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26 septembre 2020 6 26 /09 /septembre /2020 09:27

2020-09-24 - N°592 bis - CAP CAMARAT-L'ESCALET - G1

 

Contraint par la météo, Alain nous propose, en remplacement de la randonnée dans le Mercantour prévue initialement, cette randonnée le long du littoral tropézien entre le cap Camarat et le cap Taillat en aller retour. Les évènements feront que nous n'irons pas plus loin que la plage de l'Escalet avant de faire demi-tour juste après le pique-nique.

34 randonneurs et randonneuses se retrouvent ce jeudi matin sur le parking situé au pied du phare du Cap Camarat.

 

 

Alain nous donne les principales caractéristiques de cette randonnée : distance 14 km, dénivelé 250 m.

Ensuite COVID oblige, il décide de constituer 3 groupes. Le premier sera conduit par Alain lui même, le deuxième par Thierry et le troisième par Jack. Le rôle de serre file du jour étant attribué à Daniel.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avant de nous donner le top départ, Alain nous présente trois nouveaux randonneurs : Daniel, Monique et Alain,participant à leur première randonnée G1. Bienvenue à eux trois.

 

Daniel
Monique et Alain

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Point de départ de notre randonnée: le phare du Cap Camarat, en partie construit avec les pierres du Dramont.

 

 

Le phare du cap Camarat, à Ramatuelle, bâti entre 1829 et 1832 au sud du cap de Saint-Tropez, est une tour carrée en maçonnerie lisse sur un bâtiment carré.

C’est le deuxième phare de France (après celui de Vallauris) par la hauteur de sa source lumineuse, 129,80 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Le phare est tout proche du sémaphore de Camarat, administré par la Marine nationale, et où des guetteurs veillent jour et nuit.

Dans les locaux du sémaphore se trouve le réémetteur ASN (Appels Sélectifs Numériques). C’est un système mondial de détresse et de sécurité en mer.

Le phare, géré quant à lui par le Service des phares et balises, est télécontrôlé par la station de Porquerolles.

 

Ci-dessous le groupe conduit par Jack, prêt à en découdre.

 

 

Avant de descendre au plus près du bord de mer, nous pouvons admirer la célèbre plage de Pampelonne bien connue de la jet-set.

 

 

Longue de 4,5 km, répartie sur 27 ha de sable face à l'anse de Pampelonne, la plage de Pampelonne est délimitée au sud par le cap Camarat et le cap Bonne Terrasse, au nord par le cap Pinet et à l’ouest par le vignoble varois, des prairies, des pinèdes, des campings et des villas de luxe.

 

Nous profitons de ce décor, pour faire la photo de groupe habituelle.

 

 

A distance raisonnable le groupe de Thierry entame la longue descente vers le bord de mer.

 

 

Pour les lecteurs de ce blog, non présents à notre randonnée, ouvrez bien les yeux : vous allez découvrir des paysages magnifiques.

 

 

Cela s'appelle aussi la grande bleue!!!

 

 

Tout ça vaut bien une petite pose, le temps de faire une photo. Pas vrai Xavier.

 

 

Entre photo et tableau de peinture, admirez cette photo de la baie de Saint Raphaël -Fréjus, retravaillée par Claude.

 

 

Dans cette portion de sentier un peu plus sportive, les bâtons sont bien utiles.

 

 

Nous abordons enfin une partie plus tranquille faite d'une succession de descentes et de montées. Mais le soleil bien présent nous oblige à faire plusieurs arrêts pour se désaltérer.

 

8

 

 

Zoom sur le Cap Taillat, qui devait être le terminus de notre randonnée avant de revenir sur nos pas.

 

 

Le Cap Taillat fait partie des joyaux naturels de la presqu’île de Saint-Tropez. Enclavé entre les caps Lardier et Camarat, il s’en différencie notamment par son remarquable isthme sableux.

Nous ferons la "pose banane" au bord de l'eau sur un espace bien aménagé qui nous permet de bien respecter les distanciations physiques.

 

 

 

 

Les trois groupes reprennent leurs marches, sous le regard étonné d'un cormoran.

 

 

Le Grand Cormoran (Phalacrocorax carbo) ou Cormoran commun, est une espèce d'oiseau aquatique piscivore qui appartient à la famille des phalacrocoracidés.

