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C’est sous un beau soleil que 13 randonneurs se retrouvent sur le parking de Gorbio, pour une randonnée sportive.
Alain nous présente la marche du jour, d’environ 13 km et 1 100 m de dénivelée positive : nous allons monter 900 m durant les 5 premiers kilomètres, pour atteindre le sommet de la Cime de Baudon (1 266 m), puis nous descendrons vers Saint Agnès. Nous regrimperons 200 m vers le kilomètre 8, pour atteindre le Col de Bausson (800 m). Puis nous descendrons vers Gorbio (350 m), que nous visiterons en fin de journée.
La Cime du BAUDON, ainsi que les crêtes secondaires du BAUSSON et de GORBIO dominent le littoral mentonnais, par des reliefs escarpés de plus de 1000m. Elles représentent les écailles les plus méridionales de la branche orientale de l'Arc Préalpin de Nice. Constituées par des calcaires et dolomies jurassique et crétacé inférieur, dont l'épaisseur totale atteint 300m, elles jouent le rôle d’ un aquifère à régime karstique.
Dans le village, une première balise nous indique le Col de la Madone. Le ton de la journée est donné et nous commençons par une belle grimpette.
Sur notre droite nous avons une vue embrumée sur la Méditerranée.
Rapidement, nous découvrons devant nous les barres calcaires de Gorbio et de Rank.
Nous cherchons la source de Romin, mais elle semble tarie en cette période d'étiage sévère. En fait, il s’agit d’un « delta » d'émergences à la base d'un éboulement de roches calcaires et dolomitiques provenant de la cime de GARAGLIAN... Nous ne trouvons qu’un petit abreuvoir.
Le chemin dans le ravin de Rank, sous couvert forestier de feuillus, est agréable.
Mais ensuite, nous grimpons vers le col de la Madone de Gorbio sous le soleil.
Notre ascension est rapide, à en juger par la vue arrière.
Le flanc sud de la Cime de Baudon se dresse devant nous.
Nous arrivons au col de la Madone de Gorbio.
Nous prenons la direction de la Cime du Baudon et le massif apparait entre les arbres.
Nous nous arrêtons pour la pause banane dans une belle clairière, une quarantaine de mètres au-dessus du Col de la Madone de Gorbio.
La majestueuse falaise calcaire et la Cime de Baudon se dressent à nouveau devant nous.
Elle fait face au Mont Agel et aux cimes de la Morgelle et des Cabanelles, équipées de leurs antennes, que nous pouvons voir en vue arrière.
L’ultime ascension se fera par des passages variés, en sous-bois ou dégagés, plus ou moins pierreux, et plus ou moins délicats, nécessitant plusieurs fois les mains.
Nous sommes récompensés par une belle vue plongeante sur Menton avec, à gauche, la Cime de Biancon.
Nous nous rapprochons des crêtes sommitales du Baudon, nous longeons les éboulis et Cap Martin apparaît.
Au sommet du Baudon, le panorama est grandiose, même s’il est un peu voilé. Alain et Roland nous aident à identifier les sommets : Gélas, Malédie, Capelet, Cime du Diable, Grand Capelet, Bégo … La photo de groupe immortalise ce beau moment.
En bas apparaissent les carrières de calcaire et le complexe industriel de Grave sur Peille.
Nous observons le Mont Ours et le Grammondo, que nous avons escaladés lors de précédentes randonnées.
Nous commençons à peine notre descente et nous installons quelques mètres plus bas pour le pique-nique, face à la mer.
Après ce bon moment de détente nous poursuivons la descente vers la Cime de Bausson.
Le beau sentier en forêt va devenir pierreux et même glissant avant le pas de Piastre.
Mais nous profitons des points de vue sur les sommets de l’arrière-pays mentonnais : le Grammondo, la cime du Restaud, le Pic d’Orméa, Siricocca, le Pic de Garuche, le Mont Ours.
Saint Agnès, lové contre son rocher, est le plus haut village littoral d’Europe. Il est dominé par les vestiges du château-fort construit, sur un belvédère du piton rocheux, par les comtes de Vintimille à la fin du Xe siècle.
