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2020-10-22 - N°726 - SAINT TROPEZ SENTIER DU LITTORAL 3 - G1
Sous une météo couverte mais douce, 25 randonneuses et randonneurs écoutent Thierry nous présenter la randonnée du jour «St Tropez sentier du littoral 3», de 14,7 Kms avec un dénivelé de 330m.
Nous marcherons en deux groupes distincts de 11 & 14 randonneurs menés l’un par Thierry et l’autre par Alain.
Notre serre-file du jour sera Bernard.
La rando débute par une belle et large piste au milieu de chênes et de pins parasol.
Peu à peu, le paysage se dégage et laisse place aux vignes du domaine viticole de «La Bastide Blanche» qui s’étend sur 15 hectares. Ce domaine appartient à l’homme d’affaire Vincent Bolloré.
Nous découvrons un peu plus loin le dolmen de la baie de Briande, sépulture datant de 2000 avt J-C.
Nous avons en ligne de mire le cap Taillat aussi appelé Cap Cartaya.
Ce cap situé au sud de la presqu’ile de Saint Tropez marque la limite entre les communes de Ramatuelle et de la Croix Valmer. Il a la particularité d’être relié à la cote par un isthme sableux appelé également «tombolo»
Nous laisserons à notre droite la maison des douanes construite sous Napoléon Bonaparte et restaurée en 2011.
Nous pouvons aussi voir les nouvelles créations immobilières suite à la tempête Alex.
Mais aussi une guérite Napoléonienne.
Tout va bien après la pause banane.
Nous continuons notre randonnée vers le Cap Lardier qui fait l’objet de mesures de protection du littoral et est situé à la même latitude que le cap Corse .
Encore des marches avant l'arrivée au cap.
Et le sentier continue de monter.
En redescendant du cap, le groupe de courageux mené par Alain monte jusqu’à l’ancien Sémaphore datant de Napoléon Bonaparte et délaissé au profit de celui du Cap Camarat et du Dramont.
A la croisée des chemins le groupe de Thierry s’est posé pour la pause déjeuner.
Alors que le groupe d'Alain préfère continuer vers la plage du Brouis pour déjeuner.
Et la rando en G1 cela épuise et il faut bien se reposer avant de continuer…n'est-ce pas ?
Nous continuons sur le sentier menant à la plage de Gigaro.
Où nous croiserons au large de beaux voiliers.
Les gars ont même entonné la chanson d’Éric Morena :
«Oh mon bateau oh oh oh
Tu es le plus beau des bateaux
Et tu me guides sur les flots…»
Mais les femmes contemplent-elles la même chose ?
« Alors le groupe on avance un peu nous ne sommes pas encore au bout… »
Admirez ce paysage : la plage de Gigaro et la baie de Cavalaire.
La piste remonte à l’intérieur et laisse percevoir de magnifiques points de vue sous le soleil.
Allez courage Nelli, l’écurie est proche, encore quelques pas…
Ouf nous voilà bien arrivés grâce à la carte et la boussole d’Alain, rien ne vaut les anciennes méthodes …
Cette belle journée se terminera par un pot bien mérité.
L’ensemble des randonneurs remercient Thierry et Alain nos gentils animateurs.
Nous n’oublierons pas notre serre-file Bernard toujours en grande forme…
Les photos sont de Claude, Alain, Michel et Véronique.
En bonus, vous pouvez visionner le petit film d'André, que nous remercions pour ce travail.
Marsaou depuis le pont St Jean-548-2 -G2 – jeudi 22 octobre 2020
11 randonneurs ont choisi la marche G2 proposée ce jeudi-là par Anne-Marie. Parmi eux, Jean Bo, qui avait animé cette randonnée en janvier 2012, nous a montré des photos souvenir. Jean Ma, qui prépare une randonnée G1 avec un circuit comparable (mais plus corsé), suit attentivement le circuit réalisé. Jack, serre-file, nous montre une fois de plus son sérieux et sa vigilance.
Pas de blogueur(se) aujourd’hui aussi ce sera Anne-Marie qui rédigera le compte-rendu et Rolande qui le diffusera en insérant les photos peut-être pas dans l’ordre.
Au total, 4 animateurs pour 8 randonneurs dont peu de G2. Bernard, notre nouveau président, pourra constater que nous ne chipotons pas sur l’encadrement !
Le circuit que nous ferons mérite quelques commentaires :
Deux variantes ont été appliquées :
L’une, avant la baisse du Sablier, pour éviter un sentier très abîmé
L’autre, après la baisse du Verre, pour passer à la Fontaine du Marsaou et éviter une montée trop raide
L’impact de ces variantes est une dénivelée de 544 m au lieu de 506 m, et une longueur de 14,27 km au lieu de 11,1 km.
Jean Borel met à notre disposition ses talents de photographe. Jean-Claude lui prêtera main forte sur le parcours.
Un peu après 9 heures, nous prenons le chemin qui mène à la baisse du Sablier ; une fois arrivés là, nous marquons une pause effeuillage et boisson, car la pente a été longue.
