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24 mai 2019 5 24 /05 /mai /2019 08:25

,2019-05-23 -611-1 ILE DE PORT CROS CIRCUIT DE PORT MAN

 

Avec nos deux animateurs du jour,  48 randonneurs du Cercle de Boulouris St Raphaël se retrouvent à l'embarcadère du Lavandou, pour une traversée d'environ 40 mn vers l'Ile de Port Cros. A l'arrivée sur l'Ile, nous nous répartirons en 3 groupes.

Le ciel est bleu, les randonneurs sont joyeux, une belle journée s'annonce.

Joël s'assure que les 48 randonneurs soient bien présents et c'est le départ vers le bateau.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est 9h15, nous quittons le port. Chacun trouve sa place sur le bateau.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A l'arrivée sur l'Ile, chaque animateur récupère son groupe.

Jean Bo l'animateur du G1 nous conduira sur le circuit de Port-Man

Il nous présente sa randonnée : 13,5 kms DH 420m

 

 

 

 

 

Il est 10h 20 nous démarrons la randonnée en longeant la plage, en direction du Vallon de la Solitude. Nous en prenons plein les yeux, tous à nos appareils photos, la blogueuse n'aura ensuite que l'embarras du choix.

FORT DU MOULIN

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Notre serre file est toujours en bonne compagnie, ce qui ne l'empêche pas de veiller sur les 32 randonneurs du groupe.

 

Avant d'entamer le Vallon de la Solitude, nous ferons la pause banane

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous nous dirigeons vers le Fortin de la Vigie (point culminant du circuit :194m),

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

mais avant, nous ferons un bref aller/retour pour une vue sur l'îlot de la Gabinière :

l'îlot de la Gabinière est un des îlots des îles d'Hyières. Situé au sud de Port Cros, il fait partie du Parc National de Port-Cros et est classé réserve intégrale. Cependant et en dépit de sa petite taille, il est connu pour ses sites de plongée sous-marine. Sur l'ensemble du parc de Port Cros, ce site représente celui qui abrite une exceptionnelle concentration de mérous bruns

Arrêt : Le Fortin de la Vigie, un ouvrage militaire français situé sur l'île de Port Cros, édifié en 1810 sur le point culminant de l'île. 

Jean Bo nous donne quelques explications sur :

Port Cros : l'Île, véritable Eden, est plus accidentée, plus escarpée, plus haute sur l'eau que ses voisines, mais sa parure de verdure est sans rivale. Longue de 4kms et large de 2,5kms, Port Cros culmine au Mont Vinaigre (alt 194m)

Face à une pression touristique croissante, l'Etat à crée un parc national en 1963. Il couvre 690 ha en zone terrestre auxquels s'ajoutent 1800 ha en zone marine. Le couvert végétal (maquis dense, pinèdes, chênaies) appelle une gestion attentive face aux risques d'incendie. La faune fait la part belle aux oiseaux (goélands, puffins, cormorans). Sous la mer, se développent de riches herbiers,: espèce protégée, la posidonie l'est, comme la grande nacre et le mérou

Port Man : Agréable excursion avec, au col de Port Man, une jolie vue sur l'île du levant et la côte des Maures. Elle aboutit à la baie de Port-Man, magnifique amphithéâtre de verdure. Le Fort a été construit de 1635 à 1637 sous le règne de François 1er.L'ouvrage a été agrandi au début du XVIIIème siècle puis remanié au XIXème siècle. Il est désarmé par décision ministérielle du 21 novembre 1881. Laissé à l'abandon, il est affecté en 1977 au Parc National de Port-Cros. En 2003, l'Etat en concède la jouissance au photographe Yann Arthus-Bertrand, à charge pour lui d'en assurer la restauration. 

Avant de nous diriger vers Port Man, en empruntant un chemin inédit jusqu'à la Sardinière. 

Nous continuons en direction de Port Man. Sur notre chemin un détour que nous ne regretterons pas jusqu'à la Pointe du Tuf (dunes fossiles). La pente descendante est assez raide, mais quel spectacle…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous poursuivons et prenons le chemin de la baie de Port Man.