Rapidement nous délaissons la piste cimentée pour bifurquer sur le GR 51, en direction du Col du Bausson. Le sentier en surplomb nous offre une magnifique vue mer.
Après une dernière ascension de 200 m nous atteignons le col de Bausson. Nous avons une belle vue sur le viaduc du Rank...
sur le ravin de la Cime de Biancon....
sur notre arrière gauche, les calcaires de la Cime de Biancon
Nous revoyons une dernière fois les cimes de Baudon et de Bausson.
Dans le ravin de Ray, le sentier descend fortement en serpentant.
Gorbio apparait.
Mais il nous faudra encore quelques efforts pour atteindre la chapelle Saint Lazare,
Nous faisons un tour du village
Le pot est pris chez Paulo.
Les randonneurs, un peu fourbus mais très heureux de cette très agréable journée, remercient Alain pour cette magnifique randonnée.
CALLIAN - Vallon de la Camiole – 679/G2 - jeudi 30 septembre 2021
Après quelques difficultés à trouver une place pour stationner nous sommes 34 à nous retrouver aujourd’hui à Callian par une magnifique journée ensoleillée pour une randonnée proposée par Jack, randonnée dont c’est la 5è édition (en 2010 et 2013 par Jean Bo, en 2016 par Joël et déjà par Jack en 2018).
« Le parcours a été un peu modifié par rapport au tracé initial. Nous monterons à proximité des vestiges du Castrum de Velnasque, longerons le lac de Giraud et rejoindrons Caillan en marchant sur l’aqueduc souterrain de la Siagnole. Aujourd’hui nous ne visiterons pas le village »
La randonnée fera en définitive 14.3 kms et 390 m.de dénivelé pour ceux qui sont montés aux ruines, un km en moins pour les autres. Données transmises en fin de balade.
Nous sommes bien nombreux aujourd’hui. Des G1 se sont joints aux G2 ayant eu peur de la longueur du trajet pour se rendre au lieu de départ et des plus de 1000 m annoncés de cette randonnée sportive.
Au vu du nombre de participants Jack propose de diviser le groupe en 2 sous-groupes avec Thierry en tête du 2ème groupe et Jean Ma comme serre file. C’est là que sont comptés les participants 34 ou 35. Désaccord d’où recomptage à chaque arrêt. D’autres se mettent à compter également dont la blogueuse. C’est le gag et cela devient le fil rouge de la journée. 34 sera le dernier mot. Nombre confirmé par les boissons commandées en fin de rando. Les 2 groupes se mélangeront rapidement et le serre file sera accompagné en alternance par Beps, Daniel J., Jean-Claude...
Nous cheminons tout d’abord au milieu des ruelles étroites, passons devant le lavoir Saint Roch avant d’emprunter la descente annoncée.
Nous continuons et arrivons à la Camiole. Nous traversons le gué où il y a un petit peu d’eau au grand étonnement tant la sécheresse sévit. Tout le monde pensait le trouver à sec.
Après avoir cheminé entre des oliviers
nous traversons la route départementale prudemment. Jack a revêtu son gilet jaune. Nous commençons alors à grimper. Quelques efforts sont nécessaires.
Un bon raidillon face à nous va nous conduire non loin des vestiges de Velnasque.
Nous débouchons sur une belle piste d'où un groupe d’une vingtaine de randonneurs suivra Jack pour monter aux ruines tandis que le reste du groupe attendra.
Ci-dessous voici les informations données par Jack : copie du blog de 2018 et le lien pour accéder à une vidéo qu’il avait trouvée.
"La période troublée du haut Moyen-Âge favorisa la multiplication de « castra », villages fortifiés ou places fortes. Les archéologues ont pu répertorier dix sites fortifiés, dont le premier château de Tourrettes qui fut construit par Bertrand de Villeneuve, seigneur de Tourrettes à partir de 1321. Il n’en reste que la Tour de l’Horloge. Du castrum de Pibresson et du castelet de Velnasque il ne reste aujourd’hui que des ruines, le site de Tassy a complètement disparu.