A la baisse du Verre, nous continuons notre chemin vers la gauche, puis poursuivons jusqu’à la fontaine du Marsaou, sans prendre le sentier à droite qui nous aurait conduits directement au Pas de la Cêpe.
Nous empruntons, très près du col des Trois Termes, le sentier à droite qui fait le tour du Marsaou.
Malgré le temps brouillé, la vue est superbe.
La forêt est belle, aérée et rocheuse, et nous protège du vent.
Au bout du sentier, nous passons la barre de la Clavette pour la pause banane. Il est 11 heures.
Nous repartons ensuite vers la baisse Violette, et admirons sur notre passage la vue vers Saint-Jean de Cannes et Les Adrets.
Les fruits des arbousiers nous offrent un assortiment de couleurs, du jaune au rouge.
Nous trouvons quelques coulemelles sur notre chemin.
Arrivés à la baisse Violette, nous montons vers la baisse des Pourraques et nous nous attardons au passage d’un pierrier.
A la baisse des Pourraques, trois d’entre nous préfèrent éviter l’aller / retour au Marsaou.
Seuls, neuf courageux pourront admirer la vue et poser pour une photo de groupe restreinte.
Nous redescendons ensuite à la baisse des Pourraques rejoindre nos trois amis pour la pause déjeuner. Il est 12 heures 30.
Après déjeuner, nous descendons vers la maison forestière des Trois Termes,
apercevons de loin les wallabies, et empruntons le vallon des Trois Termes. Le sentier est abîmé, et nous hésitons, à mi-parcours, à prendre une solution de repli qui nous ramènerait à la baisse du Verre pour reprendre le chemin de l’aller.
Finalement, nous préférons poursuivre sur le chemin catalogué. D’agréables surprises nous attendent, car le sentier a été en partie débroussaillé et nous offre de bons tronçons faciles à traverser.
Ce n’est pas le cas sur tout le parcours et nous devons compléter notre marche par quelques exercices de gymnastique. Jean Borel y gagnera même un coup sur la tête et se fera soigner par Jack.
Enfin, nous parvenons au sentier qui mène aux voitures et constatons la force des intempéries qui ont ravagé le sentier le long des maisons.
Un dernier effort, et nous arrivons aux voitures à 15 heures 30. COVID oblige, nous n’organisons pas de pot cette fois-ci.
Les participants remercient Anne-Marie pour cette agréable balade et Jean Bo et Jean-Claude J. pour leurs photos.
Aujourd'hui, Patrick, notre animateur du jour, nous propose cette randonnée dans le massif des Maures non loin de Pierrefeu.
Patrick nous donne les caractéristiques principales de cette randonnée : moyen 3*,18,1 km et 590 m de dénivelé.
Les 21 randonneurs et randonneuses présents, écoutent religieusement les infos données par notre animateur du jour.
Nous marcherons en deux groupes distincts de 10 et 11 randonneurs chacun. Le premier est conduit par Patrick, le deuxième par Jack. Denis sera notre serre file du jour.
Et c'est du hameau de la Portanière que nous démarrons cette randonnée.
Dés le départ, nous constatons que les couleurs d'automne sont bien là. En témoigne cette parcelle de vigne magnifique sous les premiers rayons du soleil.
Rapidement, beaucoup d'entre nous commencent à se débarrasser d'une première couche de vêtement.
Devant nous, le premier groupe avance à distance raisonnable, appelée aussi distance "covidienne".
Jack assure le tempo.
Sur cette belle piste, la pente devient plus raide et l'effort plus intense.
Bien dessiné, à l'ouest, le Coudon apparait clairement dans ce ciel bleu azur.
Le mont Coudon est un des principaux sommets des Monts toulonnais. Il culmine à 700 mètres d'altitude. On trouve à ses pieds, entre autres, les communes de Toulon et La Valette du Var.
Devant ce portail, nous devons faire marche arrière. En effet, d'après Patrick, celui-ci n'existait pas lors de la reconnaissance faite il y a quelques temps. Ce contre-temps, nous rajoute quelques centaines de mètres de plus à la distance initialement prévue.
Pause banane pour les deux groupes. Depuis le départ, nous sommes accompagnés (principalement le premier groupe) par deux chiens très sociables, qui nous suivront jusqu'au terminus de notre randonnée.
Au nord-ouest, les communes de Carnoules et Pignans, deux villages situés au pied du massif des Maures.
Un peu loin pour les objectifs des photographes, mais ci-dessous on aperçoit le sommet qui abrite la chapelle Notre Dame des Anges.
Perchée sur le deuxième sommet des Maures à 768 m, la chapelle Notre Dame des Anges est un havre de paix pour tous, visiteurs, marcheurs et pèlerins. Par dessus la forêt des Maures composée de châtaigniers, de chênes-lièges et pins maritimes, le panorama se déploie jusqu'à la rade de Toulon.