Nous ne pourrons pas aller jusqu'à la Pointe de Port Man pour les raisons expliquées au dessus, par Jean Bo. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est l'heure de se restaurer, c'est en file indienne que nous nous installerons devant une mer qui nous invite.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et avant de repartir, une photo de groupe dans ce cadre "idyllique"

Il est 13h40 environ quand nous quittons cette plage, il faut accélérer le pas, le départ du bateau est dans deux heures...

Encore quelques photos, c'est si beau… Regardez la couleur de l'eau..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous passons près de la Pointe de la Galère

et arrivons sur la plage de la Palud en empruntant des escaliers

Nous n'avons pas le temps de nous attarder, il faut se diriger vers le port où nos amis du G2 et nos cinq randonneurs qui se sont organisés leur journée de ballade, nous attendent.

Il est 15h40 nous reprenons le bateau pour retrouver nos voitures au Lavandou.

Au revoir Port Cros et à bientôt

Mais avant de nous quitter, nous prendrons tous ensemble le pot de l'Amitié

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un grand merci à nos deux organisateurs et à Jean Bo pour avoir mené cette randonnée de rêve, avec une envie de revenir.

Merci également à tous les photographes : Dominique, Marie Christine, Jean Bo, Denis, Gilbert, Alain et Brigitte

Un grand merci également à notre ami André pour cette superbe vidéo, en cliquant sur le lien ci-dessous

http://youtu.be/LATrHY-NyHs

 

 

 

Prochaine sortie G1 : Jeudi 30 Mai 2019

Départ : 7h30 -Jack-  521 ST VALLIER-FORET DE BRIASQ - Moyen ***  13,7km  DH 765m

Sur les traces de Napoleon 1er, en remontant la haute vallée de La Siagne jusqu'au plateau de Briasq au départ de la grotte de la Baume Obscure avec visite possible de la grotte en fin de randonnée.

Parking : Grotte de Baume Obscure à Saint Valler de Thiey 06460     Cout du trajet A/R : 36 €

 

 

 

 

 

 

 

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18 mai 2019 6 18 /05 /mai /2019 08:30

2019-05-16 - 771-3 - La Flûte-Col de Valdingarde - G1

 

 

 

Ce jeudi matin, c'est proche de nos bases, puisque nous sommes sur la commune de Roquebrune sur Argens, qu' Anne-Marie a réuni quelques fidèles, 4 randonneuses et 12 randonneurs, pour découvrir ou redécouvrir ces deux sites connus, à savoir le sommet de la Flûte et le col Valdingarde.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avant de donner le signal du départ, Anne-Marie nous donne le programme du jour.

« Je vous propose un parcours « simplifié » . Le circuit est tout en montées et en descentes, mais deux d’entre elles se distinguent particulièrement :
- Une montée très longue (35 à 40 minutes) et très forte (pente à 28 %) en début de matinée pour monter à la Flûte
- Une descente très pénible en début d’après-midi vers le col de Valdingarde. La pente est raide, mais, surtout le sentier est semé d’embûches (barbelés, branches et troncs d’arbres) et le sol est très caillouteux.
»

Nous voilà prévenus!!!

 

 

 

 

Données techniques: randonnée moyen ***, longueur = 15,9 km, dénivelé = 665 m.

Il est pratiquement 9 h quand nous démarrons cette randonnée. La météo est au top, ce qui est de bonne augure pour la suite de la journée.

 

Une fois n'est pas coutume, c'est Joël aujourd'hui qui endosse le rôle de serre file.

 

 

 

 

 

 

L'euphorie du départ est vite retombée : voici un petit échauffement dans une descente caillouteuse où la prudence est de mise.

 

 

Rapidement, un premier effeuillage s'impose, et la crème solaire est utilisée par certains, quand d'autres s'interrogent sur la première difficulté du jour à venir.

 

 

 

Anne-Marie ne nous a pas menti. La pente est forte, très forte par endroit, dans cette ascension vers le sommet de la Flûte.

 

 

 

 

Un peu avant le sommet, nous retrouvons en plusieurs endroits ces rubans de plastique, témoins du passage du Roc d'Azur 2018.

Vous avez dit écologie!!!