La plus ancienne mention connue du castellum de Valmasca figure dans la liste des localités du diocèse de Fréjus soumises au comte de Provence en 1232-1244. Velnasque était probablement un satellite de Tourrettes. En 1320, la seigneurie appartenait, comme celles de Tourrettes et de Pibresson, à la famille de Villeneuve, qui le conserva jusqu'à la fin de l'Ancien Régime. L'abandon du castrum remonte probablement à la guerre de l'Union d'Aix, (1382-1388) dans les dernières années du 14e siècle, mais une réoccupation partielle et temporaire au siècle suivant n'est pas exclue. Le toponyme aujourd'hui attaché au site, Saint-Laurent, indique l'existence d'une église, sans doute celle du castrum, dont l'emplacement n'est pas connu. Les ruines ont été partiellement fouillées en 1978 par Guy Désirat, qui a dressé un plan des vestiges. »
Après la pause banane nous avançons dans la forêt.
A découvert nous devinons au loin Escragnoles départ de la randonnée de la semaine prochaine et l'Audibergue.
Nous passons à côté du lac de Giraud, terrain recouvert d’herbe avec une petite flaque d’eau quasi invisible.
En cours de chemin nous pouvons observer des fleurs de salsepareille, beaucoup d’iberis et des daphnés utilisés dans le temps comme aiguilles à tricoter.
Quant à Marc il photographiera une belle mante religieuse.
C'est un peu plus loin après une dernière petite montée
que nous nous installons dans un coin agréable ombragé, à terre, sur un tronc ou contre les arbres pour le pique-nique avec punch et stanislas en apéritif et genépi pour certains après le café.
Petite sieste pour certains.
Soudain Jean Ma dit : "départ dans 2 minutes". Nous voilà tous prêts.
Nouveau comptage au départ. 34 semble être le nombre définitif. Nous pensions en avoir fini de monter mais non. C’est à la sortie de la forêt de Tourrettes que nous faisons la photo de groupe.
Nous voilà maintenant sur un bon chemin. Nous sommes sur la partie enterrée de l'aqueduc romain de la Siagnole et sur lequel nous allons marcher durant un km.
"L'aqueduc de Mons à Fréjus est un aqueduc romain qui alimentait Fréjus depuis Mons et Montauroux. L'aqueduc est classé Monument historique depuis 1886. À sa mise en service, la longueur totale de l'aqueduc est de 26 km.
Au début de son utilisation, l'aqueduc est alimenté par la Foux de Montauroux. Environ 20 ans plus tard, une seconde source, la Siagnole, ou Neissoun vient compléter l'alimentation de l'aqueduc. L'aqueduc, alimenté par deux sources différentes est alors qualifié de « bicéphale ». Au départ de l'aqueduc, l'altitude est de 516 m et la température moyenne de l'eau est de 10,5 °C. L'aqueduc suit son cours pour atteindre Fréjus, situé à une altitude de 34 m en suivant une pente moyenne de 1,1 %. L'eau met environ 17 heures à parcourir la totalité de l'aqueduc, à la vitesse moyenne de 2,4 km/h. Le débit moyen est estimé à 34 litres par seconde, soit un débit journalier d'environ 26 000 mètres cubes. Les dimensions internes de l'aqueduc sont d'1,6 mètres de haut pour 70 centimètres de large.
L'aqueduc franchit un grand nombre de vallons où il se trouve assailli par le résultat des précipitations méditerranéennes et réchauffé par le soleil, ce qui accentue les dépôts carbonatés. Le trajet est en majeure partie souterrain, sauf à l'approche de Fréjus. L 5 à 7 premiers kilomètres sont encore utilisés de nos jours." (wikipédia)
Nous poursuivons notre chemin avant de passer devant l'entrée donnant accès au domaine de Font Bouillen, propriété bien protégée que lors des premières éditions les randonneurs pouvaient traverser, puis nous retrouvons le chemin bitumé.
Nous passons devant de belles propriétés d’où nous avons de magnifiques vues, rocher de Roquebrune et Estérel d’un côté et Audibergue et Lachens entre autres de l’autre côté.
Le retour à Callian se fait par une forte descente. A un virage nous avons une magnifique vue sur le Château.