 

Au lieu dit la Sèche de Gassin, nous découvrons ces remises à bateaux qui semblent abandonnées. Les portes sont ouvertes en bas pour permettre l'écoulement de l'eau.

 

 

On peut imaginer cet îlot comme un sous-marin, prêt à plonger!!!

 

 

Situé sur la commune de Ramatuelle, perché sur cette colline, apparait le château Volterra.

 

 

Le château Volterra est situé sur les hauteurs du Cap Camarat, accessible par la route des plages de la presqu'île de Saint Tropez. Dans les années 30, Léon Volterra, qui était imprésario du Lido et du Casino de Paris, recevait les artistes français et internationaux dans ce château surplombant la Grande bleue. La vue est époustouflante, l'environnement intact imprégné de pins et de mimosas, le terroir unique en son genre. En 1999 la propriété était rachetée par un groupe d’investisseurs canadiens. Ils ont sollicité Josef Schengili, mathématicien, retraité d’une société hightech, passionné par le vin, pour surveiller la restauration du domaine. Sa fille ainée, Jennifer, aillant obtenu un doctorat de vétérinaire, est retournée à l’Université au Canada pour obtenir un degré en tant que oenologue. Elle est aujourd’hui l’oenologue du Domaine. Elle possède maintenant son labo au château et prépare les meilleurs assemblages de rouge avec son père à partir des cépages typiques de Provence ; elle l'a même convaincu de produire blanc et rosé, un rosé non pressé et donc pur jus de goutte. Le travail dans les vignes est proche de la culture bio avec un travail de la terre à la griffe, l'intercep et la pioche ; très peu de traitements sont utilisés. Les vendanges sont 100 % manuelles et nocturnes pour préserver la fraîcheur du raisin. Les rendements sont faibles, les tri multipliés pour la sélection du meilleur raisin. Dans la cave semi enterrée, les moûts circulent par gravité pour éviter les pompages ; la gestion des températures et une priorité et le contrôle se prolonge jusque dans le chai à barriques, une pièce qu'affectionne particulièrement Josef, grand amateur de rouge. Pour le plus grand bonheur des amateurs le domaine commercialise des vins blancs et rouges vieux millésimes que l'on peut déguster au caveau. Jacqueline Torres, artiste et épouse de Josef, dessine les étiquettes.

 

Il est un peu plus de 13 heures lorsque nous posons nos fesses sur ces énormes rochers sculptés par la mer, pour un pique-nique bien venu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais miss météo en avait décidé autrement. En moins de deux, une grosse averse nous arrose copieusement alors que certains venaient d'entamer une sieste réparatrice, alors que d'autres commençaient tout juste leur repas après une courte baignade.

 

 

Après concertation avec Jack et Thierry, Alain prendra la décision de ne pas poursuivre jusqu'au Cap Taillat, et de faire immédiatement demi-tour.

Heureusement pour nous, le soleil revient rapidement et nous pouvons terminer cette randonnée dans de bonnes conditions.

 

 

 

 

 

Quelques randonneurs se sont donnés rendez-vous sur la terrasse de cette brasserie de Gassin pour terminer la journée.

 

 

 

 

 

 

 

 

Merci à Alain, ainsi qu'aux deux sous-animateurs Jack et Thierry, pour cette randonnée sur une partie du littoral varois.

Les photos sont d'Alain, Claude et Gilbert.

 

Au programme G1 de la semaine prochaine, jeudi 1 octobre:

Départ : 07:30

JEAN BO 760-St.Vallier-Oppidum de la Malle MOYEN xx 14,9 km Dh : 555 m.

Au dessus de St Vallier, nous visiterons, ce que l'on prend de loin pour un gigantesque éboulis et qui se révèle être l'enceinte fortifiée de l'Oppidum de la Malle, construite 5 siècles avant notre ère. Panorama exceptionnel sur 400 grades; quelques passages escarpés et rocailleux.