Bravo aux participants, mais zéro pointé pour les organisateurs.

 

 

Après avoir soufflé, transpiré, nous arrivons enfin à ce fameux sommet de la Flûte (Alt. 340 m).

Si,si, nous y étions. Pour preuve la photo du point géodésique repéré par Claude et la photo de groupe réalisée pour immortaliser l'instant.

 

 

Un point géodésique est un point dont la position sur la Terre a été déterminée précisément grâce à la géodésie, en utilisant la triangulation.

Il peut être matérialisé par un élément précis, visible sur un bâtiment (flèche, croix, antenne), ou une borne au sol, dite borne géodésique, surmontée ou non d'une mire permettant de la voir de loin, et qui servait autrefois pour la détermination des coordonnées de cette borne par triangulation, méthode optique.

 

 

Nous retrouvons maintenant des sentiers plus carrossables bordés d'une végétation très verdoyante en cette saison.

 

 

 

 

Pause banane pour tout le monde.

 

 

 

 

Mais que fait Bernard? A t-il perdu les clés du son camping-car, ou cherche t-il des champignons même si ce n'est pas encore la saison ...

 

 

 

Encore une parcelle de chênes dévastée il y a quelques années par un incendie, comme cela arrive très souvent dans cette région.

 

 

 

Accrochée à flanc de colline, les habitants de cette demeure posée au milieu de nulle part, ne craignent pas la solitude apparemment.

 

 

Dans un état de délabrement avancé, nous découvrons les ruines du village de Saint Daumas.

 

 

 

L'inscription sur cette citerne-réserve d'eau, nous indique que nous nous trouvons sur le territoire de la commune de Sainte Maxime.

 

 

De forme cylindrique, ce sont des citernes en acier construites spécifiquement pour la PFCI, la capacité est de 30 m3 minimum. Facilement transportables, elles sont placées dans des endroits stratégiques conformément au plan de massif. Elles peuvent être enterrées, ou aériennes, posées sur le sol.

 

Anne-Marie nous invite à poser nos sacs car il est l'heure de reprendre des forces. Nous nous installons par petits groupes, les uns à l'ombre, les autres au soleil.

 

 

 

 

 

 

Cela est très rare, mais aujourd'hui les randonneuses ne sont pas nombreuses. Quelqu'un dira que ce sont là les meilleures.

 

 

La plupart d'entre nous avons l'habitude de voir le rocher de Roquebrune sur Argens depuis notre voiture sur l'autoroute A8, ici nous découvrons la face opposée tout aussi spectaculaire.

 

 

Traditionnelle photo de groupe.

 

 

Deuxième difficulté de la journée, cette descente périlleuse constituée d'obstacles en tout genre: pierres, arbres couchés, fils barbelés.

 

 

 

 

 

 

Peu après avoir franchi le col de Valdingarde, nous traversons cette parcelle de châtaigniers qui nous offrent un ombrage apprécié de tous.  

 

 

Beau point de vue sur la baie de Saint Raphaël, où un bateau de croisière a jeté l'ancre pour la journée.

 

 

En serre file attentionné, Joël ramène les attardés dans le groupe de tête.

 

 

 

Monique est très heureuse de présenter à Bernard et Hervé sa nouvelle demeure. A quand la pendaison de crémaillère?

 

 

...Enfin, Bernard nous donne l'explication sur sa cueillette tout au long de cette journée. Cette plante sauvage est appelée ''bouillon blanc''. Les fleurs sont utilisées en infusion.

 

 

Le bouillon-blanc est l'une des plantes médicinales les plus recommandées pour lutter contre la toux et certaines affections respiratoires, telles que les bronchites, les trachéites ou les laryngites. Parfois appelée molène, elle présente, également, des propriétés apaisantes et anti-inflammatoires qui agissent sur les maux de gorge et les maux de ventre. En application externe, le bouillon-blanc calme les irritations cutanées et buccales, ainsi que la douleur et l'inconfort liés aux hémorroïdes.

 

 

Voilà un poste d'observation pour chasseur vraiment "hight tech".

 

 

Nous terminons cette belle journée à la terrasse de notre bistrot habituel sur la place de la mairie de Roquebrune sur Argens.