" Le château s'inscrit dans une histoire séculaire, jalonnée d'une multitude de seigneurs. Une histoire qui débute avec un certain Ugo, prince de Callian, seigneur de la région vers 1038. En 1249, Callian figure comme castrum, siège d'une importante seigneurie. Les tours nord-est et sud-est sont datées des XIIe & XIIIe siècles.
En 1391, Callian est incendié par Raymond de Turenne au cours de la guerre de succession entre les Duras et la Maison d'Anjou. La famille de Grasse, présente sur ces terres de 1374 jusqu'à 1645, donnera au château sa physionomie actuelle. En 1510, Louis Antoine de Grasse construit sa façade sud-est dans un style Renaissance provençale.
En 1585 Joseph de Rafélis acquiert également une partie des terres de Callian. Puis en 1679 le château passe partiellement aux mains de la famille de Lyle Taulane, Gabrielle de Rafélis épousant Antoine de Lyle. L'autre moitié reste au frère de Gabrielle, Jean de Rafélis de Broves. En 1751, Marie Gabrielle, fille de Jean de Rafélis de Broves, vend la partie nord-est du château à la ville de Callian, la communauté villageoise y construira une mairie.
Fin 1792, Joseph-Ignace de Lyle Tazulane doit quitter le château de Callian, qui est pillé peu après, et incendié.
En 1873, les ruines abandonnées de la partie Lyle Taulane passent par mariage à la famille de Jerphanion. Les lieux ne sont toutefois plus habités et annoncent la transformation future de ces ruines en carrière de pierres et en terrain de jeux pour les enfants.
Au début du XXe siècle, tous les murs du château tiennent encore debout. Mais après le 1ère guerre mondiale, une partie du mur ouest s'effondrera. Henry Brifaut né à Bruxelles, découvre en 1958 les ruines du château, abandonnées depuis près de 170 ans. En 1966, il achète le château de Callian & à l'age de 61 ans, il relève le pari de reconstruire la demeure. Après une dizaine d'années de travail, l'édifice retrouvera son allure d'antan... Château de Callian 83440 Callian, propriété privée, ne se visite pas, visible de l'extérieur uniquement." (office de tourisme)
Arrivés en bas nous passons devant un 2è lavoir
et nous nous rendons sur la place Bourguigon pour partager le verre de l'amitié.
Sur la place se trouve une belle cascade qui coule fort peu,
une plaque commémorative au nom d’Honoré Bourguignon, instituteur de Callian mort à Dachau en 1944 et l'église Notre Dame de l'Assomption.
"L'Église inaugurée en 1685 remarquable par son clocher quadrangulaire en tuiles vernissées de style bourguignon, exécuté en 1703 par les compagnons du devoir. L’église contient des retables sur les bas-côtés et les reliques de la patronne du village de Sainte-Maxime. Son abside est ornée d’un maitre autel monumental éclairé par des vitraux anciens, fidèlement restaurés." (office de tourisme)
C’est par un passage derrière l’église que nous regagnons le parking de départ.
Merci Jack pour cette agréable randonnée.
Les photos sont de Dominique, Nelly, Jean Bo, Jean-Marie Marc et Rolande
La semaine prochaine pour les G2 : Escragnolles - la cascade de Clars
Nous sommes 15 fins gourmets à nous retrouver sur le parking de la Lieutenante pour cette rando-resto inédite que nous présente Jean avec enthousiasme.
Notre animateur nous rappelle que les étangs de la forêt de Raphèlen’ont pas été alimentés par la pluie cet été et ne ressembleront donc pas à ceux que nous voyons en hiver lors des randonnées du lundi après-midi.
Mais qu’importe, nous partons et comme dit Jean, « direction le resto" !
Nous marchons d’un bon pas le long d’une belle piste au milieu d'une forêt de chênes.
Nous oublierons le premier étang qui n’est pas sur l’itinéraire prévu car il ajouterait quelques kilomètres aux vingt annoncés.
Nous montons sur un chemin caillouteux parmi les pins et poursuivons sur une piste plate.
Nous croisons des soldats qui n'ont pas l'air de s’amuser autant que nous !
Nous découvrons bientôt le deuxième étang.
La végétation autour du troisième se reflète magnifiquement dans l’eau.