A8 vers Cannes. Sortie 39 (Les Adrets). D37 vers le Lac de Saint-Cassien et Montauroux. Au carrefour avec la D562, tournez à droite en direction de Grasse. A Val-du-Tignet, prenez à gauche la D11 vers Saint-Cézaire. A Spéracèdes, tournez à droite et, par la D513 et D11, gagnez Cabris. Là, prenez la D4, puis la D6085 sur votre gauche vers Saint-Vallier-de-Thiey ; à St Vallier se garer à la sortie de village sur le parking devant le Grand Pré. Il y a deux parkings le long du grand pré : Parking 1 : le plus proche du centre ville Parking 2 : le plus éloigné du centre ville.

Coordonnées GPS du parking 43,699964 - 6,848656 OU : 43°41'60" - 6°50'55" Trajet : 57 km, durée 70 mn.

Coût par voiture : 32 €

 

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24 septembre 2020 4 24 /09 /septembre /2020 19:42

De la Colle Douce à l'Essuyadou-G2

Pauvre animateur, non seulement il a du changer sa rando pour cause d'intempérie mais il a eu à se battre avec  sa liaison internet pour prévenir les randonneurs du changement de programme. Mais finalement le message est passé car personne n'est allé à St.Vallier de Thiey. C'est  donc au carrefour de la Colle Douce que les 10 marcheu(ses)rs du G2 se sont retrouvés pour une rando facile de 10.2 km et 311 m de dénivelée que nous présente Jean Ma.
La météo est bonne jusqu'à 17 h.


Départ vers le bonnet du Capelan. Rien que 2 serre-files pour un groupe de 10, remarquable !


 En passant sur le pont du Braban, Daniel R nous raconte sa grande honte à cet endroit il y a quelques années. Il y avait une grenouille sur un caillou et les participants à la rando jetaient des pierres autour pour la voir sauter à l'eau. Daniel fit comme tout le monde mais son caillou toucha la grenouille…
Déjà le Bonnet du Capelan apparaît devant nous ainsi que quelques beaux cyprès de Toscane, certainement inclus dans le périmètre d'une propriété privée.

 

Sur une très bonne piste, nous longeons un 1er petit lac dans son écrin de verdure.

Non Josette ne pêche pas à la ligne mais quelques remous bizarres l'intrigue. Il y a de la vie là-dessous. Certainement des tortues.

Quels beaux reflets !

Les bruyères roses commencent à fleurir. Ça sent vraiment l'automne même si aujourd'hui il fait plutôt un temps d'été.

Le second lac est sec, enfin, c'est plutôt une prairie et à la suite,  une extraordinaire forêt d'eucalyptus. 


Puis nous arrivons au 3ème et dernier lac de cet ensemble appelé La Péguière.

Maintenant nous abordons la montée sur les flans du Bonnet du Capelan en

le contournant. C'est un petit site en acropole du 2e âge du Fer avec plate-forme sommitale  pouvant faire partie des lieux culturels pré-romains. Des fragments d’amphores italiques et de céramiques modelées y sont très nombreux.(cf. http://www.ipaam.fr/Assets/articlespdf/2005muresterel.pdf)

 
Nous surplombons  le 3ème  lac et puis petit à petit le paysage se dévoile sur Frejus et St.Raphaël, la baie et les Petites Maures.

Lors d'un arrêt, une de nos amies joue les vedettes, ce n'est pas pourtant dans ses habitudes. Ah ! Ces paparazzis .


Nous arrivons au col de l'Essyuadou pour la pause banane.

Un randonneur, innocent, demande à Jean quelle est la signification de l'Essuyadou. Très sérieusement il répond qu'on peut essuyer à sec avec du papier, mouillé avec une éponge et tout doux avec du coton hydrophile…
Comme le Mont Vinaigre parait proche quand on zoome !

Il reste 70 m de dénivelée pour atteindre le point haut de cette randonnée au carrefour de la Colle Noire, nom tiré du rocher qui le surplombe.

Anne-Marie va se ressourcer en étreignant le superbe chêne liège qui occupe le centre du carrefour.  Heureusement, le feu n'est pas passé par ici sinon notre amie aurait été transformée en charbonnier.

Comme il est trop tôt pour pique-niquer, Jean nous propose de descendre jusqu'à la route d'Italie au Pas de la Louve.
La descente est facile avec de très beaux points de vue sur  Frejus et Saint-Raphaël ainsi que sur ces rochers.