Quelle était bonne cette première gorgée de bière pour la plupart d'entre nous. Et merci à Monique pour ses succulents petits gâteaux "maison".

 

 

 

 

 

Merci à Anne-Marie pour cette version inédite autour du sommet de la Flûte.

Merci aux photographes présents : Claude Ca, Dominique Gi et Gilbert.

 

 

La semaine prochaine, jeudi 23 Mai, randonnée entre terre et mer :

 

Départ : 6H45 JEAN BO MOYEN x 12,8 km Dh : 420 m
611-1-Port Cros
G1
Ile verdoyante et préservée, véritable Eden, permettant d'offrir dans une ambiance forestière feutrée, ses côtes multicolores et
ses points de vue extraordinaires. Attention: embarquement à 9H15.

Parking : Parking du nouveau port-Le Lavandou Cout A/R : 37€ + bateau 25,20 € .

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17 mai 2019 5 17 /05 /mai /2019 12:26

Collobrières – Forêt domaniale des Maures – 529/G2 – jeudi 16 mai 2019

Louis nous a donné rendez-vous sur le parking de la Croix d’Anselme, non loin de Collobrières et de la Chartreuse de la Verne. Nous sommes 26 randonneurs et le soleil est au rendez-vous. Il fait déjà bon 15° (22° annoncés pour 14 heures).

Louis présente le circuit carte et profil à l’appui : « la randonnée est de 14,7 km pour un dénivelé de 330 m. (un km de plus car erreur de trajectoire en cours de route). Nous longerons de jolis vallons et ruisseaux, dans des bois parfois denses. Belle vue depuis la crête. Nous passerons à proximité des plus grands menhirs de Provence. Le parcours ne présente pas de difficultés particulières. La plupart du trajet est sur des pistes larges. Il y a une descente un peu prononcée par un sentier après le km 11. »

Seuls 12 randonneurs ont déjà fait la rando en 2012 et/ou 2014 conduite à l’automne par Camille en période de chasse.

Fait inhabituel Jean-Marie  sera notre serre-file.

Nous quittons le parking et attaquons la première montée sur la route

que nous quittons rapidement pour emprunter un sentier.

La tête du groupe dans les pas de Louis a de suite pris sa vitesse de croisière, un peu vite pour certains. La végétation alentour est magnifique : dames de onze heures, cistes, lavandes, genêts, ail, euphorbes, dompte-venin et autres s’étalent mais peu de temps pour admirer et faire les photos.

 

 

 

 

 

 

 

 

Aujourd’hui pas de chasseurs et de flaques d’eau à éviter : sur notre gauche on entend le torrent qui descend le Vallon de Lambert. Nous arrivons au barrage.

Un peu plus loin nous nous arrêtons pour la pause banane. Il est 11h20 et nous prenons place sur les installations des chasseurs. Pas d’odeur de barbecue.

Louis appelle la blogueuse pour photographier le panneau ci-dessous avec indication inhabituelle.

Nous voilà maintenant à proximité d’une bergerie et d’une maison près desquelles se trouvent de nombreux moutons, brebis et agneaux.

Nous faisons alors un aller-retour pour aller voir les  fameux menhirs : merci Jean-Marie pour les informations notées dans le précédent blog que je me permets de copier :

« Au début du XXème siècle le propriétaire du terrain a redressé lui-même le second à grands frais et grosses machines. Ces deux monolithes, taillés dans le gneiss micacé tout proche (on a retrouvé des excavations de la taille des menhirs), mesurent respectivement 3,15m et 2,82m de  au haut. On les attribue à une période comprise entre la fin du néolithique et la fin de l’âge de Bronze (environ 2500 à 2000 ans avant J.-C., Homo Sapiens). Pourquoi nos ancêtres les construisaient-ils ? Comme on n’y a pas trouvé d’objets ou d’ossements enfouis, on ne sait pas trop à quoi ils servaient : culte d’une divinité, démonstration de pouvoir d’un groupe d’individus sur un territoire, pierre destinée à reconnaitre un espace sacré"

La photo de groupe est faite entre les 2 menhirs. La forêt alentour est magnifique. Les jeunes pousses  apparaissent.