Dan notre serre-file est en bonne compagnie.
Peu de temps après, Jean nous propose de faire la pause-banane au quatrième lac que nous atteindrons par une sente boisée ajoute-t-il.
Voilà qui rappelle à certains d’entre nous un pique-nique en mai (voir blog du 6 mai dernier) mais aujourd’hui nous passerons moins de temps dans ce joli cadre.
Nous repartons sur un chemin cabossé en pleine forêt et ignorons le cinquième lac qui doit être à sec.
Nous faisons un bref arrêt près d'une borne, limite de commune entre Puget-sur-Argens à l'Est et Roquebrune-sur-Argens à l'Ouest. Il se trouve que cette limite de commune est en même temps la limite du Domaine de La Lieutenante, lotissement de 2,5 kms. Jean nous explique que lorsqu’une propriété se termine ainsi en pointe, les géomètres mettent un pan coupé ce qui renforce les clôtures car au lieu d’un seul point d’attache, il y en a deux. On en apprend en marchant !
De là, nous voyons de nouveau le rocher de la fille d’Isnard et le mont Eglise des Païens,
au programme des lundis après-midi. De l’autre côté se dressent le Rocher de Roquebrune et la colline de la Femme Couchée.
Nous poursuivons sur un chemin difficile. Nous allons rejoindre la grande piste de la Lieutenante et traverser le Blavet. Le Raphèle se jette dans le Blavet et ce dernier dans l’Argens. En hiver, il peut être infranchissable tant il y a d’eau.
Nous traversons la route qui traverse la conurbation de la Bouverie et nous retrouvons dans le quartier résidentiel que nous quittons pour continuer sur une grande piste plate bordée de maisons et longée par la forêt.
Nous voici sur un chemin goudronné qui côtoie les vignes et d'où nous admirons la noblesse du Rocher de Roquebrune à l'arrière-plan.
Nous arrivons enfin au restaurant où les G2 nous rejoindront. Nous sommes heureux de retrouver aussi quelques randonneurs qui pour diverses raisons ne randonnent plus en G1 ou G2 mais qui ont plaisir à revoir les copains et à partager avec eux le festin du jour à défaut des kilomètres.
Ensuite, une entrée copieuse, à savoir une belle salade verte croquante et bien assaisonnée avec des croûtons et du pâté de campagne garni de cornichons, suivie d'un baron d’agneau à la broche accompagné de pommes de terre soufflées et d'haricots verts puis fromage, nougat glacé nappé de coulis de fruits rouges, le tout arrosé de vins rosé ou rouge au choix et petit café pour terminer.
Rolande en profite pour parler de la prochaine excursion qu'elle organise le mercredi 10 novembre à Saint-Maximin. Au programme, visite de la basilique puis de Varage et sa faïencerie - une belle journée en perspective !
Comme le montrent les photos ci-dessus, tout le monde se régale et s'amuse:) Pour terminer, Xavier nous fait rire avec son sketch "A dada".
C’est à 15h10 que Jean annonce le départ imminent des G1 et nous rappelle que nous allons gagner le septième lac. Mais une fois sur le site, il faut se mettre sur la pointe des pieds pour le voir car il est caché parmi les hautes herbes qui l’entourent.
Le lac des Requins, le huitième, en impose davantage.
Par contre, le neuvième ressemble à une mare
Quant au dixième et dernier, il n'est plus qu'une flaque d’eau !
Il est vraiment temps qu'il pleuve - mais pas un jeudi!
Bien que nous ayons vu tous les étangs, Jean ne ralentit pas le rythme pour autant. Nous galopons sur une belle piste plate baignée de soleil quand soudain la traversée d’un champ le long d’une route nous ramène au parking. Il est l'heure de nous dire au revoir et nous nous quittons la tête pleine de bons souvenirs.
Comme quoi la marche est vraiment un moment d'amitié privilégié où les âmes se délient avec les jambes.
Merci à Dan notre serre-file et à Jean Bo pour cette magnifique randonnée, sans oublier le choix du restaurant et du menu.
Nous avons parcouru 19,7 kms pour un dénivelé de 268m et les photos sont de Jean Bo et Dominique.