Nous quittons la grande piste pour un petit sentier étroit avant de retrouver

une zone plus calme où nous allons faire la photo de groupe, bien distanciés.


Puis nous reprenons notre descente au milieu de arsins (restes d'arbres brûlés). Toute cette zone jusqu'au pied du Bonnet du Capelan a brûlé en juillet 2003. L'incendie, parti de la N7 en début d'après-midi, a été maîtrisé à la nuit tombante. Ce jour-là, avec un tel mistral, le feu aurait pu traverser tout l'Esterel. Bravo les pompiers.


Nous arrivons sur la route d'Italie. Cette route doublait la RN7 entre Frejus et  le Col du Testanier. Très pratique car peu empruntée, elle fut fermée à la circulation. Non entretenue, elle devenait dangereuse. Le groupe se divise en deux, de chaque côté du carrefour, à l'ombre car il fait très chaud. Déjeuner sobre et sieste pour le blogueur.

Départ à 13 h sur un sentier qui évite la route.  Il passe dans la" Forêt des Enfants", zone brûlée, où les enfants des écoles de Fréjus ont participé au reboisement.

 

Le groupe marche d'un bon pas et…rate le petit sentier qui devrait nous ramener à la route. Petite marche arrière mais il faudra un peu crapahuter dans les broussailles pour la rejoindre.


Quelle belle subéraie  (forêt de chêne-liège) bien entretenue ! Il est vrai

que nous arrivons à la maison Forestière de la Louve.  A sa  hauteur,  nous quittons  la route d'Italie pour rejoindre la Colle Douce.


Voilà, c'est fini.

Merci Jean, ce fut un bon moment passé ensemble sur ces sentiers et avec ces paysages  dont nous ne nous lassons pas.
 

Les photos sont de Nicole et Jean-Marie 
 

La semaine prochaine 

G1

G2


 

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19 septembre 2020 6 19 /09 /septembre /2020 13:47

 

 2020-09-17 – 944 – LES ARCS AILLE CABREDOR – G1

 

 

Défiant la chaleur, 18 randonneurs se retrouvent sur le parking de la Tournavelle, pour cette randonnée inédite au cœur de la forêt communale de Les Arcs – Le Muy.

Jack, notre animateur nous présente la randonnée qu'il a créée (15,6 km – 460 m de dénivelée).

Il nous explique aussi que nous allons marcher dans des zones où les battues ne sont pas organisées le jeudi. En effet cette partie de forêt a fait l'objet d'une division permanente en quatre zones permettant aux différents usagers de choisir, le jour de leur activité, dans une zone accessible, non chassée.

Nous accueillons un invité, Denis, le frère de Dominique.

 

Compte tenu des conditions sanitaires actuelles nous marchons en deux groupes séparés de 8 marcheurs, le premier mené par Jack, le second par Alain, Anne–Marie étant notre serre-file.

Départ du premier groupe
Puis du deuxième groupe

Nous arrivons très vite à un site qui réunit deux curiosités : le pont de fer et la confluence de l’Argens et de l’Aille.

L’Aille qui prend sa source à l’ouest de Gonfaron, à 190m d’altitude se jette dans l’Argens 30 km après, à 26 m d’altitude. La superficie de son bassin versant est de 229 km2. Ses eaux sont caractéristiques d’un milieu lenthique (eaux calmes, à renouvellement lent, avec dépôt de matières organiques important). Le débit moyen de l'Aille varie de 0.15 (août) à 5.4 m3/s (janvier).

L’Argens prend sa source au pied du Devençon de l'Inarden, précisément à Seillons-Source-d'Argens, à 280 m d’altitude et se jette, 116 km après, dans la Méditerranée, à Fréjus. Son bassin versant est de 2 700 km2 et draine la moitié du département du Var. Le débit moyen de l'Argens varie de 6.05 (août) à 35 m3/s (janvier).

Cette différence de débit est visible au niveau de la confluence (« La Mescla », en provençal qui veut dire mélange), les eaux turbides de l’Aille étant quasi bloquées par celles de l’Argens.

Le pont de fer est appelé « Pont Eiffel » du nom de la technique employée par l’ingénieur et industriel Gustave Eiffel, lors de la construction de la tour éponyme.

