conduit
à la maison forestière des Malavalettes, également en ruine, comme la plupart des maisons forestières de l'Estérel. Elle aurait servi de refuge aux habitants pendant les bombardements d'Agay et de Camp Long.
Il y aurait 14 maisons forestières dans le massif de l'Estérel, la plupart en ruine, mais certaines encore occupées (Gratadis, les Trois Termes, Roussivau à certaines périodes de l'année, etc.) ou en cours de restauration (la Duchesse). Sur le sujet et sur le rôle prépondérant joué par Auguste Muterse pour la prévention des incendies dans le Massif de l'Estérel il est possible de se reporter à un blog spécifique édité pendant le confinement Covid de 2020 (blog confinement 7 du 01/05/2020-les maisons forestières de l'Estérel).
Notre marche reprend sur les flancs du Vallon de la Cabre en direction du Col de l'Essuyadou.
Le sommet du Bonnet de Capelan, autour duquel nous marcherons sur le chemin du retour, émerge de la forêt sur cette photo.
Nous arrivons au fond du Vallon et Alain propose de s'y arrêter pour faire notre pause pique-nique au soleil et à l'abri du vent.
La rivière est pratiquement à sec à cet endroit et nous pouvons nous installer confortablement sur des rochers, au milieu de son cours.
C'est également à cet endroit que nous ferons nos photos de groupe,
avant d'aborder la montée vers le Bonnet de Capelan via le Col de l'Essuyadou.
En nous retournant de temps à autre vers la gauche nous aurons, tout au long de la montée, de magnifiques vues vers le Mont Vinaigre, point culminant de l'Estérel à une altitude de 614 m.
Petite pause au Col de l'Essuyadou et nouvelle photo, prise cette fois par Alain,
avant de contempler le panorama vers la Baie de Saint-Raphaël par delà les vignes du domaine Terres Destel,
et de jeter un oeil sur le sentier que nous avons parcouru, de l'autre côté du Vallon de la Cabre.
Nous amorçons le tour du Bonnet de Capelan par un sentier étroit très agréable qui nous offre de nouvelles vues magnifiques vers la côte, avec au premier plan le plus grand des trois lacs des Péguières.
Une vue du sommet du Bonnet de Capelan depuis le sentier qui le contourne, sur fond de ciel bleu magnifique.
Un peu plus bas ce même sentier agréable devient plus ombragé,
mais aussi plus raviné, avec une nouvelle vue, de plus loin, sur le Bonnet, au moment où nous amorçons un demi-tour.
Tout au long de la descente qui nous ramène vers le carrefour Castelli nous ne nous lasserons pas d'admirer ces beaux panoramas sur l'Estérel.
La piste Castelli enjambe la Cabre et va nous ramener vers le parking du Roussivau,
avec toutefois une dernière petite variante en prenant un charmant sentier sur la droite. Il sera par endroit couvert d'une herbe tendre de belle couleur vert clair nous donnant l'impression de marcher sur un tapis confortable, une sensation rare sur les chemins de l'Estérel.
Ce sentier nous ramènera à la piste Castelli que nous suivrons, via les ponts du Migranier et du Sigalon, jusqu'au parking.
C'est au Dramont que nous prendrons le pot de l'amitié dans une ambiance très sympathique, unanimement heureux de cette belle randonnée sous une météo idéale.
Nous aurons fait 14 km pour une Dh de 360 m : exactement les données annoncées.
Bravo pour cette précision d'horloger !
Un grand merci à Alain ainsi qu'à Marie-Jo notre serre-file.
(Les photos sont de Alain,Claudette et Jacques).
La semaine prochaine :
lundi 18 novembre
GL1-225-Col des Lentisques-Ravins Ecureuil et Dents de l'Ours par Denis