Cette chapelle fut reconstruite en 1844 et l’autel inauguré le 5 juillet 1853. A l’entrée, se trouve un cloître avec des chambres destinées aux pèlerins. Il date de 1900 et constitue le seul vestige de la tentative d'agrandissement de la chapelle en 1857. Dans l’unique nef, on découvre une vierge en noyer (XVIIème siècle) et de nombreux ex-voto, peints sur toile, bois ou tôle. Le plus ancien date de 1685 et le plus original est un crocodile, don de Jules Gérard, natif de Pignans, surnommé "le tueur de lions". Une "Figure" du XIXème siècle qui aurait servi de modèle à Alphonse Daudet pour écrire son “Tartarin de Tarascon”. Au dessus de la chapelle s'élève un pylône de radiodiffusion dont la silhouette marque le paysage loin à la ronde.
Pour les initiés, au second plan nous découvrons le sommet conique du Cuit, altitude 539 m, situé sur la commune du Val.
L'arbousier ou arbre aux fraises est un arbre fruitier au feuillage persistant qui donne de jolis fruits appelés arbouses ou fraises chinoises.
En mycologue expérimenté, André nous montre le résultat de sa cueillette du jour.
12 h, à peine passée et nous nous installons pour notre instant pique-nique.
Photo de famille pour les deux groupes réunis.
Nous nous arrêtons devant cette curiosité d'arbre fruitier qui intriguera plus d'un randonneur. Au final, le verdict tombe. Nous avons affaire à un poirier-amande aux saveurs gustatives plutôt surprenantes, n'est ce pas Denis!!!
Espèce (Pyrus amygdaliformis ou Pyrus spinosa) de poirier, arbre fruitier, à feuilles ressemblant à celles de l’amandier, aux fleurs blanches et donnant des poires amères et astringentes.
Le Poirier à feuilles d'amandier est un arbre peu élevé, fréquent dans les garrigues, souvent épineux, à branches nombreuses. Il pousse dans les lieux arides et rocailleux du midi, isolé ou dans les haies naturelles. La plante fleurit de mars à mai.
Comme indiqué ci-dessous, grace à l'application de Claude : batterie Sud ( à des fins militaires) et la Pyramide de Cassini.
La pyramide de Cassini est un point culminant de la région toulonnaise. Ce point culminant a servi à l'astronome Cassini pour établir la cartographie par la méthode de la triangulation.
La pyramide de Cassini fait partie des "pyramides des Cassini" qui sont des repères géodésiques au sommet de points géographiques remarquables. Ces pyramides étaient utilisées pour la cartographie.
Dans l'immensité de la forêt domaniale des Maures ...
Entièrement compris dans le département du Var, le massif des Maures s'étend, selon une direction dominante O./S.O. - E./N.E. (direction des principales lignes de crête), entre les villes d'Hyères et de Fréjus, sur une distance d'une soixantaine de kilomètres. Sa plus grande largeur dépasse légèrement trente kilomètres. À son extrémité sud-ouest, il est bordé par la plaine alluviale du Gapeau ; à son extrémité nord-est, la plaine de l'Argens le sépare du massif de l'Esterel. Du côté nord, de Toulon à Fréjus, il est ceinturé par la plaine des Maures.
Au sud, au dernier plan, mais très flou, pour certains la presqu'île de Giens et pour d'autres l'île du Levant?
Un de nos accompagnateurs du jour abreuvé par un randonneur "ami des bêtes".
En fin de parcours, nous suivons ce cours d'eau: le Réal Martin, et découvrons cette jolie petite cascade.
Le Réal Martin prend sa source, à l'altitude 215 mètres, sur la commune de Pignans, près du lieu-dit les Plaines, au nord de la Forêt domaniale des Maures et des sommets Le Cros de Panau (684 m) et Notre-Dame des Anges (768 m). La longueur de son cours d'eau est de 28 km.
Dans ce décor bucolique, les deux groupes posent pour la postérité.
L'ombre portée au sol: c'est Dominique. Vous l'aviez reconnue bien sûr.
De retour au parking, Patrick nous offre le verre de l'amitié en débouchant quelques bouteilles sorties de sa cave personnelle. Dégustation, avec modération, appréciée par tous les randonneurs.
Merci Patrick pour l'animation de cette randonnée fort agréable avec une météo que l'on voudrait avoir tous les jeudi.
Photographe du jour : Claude, Dominique, Gilbert et Marc.
Votre randonnée G1 du 22 octobre 2020:
Départ : 08:00 THIERRY
726-St Tropez-Sentier littoral 3 MOYEN xxx 14,7 km Dh : 330 m.
Saison idéale pour cette randonnée entre le Cap Taillat, le Cap Lardiet et la Plage de Gigaro. Végétation méditerranéenne en fleur, faune sauvage, sentier qui serpente de crique en crique dans un espace naturel protégé de 290 ha. Sentier parfois pentu et escarpé.
D559 vers St-Tropez, Sainte-Maxime, puis carrefour de La Foux. 1,8km après à droite D61 Ramatuelle. Parcourir 5,5km. Au rond point suivre "Les Plages". Après 0,5km au rond point à droite la D93 La Croix Valmer. Parcourir 0,5km, à droite une petite route "Chemin de la Bastide Blanche". A 0,8km après un lacet droite-gauche, stationner sur les bas-côtés.
Coordonnées GPS du parking 43,193056 - 6,623363 OU : 43°11'35" - 6°37'24"
Trajet : 48 km, durée 75 mn Coût par voiture : 24 €