 

 

 

 

 

 

 

A un arrêt pour se désaltérer, Louis nous annonce « c’est là que la montée raide va commencer ». Nous partons sur la droite et là pas de montée. Tout le monde est content et se dit si c’est çà la montée, OK.

Au bout de 500 m. STOP ! Erreur de chemin. Demi-tour jusqu’au croisement et là oui la fameuse montée est bien là et en plein soleil.

Le groupe s’étire, s’étire, s’étire, si bien qu’au milieu Louis grimpe sur un promontoire de chasseur pour veiller sur les derniers. Voyant que tout le monde suivait il descend de son observatoire et part en courant, dépassant tous ceux qui venaient de passer coupant un peu plus les jambes de ceux qui souffraient.

Nous voilà au sommet et voyons sur notre droite sur le Sommet du Bœuf, un radar météo protégé par un radôme.
« Les radars météorologiques permettent de localiser les précipitations et de mesurer leur intensité en temps réel. Répartis sur l'ensemble du territoire, ils ont une portée d'environ 100 km pour mesurer la quantité de précipitations et d'environ 200 km pour détecter des phénomènes dangereux. 
Outre l'intensité des précipitations, les radars météorologiques fournissent également, en exploitant l'effet Doppler, des informations sur le vent dans les zones précipitantes. Les radars les plus récents sont quant à eux capables de faire la distinction entre les types de précipitations (pluie, neige, grêle…). 
Un radar est classiquement constitué d'une antenne parabolique, d'un système d'émission-réception et d'un calculateur. L'antenne est équipée de plusieurs moteurs destinés à l'orienter verticalement et horizontalement et d'un radôme, enveloppe sphérique qui protège l'ensemble des intempéries. Le calculateur assure le contrôle de l'antenne et de l'émetteur ainsi que le traitement du signal reçu. Il permet une visualisation locale des échos et un suivi temps réel de l'état du radar. Enfin, il assure la diffusion des produits. Celui de Collobrières a été installé en avril 2011 © Météo-France / Pascal Taburet »
© Météo-France

C’est à l’intersection de la piste de l’Eouvière que nous nous installons pour la pause déjeuner à l’ombre ou au soleil. Tout le monde a le choix. Il est 13h25. Le temps de faire goûter des spécialités d’ici et d’ailleurs et de manger salade ou sandwich qu’il est déjà temps de repartir. Pas question de faire la sieste Jean-Marie. A peine 45 minutes d’arrêt. C’est pas l’habitude des G2. La blogueuse n’a pas eu le temps de faire des photos heureusement que Nicole était là.

Nous voilà repartis sur la piste. Nous croisons le chemin menant au radar.

Le groupe s’étire déjà. Regroupement.

Louis donne ses consignes :« Allongez les bâtons. La descente va commencer. Espacez-vous ! »

Les premiers partent rapidement, et des groupes espacés se forment dans la forêt. Chacun veille aux diverses embuches, pierres qui bougent, racines , branches au travers du chemin.

A diverses reprises il est demandé aux premiers d’attendre.

Çà y est nous arrivons en bas.

Nous longeons la Verne puis la traversons.

Le chemin nous amène alors à la route de la Chartreuse de la Verne (nous sommes bien partis cette fois sur la gauche et non sur la droite comme avec Camille en 2014). Encore 1.5 kms et nous rejoignons le parking à 16h30.

C’est à Port-Grimaud que nous allons prendre le verre de l’amitié. Certains ont du se perdre car ils ne nous ont pas rejoints.

Merci Louis pour cette agréable balade, à l’allure par moment un peu rapide et à la pause méridienne un peu courte.

Les photos sont de Nicole et Rolande.

La semaine prochaine : jeudi 23 mai 2019

G2 – Ile de Port-Cros -  animateur : JOEL  - 11,7 km - Dh : 407 m- Moyen**

Randonnée sur la même ile que le G1 avec les mêmes beautés mais un parcours allégé.

Attention: embarquement à 9H15 -  Parking du nouveau port-Le Lavandou

Coût A/R : 37€ + bateau 25,20€

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