L’historique de sa construction est assez intéressant. Nous en résumons les étapes décrites sur le site    https://www.mapado.com/les-arcs/le-pont-de-fer-de-la-tournavelle  :

Les prémices d’un projet de pont sur l’Aille datent de 1819-1820, avec une volonté de favoriser la communication Draguignan – Saint Tropez.  Un premier pont est construit en 1832 sur la commune de Vidauban mais « les réparations faites à la route de Saint Tropez à Draguignan, qui passe sur ce pont, sont loin d’avoir porté cette route au degré convenable de viabilité puisqu’il y a plusieurs points entre La Garde Freinet et le pont qui présentent des dangers pour les voituriers et pour les voyageurs. …. Dans une délibération du conseil municipal en date du 2 juillet 1876, on exprime le souhait de supprimer le bac communal et de le remplacer par la construction d’un pont cette fois au confluent de l’Aille et de l’Argens … le projet de la réalisation du pont sur l’Aille est définitivement adopté le 25 mars 1888 : Ce pont facilitera la réalisation d’une route de grande communication destinée à desservir le golfe de Saint-Tropez… En 1905, le pont reçoit sa première couche de bitume, mais, la réalisation de la route pour le golfe de Saint-Tropez ne verra jamais le jour. En 1893 l’Etat décide de faire construire dans la commune de Vidauban un autre pont de fer sur l’Aille et réalise la D72. »

Nous progressons sur la piste des Bauquières qui surplombe l’Aille, que nous pouvons apercevoir au travers la végétation.

Puis après avoir quitté la piste des Bauquières, nous commençons notre première montée en sous bois, plein Sud.

 

La pause boisson s’achève pour le premier groupe,

Nous entamons la nôtre.

La piste passe en balcon et nous laisse découvrir les crêtes du massif des Maures.

Nous retrouvons la piste des Bauquières qui descend vers un superbe point de vue où nous faisons la pause banane.

Vue sur le rocher de Roquebrune et au loin l’Estérel.

Malgré la brume de chaleur, nous repérons le Mont Vinaigre et le pic de l’Ours.

Les groupes se remettent en route et nous quittons la piste pour une sente, pouvant être qualifiée de confidentielle, qui descend en longeant en contrebas le domaine des Canebières.

La descente se poursuit par la piste et nous voyons le premier groupe devant nous.

Le passage des gués sur le Couloubrier et ses petits affluents se fait à pied sec.

Ce n’était pas le cas lors de la reconnaissance en mai.

La sécheresse est également illustrée au niveau du plan d'eau, visible en mai et devenu prairie quelques mois plus tard.

 

Nous arrivons enfin à la plage de la piste de Varsoris pour une longue pause déjeuner. Certains se rafraichissent dans l’Argens.

 

Nous repartons par un chemin ombragé surplombant l’Argens.

Depuis combien de temps cette barge sablière est-elle échouée ?

Varsoris étant une propriété privée, nous bifurquons à gauche et grimpons vers les Canebières pour atteindre son parcours de santé.

Première vue sur le domaine des Canebières

Les Canebières est un domaine de 275 ha créé en 1967 par une SCI pour un usage de caravanning. Racheté en 1980 par ses locataires, il est devenu en 1996 un parc résidentiel de loisirs de 771 parcelles, après divers travaux de viabilisation et la création d’une station d’épuration.

Nous dominons toujours l'Argens et apercevons plusieurs canoës.

Et, plus en arrière le massif du Rouet montre ses roches rouges de rhyolite.

Nous franchissons la dernière  difficulté du jour, à savoir  la courte montée en prairie avec sa pente à 30% pour sortie du domaine.

Nous parvenons au col de Cabredor par un sentier en voie de disparition.

Nous retrouvons la piste des Bauquières et regagnons nos voitures après la photo des groupes réunis.

Certains se retrouvent au Public House de Pujet pour un rafraichissement bien mérité.

Merci Jack pour cette  belle et agréable randonnée, avec son parcours souvent ombragé qui a rendu supportable la chaleur du jour.

Merci aux photographes  Alain, Claude, Dominique et Gilbert.

La semaine prochaine, sous réserve de la météo : 

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